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Succube

Chapitre 3

Hétéro
3 – Dans la cour des grands.
Retrouvons notre super héroïne. Elle se trouvait en pleine action non pas à combattre des voleurs mais plutôt dans le bureau de son patron à faire des heures sup sur ses genoux. Ne portant que sa minijupe et sans culotte, elle s’appliquait à bien faire monter et descendre sa fente douce et accueillante sur la tige dressée de son boss en criant les traditionnels « Oh monsieur le directeur, plus vite, plus fort, … ». Lui pendant ce temps là avait la tête fichée entre ses seins et lui léchait les tétons avec gourmandise.
Habituellement elle ne couche pas tous les soirs avec lui mais là c’était urgent. Ça faisait deux semaines que Maria était absente de leurs rendez-vous et elle s’inquiétait car personne ne la voyait bosser non plus parmi ses collègues. Juste avant de disparaître, elle lui avait parlé de la disparition de plusieurs de ses copines qui participaient à un programme de testes médicaux. Maria avait obtenu de l’une d’elle, avant qu’elle ne disparaisse, l’adresse du laboratoire où ce programme avait lieu, un bâtiment sécurisé à l’écart de la ville. C’est pour ça que Gaëlle s’envoyait son patron tous les soirs cette semaine. Prétextant une furieuse envie nymphomane, elle ne faisait qu’accumuler un maximum de ressource en vue de l’expédition du soir.
Après avoir fait jouir son patron, elle est partie chez elle se préparer. C’est alors qu’elle allait entrer dans son immeuble qu’un homme l’aborda. Le fameux chauffeur de taxi dont elle avait plusieurs fois usé.
— Bonsoir— Ah tiens, bonsoir. Que fais-tu là ?— Bah, hier tu n’as pas payé ta course. Comme je sais où tu habites je me suis dit que je pourrais passer pour le règlement.
Elle était pressée et d’ordinaire elle lui aurait fixé un autre rendez-vous mais pas là. Il lui fallait maximiser ses chances et du carburant supplémentaire n’était pas de trop. Une fois chez elle, elle commença à préparer un café pour son « ami » qui se glissa dans son dos, passa ses mains dans son chemisier pour lui malaxer sa poitrine qui faisait tourne bien des têtes.
— Soit patient, le café est bientôt prés.— Ce n’est pas un café que je veux prendre.
Visiblement il était chaud bouillant et près à l’attaque. Elle sentait son érection dans le bas de son dos, au travers des vêtements. Tant mieux, autant expédier ça très vite. Elle l’entraîna sur le canapé et une fois nus, elle fit asseoir son invité et s’empala directement sur son engin pendant que lui, dégustait ses mamelons avec gourmandise. Afin d’augmenter son excitation et donc ce qu’elle pouvait en tirer, elle ne cessait de pousser des petits « Oh oui encore » étouffés tout en caressant le crâne chauve et lisse de son partenaire. Elle aurait bien fait traîner les choses pour en avoir plus mais elle voulait partir. Elle a donc accéléré le rythme de son déhanché pour le faire jouir et c’est après le café qu’elle le fit sortir prétextant un gros coup de barre (de fatigue je voulais dire. Le coup de barre elle venait de l’avoir entre ses cuisses).
Bon, il était temps de partir. Elle enfila sa combinaison et y rajouta son nouvel accessoire qu’elle était parvenue à maîtriser : Un fouet. Comme ça, ça lui faisait une arme et en plus ça collait au personnage. Elle mémorisa l’adresse du site où elle voulait aller et sorti de chez elle par les toits.
Une fois arrivé sur place, un labo sécurisé dans une zone industrielle à l’écart de la ville, elle parvint à y entrer par une des gaines de ventilation. D’après les sons qu’elle percevait, le département recherche et projet sensible était au sous sol. Elle s’y est rendue et, en trouvant le vestiaire des employés, elle a pu mettre une tenue un peu plus passe partout avec une blouse et un masque médical. Ainsi personne ne la reconnaîtrait. Après de longues minutes de recherche, elle fini par comprendre quel produit ils développaient en secret. Officiellement c’était un nouvel aphrodisiaque de synthèse mais en réalité, c’était une drogue permettant d’annihiler toute volonté d’une personne, permettant ensuite de faire ce qu‘on en voulait.
Grace à sa vitesse de lecture, elle avait pu consulter des rapports disant que ce produit, administré régulièrement, avait des effets secondaires qu’ils voulaient supprimer : dans le meilleur des cas, une trop forte dose pouvait provoquer un arrêt du cœur sous plusieurs mois et que c’était pour ça qu’ils avaient recruté du monde parmi les pauvres, nécessiteux ou prostituées pour faire leur tests. Personne n’allait les réclamer en cas de décès.
