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Subway of life

Chapitre 3

Erotique
Quelques mois plus tard eut lieu la réunion plénière annuelle de notre société. Un peu plus argentée pour une fois, la direction avait réservé pour le déjeuner un restaurant situé à quelques kilomètres.
Afin d’éviter de mobiliser toutes les voitures, dans ces cas-là la direction nous incite à la fin de la dernière réunion de faire du covoiturage, d’autant que le parking du restaurant n’est pas immense.
Certains proposèrent de prendre des personnes dans leur véhicule.Je m’étais attardé à discuter avec quelques collègues alors que le gros des participants s’était déjà égayé. Puis je filais aux toilettes. Or, comme d’habitude dans ces cas-là, quand on en ressort tout le monde est parti.
Je me retrouvai donc tout seul dans le hall de l’entreprise.Je m’apprêtais à partir quand j’aperçus Oriane qui s’empressait de descendre le grand escalier. Elle avait dû repasser à son bureau.Nous nous retrouvâmes tous les deux, face à face, un peu gênés de cette intimité inattendue et si rare. D’autant que la fois précédente avait été un peu « particulière ».
Néanmoins, je ne perdis pas cette occasion de prolonger un peu le plaisir de sa présence à mon côté et lui demandai si elle partait avec quelqu’un.Evidemment elle n’avait rien prévu, je lui proposai donc de prendre ma voiture et qu’elle m’accompagne.Elle accepta avec enthousiasme. Sacrée Oriane, elle ne changeait pas, et la joie – manifestement – que je lui communiquais était toujours présente.
Nous échangeâmes quelques banalités tandis que je sortais du parking, puis le silence s’installa. Je la regardais de temps à autres, et elle répondait à ce regard par un sourire franc et confiant.J’avais envie de lui dire combien je la trouvais belle, attirante, sexy, désirable, élégante, et combien sa présence me réchauffait le cœur, mais la pudeur, la réserve et le contexte professionnel me bloquaient. Je n’avais pas davantage envie de la faire rire, et je n’étais pas inspiré. Sa beauté, sa sensualité, et le souvenir de ses cuisses ouvertes sous son bureau et de sa chatte si douce marquaient encore mon esprit (on l’aurait été à moins.)
Je décidai alors simplement de jouer la sincérité, sans but, sans arrière-pensée :
« - Vous savez que je vous apprécie, Oriane ?— Oui Docteur » me répondit-elle avec un sourire charmant
« - Et quand je dis « je vous apprécie » c’est autant au sens propre qu’au sens figuré… » dis-je avec malice.« - Oh Docteur ! Ça n’était pas la peine de le rajouter… ! …je le savais — Désolé pour ma grivoiserie » ajoutai-je, « vous savez que je vous respecte, parce que j’estime que vous méritez le respect, et beaucoup plus de respect de la part de tout le monde.— Merci » me dit-elle en inclinant la tête de façon tout à fait adorable, et en prenant l’air charmé. Mon sourire lui répondit, quasi-enjôleur.
Elle me regarda durant une ou deux secondes, et rajouta :
« - N’en profitez pas » sur un ton d’avertissement, mais un peu amusé, « n’essayez pas de me séduire— Loin de moi toute intention de cette sorte » lui dis-je, faussement offusqué, « je ne me permettrai rien avec vous… En tout cas rien qui ne vous ferait pas plaisir…— Roooh…— Bon j’arrête, promis. »
Un bref silence passa puis elle dit calmement :
« - Non, n’arrêtez pas— Mes plaisanteries ? » lui demandai-je, « Je sais que vous êtes bon public avec moi, ceci expliquant cela, alors pardonnez-moi. »
Elle dit sur un ton un peu déçu : « - Je ne parlais pas que de vos plaisanteries. Avec vous je suis sous le charme.— Je suis touché par ce que vous me dites. Mais ne croyez pas que j’essaie de vous séduire. Un vieux schnock comme moi serait bien prétentieux de vouloir séduire une jolie jeune femme telle que vous… quel que soit ce qui s’est passé entre nous… enfin, je devrais dire : sous votre bureau ! »
Elle me dit l’air rieur :
« - Oh mais vous n’êtes pas un vieux schnock, voyons !— Je suis réaliste. Je suis conscient de l’âge que j’ai, de comment je suis (je veux dire : je ne suis plus un bouquet de printemps) et même si je sais qu’il y a des jeunes femmes qui préfèrent les types de 15 ou 20 ans de plus qu’elles plutôt que ceux de leur âge, une belle fille comme vous mérite mieux qu’un mec comme moi qui commence à être décrépi. »
Elle allait encore s’indigner mais je la coupai :
« - A moins que ça soit bien-sûr juste pour un petit peu de bon temps… mais c’est vous qui voyez… »
Pour la première fois, je la vis rougir jusqu’aux oreilles, me révélant l’envie qui l’habitait.
