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Suis je normale?

Chapitre 5

Inceste
Bien évidemment j’avais très envie de la lécher. Très envie de gouter à une autre fille, surtout par cette voie-là.
Léa, qui était assise contre moi et qui caressait mes cheveux, me regardait avec de la tendresse mêlée à une forme de désir qui semblait la faire culpabiliser.
Alors je me redressais, lentement, rejoignis sa bouche, nos lèvres se caressaient de nouveau… Elle était devant moi, étendue sur les draps froissés, ses seins m’attendaient, ses mamelons me demandaient, ses tétons réclamaient que je les dévore. Et c’est exactement ce que j’allais faire ! Je descendais sur elle. D’abord je la couvrais de baisers et de caresses au niveau de ses temps, ses oreilles, je parcourais petit à petit son cou, ses épaules, le haut de sa poitrine et j’arrivais sur ses seins.
J’aime caresser mes propres seins, c’est vraiment un plaisir que j’aime m’octroyer, mais caresser et embrasser une autre poitrine c’est quelque chose de bien plus fort. Alors je m’y donnais à cœur joie. Je les embrassais, le les léchais du bout de ma langue, je les aspirais… Je leur faisais tout ce que je pouvais leur faire. Et apparemment Léa aimait ça. Elle commençait à être très détendue…
Au fur et à mesure je me voyais glisser sur son corps et après avoir couvert le ventre plat et chaud de Léa de mille caresses, je me retrouvais devant sa chatte toute chaude et toute épilée. C’est incroyable de se retrouver comme ça, devant un si joli trésor. Je ne pensais pas en avoir autant envie mais force était de constater qu’il ne me faudrait pas attendre cinq minutes avant de l’explorer. Léa sursauta d’abord, puis appuya ses mains sur l’arrière de ma tête afin de me faire comprendre qu’il fallait que je continue. Absolument, obligatoirement, sans m’arrêter, il fallait que je sois docile et que je m’occupe d’elle. Moi, lorsque ma langue toucha ses lèvres trempées, je constatais immédiatement que c’était la première fois mais surtout que ce ne serait pas la dernière. Dire que j’ai adoré est bien faible. Comparé à tout ce que j’avais pu ressentir dans ma vie comme moments de satisfaction, celui-là rentrait directement dans mon top 3. Le goût m’a d’abord surpris, ce jus, à la source était puissant mais très rapidement je l’ai trouvé à ma convenance. J’en avais à disposition devant moi, il fallait que je m’abreuve le plus possible.
Je fis donc ce qu’elle attendait, je léchais ses lèvres, son bouton, je la léchais entièrement. Ma langue en elle, mes mains sur ses hanches, ses gémissements, son corps qui ondule. Je ne sais pas combien de temps ça a pris, combien de temps j’ai mis, combien de litres de mouille j’aurai pu boire, mais je sais qu’elle a joui, je sais que ce n’était pas une simulation, je sais qu’elle a aimé ce que je lui ai fait.Moi aussi j’ai aimé. Moi aussi je me suis délecté de ce moment. Moi aussi j’ai senti ma propre mouille couler sur mes cuisses pendant que je tentais de lui faire du bien.

Léa…

Comment aurais-je pu me dire que cet été j’allais vivre ma première expérience sexuelle avec une femme que je connaissais et que j’allais adorer… ? Nous prîmes quelques minutes pour nous câliner, nous remettre de nos émotions. Puis elle se leva, se rhabilla et me dit très calmement :
— « Tu diras rien ? Hein ? Marc ne comprendrait pas et ton père… Ton père m’en voudrait tellement ! Ce sera notre petit secret, d’accord ? »— « Bien sûr ! » répondis-je. Je n’avais pas l’intention de crier sur les toits que j’avais eu une partie de bouffe-minou avec la femme de l’ami de mon père !

