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Je suis un boudin, et j’aime le sperme…

Chapitre 1

Trash
Je suis un boudin ; un gros boudin, même. Faut dire qu’avec des bras aussi gros que des cuisses, et des cuisses grosses comme… ben, j’trouve pas de comparaison. Ouais, peut-être grosses comme… comme… putain, j’trouve pas. C’est peut-être parce que j’ai pas fait beaucoup d’études. Après le certif’ (que j’ai pas eu, j’sais pas pourquoi), ouste, dans les champs à garder les vaches !
Et mon cul, vous voudriez bien savoir comment il est, mon cul, hein, bande de pervers ? Eh bien, il est gros, aussi. Plus que gros. Énorme ! Tellement énorme que je trouve pas de culottes assez grandes, alors je me balade tout le temps avec le cul à l’air sous mes robes qui laissent voir les longs poils noirs que j’ai sur les pattes. Pourtant, il en aurait bien besoin, mon gros cul, de culottes, parce que mes fesses sont tellement grasses et molles qu’elles pendent jusqu’au milieu de mes cuisses. Et mes nichons… ah, mes nichons, j’en suis pas fière du tout : ils font du 130A– –, c’est dire que j’ai pas besoin de soutif !
Ma tronche, elle n’a rien à envier au reste : des joues bouffies envahies d’acné qui encadrent un nez qui ressemble à une patate, des yeux chassieux rapprochés et qui louchent ; de plus je suis affligée d’un bec-de lièvre. Tout pour plaire, quoi ! Quand je me regarde dans la glace, je comprends pourquoi les garçons – et même les plus moches – se sont toujours détournés de moi : qui aurait envie de se taper un boudin comme moi, hein ? Un jour, j’en ai entendu deux qui ricanaient en disant « J’aimerais mieux me taper une chèvre ! »
Donc, comme je le disais, pas de soutif ni de culotte pour contenir… hein, contenir ? Mais c’est que j’y tiens, moi, à mon con : c’est lui qui m’apporte les plus grands plaisirs que j’ai pu connaître. C’est tous les jours que je me branle, et même plusieurs fois, en passant mon doigt dans ma fente et en frottant mon petit bouton. Et quand la jouissance me submerge, elle m’emporte loin, très loin de mes problèmes d’apparence physique ! C’est tellement bon d’oublier tous mes complexes…
N’allez pas croire que je suis une demeurée : chez nous, à la ferme, on a Internet ; et quand mes parents partent faire des courses pour la semaine au supermarché de la ville voisine, je passe tous mes samedis après-midi à me branler la chatte en regardant des trucs cochons sur Youporn. Ça me fait rêver, ces mâles avec des grosses bites qui crachent des giclées et des giclées de jute… Ah, qu’est-ce que j’aimerais connaître le goût que ça a !
En gardant les vaches, j’ai remarqué que des voitures s’arrêtaient souvent sur le petit parking qui est juste à côté du bois ; certainement des cueilleurs de champignons, je me disais. Alors un jour j’ai voulu faire comme eux. J’étais en train de remplir mon panier de girolles lorsque j’ai entendu des voix qui se rapprochaient de moi. Sans savoir pourquoi, je me suis cachée derrière les frondaisons et je n’ai plus bougé. Et je les ai vus arriver : un homme d’une quarantaine d’années accompagné d’une petite jeunette qui devait avoir tout juste la moitié de son âge. Ils se sont arrêtés à quelques mètres de moi ; j’ai retenu mon souffle…
Eh bien, ils ne cherchaient pas des champignons, ces deux-là, à moins que l’on en trouve sous les jupes des filles ! Pendant qu’ils s’embrassaient, l’homme a sorti sa bite de son pantalon et a posé la main de la jeune fille dessus. Cette main s’est mise à aller et venir dessus jusqu’à ce qu’elle devienne bien raide, et là, le gaillard a dit « Allez, tourne-toi que je te la mette. » La fille a dit « Oui, mais faut mettre une capote. » Là, le gars a déballé un préservatif (hé, je sais ce que c’est : arrêtez de me prendre pour une conne !) et il l’a déroulé sur sa biroute ; il n’a pas pu le dérouler entièrement parce qu’il n’avait pas une grosse bite comme les mecs sur Youporn : c’était une petite bistouquette.