« - Voulez-vous qu’on prenne le chemin des écoliers et qu’on arrive un peu en retard à la réunion ? C’est une suggestion, bien entendu, c’est vous qui décidez.— Allez-y.— Soyez plus précise, Mademoiselle. Je cherche un coin tranquille ?— Oui, ne m’obligez pas à le dire… Faites avant que je change d’avis. »
Je fis donc prendre brusquement un changement de direction à ma voiture, et après deux ou trois petites routes prises au hasard, je découvris un terrain goudronné qui semblait bien être un parking abandonné.Je stoppai et lui intimai, sans perdre de temps de descendre et de s’installer en même temps que moi à l’arrière de ma berline.
Une fois assise à côté de moi sur la banquette arrière elle sembla un peu gênée et toute gauche. Je posai ma main sur son genou et commençai, en remontant, à caresser sa cuisse, et tandis que je m’apprêtai à renouveler l’hommage que je lui avais fait la première fois sous son bureau, à ma grande surprise elle passa ses bras autour de mon cou et me donna sa bouche.
Je ne me fis évidemment pas prier et me régalant de sa langue qu’elle avait rentrée dans ma bouche, mes bras entourèrent sa taille et mes mains apprécièrent en les caressant sa jolie taille et son dos potelé. Je caressai en redescendant ses seins, les effleurant à peine à travers le tissu, ainsi que ses bras dodus que ses manches courtes laissés nus pour mon plus grand plaisir.
Ma bouche glissa sur son cou parfumé, monta vers son oreille où je lui soufflai :
« - Puis-je rendre à nouveau hommage à votre fruit défendu, jolie demoiselle ? »
Elle rit, très rouge, et me susurra :
« - Oui, évidemment !— Serait-on en droit de dire que vous avez aimé ?— Arrêtez d’essayer de me faire parler et de dire des choses gênantes, ça me trouble… Faites donc, grand bavard, incorrigible clown, et arrêtez de me faire languir. Donnez-moi du plaisir ! Oui, j’en ai envie. — Vos désirs sont des ordres, jolie princesse. »
Et là-dessus mes mains glissèrent jusqu’à son popotin, en apprécièrent les formes émouvantes, puis remontèrent sa jupe (elle souleva son bassin pour faciliter la manœuvre) jusqu’à ses reins ; je lui descendis sa culotte et elle ouvrit les cuisses largement, en soupirant. C’était l’été, il faisait chaud, et elle n’avait ni bas ni collants je précise : la voie était donc libre.
Je retrouvai avec un sincère ravissement sa jolie chatte déjà entrouverte et déjà toute humide. Je ne fis aucune réflexion, ne voulant pas la mettre dans l’embarras (et j’étais déjà trop bavard, elle me l’avait dit !) : ma bouche trouva de toute façon une meilleure occupation que la parole :elle fondit sur ce coquillage rosé et irrésistible et lui prouva, si le fallait encore, que ma langue était douée pour autre chose que pour les bavardages.
En tout cas elle aimait ce langage : sa chatte réagissait au quart de tour, me répondant en palpitant, ainsi que tout son corps qui n’était que contorsions, contractions, relâchements, spasmes ; sa peau n’était que frissons, frémissements, tremblements, sa voix qui, sans articuler de mots, me signifiait par force onomatopées, soupirs, gémissements, que la bougresse appréciait cette caresse buccale que je lui offrais sans compter.