Elle partit, me laissant sur mon lit avec mes pensées les plus folles. Je repensais à ce long moment entre elle et moi. Je me levai et regardai par la fenêtre. J’avais une vue sur la piscine. Je voyais Vincent et Marc qui lisaient tranquillement des revues sportives en sirotant une bière. Je n’avais pas l’impression qu’ils nous avaient entendus. Ma fenêtre étant fermée car la climatisation était en marche je pense que les bruits furent étouffés. Et c’était mieux ainsi.
Le soir même, nous avions prévu d’aller dîner en ville, Marc connaissait un restaurant périgourdin tenu par un ami. Nous étions sûrs de bien manger et de passer une agréable soirée là-bas. Donc vers 18h, je commençais à m’apprêter. Je n’avais pas l’intention de sortir en tenue de trainée mais je tenais à être élégante pour faire honneur à mon oncle. Je pris donc une douche, je lavais mes cheveux, les séchais, je mettais une robe bustier légère et assez courte mais qui était très sobre. Vincent était en jean et polo, Alice en robe, Léa en jupe et haut coloré et Marc en bermuda et chemisette.
Nous arrivâmes au resto vers 20h. Il faisait très beau, chaud mais pas étouffant. Un repas agréable, une belle ambiance… Les yeux enivrés de vin de Léa me regardant, le sourire de Vincent et d’Alice, Marc qui nous raconte de bonnes histoires. Le vin a largement coulé, peut-être plus que de raison et je remarque que ces deux couples devant moi commencent à rire de futilités mal placées ! Les blagues salaces arrivent et petit à petit je devine que les mains de Marc deviennent baladeuses. C’est drôle, je n’ai pas l’impression que Léa apprécie autant que ça les caresses provenant de Marc, mais je me fais peut-être une idée. Quelques minutes plus tard, le repas terminé, nous décidons d’aller nous balader dans la vieille ville. J’ai appris au cours du repas que Bénédicte devrait arriver demain, je suis toute heureuse de la retrouver.
Nous nous promenons dans les ruelles, il fait nuit, il fait bon, Alice et Vincent sont devant, ils se tiennent la main ils sont mignons. Léa et Marc sont derrière moi, ils marchent doucement, je vois que Marc murmurent des choses dans le creux de l’oreille de Léa. Moi je suis seule au milieu mais je profite du bruit des bars, des rires des passants (il y a une fête de saison et beaucoup d’animations, beaucoup de musique, de bruit), de la brise sur mon visage, de ce moment de quiétude après les instants mouvementés de l’après-midi. J’ai adoré cet instant mais quand j’y repense je me dis que c’est une histoire de fou. Jamais je ne me serai cru capable d’agir ainsi avec une autre personne, une autre femme, aussi proche de moi. J’ai l’impression d’être à la fois une femme perverse mais aussi de jouer avec le plaisir et le plaisir de donner du plaisir.La promenade nous ramène jusqu’à la voiture. Nous n’avons pas beaucoup de route à faire, même pas 5 minutes mais voyant l’état dans lequel se trouvent les autres je propose à Marc de conduire jusqu’à la villa. Je conduis quelques fois avec Vincent et Alice et je me débrouille bien donc lorsque je propose cela Vincent acquiesce rapidement et Marc me dit oui, faisant confiance à son ami.
Même si le trajet n’est pas long, je ressens un léger stress en m’installant au volant de la berline de Marc. C’est une voiture puissante et je ne voudrai pas ne pas savoir la maitriser. Mais Vincent s’assoit à côté de moi et sa présence me rassure et me détend. C’est toujours avec lui que je conduis lorsque je suis en apprentissage, il a toujours les bons conseils et même si j’ai peu d’heure de route derrière moi, il me soutient et m’encourage.Nous démarrons enfin. 4mn30. La distance était vraiment courte et tout s’est bien passé. Pendant les minutes de la conduite je me sentais très proche de Vincent. J’avais la sensation qu’il était mon compagnon de route… Mon compagnon… Je soupire… Je rêve… Et puis Vincent me ramène à la réalité :
— « Hey ho, Coco ?!! T’es là ? »— « Pardon, je rêvais… »— « Eh bien heureusement que tu ne rêvais pas en conduisant ! »— « …Oui… »répondis-je en souriant timidement.— « C’est rien Princesse, tu nous as ramené jusqu’à bon port ! Je ne suis pas fier de moi, j’aurai du ne pas trop boire. Si tu n’avais pas été là nous n’aurions pas pu reprendre la voiture vu les verres que nous nous sommes enfilés ».— « Tu te sens ivre ? » — « Non, pas trop. Un peu …Pourquoi ? »— « Comme ça ». J’avais bien sûr une idée derrière la tête. J’en aurai bien profité un peu ! Mais comment oser lui dire ?— « Ok, je vais pas tarder à aller me coucher, bonne nuit ma puce ». me dit-il en sortant de la voiture. Il déposa un baiser tout tendre sur ma joue, non loin de la commissure de mes lèvres. Les autres étaient déjà sortis.
Je restais quelques minutes encore assise au volant. Ce baiser…. ? Etait-il dû à l’ivresse ou était-il voulu de sa part ?Je sortis de la voiture et allai dans la salle de bain. Une petite douche et hop ! en pyjama. Je n’avais pas bu, juste une sangria à l’apéritif mais je me sentais un peu ivre. Ivre de la soirée, ivre de la balade après le repas, ivre de ce baiser dans la voiture. J’étais contente mais j’étais aussi un peu soucieuse de tout ce qui pourrait bien se passer dans ma tête. Depuis que je venais d’avoir cette relation avec Léa, je me sentais partir vers des terrains dangereux de la sexualité débridée. J’avais envie de choses pas logiques. Normalement on ne doit pas avoir envie d’adultes qui nous éduquent mais moi je me sentais partir dans cette direction et c’est sur ces pensées très ambigües que je me m’endormais doucement.