La fille s’est retournée et s’est appuyée contre un arbre en cambrant sa croupe ; le type a relevé la robe et il a guidé sa petite bite entre les fesses féminines où il s’est enfoncé avec un grand « Han ! » Je n’ai pas pu voir s’il lui avait mise dans la chatte ou dans le cul, mais ça m’a excitée de voir ça, alors j’ai commencé à me faire reluire le berlingot. Le gars s’agitait de plus en plus vite derrière la fille, puis il s’est mis à haleter et il a fini par laisser échapper un long gémissement avant de s’arrêter de remuer. Il s’est retiré, a enlevé sa capote et l’a balancée par terre. La fille a tourné la tête vers lui et lui a demandé « Alors, c’est tout ? T’as déjà fini ? Et moi, alors ? » Il lui a répondu « T’as qu’à te branler, pouffiasse ! »
Elle s’est assise sur une souche, a écarté les cuisses et s’est enfilé direct trois doigts dans la chatte qu’elle a fait aller et venir de plus en plus profondément. Au bout d’un moment, elle en a enfilé un quatrième, et là j’ai bien regardé car elle a essayé d’y mettre le pouce aussi. Comme elle n’y arrivait pas, l’homme s’est approché, lui a pris le poignet et a appuyé jusqu’à ce que la main entière entre dans cette chatte distendue. Sous l’effet de la surprise, la fille a ouvert la bouche en grand puis a repris son va-et-vient. Moi, je pinçais mon clito pour me faire jouir ; je ne voulais pas faire comme elle parce que je suis encore pucelle : j’ai toujours eu peur de m’enfiler quelque chose dans le vagin.
La fille a continué à se démonter la chatte de plus en plus profondément et de plus en plus vite ; elle a dit à son mec « Ah, c’est autre chose que ton asticot de contrebande, p’tite bite ! » et elle s’est mise à hululer sous l’effet d’un orgasme puissant. Moi, j’ai joui en même temps qu’elle. Putain, que c’était bon… bien meilleur qu’en regardant des vidéos sur Youporn ! Pendant que je me remettais de mes émotions, ils se sont rhabillés et sont partis.
J’ai attendu encore un moment, et comme il n’y avait plus personne, je suis sortie de ma cachette. Je me suis avancée jusqu’à l’endroit où ils étaient, et c’est là que j’ai vu le préservatif qui avait atterri sur un lit de mousse. Je l’ai ramassé et je l’ai examiné : il contenait quelques centimètres cubes de ce liquide blanchâtre qui m’intriguait tant. J’avais enfin du sperme à ma disposition ! J’ai trempé un doigt dedans et je l’ai porté à ma bouche pour le goûter ; c’était gluant, un peu comme le blanc des œufs crus que j’ai l’habitude de gober dans le poulailler, mais âcre et fort. Le goût m’a excitée, alors j’ai vidé le contenu du préservatif dans ma bouche et j’ai recommencé à m’astiquer la cramouille.
La jouissance est arrivée très vite ; c’est quand j’ai décollé que j’ai avalé toute cette bonne jute que j’avais gardée en bouche, et c’est là que j’ai eu cette révélation : j’étais accro au sperme ! Il m’en fallait, et à tout prix ! Mais comment faire ? Je suis bien trop moche pour qu’un mec veuille se faire sucer par moi.
J’ai réfléchi jusqu’à la fin de la semaine, et c’est en surfant sur Internet le samedi suivant que j’ai trouvé la solution : dans la ville voisine, à 8 kilomètres de la ferme, il y a un établissement libertin équipé de glory holes. Eurêka ! Je n’aurai qu’à enfourcher mon vélo pour m’y rendre, et je pourrai sucer des tas de queues et avaler autant de sperme que je voudrai sans que les hommes ne puissent me voir. Je m’en pourlèche les babines d’avance…
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