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Subway of life

Chapitre 2

Erotique
Mon numéro de charme ayant des limites (la limite étant celle du ridicule), comme celui de l’empathie et de mon souci (sincère cependant) de son moral, j’ai senti instinctivement que je ferais mieux de jouer la carte de l’humour.D’autant que - je l’ai remarqué depuis longtemps – elle semble sensible au mien, que j’essaie de ne faire ni dans le trop lourd ni dans le burlesque.
Sans compter qu’elle s’est plusieurs fois amusé de certaines de mes façons de travailler – qui doivent être sans doute singulières – ou de ma résistance passive de rebelle devant des procédures que je trouve ridicules.Elle, comme moi, est sommée de les appliquer, et si son poste et son statut ne lui permettent aucune critique (vu ce qui lui est déjà arrivée en plus, elle est très prudente), m’entendre me moquer de certaines mesquineries ou absurdités administratives la mettent en joie : je l’ai déjà entendu rire de bon cœur au téléphone de mes réflexions décalées.C’est vrai qu’elle est bon public avec moi (ce qui pourrait me faire dire que j’ai une longueur d’avance par rapport à d’autres avec elle - mais je ne fais pas la course et il n’y a personne à ma connaissance en concurrence avec moi – ou encore croire le vieux dicton qui dit "qu’une femme qui rit est à moitié dans ton lit"), mais aussi parce que ça doit lui faire plaisir de me voir oser ce qu’elle ne pourra jamais oser : pour elle, le moindre signe de rébellion équivaudrait à la porte, et elle a besoin de ce job ; dans le contexte économique actuel, retrouver du travail pour une secrétaire, même avec son charisme et son expérience professionnelle, n’est pas gagné.
Aussi, de façon mesurée, je me permets quand je la vois, de me mettre à faire le pitre à un moment donné.Elle rit souvent sincèrement et je suis sûr m’est un peu reconnaissante de mettre un peu de joie dans son cœur pour la journée, surtout les jours (et je le vois sur son front) où elle doit en baver un peu.Il faut dire qu’en plus, au Siège, les gens ne sont pas des boute-en-train. C’est plutôt le style sérieux, voire bâton dans le cul (au sens figuré, évidemment, parce qu’on peut penser dans le cas contraire, s’ils avaient leur orgasme quotidien, certains n’afficheraient pas cette tête-là.)
Ce n’est pas avec elle que j’oserais ce genre de commentaires bien évidemment. Je ne donne pas dans le registre vulgaire ou potache, c’est une jeune femme bien élevée. Mais je me prends à tester certaines allusions, pour voir jusqu’où elle est capable de rire de mes blagues.
Aussi, l’autre jour, en parlant dans son bureau (la porte était toujours ouverte mais la daronne, la porte à côté, n’était pas dans le bâtiment, je le savais), je commence sur un ton sérieux à lui dire que je ne prétendais jouir d’aucun privilège avec la Boss. Et que je ne me pouvais me prévaloir d’aucun passe-droit.
« Vous comprenez », lui dis-je, « moi je ne demande rien de plus que les autres… et je ne suis pas prêt à certaines choses pour en obtenir plus. »
Cette réflexion la fit sourire (tout le monde a immédiatement à l’esprit lequel de mes collègues, bien en cour et arriviste congénital, a l’oreille de la daronne, à tel point que leur relation a semblé à certains plus qu’ambiguë ; elle lui a d’ailleurs taillé un poste sur mesure, au titre ronflant, mais auquel personne ne sait ce qu’il fait même s’il se dit toujours débordé.)Evidemment je ne serais pas allé jusqu’à le nommer, mais il n’en est pas besoin.
Et comme je voyais qu’elle appréciait ma fine allusion, je m’enhardis jusqu’à oser un mot égrillard :
« Moi, je ne suis pas prêt à aller sous son bureau… » lui soufflai-je, un ton plus bas et sur celui de la confidence, tout en indiquant d’un mouvement de tête le bureau à côté.« - Ooooh, Docteur ! » rit-elle, en réaction à ma plaisanterie osée.

Elle n’en parut cependant pas offusquée pour autant, et souriait largement, me démontrant là bien que seul le cadre dans lequel nous nous trouvions expliquait son attitude un tant soit peu rigide (en tout cas, pour ce qui concerne son maintien corporel.)