9h.

Huummmpfff…

10h…

10h45…

« Cocoooooooooo !!! Réveille-toi, Béné arrive dans moins d’une heure !!! »J’ouvre une œil, la lumière du soleil s’immiscent dans les trous de mes volets, la chaleur aussi…Encore une journée agréable au niveau de la météo.
Je me lève, un peu dans le coltard, les autres sont déjà debout, certains même ont déjà pris le p’tit déj’… « Une douche me fera du bien » me dis-je en me rendant dans la salle de bain. J’ouvre la porte, toujours un peu endormie, m’assoit sur les WC et me laisse aller au petit rituel du matin. Je n’avais pas fermé la porte et d’un coup, très soudainement, Vincent entre dans la salle de bain. A cet instant j’étais relevée, en train de m’essuyer, la main entre les cuisses, la nuisette relevée jusqu’à mes seins.
— « !!!!! » Fis-je en le voyant débarqué devant moi.— « … !!! »
Impossible pour lui de me parler, pour moi de bouger. Il doit se passer seulement une, deux ou trois secondes mais rien ne se passe pendant ce moment, juste son regard qui parcoure tout mon corps très rapidement et ma voix qui refuse de sortir.Puis, après quelques efforts de concentration :
— « Heu Vincent !!!! Sérieux !!! tu ne peux pas frapper ? Tu ne peux pas te renseigner avant de rentrer dans la salle de bain ? T’a spas l’impression de me déranger ?!!!!! » Tout ça en trois secondes !
Je suis furieuse, furieuse car je déteste être prise au dépourvue dans des situations gênantes, parce que si je veux être à l’aise c’est bien devant lui, pas qu’il me voit sur les chiottes en train de m’essuyer !!!
Lui ne répond rien, mais il baisse les yeux, referme la porte et me laisse prostrée dans la même position, prise entre colère, gêne et culpabilité de lui avoir crié dessus.
Je suis mal. Je n’aime pas râler, je n’aime pas crier et encore moins à Vincent. Il faut que je me calme.Je ferme le verrou (cette fois-ci !), me déshabille et rentre dans le bac à douche. J’en ressors trempée, propre et un peu apaisée mais avec quelques restes de remords. Il faut que j’aille le voir et que je m’excuse car c’était à moi de fermer le verrou. Je n’aurai pas dû m’emporter comme ça.Je le cherche dans la maison, dehors. Il n’est pas là.Léa vient m’embrasser tendrement sur la joue et me dit :
— « Bah alors ma puce ? Ça va pas ? T’en fais une tête… ! — Bonjour, dis, tu as vu Vincent ? Je l’ai engueulé tout à l’heure et là je me sens coupable, je voudrais bien m’excuser. — Il est parti il y a 5 minutes faire un tour dans le bois à côté… Il avait l’air songeur, mais ne t’inquiète pas, ton petit Vincent ne t’en voudra pas ! — Et d’un, ce n’est pas mon petit Vincent et de deux, je lui ai quand même gueulé dessus sans raison valable, il a le droit de m’en vouloir ! — Pourquoi lui as-tu gueulé dessus ? — Il est entré dans la salle de bain pendant que je m’essuyais après avoir pissé. — T’avais pas fermé ? — Non !— Bah bravo !— … C’est bon… »
Je quittais la cuisine en emportant une pomme et me dirige vers le petit bois à côté de la maison… Il ne me faut que quelques minutes pour l’apercevoir, assis sur un arbre couché. Il me tourne le dos, il est silencieux. Il semble regarder quelque chose… Il est agité…
Je m’approche de lui, sans faire trop de bruit, je suis à quelques mètres de lui sur le côté quand je découvre qu’en fait il est en train de se masturber !Je m’arrête, prostrée, je ne veux plus bouger pour ne pas être vue et aussi pour ne pas l’interrompre ! Son sexe est sorti de son short, sa main droite l’a agrippé virilement, il est en action depuis quelques temps car il est tendu à l’extrême, son gland est sorti en entier et il semble prêt à exploser. Je le regarde en train de se branler, il a les yeux fermés et semble chuchoter quelques mots mais trop doucement pour que je puisse les comprendre… Vincent est bien bâti, il travaille le bois et semble aussi fort que le chêne ou l’ébène, il a les muscles saillants et dans le mouvement qu’il fait là devant moi, il est terriblement sexy, terriblement envoutant. Je ne bouge toujours pas, mais mes jambes tremblent en moi, l’envie de me caresser face à ce spectacle devient de plus en plus forte, je rêve d’être à ses genoux et qu’il se branle pour mieux entrer dans ma bouche, dans ma chatte. Je m’imagine en train de prendre entièrement ce tronc fort et puissant dans ma bouche, en le léchant partout… Je désire ce chibre au fond de ma gorge tout en souhaitant qu’il déverse en moi des torrents de sperme. Ca y est, je mouille beaucoup trop, le petit short en jean que je porte est de trop, mon t-shirt devrait être par terre, Vincent devrait me pénétrer en ce moment… Mais… Mais je ne peux rien faire… C’est Vincent. Ce n’est pas parce que je deviens une jeune femme totalement libérée dans ma sexualité (et encore !) que je dois gâcher la relation « parentale » que j’ai avec lui, avec tout le monde d’ailleurs…
Alors je le regarde, je l’observe, je viole son intimité, je le trouve encore plus beau dans cette situation car il se sent seul et libre de commettre un acte intime.Je sens qu’il ne va pas tarder à jouir, il se tend de plus en plus, retient sa respiration… J’attends avec impatience ce moment pour voir comment il est dans ces instants. Puis ça y est, il se raidit, il prend une grosse inspiration et d’un coup j’aperçois un énorme jet de sperme s’échapper de son gland et jaillir sur le sol, loin devant lui. Tout en se laissant aller à la jouissance et l’éjaculation je le vois se détendre et lâcher un long : « Oh oui ma Coraliiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiie Mmmmmmmmmmmmmmm !!!!!!! »