Sur le terminal informatique d’un des employés qu’elle avait préalablement assommé, elle pu consulter les vidéos des premiers essais. Les personnes traitées étaient devenus de vrais zombis et une fois les observations faites sur leur état, les sachant condamnées à cause d’une trop forte dose, certain membre de l’équipe n’hésitait pas à profiter des femmes présentes en abusant d’elle à volonté.
Il était évident pour elle que s’ils avaient conservé ces enregistrements c’était pour prouver l’efficacité du pouvoir d’assujettissement de cette substance. Ce qui voulait dire également, qu’avec de tels tests, ils destinaient ce produit à des usages peu recommandables. Imaginez, soumettre un groupe de fille dans un bordel avec ce produit. Elles deviendraient alors de parfaites esclaves sexuelles dociles, souriantes et ne nécessitant que le minimum vital pour vivre. Balancer ce produit dans l’industrie du sexe ou les réseaux de traite des blanches et on court à la catastrophe. Il fallait y mettre un terme.
Au détour d’un couloir, elle entendit une femme se débattre. C’était Maria. Les deux laborantins qui l’accompagnaient se préparaient à lui faire une injection. Il ne fallait pas que ça se produise. Elle les assomma, la fit s’habiller avec les fringues d’un des deux et la mena vers une sortie. Visiblement elle n’avait pas fait le rapprochement avec Succube et pensait avoir à faire à une bonne âme charitable. Succube décida alors d’en jouer pour mieux préserver son anonymat
— Merci, madame mais mes amies sont encore en bas. Dit-elle en n’ayant pas reconnue la Succube sur le moment.— Ne vous en faites pas, j’y retourne. Vous, vous partez et vous avertissez la police. Tenez, prenez avec vous cette mallette. Dedans il y a plusieurs échantillons de leur produit ainsi que des papiers que j’ai trouvé expliquant ce qu’il se passe. Vous leur racontez tout et vous leur demandez de faire une descente.— OK j’y vais. Encore merci.
Une fois Maria à l’abri, elle reparti pour tenter de libérer les cobayes ainsi que détruire un maximum d’échantillon pour que personne ne reprenne le flambeau de ces expérimentations. C’est alors qu’elle se déplaçait par la ventilation qu’elle surprit une conversation entre deux vigiles qui mentionnait l’évasion d’un cobaye et de l’intrusion d’une personne dans les murs.
Merde elle s’était faite repéré. Bon bah plus besoin de prendre de gants. Une fois revenue au sous sol, elle a tentée de localiser les cobayes mais elle est tombée sur les vigiles. Sentant son carburant diminuer à force de donner des coups, elle a essayé de vite s’en débarrasser mais l’un d’eux est parvenu à la neutraliser avec un Taser. C’est en essayant de se relever qu’elle a senti quelqu’un lui faire une injection. Un sédatif surement car elle s’était senti partir. Grace à ses capacités de récupération, elle est parvenue à très vite reprendre conscience et sa lucidité mais malheureusement, combattre les effets du tranquillisant l’avait complètement vidé, ça lui avait tout pompé. C’est comme ça qu’elle s’est retrouvée allongée sur le carrelage d’une pièce isolée entourée de trois types en blouse blanche (le chef du labo et ses deux adjoints) et d’un autre qui visiblement était le chef de la sécurité.
— Alors ça y est ? tu te réveilles ?— Chui où là ?— Toujours dans nos locaux. Bon, racontes-nous tout. Tu bosses pour lequel de nos concurrents ?— Aucuns. J’étais juste venu aider une de mes amies.— Je n’en crois rien. Lui répondit-il avant de lui flanquer une bonne baffe.
Gaëlle était coincée et complètement à sec au niveau carburant. Elle avait vu trop grand visiblement et commençait à le regretter. Celui qui lui adressa la parole, a sorti de sa poche un étui contenant une seringue.
— Même si tu ne nous dit pas ce qu’on veut savoir ce n’est pas grave. D’après ce qu’on a constaté tu sembles plus forte et plus résistante que n’importe lequel de nos cobayes. Bref tu es le sujet idéal pour tester notre toute dernière formule.— Non pas ça.— Oh que si ma jolie. Une fois devenue bien docile, je pense qu’on pourra bien s’amuser avec toi. N’est ce pas messieurs ?
Le groupe se mit à rigoler devant la détresse de Gaëlle. Puis l’un d’eux fit une proposition pour pimenter leur soirée.
