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Je suis fier de ce qui est arrivé

Chapitre 1

Inceste
Ce jour là, j’avais fini mes cours plus tôt à la fac, en raison de l’absence d’un prof. C’était loin de me déranger, et je suis donc rentré chez moi, tranquillement.C’était d’autant plus tranquille que je savais que j’allais être seul. Mes parents n’étaient pas près de rentrer du boulot, et ma sœur Julie était encore en cours. J’allais donc pouvoir m’adonner à mon passe-temps favoris du moment: la masturbation.
Une fois rentré, je suis allé dans ma chambre, j’ai pris un magasine de cul, j’ai baissé pantalon et caleçon, et j’ai commencé à me faire du bien.J’étais tellement dans mon truc que je n’ai pas remarqué tout de suite qu’il y avait une présence dans ma chambre. Ce n’est qu’après un moment que mon regard se dirigea, sans raison apparente, vers la porte de ma chambre. Je vis alors ma sœur. Elle était debout, yeux et bouche grands ouverts, subjuguée par le spectacle que je lui offrais.Pris de court et de panique, je me cachais rapidement sous la couverture.— Qu’est-ce que tu fous là Julie?— Je... Prof absent.... Alors... Mais... Tu faisais quoi?— Ça ne te regarde pas. Sors d’ici!J’étais plus gêné qu’en colère, mais je ne voulais pas qu’elle s’en rende compte.— Alors... Alors ça ressemble à ça.— Quoi?— Le... Le sexe d’un garçon.— Bah oui. Tu n’en as jamais vu?— Heu... Non...Elle se mit à rougir. Elle avait 19 ans. Je ne pensais pas qu’elle était encore vierge à cette époque. Même si je ne l’avais jamais vu avec un garçon, je pensais qu’elle avait déjà expérimenté. J’avais visiblement tout faux.
— Je peux toucher?Je ne m’attendais pas à une telle demande. J’ouvris grand les yeux.— Je peux toucher? S’il te plait. Je ne le dirai à personne. Je veux juste savoir comment ça fait.Cette fois-ci, c’était à mon tour d’avoir les yeux et la bouche grande ouverte. Je fixais ma petite sœur comme si c’était une créature issue d’un livre fantastique quelconque.Voyant que je ne répondais pas, Julie respira un bon coup, comme pour se donner du courage. Elle avança, et fit voler la couette, me découvrant. J’étais sans pantalon ni caleçon, le sexe légèrement rabaissé, à cause de la situation.Sans que je n’ai pu dire quoi que ce soit, Julie commença à caresser ma queue du bout des doigts. Cette caresse, douce et délicate, de surcroit prodiguée par ma petite sœur, me fit bander très rapidement.Julie se contenta de me caresser. Je n’osais rien dire, de peur de la brusquer, et surtout de peur qu’elle s’arrête. Parce que, nom d’un chien, ce qu’elle me faisait me procurait un plaisir inimaginable. C’était probablement dû au fait que ce soit elle qui me prodigue cette caresse. Elle prit son courage à deux mains, si je puis dire, et enserra mon sexe entre ses doigts. D’une manière totalement inexperte, elle commença à me branler, répétant le geste qu’elle m’avait vu effectué plus tôt. En soit, c’était nul. Mais le fait de voir, au bout du bras qui me branlait, le délicat visage de ma petite sœur, c’était une sensation indescriptible. Tandis qu’elle s’acharnait à me masturber, je passais ma main dans ses cheveux d’ébène, que je caressais doucement.
Je sentais l’extase arriver.J’en averti alors Julie, qui me regarda, comme pour me demander ce qu’elle devait faire. Je lui fis signe de continuer. Elle obéit, et continua de me branler.Quelques secondes plus tard, je jouis. Ne voulant pas éjaculer sur le visage de ma petite sœur, je me suis rapidement emparé de mon caleçon, dans lequel je déversais mon jus.
