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Je suis devenue une chienne

Chapitre 1

Zoophilie
J’étais partie de la maison familiale depuis 2 ans, après avoir trouvé du travail, je louais un appartement du centre ville. Agée de 21 ans et célibataire depuis quelques temps ma vie sexuelle était monotone j’avais eu très peu d’expériences, pourtant je suis une fille plutôt mignonne, blonde, fine avec de jolies formes et je plais pas mal aux mecs.Je revenais passer les vacances de temps à autre, au calme dans la maison de mes parents où j’avais encore ma chambre afin de me ressourcer et de penser à autre chose.Mes parents possèdent une grande maison ainsi qu’un terrain d’un hectare, isolé à plusieurs centaines de mètres du premier voisin.J’étais donc arrivée deux jours auparavant et ce matin là, je faisais une grasse matinée, étant seule à la maison pour toute la journée, mes parents étant partis toute la journée, rafraîchie par l’agréable air frais du matin.
J’étais nue sous mon drap, m’étant laissée aller à la masturbation la veille au soir en repensant à mon ancien copain pour qui j’avais encore quelques sentiments ou plutôt une attirance physique. Je m’étais donné beaucoup de plaisir avec mes doigts.j’étais encore dans endormie lorsque, me tirant de mes rêves, je sentis un frisson de plaisir me traverser de part en part, je sentais comme une langue entre mes cuisses, je mis quelques secondes à émerger et je fini par m’apercevoir que c’était Onyx, notre labrador noir qui me lapait, sa langue parcourait toute mon intimité. Je sursautai, le repoussant vivement de mes deux mains, je restai sur le coup de l’émotion un instant, assise sur mon lit, puis je repris mes esprits, j’enfilai une culotte et un tee-shirt que j’avais sorti de mon armoire et je descendais à la cuisine préparer mon petit déjeuner. Ma mère avait m’avait laissé du café, je m’en servais une tasse avec du lait et je m’asseyais à table. Pendant que je portai la tasse à ma bouche, Onyx revint à la charge, il colla sa truffe sur ma culotte et me renifla.-Onyx, va t’en! m’écriais-je.Je le repoussais une nouvelle fois, puis je me demandais pourquoi il me était aussi excité alors qu’il m’avait vu des dizaines de fois. Je me disais qu’il sentait peut-être l’odeur de ma masturbation de la veille et que ça lui donnait des envies. Mon petit déjeuner fini, je n’y pensais déjà plus, je me levais de table pour aller prendre une douche rafraîchissante devant Onyx qui était toujours assis dans la cuisine et qui me fixait.La douche me fit un bien fou, je restais sous l’eau ruisselante pendant un long moment.Je sortais de la douche, une serviette autour de moi, que je fis glisser par terre, puis je remis ma culotte et mon tee-shirt.Je regardais au loin par la fenêtre de ma chambre, le jardin donnait sur un bois dont la lisière était à cent bons mètres de la maison, je vis au loin Onyx couché au soleil, juste à côté de Banjo, le tout jeune berger allemand du voisin qui venait souvent jouer avec son copain.
Plus tard dans la matinée, je me suis mise devant la télévision, je zappais sur toutes les chaînes pour finir par m’arrêter sur une chaîne musicale. Assise sur le canapé, j’étais perdue dans mes pensées.Le passage d’un clip à un autre me sorti de mes songes, face à moi je vis Onyx, je ne l’avais ni vu ni entendu arriver, il était assis et me fixait, je baissais le regard vers son ventre, je vis son sexe en érection, il était tout rouge, d’une taille... impressionnante, je n’aurais jamais pensé pas qu’un chien pouvait avoir un sexe si gros, comparable à celui d’un homme. Je repensais à ce qu’il m’avait fait ce matin et sans que je ne puisse m’en empêcher, un tas d’images me venait en tête, me voyant faire des choses avec mon chien. Je tentais tant bien que mal de me sortir ces idées de l’esprit, je me levais prestement et je filais à la cuisine, laver ma tasse à café, je n’avais pas vu qu’Onyx m’avait suivi.Alors que j’étais au dessus de l’évier, je senti à nouveau le museau du chien venir se poser sur ma culotte, il enfonça son museau et huma fortement mon odeur. Je le repoussais une nouvelle fois et il passa un grand coup de langue sur ma culotte. Je me retournais vivement, Onyx se coucha sur le côté, son sexe toujours en érection, toujours en me fixant. Je le regardais un court moment, les images revenant dans ma tête, je me décidais à m’accroupir à côté de lui. Je caressais son poitrail, et je descendais lentement, malgré un moment d’hésitation, je passais doucement mes doigts sur son sexe, puis je saisis son fourreau entre mes doigts et je me mis à faire des va et vient. Le chien ne bougeait pas hormis son bassin qui faisait de légers mouvements, il se laissait faire, je continuais de le branler lorsque très vite il éjacula, une bonne quantité de sperme gicla de sa bite si fort que j’en avais sur mes doigts, sur le pied, sur le mollet et même sur la cuisse sans compter ce qui avait atterri sur le carrelage. J’eu un instant de dégoût, puis je retournais à la salle de bain me laver la jambe laissant Onyx où il était.Toute la journée des pensées honteuses me vinrent à l’esprit, je me revoyais masturber mon chien et le faire jouir et je l’imaginais même en train de me faire jouir également j’étais complètement déconcertée et je me trouvais dégoûtante par le fait que ça ne me dérangeait pas plus que ça, je me demandais même si je n’avais pas perdu la tête.