— Chef, c’est possible de lui faire l’injection après ?— Pourquoi ça ?— Regardez-la. Si elle était si dangereuse que ça, elle nous aurait déjà mis la misère. J’aimerais bien me la faire en l’entendant crier, en sentant sa détresse à chaque coup de reins. Se taper nos cobayes c’est marrant cinq minutes mais elles sont toutes amorphes. On dirait des poupées gonflables. Avec elle au moins, comme elle va se débattre, y aura un peu de sport.— Mmmh ! Ce n’est pas une si mauvaise idée après tout. C’est vrai que c’est plus amusant si elle essaye de se défendre. Pendant qu’un ou deux d’entre nous seront à l’œuvre, les autres pourront la tenir en attendant leur tour. Qu’en dites-vous messieurs ?
Tous les hommes présents étaient d’accord pour abuser d’elle. Gaëlle, dont le visage arborait un sentiment de terreur face à ce qui l’attendait, jubilait de l’intérieur. Cette bande d’abruti voulait la violer. Ils ne s’imaginaient pas que ça allait lui permettre de recharger ses batteries et de, une fois que ce serait fait, lui permettre de les défoncer joyeusement.
— Vous n’allez pas faire ça ? V….Vous n’avez pas le droit.— On a tous les droits étant donné que t’es entré ici sans autorisation. Messieurs, je crois qu’il est l’heure de s’amuser.
C’est là que les quatre hommes se sont jetés sur elle. Ils lui ont arraché ses vêtements et l’on porté sur le table. Pendant que le chef avait humidifié ses doigts de salive pour commencer à travailler la fente de la demoiselle avant de la prendre sauvagement, ses assistants s’occupaient de sa poitrine refaite, un sein chacun.
Sachant pertinemment que le carburant qu’elle récupérait était proportionnelle à l’excitation de son où ses partenaires, elle commença à les supplier d’arrêter. Toutefois ce qu’elle pensait était tout autre. Ce qu’elle avait en tête c’était plutôt : « Oui allez y, baisez moi par tous les trous. Faites tout ce qu’il faut. Je me ferais un plaisir de vous arracher les burnes une fois que j’aurais eu ce dont j’ai besoin ». A force de faussement les supplier, le vigile en a eu marre. Il retira son pantalon pour forcer la bouche de Gaëlle avec sa queue. « Arrête de gueuler salope. Ça ne sert à rien. Si tu veux conserver toutes tes dents, t’as intérêt à ce que je ne les sente pas. ». Ce furent ses dernières paroles avant de lui prendre sa bouche.
Durant près d’une heure, les quatre hommes l’ont violé alors qu’elle les suppliait d’arrêter en faisant semblant de pleurer pour augmenter leur excitation. Chacun d’eux avait profité au moins une fois de chacun de ses orifices. Ils l’ont prise dans plusieurs positions alors qu’elle tentait à chaque fois de se débattre. Ce qui donnait un sourire sadique sur le visage des ces messieurs quand ils l’immobilisaient. A chaque fois elle en avait un dans la bouche et un autre entre les cuisses. Afin que ce soit crédible au près de ses agresseurs, elle échangea petit à petit son attitude défensive pour une attitude plus résignée
Alors que les trois scientifiques discutaient de la suite des événements, le vigile était en train de finir de s’activer entre les cuisses de leur victime en missionnaire. Sur la fin elle devait paraître totalement résignée, limite détruite, et se laisser faire. C’est quand elle l’a senti jouir qu’elle s’est réveillée et s’est dit : « C’est le moment ». Elle enserra le vigile avec ses jambes au niveau de la taille et commença à serrer. Ne parvenant pas à s’en libérer, le vigile commençait à gueuler, demandant de l’aide aux trois autres qui se moquaient de lui, le pensant incapable de la prendre tout seul. C’est quand ils ont entendu les os du bassin craquer qu’ils ont réagis. Elle venait de lui broyer les hanches. Puis d’un saut, elle s’est relevée en les remerciant de s’être eux même tiré une balle dans le pied. Il ne lui fallu pas dix secondes pour les mettre minable. Ces quatre messieurs (mesdames plutôt vu ce qu’elle avait fait à leur service trois pièces) étaient évanouis au sol quand elle est sortie de la salle avec l’équipement du vigile par la ventilation. Elle est partie retrouver sa combinaison et son fouet et y a rajouté le Taser et les Tonfas du vigile.