Rapidement, je sentis ses orgasmes arriver et se succéder, ses mains étaient crispées sur mes épaules, elle se mit à crier de plus en plus fort et sans relâche ; je recueillais le suc qu’elle m’expulsait à chaque paroxysme de plaisir. Les ondes se succédèrent à un rythme accéléré, je me délectais tant de sa jolie chatte parfumée que de son plaisir qu’elle m’offrait sans retenue.
En gentleman, j’aurais pu me contenter de ça : donner du plaisir à une si jolie petite biche, après l’avoir séduite, c’était déjà pas si mal. Mais j’avoue que je serais resté sur ma faim si nous avions arrêté là.
Je n’eus pas à pousser plus loin mon avantage car se ressaisissant, elle reprit l’initiative.Langoureusement et d’une voix susurrée elle me glissa en se redressant :
« - J’ai envie de vous. »
Je ne me fis donc pas prier, je me rassis et baissai pantalon et caleçon.Ma queue avait un peu ramolli à cause de l’exercice de contorsion un peu inconfortable auquel je venais de me livrer (ma voiture n’est pas toute petite mais se livrer à ce genre de jeu sur une banquette arrière n’est jamais aussi aisé que sur un grand lit…) ; la demoiselle ne se démonta pas et pris mon membre dans sa jolie main : ce contact lui redonna aussitôt de la vigueur.
J’espérais un peu que ma jolie brune allait me rendre la pareille bien que jamais ne n’aurais osé lui demander. Je n’aurais pas voulu lui imposer la même contorsion que j’avais imposé à mon dos, et puis, il est vrai, le temps pressait et nous risquions d’arriver en retard au déjeuner (et d’y arriver ensemble, ce qui aurait pu faire jaser.)
Aussi, en quelques va-et-vient bien sentis et bien dosés, mon vit fut de nouveau bien raide. Il est vrai que ma main avait un peu erré de ses fesses à sa douce et délicate chatte encore bien humide, et ce genre de contact a le don de me mettre particulièrement en forme. Elle le lâcha quelques secondes, mais ce fut seulement pour m’enjamber ; la belle le reprit et le guida vers sa chatte : avec grâce – comme tout ce qu’elle faisait – elle s’empala sur mon membre, à cheval sur moi, et commença à monter et descendre lentement.
Passant mes mains sous son haut, je dégrafai son soutien-gorge, et me promenant de ses fesses à ses seins globuleux, je dois dire que j’étais aux anges.Je lui mordillai le cou, les oreilles, la léchant littéralement ; ma bouche était pleine de son parfum capiteux, de son odeur de femme, de son maquillage léger.
Je me mis à lui manger les lèvres, lui sucer la langue : me taper une aussi jolie fille, à mon âge, c’était vraiment mon jour de chance !
Mes mains s’étaient refermées sur ses seins tout ronds que j’emprisonnais et comprimais, tenant bien ses mamelons entre pouce et index, tandis qu’elle faisait de la balançoire sur moi, bien ancrée sur ma pine dressée. Je l’accompagnais dans ses mouvements (comme celui d’un ascenseur qui monte du rez-de-chaussée au premier puis redescend, puis remonte etc…), tandis qu’elle gémissait yeux mi-clos, m’inondant les cuisses.
Je lui aurais bien fait l’amour pendant des heures encore, mais le temps nous était compté ; était-ce le stress lié à la crainte d’arriver en retard, était-ce l’effet bœuf que me faisait cette jolie petite caille : ne pouvant ralentir le rythme qu’elle imposait à cette sublime cavalcade, j’eus du mal à me retenir bien longtemps ; honteusement et un peu frustré je partis dans sa chatte en essayant de contenir mes rugissements.
Nous nous rhabillâmes en hâte, je repris le chemin du restaurant et nous arrivâmes heureusement avant que les gens se soient déjà attablés (l’organisation attendait encore des retardataires.)

J’étais persuadé que cette escapade serait une parenthèse.J’en suis moi-même surpris, mais bien que les occasions soient rares, à ma grande satisfaction, nous sommes restés amants.
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