Hein ?!

Quoi ?!!!

J’étais déjà étonnée de le voir se branler mais alors l’entendre dire mon prénom, mon prénom à moi au moment où il jouit !?! Ça, je ne l’aurai jamais cru !
Mais tout va très vite, il rouvre ses yeux, commence à s’essuyer avec son mouchoir, il se rhabille. Je n’ai que peu de temps pour rentrer ou du moins me cacher pour ne pas rendre la situation encore plus bizarre ! Je profite d’un bruit de train non loin de nous et du bruit qu’il fait en se parlant tout en piétinant les branches sur le sol pour me réfugier derrière un gros tronc d’arbre. Je l’observe du coin de l’œil, il s’éloigne en direction de la maison, j’attends quelques secondes, je le suis en prenant un chemin parallèle. Il arrive en traversant le jardin par derrière et moi par l’allée menant au garage… Nous nous croisons (un peu trop rapidement à mon goût) devant la terrasse :
— « Ah ! Vincent… Heu… Je voulais m’excuser pour tout à l’heure. Je suis navrée… Le matin je peux réagir un peu maladroitement… Je ne voulais pas te crier dessus.— Pas de souci. Tu sais, je n’aurai pas dû entrer sans frapper. Une porte fermée ne l’est peut-être pas à clé !(Je discerne une pointe de moquerie dans sa phrase, ce qui me permet de me détendre un peu …)— Oui, bon bah oui… C’est un peu de ma faute, la prochaine fois je la fermerai !— Oui, si tu veux ! Ou bien je frapperai !— Ou bien tu frapperas ! tu as raison il ne faut peut-être pas tout miser sur ma maitrise, surtout pas le matin !— Ha ! Ha ! Nous nous mettons à ricaner un peu bêtement tous les deux mais ça a le mérite de le dérider et de me faire oublier la scène intime à laquelle j’ai assisté quelques minutes auparavant jusqu’à ce qu’il lâche ces quelques mots :— Ou bien la prochaine fois, tu ne fermes pas et je ne frappe pas, ce n’était pas non plus si désagréable !— … Hein ?!(suis étonnée !!!)— Je t’embête !— Haaaaaaaa…. (soulagée !) »

Il s’éloigne et rentre dans la maison. Je reste quelques secondes sur place en essayant de comprendre le fond de sa pensée. Pourquoi m’a-t-il dit ça ? Pourquoi tente-t-il maintenant de prendre le dessus sur moi ? Est-ce que je me fais des idées ? Est-ce qu’il m’a vu dans les bois ? A-t-il fait exprès de dire mon nom ? Joue-t-il avec moi ?

Tellement de questions qu’en me voyant là, debout sans bouger, je ne vis même pas ce qui m’arrivait dans mon dos quand je ressentis une douceur, un parfum et une sensation si sensuelle… suivies d’un long bisou doux sur mon jour…
— « Coucou toi !Je me retourne et vis devant moi une jeune femme d’environ 1m75, fine mais bien foutue, châtain foncé, yeux clairs et tout brillants et un sourire à tomber.— Béné !!!!!! »
Et voici la fin de cette partie !Qu’en avez-vous pensé ?Bises à tous !! Envoyez-moi des messages ! Je réponds je ne mords pas !!!
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