Fraîchement approvisionnée, son premier reflex a été d’éviter de se refaire avoir comme ce fut le cas une heure auparavant. Ayant consulté les plans du bâtiment affichés sur les murs, elle se dirigea vers l’armoire électrique. Elle força la lourde porte, arracha tous les câbles qu’elle trouvait et appuya sur tous les boutons pour ruiner le système électrique. Ainsi plongé dans le noir, elle savait que rétablir la lumière serait une de leur priorité. Avec ses sens accrus, elle entendait les gens arriver, elle distinguait à peine des silhouettes dans la pénombre mais ça suffisait pour lui conférer un avantage. Elle assommait chaque personne venant rétablir le courant au fur et à mesure qu’ils arrivaient. Quand l’un d’eux reprenait conscience elle l’immobilisait pour lui sucer la queue (autant grappiller du carburant là où il y en a) et une fois que plus personne ne venait elle s’est dirigé vers les cellules où étaient retenus les cobayes.
Quand elle entra dans la pièce, toujours dans le noir, elle se débarrassa facilement des surveillants, libéra de leurs liens celles qui étaient attachées et mena tout le petit groupe vers la sortie. Sur le chemin, elle ne rencontra plus beaucoup de résistance. Elle avait déjà neutralisé pas mal de monde près de l’armoire électrique. Le Taser qu’elle avait récupéré (et ceux qu’elle récupérait sur les autres vigiles au fur et à mesure du trajet) plus les Tonfas alliés à sa force et ses réflexes lui permettaient de mener la dizaine de cobaye jusqu’à la sortie sans encombre. Une fois dehors, le petit groupe parti en courant jusqu’à la route et Succube reparti dans le bâtiment. Maintenant que tout le monde était sorti il lui fallait détruire le labo, ou du moins détruire ce qui était à l’origine de cette drogue.
Elle n’eut aucuns problèmes pour détruire les ordinateurs et le matériel à coup de pieds et mit le feu à tout le matériel. Quand elle se dirigea vers le bureau où était le coffre contenant les formules et d’autres papiers important, elle retrouva les trois scientifiques qui essayaient tant bien que mal de récupérer tout ce qu’ils pouvaient. Après leur avoir brisé un ou deux membres chacun, elle plaqua le chef contre le bureau.
— Donne-moi la combinaison.— Jamais— Si tu ne veux pas finir tétraplégique donne moi ….. Eh mais chui conne je la connais la combinaison.
Elle se dirigea vers le coffre et en arracha la porte à mains nues. Elle alluma un grand feu de joie et y jeta tout le contenu. Elle prit un sac et ramassa également les liasses de billet qui s’y trouvait.
— Alors c’est ça La Succube ? une vulgaire voleuse ?— T’as rien compris. C’est pour indemniser vos victimes. Messieurs au plaisir !
C’est ainsi qu’elle repartie par où elle était venue. En ressortant elle vit que les pompiers et la police était là, guidée par Maria. Il faut dire que l’incendie qu’elle avait provoqué commençait à s’étendre. Elle pu voir Maria et ses copines se retrouver et être embarquées par les flics pour prendre toutes leurs dépositions.
Ce n’est que plus tard dans la presse, que toute cette affaire a été révélée. On y voyait les photos des scientifiques responsables du projet menottés. On y lisait aussi les témoignages des femmes sauvées qui remerciaient Succube pour ce qu’elle avait fait.
C’est lors de son rendez-vous suivant avec Maria qu’elle lui confia avoir été celle qui la libéra, elle et ses copines. Elle lui donna aussi l’argent qu’elle avait retiré du coffre. Elle le lui donna mais pas en totalité car elle avait glissée anonymement quelques billets aux associations d’aide aux personnes en difficultés dans la rue. A ce rendez-vous, Maria lui confia que toutes ses copines et collègues étaient prêtes à collaborer avec elle et qu’elle pouvait compter sur elles toutes pour se cacher en cas de problème. Ainsi son réseau d’informatrice s’étoffait. Elle en était contente.
Après toute cette histoire, Gaëlle choisis de faire une petite pause. Elle en avait besoin car cette affaire aurait pu très mal se finir. Il était clair qu’elle avait vu trop grand. A l’avenir il allait falloir mieux juger de la difficulté d’une intervention. Enfin bon …. A son travail au cabinet (cabinet d’expertise comptable par des chiottes. Je rappel qu’elle n’est pas dame pipi), on lui accorda de prendre une semaine de congés. Du coup chez elles, c’était détente : lecture, cinéma, ….. Tiens qui sonne à la porte ? Ah merde ! Elle avait oublié que le plombier devait passer pour sa fuite de canalisation. Elle ouvrit la porte et elle se trouva devant un beau jeune homme bien bâti en salopette bleue avec sa caisse à outil, plutôt beau gosse. Bon …. Visiblement elle va pouvoir se détendre d’une autre manière. Tant pis s’il ne lui accorde pas de remise sur sa facture. C’est juste pour prendre du bon temps. Restait juste à espérer, qu’avec son corps bronzé et musclé, que monsieur ne soit pas de l’autre bord, ce serait dommage.
A suivre …
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