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Je suis un boudin, et j’aime le sperme…

Chapitre 2

Trash
Bon, puisque vous avez aimé ce que je vous ai raconté au sujet de ma découverte du goût du sperme et comment j’ai su tout de suite que j’allais devenir accro à cette substance gluante, je vais vous dire ce qu’il s’est passé après.
Je vous rappelle que j’avais découvert sur Internet qu’il y a dans la ville voisine, à 8 kilomètres de la ferme, un établissement libertin équipé de glory holes ; de plus, le 31 octobre, il y avait une soirée spéciale Halloween. Pour moi, c’était l’occasion de pouvoir y aller sans me faire reconnaître et ne pas faire peur aux gens : n’oubliez pas que je suis hideuse avec ma graisse qui déborde de partout, mes joues bouffies envahies d’acné qui encadrent un nez qui ressemble à une patate, mes yeux chassieux rapprochés et qui louchent, et que de plus je suis affligée d’un bec-de-lièvre.
J’ai trouvé une solution : je me suis fait un masque en évidant une grosse citrouille et en creusant tout ce qu’il faut : des yeux pour voir, des narines pour respirer, et bien entendu une bouche, parce que mon but, c’était de pouvoir sucer des queues.
Le soir venu, j’ai passé une robe longue très large, j’ai fixé ma citrouille avec des tendeurs sur le porte-bagages de mon vélo, et vogue la galère ! J’ai pédalé pendant presque une demi-heure, et c’est bien essoufflée que je suis arrivée sur le parking de « La Sucette » (c’est le nom de la boîte à partouzes). Je me suis cachée dans un coin sombre pour mettre mon masque, mais c’est à ce moment-là que j’ai vu des clients passer à côté de moi. Eh bien, vous me croirez si vous voulez, mais ils étaient maquillés d’une manière tellement horrible qu’ils m’ont presque fait peur. Du coup, je me suis dit que ce n’était pas la peine que je mette ma citrouille, et je les ai suivis.
Quand j’ai voulu payer mon entrée, la dame derrière la caisse m’a dit que c’était gratuit pour les dames ; elle m’a même donné un bon pour une consommation gratuite, génial ! C’est vrai que je n’ai pas beaucoup d’argent, vu ce que mes parents me donnent pour garder les vaches. Bon, enfin, je n’étais pas là pour boire du champagne, mais plutôt du bon sperme.
À l’intérieur de la boîte, c’était vachement sombre, mais pas assez pour que les gens me voient. Il y en avait beaucoup qui se sont retournés sur moi et qui m’ont félicitée pour mon maquillage ! Les pauvres, s’ils avaient su que ce n’était pas un maquillage, mais ma vraie tronche…
Au fond du dancing, il y avait une porte. J’ai vu des gens qui passaient par là, alors je me suis dit que c’était peut-être à cet endroit qu’il y avait ces fameux glory holes. Ben, je me suis pas trompée : c’était bien là. J’ai vu des hommes qui s’appuyaient contre une cloison où il y avait des trous. J’ai remarqué une porte qui donnait accès à des cabines ; elles étaient presque toutes fermées, mais j’en ai trouvé une qui était libre et où je me suis enfermée. J’y étais enfin : à moi les belles queues ! Je me suis agenouillée sur un coussin juste derrière le trou et j’ai attendu. Oh, pas longtemps : j’ai entendu le bruit du zip d’une braguette, et ma première queue est apparue… une queue rien que pour moi !
Bon, c’était pas un monstre, surtout qu’elle ne bandait pas ; c’était juste un petit machin tout riquiqui qui pendait lamentablement. Je me suis dit qu’il faut bien un début à tout, alors j’ai commencé à la tripatouiller comme j’avais vu dans les clips sur Youporn. Elle a pris de la consistance et s’est un peu redressée ; du coup, j’ai commencé à lécher le gland. Hmmm, c’était doux comme du velours ! Alors j’ai ouvert mes lèvres pour lui laisser le passage et je me suis retrouvée avec une bite dans ma bouche.
J’ai fait glisser mes lèvres le long de cette tige qui prenait de l’ampleur, et quand je faisais reculer mes lèvres, je gardais le gland dans ma bouche et je le caressais avec ma langue, sans oublier le frein. Hé, mais c’est que j’ai de l’expérience, moi : j’ai tout appris sur Youporn ! Bon, je ne connais que la théorie, mais je l’appliquais ; la pratique, je comptais bien sur cette soirée pour l’affiner.