Encouragé par son sourire franc et par mon euphorie que je trouvais communicative, je poursuivis, m’étonnant moi-même :
« - Il y en a certaines pour qui je ne dirais pas non… mais elle non. »
Elle continua à rire, sans que je sache si elle savait que je la mettais dans le lot. Peut-être pensa-t-elle que je ne faisais allusion qu’à des femmes de pouvoir. Néanmoins et objectivement, si elle cherchait, elle aurait vu que dans l’équipe proche de la direction, entre une quasi-anorexique et une souris à lunettes un peu racornie, il n’y avait pas une femme capable de mettre un mec en appétit, même s’il avait des goûts bizarres.
Et alors, je ne sais ce qui me prit. Osant d’une audace que je ne me suis jamais connue, le sang aux tempes, je fis le tour de son bureau. Elle pivota légèrement sur sa chaise, un léger sourire toujours aux lèvres, surprise, mais s’attendant probablement à l’une de mes facéties.Je ne vis pas l’expression sur son visage quand je plongeai littéralement, à genoux, et disparut sous le plateau. Je m’attendais à une réaction violente, un mouvement de répulsion : j’aurais pensé à ce moment qu’elle allait reculer brutalement sa chaise à roulettes et me chasser vigoureusement, peut-être en riant, mais de façon énergique.
En fait, elle fut secouée de rire, et entre l’étonnement et l’hilarité, elle restait comme paralysée, assise sur sa chaise, croyant toujours, sans doute, à une bonne blague.
Mais je ne perdis pas mon temps, et ayant posé mes mains sur ses genoux ronds et gainés de nylon gris perle, j’avais commencé à les caresser, progressant lentement à l’intérieur des cuisses. Je remontais doucement, et ce faisant, sa jupe de lainage écrue. Elle prit rapidement conscience que ça allait plus loin qu’une simple pitrerie de ma part, ou du moins que je profitais de la situation pour joindre l’utile à l’agréable.J’attendais toujours qu’elle me repousse, qu’elle change d’attitude, retrouve son sérieux, voire même s’offusque de mon action, mais elle n’en fit rien.Elle continuait à glousser tout en protestant mollement, d’abord à voix haute, puis baissant la voix :
« - Arrêtez voyons. Si quelqu’un entrait… Oh, quand même… »
Je m’enhardissais davantage, encouragé par cet acquiescement tacite, et des deux mains je remontai sa jupe tout en haut de ses cuisses.Je fus bien récompensé par mon audace car je découvris que ce que je supposais être des collants s’avérèrent être des bas auto-fixants, qui marquaient délicieusement le haut de ses cuisses potelées.
Elle ne songeait même pas à resserrer ses cuisses et j’avais désormais une vue imprenable sur sa petite culotte nacrée, qui moulait à ravir une vulve bien rebondie et combien émouvante !
Sa porte étant toujours ouverte, la situation était des plus dangereuses, pour elle comme pour moi. Si quelqu’un nous surprenait, sans aucun doute que c’était la porte assurée pour tous les deux, un employeur ne pouvant tolérer de tels ébats dans ses bureaux, en plein pendant les heures de travail, et sans même que les protagonistes essaient de se cacher.
Je savais également qu’elle n’allait pas me demander de fermer la porte ni se lever et le faire elle-même ; d’autant qu’elle ne devait pas avoir le droit de fermer cette porte, aucun droit à l’intimité, elle devait partager toutes les informations avec sa chef, la daronne. Aussi, constater que la porte d’Oriane était soudain fermée aurait été trop suspect aux yeux des autres, de tous ceux qui étaient susceptibles de venir la voir comme de ceux qui passaient immanquablement dans ce couloir, très fréquenté.