Le soir, mes parents débarquèrent juste pour le dîner, je tentais tant bien que mal de cacher mon trouble.Ils me demandèrent si ma journée s’était bien passée, je ne savais pas quoi leur répondre de peur qu’ils ne se doutent de quelque chose même si il aurait été impensable qu’ils ne s’en doutent vraiment.Je vérifiais régulièrement du regard où se trouvait Onyx et la plupart du temps il était assis ou couché à quelques mètres mais toujours en train de me regarder.Exténués par leur journée mes parents allèrent se coucher assez tôt, moi j’étais allongée sur mon lit, je regardais un jeu à la télévision tout en me caressant par dessus ma culotte. Je ne pus m’empêcher de repenser à cette journée, je me touchais en m’imaginant caresser mon chien, j’écartais ma culotte et glissa un doigt à l’intérieur de mon sexe, rapidement rejoint par un second. Je fermais les yeux après un moment de plaisir, pour me réveiller le lendemain matin, relativement tôt. J’étais déjà pleine de pensées malsaines, je fis le tour de ma chambre du regard, Onyx n’était pas là.Je me levais après avoir rêvassé un moment, pour aller illico m’affaler sur le canapé, mes parents étaient déjà partis travailler.Onyx arriva quelques minutes plus tard, il s’élança vers moi et me fit la fête quelques dizaines de secondes comme il le faisait souvent. Son museau se dirigea d’un seul vers le bas de mon ventre, il reniflait mon odeur avec insistance. Assise sur le canapé, je repliais mes jambes contre ma poitrine, j’enlevais ma culotte que je jetais à terre et je présentais mon sexe au chien. J’écartais mes lèvres de mes doigts et Onyx, vint y poser sa langue, il me lécha m’arrachant un gémissement, sa langue parcourait tout mon sexe, allant même jusqu’à frotter mon petit trou. Je gémissais de plus en plus et je mouillais abondamment, je me cambrais à chaque fois qu’il titillait mon clitoris, Ses coups de langue s’insinuaient partout, jusque dans ma fente que j’ouvrais des mes doigts.Le chien se régalait de ma cyprine qui coulait de ma chatte sur mes fesses, n’en laissant pas échapper une goutte.
Après avoir pris un immense plaisir, je me relevais et me baissais à côté d’Onyx qui se coucha sur le côté, je saisissais sa pine entre mes doigts et je recommençais à le branler. Bientôt j’eu envie d’y goûter, j’approchais alors prudemment ma bouche, je déposais ma langue sur le bout rouge vif que mes lèvres vinrent ensuite encercler. La bite de mon chien était presque entièrement dans ma bouche, je m’appliquais à lui prodiguer une fellation comme je le ferais pour un homme, aspirant bien son membre.J’étais à genoux près de lui son sexe maintenant au complet dans ma bouche autour duquel je serrais bien mes lèvres. Il ne mit encore que très peu de temps à jouir, sans que je le sente venir, son liquide se déversa à flots dans ma bouche, j’en avais tellement que j’en avalais une partie pendant que le reste dégoulinait de mes lèvres. Je dois bien avouer que la chose me plut ainsi que le goût que j’avais maintenant dans la bouche.De plus en plus folle d’excitation, je restais à genoux en posant mes mains sur le sol et je me présentais comme ça face au chien, il ne mit pas longtemps à comprendre ce que j’attendais de lui, il remit sa langue un instant sur mon sexe et s’éleva pour poser ses pattes sur mes épaules. Je tournais ma tête pour le regarder, il faisait des petits mouvements de bassin dans le vide, d’une main, j’attrapais son pénis que je guidais jusqu’à mon vagin. Dès l’instant où il senti mon trou devant son sexe il entama de grands mouvements, il me pénétra d’un seul coup et s’enfonça jusqu’au plus profond qu’il pouvait, j’émis un cri de plaisir qui aurait alerté tout le monde s’il y avait eu quelqu’un dans la maison.J’étais devenue une chienne, Onyx me limait à une cadence infernale me faisant gémir bruyamment à chaque aller retour, je mouillais comme jamais, j’étais tellement lubrifiée que son pénis sortait plusieurs fois de mon antre pour s’y renfoncer toujours plus fort à chaque fois.Son sexe était encore plus gros que la veille, écartant bien mes parois vaginales à chaque passage et me procurant probablement le plus grand plaisir que je n’ai jamais eu. J’atteignis l’orgasme au moment ou il déchargea tout son sperme chaud à l’intérieur de mon vagin, encore une quantité impressionnante de liquide qui remplit mon ventre. Il eut un peu de mal à se retirer après avoir éjaculé et lorsqu’il y parvint le liquide s’échappa de mon sexe et coula par terre, moi je roulais sur le côté et m’étendit au sol, complètement nue, après m’être offerte à mon chien, un filet de sperme coulant encore de mon sexe qu’Onyx vint nettoyer de sa langue pour finir le travail.