J’entendais le type pousser des gémissements de l’autre côté de la mince paroi, et je sentais que sa queue tressautait dans ma bouche et que son gland gonflait encore ; c’est alors que j’ai reçu une grosse giclée au fond du gosier, suivie d’autres alors que le mec poussait de grands cris, un peu comme ceux du cochon qu’on égorge chaque année à la ferme. D’autres jets de sperme m’ont envahi la bouche ; il y en avait tellement que j’ai failli m’étouffer, mais j’ai continué à sucer jusqu’à ce que le type arrête de gueuler. Quand il a repris son souffle, je l’ai entendu dire aux autres :
— Putain, qu’est-ce qu’elle suce bien, la salope ! Une vraie pipeuse ; c’est Pipator !— Pipator, Pipator, Pipator ! se sont écriés les autres.
J’étais vraiment fière de moi : mes talents de suceuse étaient reconnus. J’étais aux anges, surtout en me délectant de la matière gluante que j’avais gardée dans ma bouche et que j’avalais petit à petit pour faire durer le plaisir. Hmmm, que c’était bon ! Je sentais ma grosse chatte poilue s’épanouir entre mes cuisses et des filets de mouille s’en échapper. Qu’est-ce que j’étais excitée ! Mais on se pressait, de l’autre côté du trou, et j’entendis plusieurs voix s’écrier :
— Moi aussi, je veux me faire sucer par Pipator !— Hé, poussez pas ! Moi d’abord !
C’est là que j’ai vue une autre queue s’introduire dans le trou. Elle était déjà bien bandée, celle-là, de couleur sombre, et elle n’avait pas de peau sur le gland, comme beaucoup d’acteurs américains que j’avais vus sur Youporn. « Comment ça s’appelle, déjà ? » me suis-je demandé. « Ah oui, citron exquis… euh… con sert qui… sire qu’on serre… Ah non : cirque assis ! » Alors c’est sans hésitation que j’ai entouré ce beau gland de mes lèvres.
Le gars a poussé un soupir de satisfaction quand j’ai commence à coulisser le long de cette hampe vigoureuse parcourue de grosses veines et légèrement arquée vers le haut : une belle bite, quoi ! Et puis, il faut dire qu’avec mon bec-de-lièvre, ma lèvre supérieure est partagée en deux parties qui retombent de chaque côté, un peu comme les lèvres de ma chatte qui sont tellement longues qu’elles dépassent de ma fente, même quand je ne suis pas excitée. Ça doit faire un effet spécial à ceux que je suce, certainement…
Là, j’ai voulu innover lorsque j’ai vu les bourses bien gonflées qui pendaient à la base de ce beau gourdin : je les ai prises en main pour les caresser. J’ai entendu un « Clawi ! », suivi d’un « Ralah di smouk ! Dawa ! » quand je les ai légèrement griffées. Il n’a pas pu se retenir plus longtemps et m’a envoyé de savoureuses giclées de foutre épicé dans la bouche, dont je me suis régalée.
À présent, ça se bousculait de l’autre côté de la cloison : ils voulaient tous se faire sucer par Pipator : j’étais le clou de la soirée !  Les bites succédaient aux zobs, les braquemarts aux queues, les dards aux chibres, les pines aux biroutes, les zigounettes aux zgegs… J’en ai vu de toutes les tailles, de toutes les couleurs, de toutes les formes ! Je ne savais pas qu’il y avait autant de diversité, mais elles avaient toutes un point en commun : la jute qu’elles déversaient dans ma bouche gourmande. J’en ai avalé l’équivalent de deux ou trois verres ! Putain, qu’est-ce que je me suis régalée avec tout ce foutre… Et je me suis branlée à en perdre haleine chaque fois que j’avalais ce bon sperme. Putain, qu’est-ce que j’ai joui !
J’ai vidé tous les hommes, certains plusieurs fois (je les reconnaissais à leur queue) ; j’ai eu tellement de succès que les occupantes des autres cabines sont parties dès le milieu de la soirée, n’ayant plus rien à se mettre sous la dent (ou plutôt sous la langue). Et lorsque le glory hole est resté vide de toute bite et que je suis sortie de ma cabine, j’ai eu droit aux applaudissements et à une haie d’honneur de la part de tous ces mâles qui avaient déchargé dans ma bouche de suceuse experte tandis qu’ils scandaient :
— Pi-pa-tor ! Pi-pa-tor ! Pi-pa-tor !
Le patron de « La Sucette » est venu me féliciter (je pense qu’il avait dû se faire pomper par moi, lui aussi), et il a même précisé :
— La prochaine fois, revenez sans votre maquillage ; vous serez toujours la bienvenue.
Là, je ne savais pas comment j’allais pouvoir faire… Maintenant que j’avais goûté au sperme, je savais que je ne pourrais plus m’en passer. Mais comment faire sans attendre un an de plus jusqu’au prochain Halloween ?Mais à la ferme, nous avons bien un cheval et un taureau, non ?
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