Encouragé par ses faibles protestations amusées, complètement disproportionnées par rapport à ce que j’étais en train de lui faire, je continuai à remonter sa jupe, et entreprit de la passer par-dessus son bassin.Non seulement elle ne fit rien pour m’en empêcher, mais elle eut ce mouvement ahurissant de lever légèrement son séant de sa chaise pour me faciliter la tâche.Plus de doute, la voie était libre !Mes mains se frayant alors facilement un passage jusque l’élastique de sa culotte, je m’en saisis et la descendit d’un seul mouvement continu, jusqu’à ses fines et jolies chevilles. Elle ne fit que chuchoter, l’air gêné, et surtout inquiète de ce que quelqu’un pouvait entrer dans son bureau à n’importe quel moment :
« - Oh non, vous exagérez… Arrêtez, allez… »
Mais mes mains remontèrent sur ses cuisses galbées, atteignant la chair nue au-dessus des bas ; je me mis à humer avec délectation le parfum épicé qui se dégageait de son entre-cuisses, émoustillé et ravi de ce que mes yeux découvraient : une chatte dépourvue de tout poil et parfaitement lisse (« ah la petite garce », pensais-je), dont la fente commençait à s’entrebâiller avec grâce. Mes mains furent sur ses fesses et je remontai mon visage en direction de la source des plaisirs, je lapai légèrement la peau satinée et délicate de l’intérieur de ses cuisses d’une douceur inégalée.
Remontant la rue de la soie – qui devint bientôt pour moi la rue de la soif – ma langue en pointe effleura d’abord l’ourlet tendre des petites lèvres, où je vis enfin perler des gouttes de sève brillantes en bordure des fines chairs corail.
Elle ne protestait plus, mais tout en caressant mes cheveux, soupirait doucement.

Soudain je sentis ses mains lâcher brutalement mes cheveux en même temps qu’une voix sonore et masculine se fit entendre derrière le bureau :
« - Je vous ai donné mon planning, Oriane ?— Oui, oui, je l’ai » répondit Oriane d’une voix mal assurée.
Dans le même temps qu’elle répondait à l’interlocuteur qui était rentré dans son bureau, elle avança brutalement son fauteuil, faisant disparaître ses jambes sous le plateau, m’écrasant par ce mouvement contre la paroi qui, heureusement, masquait la vue de qui se passait au visiteur.
J’eus quelques secondes le souffle coupé et dus interrompre ce que j’avais entrepris, pétrifié dans une posture plutôt inconfortable, ma colonne vertébrale légèrement contorsionnée. Heureusement qu’elle avait malgré tout un assez grand bureau et non pas un mobilier standard !
Je ne pouvais qu’attendre que le visiteur reparte, mais celui-ci se mit à l’entreprendre d’un autre sujet, et l’échange qui allait, je pensais, ne durer que quelques secondes, commença à s’éterniser.
Alors que croyez-vous que je fis ? Quitte à être coincé là, tout recroquevillé entre ses cuisses aux effluves excitant mes narines et mes sens, tant bien que mal je me remis à caresser ses cuisses, repris ses fesses entre mes mains, et ma langue se mit à explorer l’orée de sa chatte.Sa voix parut d’abord naturelle, bien que son élocution était plus brève que d’habitude ; elle s’exprimait avec de courtes phrases, comme si elle espérait ainsi mettre fin à la conversation et que son interlocuteur lâche prise. Mais il n’avait pas l’air décidé à écourter l’échange.
D’autant que je l’avais reconnu immédiatement à sa voix, cet abruti : c’était mon collègue dont tout le monde s’accordait pour reconnaître que c’était un arriviste éhonté et un lèche-cul.Et du coup, le lèche-cul, au sens propre, c’était moi à cet instant. S’il savait !
Sauf que moi je ne léchais pas le cul de cette horrible mégère de daronne, mais la jolie chatte de son assistante, appétissante et avenante, dont le physique et la personnalité me donnaient envie de lui faire tellement de choses : en somme c’était parfaitement désintéressé et purement par plaisir !
Alors, prenant mon mal en patience et souriant intérieurement de la situation, c’est avec délectation que j’explorai du bout de ma langue et avec toutes mes papilles sa fleur de corail aux pétales délicatement ourlés, perlés de sa sève odorante, ainsi que le petit pistil que je sentais tout gonflé.Je lapai, je prenais entre mes lèvres les bords de la chatte douce comme le satin.
Et je sentais son souffle de plus en plus court à travers son débit de parole, ses jambes étaient comme tétanisées. Cette situation, je le reconnais, devait être un peu terrorisante pour elle.Cependant, je n’aurais pas dû personnellement faire le fier, car si ce crétin prétentieux de collègue m’avait découvert, je me serais senti un peu ridicule et tout à fait humilié d’être pris en flag dans une posture aussi indécente, sans compter que ça aurait fait le tour de l’entreprise, faisant des gorges chaudes, et je n’ose même imaginer les regards sur moi après ça !