Visiblement encore plus gênée qu’au moment de son entrée, Julie se leva et se dirigea vers la porte.— Julie.Elle se retourna. Je ne lui dis rien, et tapotais juste sur mon matelas, lui proposant de s’asseoir à côté de moi. Elle hésita, puis vint s’asseoir.Je l’entourai alors de mes bras, pour lui faire un câlin qui aurait été parfaitement normal pour un frère à l’égard de sa sœur, si je n’avais pas encore l’engin à l’air.— Tu veux que je te rende la pareil?— Quoi?— Tu veux que je te masturbe?— Quoi? Mais enfin... Non... Tu ne peux pas...— Je ne crois pas que ça t’aie dérangée de me le faire. Crois moi, ça m’a fait un bien fou. Je veux juste te le rendre.— Non... Mais... Je... Tu...Je voulais qu’elle se laisse faire, mais je ne voulais pas la brusquer. Alors, doucement, je glissai ma main sur son ventre. Elle voulais protester mais, sous l’effet de la gêne ou de la surprise, je ne sais pas, elle resta silencieuse. Je profitai de ce silence pour glisser ma main sous sa jupe, en direction de sa culotte. Puis, mes doigts glissèrent sous l’élastique de sa culotte, et entrèrent en contact avec une touffe de poils.Julie eut un frisson.— Voila pourquoi je ne voulais pas. Comme je suis célibataire depuis toujours, je ne m’épile que l’été pour mettre un maillot. Là, c’est tout moche? Et...Je ne la laissai pas finir sa phrase, et fit glisser mon majeur vers son clitoris. Elle frissonna, mais différemment.— J’aime bien comme ça. Je trouve ça plus doux, et plus joli.Aucune réaction si ce n’est un petit sourire timide.— Et puis. Si on appelle ça une chatte ou un minou, c’est bien parce que c’est censé être poilu.Elle rigola.J’avais gagné.Je lui enlevai donc sa culotte, et commença à lui caresser le clito. Mon doigt descendit ensuite à ses lèvres, que je caressais doucement. Julie gémissait. Elle avait fermé les yeux et se mordillait la lèvre inférieure.Avant qu’elle n’ait eu le temps de comprendre, je glissai du lit pour me retrouver à genoux sur le sol, entre ses jambes écartées.Elle leva la tête pour me voir. Trop tard. J’avais déjà plongé mon visage entre ses cuisses, et lui léchai son clito velu. Elle se mit à gémir. De plus en plus fort. Elle appuya ses mains sur ma tête. Je crois qu’elle parlait, mais je ne comprenais pas ce qu’elle disait. L’excitation, sûrement.En moins de deux minutes, elle eut un orgasme. Elle hurla de plaisir.Très content de moi, je déposai un dernier bisou sur sa chatte, et vint m’allonger auprès d’elle.
Nous sommes restés quelques minutes allongé l’un à côté de l’autre. Sans se parler. Sans se toucher.Elle avait toujours la chatte à l’air. J’avais toujours la bite à l’air. Je regardais sa touffe brune bouger au rythme de sa respiration. Ce qui suffit à faire renaître mon érection.— Tu veux que je te dépucèle?J’avais sorti cette phrase comme ça. Sans réfléchir. Mais là, Julie sembla complètement offusquée.— Quoi? Mais t’es malade! On est frère et sœur quand même.Ça n’a pas eu l’air de te déranger jusque là.— C’est pas pareil.Je ne dis rien.— Tu vas me faire mal?— Je vais être le plus doux possible.Il ne m’avait pas échappé qu’elle avait dit "tu vas". Pour elle, c’était d’un coup devenu une certitude. J’allais la dépuceler. Aujourd’hui encore, je ne sais pas ce qui a provoqué ce brusque changement dans son esprit.— Tu ne diras rien à personne?— Bien sûr que non.— Alors... D’accord.
Je lui caressai le visage. Et je descendis le mien, pour venir l’embrasser délicatement. Comme je m’y attendais, elle embrassait très mal. Mais encore une fois, le fait que ce soit elle rendait la chose encore plus jouissive.Je me suis placé au dessus d’elle, et j’ai descendu mon bassin. Doucement. Tout doucement. Jusqu’à ce que mon gland entre en contact avec ses lèvres. Tout aussi doucement, je fis entrer ma queue à l’intérieur de sa chatte.C’était chaud. C’était doux. C’était agréable. Je m’immisçais de plus en plus en elle, doucement. Je sentis alors le contact de son hymen.— Là, ça va te faire mal.Elle me regarda. Elle se mordit la lèvre, et fit oui de la tête. Je descendis mon visage pour l’embrasser. Ce baiser dura quelques secondes, pendant lesquels je la sentis d’apaiser.Et alors, d’un coup, je traversai son hymen. Elle gémit, mais son gémissement fut étouffé par ma bouche qui entourait la sienne. Je restai immobile dans sa chatte quelques secondes, le temps de la laisser s’habituer à ma présence en elle. Quand je sentis que la douleur était passée, je commençai des va-et-va, doucement, puis de plus en plus vite. Je sentais sa fente inexpérimentée qui bougeait le long de mon sexe à chaque mouvement que je faisais.Julie gémissait. Criait. Elle prenait beaucoup de plaisir.Elle poussa finalement un hurlement, prouvant qu’elle avait joui. Je venais de faire jouir ma petite sœur. Je venais de la dépuceler. Cette idée fit grandis mon plaisir, et je senti ma jouissance arriver.Je ne voulais pas jouir en elle, alors, je me suis extirpé. Un poil trop tard. Une goutte de ma semence vit se loger dans les poils pubiens de Julie. Pour le reste, j’en ai fait profiter mes draps.Nous nous sommes sourit, et j’ai nettoyer la toison de Julie. Je l’ai prise dans mes bras.— Merci grand frère.
Ce fut la première et unique fois que j’ai eu des rapports sexuels avec ma sœur. Il nous est déjà arrivé d’en reparler par la suite une fois, et pour l’un et l’autre, c’est un excellent souvenir. Malgré ça, nous n’avons jamais été tenté de recommencer. En plus, ça aurait sûrement gâché le souvenir que nous avions de ce moment unique.Après cet événement, Julie s’est plus ouverte aux autres, et notamment aux garçons. Elle a commencé à avoir des copains. À être heureuse. Grâce à moi. Rien que pour ça, je suis fier de ce qui est arrivé.
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