Je me relevais et ramassant ma culotte, je prenais la direction de la salle de bain pour me nettoyer, une main sur mon sexe pour ne pas laisser tomber des traces douteuses au sol.Après la douche je m’étendis sur mon lit puis je m’endormis pour me réveiller en début d’après midi.Lorsque je redescendis, Onyx était couché dehors, Il courut vers moi lorsqu’il me vit et se coucha sur le côté à mes pieds qu’il lécha, visiblement il n’était pas rassasié.Je me baissais à ses côté et mis ma main sur son fourreau, son sexe n’était pas encore en érection, mais le contact de ma main refit émerger cet énorme pénis rouge.Je le branlais lentement, je voulais qu’il tienne un peu plus longtemps sous mes caresses. Je me mis à genoux et j’avalais délicatement sa bite, que je me mis à sucer lentement.Je sentis tout à coup une autre langue se poser sur ma culotte, prise par surprise, je me suis mise à pousser un cri, en me retournant je vis que c’était Banjo, le chien du voisin qui à son tour était venu, probablement par attiré par l’odeur du sexe.Sans même y réfléchir, je fis descendre ma culotte jusque sur le bas de mes cuisses et retournais à la fellation que j’avais entreprise.Le berger allemand ne perdit pas une seconde pour me monter, il s’écrasa de tout son poids sur mon dos, ses griffes me faisant mal sur les épaules puis il commença à avancer son bassin lui aussi dans le vide, jusqu’au ce que seul, il trouve mon entrée déjà prête à l’accueillir.Je me rendis vite compte que son sexe était encore plus gros que celui de mon chien, Banjo me pénétrait de son long et épais membre, il me faisait prendre mon pied pendant que j’avais le pénis d’onyx dans la bouche.De nouveau, tellement mon vagin était lubrifié, la queue de Banjo sorti, et lorsqu’il entreprit de me pénétrer à nouveau, c’est contre mon anus qu’il buta. Sans faire la différence, il s’appuya une fois puis une deuxième fois sans succès, la troisième fois, quand il appuya plus fort, mon petit trou céda et libéra le passage à ce gros pénis.Je relevais d’un coup ma tête, hurlant de douleur, je tentais de faire descendre Banjo en le repoussant de mes mains, en tentant de me redresser, mais rien n’y faisait, il était trop lourd et il s’accrochait. J’avais si mal, mon anus n’avait encore jamais été visite et le dépucelage était violent, je criais encore de douleur, commençant même à pleurer en continuant à essayer de faire descendre le chien.J’abandonnais finalement et acceptais ma soumission, je le laissais me sodomiser, sa queue s’enfonçant entièrement dans mon petit trou beaucoup plus étroit que cette dernière. Il faisait de puissants va et vient, poussant à chaque fois sa queue aussi loin que possible, ses testicules butant sur mon vagin.Peu à peu, je cessais de crier, la douleur commençait à disparaître, je recommençais à sucer Onyx qui n’attendait que ça, Banjo me prenant toujours par derrière à une cadence infernale ce qui commençait à me donner un léger plaisir.Onyx fut le premier à jouir, malgré tout ce qu’il avait lâché comme liquide auparavant, il remplit une nouvelle fois ma bouche, suivi peu de temps après par Banjo qui déversa tout son sperme dans mon anus, limant encore quelques coups après quoi il descendit de sur mon dos.Je mis ma main sur mes fesses, examinant les dégâts, mon anus était bien ouvert, laissant échapper du liquide blanc, j’en recueillis un peu sur mes doigts que je portais à ma bouche pour voir si le goût était différent, ensuite je remis ma culotte et je filais dans ma chambre examiner une nouvelle fois mon petit trou, j’étais rassurée car il avait commencé à se resserrer. Je glissais un doigt à l’intérieur, ce qui me procurait un plaisir jusqu’alors inconnu et ce qui malgré la douleur récemment ressentie, me donnait envie de recommencer.
A suivre
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