Mais il était loin de se douter que j’étais là, sous le bureau de cette assistance si sérieuse dont elle est bien la dernière qu’on imagine en train de se faire lécher la chatte dans son bureau la porte ouverte et en pleine journée, et encore moins par moi, son collègue, certes un peu facétieux, mais peut-être pas lubrique !
Ma langue montait, descendait, s’insinuait dans sa petite grotte, ses cuisses peu à peu se détendaient (au fur et à mesure, peut-être, qu’elle s’apercevait que nous n’allions pas être découverts.)Ma bouche ventousait son coquillage délicieux, et je l’entendais écouter plus que parler, tant elle devait avoir du mal à articuler ; son débit était volontairement bref, elle acquiesçait, s’exprimait par périphrase. J’imaginais son sourire habituel un peu crispé dans une grimace. Si ça continuait il allait lui demander si elle n’était pas souffrante, si elle n’avait pas mal quelque part (mais cet imbécile était tellement peu soucieux des autres et tellement indifférent que, même si il remarquait quelque chose d’inhabituel, il n’allait certainement pas s’enquérir du bien-être de son interlocutrice.)
Sa conque coulait abondamment, mes mains caressaient doucement ses fesses dont la peau était incroyablement douce. Je la sentais respirer avec une amplitude anormale.
Je finissais par apprécier cette situation et je repensais à ce film des années 70 où une femme trompe son mari tout en lui parlant au téléphone, et se moquant du cocu avec la complicité de l’amant sur lequel elle est empalée en faisant des va-et-vient de plus en plus rapprochés, lui répond perversement avec cette phrase ambiguë :
« - Oui, oui, je tiens le bon rythme. »*
Finalement, après un temps qui me parut interminable, le collègue s’en alla. Je sentis que les muscles d’Oriane se détendaient, et elle se laissa aller.Tandis que ma langue effectuait des va-et-vient dans sa petite grotte, mes lèvres collées sur son bourgeon, elle hoqueta en silence (du moins en masquant leurs réponses vocales) quelques orgasmes bien sentis, et je reçus même, à mon étonnement et pour mon ravissement (en guise de récompense) quelques petits jets de cyprine qui attestèrent que c’était loin d’être feint. Quand j’émergeais avec difficulté des abysses de son bureau je vis qu’elle s’était mordue la main presque à sang pour ne pas crier.
Ses joues étaient rouges framboise, ses yeux brillaient avec un éclat que je ne lui avais jamais vu, motif supplémentaire pour moi de satisfaction personnelle.
Elle m’aida - pour que je m’extraie au plus vite du réduit d’où j’émergeai, se reculotta rapidement, rabattit sa jupe prestement (toujours la crainte qu’un autre salarié nous surprenne.)
Elle me dit dans un souffle avec un doigt grondeur (bien que peu convainquant) :
« - Ne me faites plus jamais ça, Docteur. »— Vraiment ? » lui répondis-je presque à voix basse et sur un ton moqueur, « vous n’avez pas aimé ? »
C’était incroyable qu’elle ait pu dans l’instant devenir encore plus rouge qu’elle était déjà, ses yeux brillaient (que dis-je : étincelaient), ses beaux iris bruns se détachant d’un blanc éclatant, tout ronds, et avec un air un peu fou, un peu halluciné :
« Jamais je ne vous aurais cru capable…— De vous… de vous faire… — CHUT ! » intima-t-elle à voix basse, un doigt sur ses lèvres.
Je fis de même, la singeant, me moquant d’elle, puis mettant ma main en porte-voix, comme pour lui faire une confidence :
« Il ne faut jamais me sous-estimer. »
Je m’approchai à reculons de sa porte, tentant de faire une sortie discrète.Elle me fixait, me regardait qui partais presque à pas de loups, comiquement, un peu comme le chat Sylvestre.Elle ne put s’empêcher de sourire, comme souvent à mes pitreries et mes mots :
« - Oh vous alors… ! »
Et je m’en fus le plus normalement possible.

A SUIVRE;

* C’est le film de Michel Deville, Le dossier 51, si j’ai bonne mémoire.
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