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Je suis resté bouche bée

Chapitre 2

Erotique
En rentrant chez moi ce midi, j’étais complètement perturbé par ce que je venais de voir. Je me prends une bière rafraichissante, essaye de me détendre, mais les images me reviennent en permanence. C’est la première fois de ma vie, que je vois une scène zoophile devant mes yeux.
Je vais à la salle de bains, je me prends une douche, mais rien n’y fait, je suis toujours dans le brouillard. Je me décide alors à aller voir sur des forums l’intérêt que peut avoir une femme pour faire ce genre de pratique.
Je lis tout un tas de commentaires. Ils parlent d’un plaisir intense, d’une jouissance beaucoup plus importante qu’avec un homme et aussi d’une éjaculation quasi-permanente. Quelques fois, des images accompagnent les écrits, et ma main rejoint automatiquement ma verge. Je me surprends, puisque je suis en érection en voyant ces clichés.
Sur un moteur de recherche bien classique, je tape donc, zoophilie avec un chien. Certaines vidéos sont classiques, un peu comme dans la pornographie entre adultes, mais d’autres sont d’un tout autre calibre. Et effectivement, les vidéos amatrices prouvent les dires des pratiquantes sur les forums.
Je me masturbe même en voyant l’un d’elle, où l’on voit le mari de la femme participer à cette pratique. Je ne tarde pas à me jouir sur ma main qui s’activait en dessous de mon pantalon. Il est bientôt dix-sept heures, ma compagne va bientôt rentrer du travail, j’efface l’historique, et reprends une douche pour nettoyer ma petite bêtise.
Je m’habille de façon classique avec un jogging et un marcel. C’est ma tenue, disons de repos après le travail.Il est dix-sept heures trente, j’entends la clé tournée dans la serrure, c’est ma compagne qui revient du travail. Elle vient à ma rencontre pour m’embrasser, aujourd’hui, comme à chaque fois, elle est resplendissante. Pour vous la décrire, elle est typée orientale, mesure un mètre soixante-cinq, possède une paire de fesses d’un délice sans nom et aussi d’une poitrine généreuse, et elle s’appelle Anissa.
Elle est esthéticienne dans une petite boutique du centre-ville. Elle est donc souvent bien apprêtée. Avant même qu’elle parte se changer de tenue, je la retiens avec un peu de force par le bras, je veux un deuxième baiser. Je ne sais pas pourquoi, mais à l’heure qu’il est, je suis excité comme pas possible.
Elle est d’ailleurs un peu surprise par ma réaction, mais ne refuse pas un troisième, et même un quatrième échange de salive. Étant assis sur le sofa, je la prends par la taille et la tire vers moi. Elle est obligée d’écarter les jambes de façon obscène pour se mettre à califourchon sur moi, puis nous nous enlaçons amoureusement.
J’enlève sa veste pour laisser apparaître un chemisier blanc presque transparent. Déboutonne ce dernier un à un pour laisser paraître un soutien-gorge violet en dentelle. Je plonge dans un premier temps ma tête dans ce décolleté magnifique. Anissa frissonne, ça respiration commence à être saccadée, puis je continue.
J’enlève ce sous-vêtement, je m’amuse avec cette poitrine généreuse. Je joue avec ces tétons bruns, je les mordille, ce qui ne manque pas de la rendre encore plus chaude si je peux me permettre de le dire ainsi. Les préliminaires se poursuivent, cette fois-ci, Anissa glisse petit à petit, pour se mettre à genoux face à moi.
Elle tire sur mon jogging, je relève mes fesses pour faciliter cette action. Mon sexe pointe alors fièrement. Elle commence à me masturber, puis me prend en bouche. Sa fellation est tout simplement divine. Je suis aux anges. Ses mouvements sur mon membre me procurent beaucoup de plaisir, elle se relève, enlève sa jupe, son string violet, et vient s’empaler sur ma verge. Elle est à califourchon sur moi, et elle se déchaîne telle une furie. De mon côté, je n’hésite pas à prendre son sein droit, celui qui est, disons-le assez sensible pour la faire monter dans les tours. Au bout de dix minutes, je sens déjà sa cyprine couvrir mon membre. Je l’entraîne avec moi sur le canapé pour la mettre en missionnaire.
Je fais des va-et-vient dans son vagin complètement lubrifié, puis nous nous mettons en cuillère. Position qui n’est qu’un prétexte pour la retourner, l’allonger sur le ventre, et la prendre avec un peu plus de force. Je suis absolument fan de ses fesses, elles sont d’une beauté incroyable et douce comme de la soie.

C’est à ce moment-là, que j’ai les images zoophiles qui me sont revenus comme un boomerang en pleine face. Je me suis alors imaginé chien. Et je suis devenu bestial dans mon rapport, mes coups de reins sont beaucoup plus forts. À chaque fois, j’essaye d’aller au plus loin de son puits d’amour, elle semble apprécier ce traitement puisqu’elle couine à chaque fois.
J’essaye de me calmer, mais rien n’y fait, je suis pris dans ce tourment visuel. Après ces quelques minutes d’intensité, je jouis avec une puissance incroyable au fond de ses entrailles. Le souffle d’Anissa est saccadé, elle reprend peu à peu ses esprits, se retourne, me fait un grand sourire de satisfaction, nous nous embrassons, puis nous partons à la douche.
Nous sortons en peignoir, nous nous asseyons sur le canapé, puis nous bavardons de nos journées respectives. Je fais bien entendu fait l’impasse sur ce que j’ai vue ce matin, puis lui propose de commander des sushis histoire de finir la soirée le plus tranquillement possible. Elle valide ce choix. Au bout d’une demi-heure, le repas arrive, Anissa va le réceptionner, puis revient en souriant.
Elle me raconte que le livreur lui a fait un grand sourire à la vue d’une jeune femme sans défense en peignoir. Nous pouffons de rire suite à cette dernière phrase, nous mangeons, puis nous partons dormir.
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J’ai beaucoup de mal à dormir, déjà parce qu’il fait une lourdeur assez indésirable, et de deux parce que j’ai encore une fois, la vision du griffon prenant Valentine sur le canapé.
Anissa de son côté dort à poings fermés, je l’envie parce que je sais qu’au matin, je vais devoir travailler, je dois d’abord terminer la terrasse autour de la piscine, et en suivant j’ai la véranda d’une petite dame d’un certain âge a nettoyé. Je regarde mon réveil, il est trois heures du matin, je descends dans la cuisine prend un verre d’eau puis je retourne au lit. Quand tout à coup, ce dernier se met à sonner, il est déjà sept-heures. J’ai la tête dans le brouillard, même le café de ce matin ne me sort pas de cette situation. Je dépose un baiser sur la joue d’Anissa puis je pars en direction de cette maison bourgeoise.
Il est neuf-heures, je sonne au portail, celui-ci s’ouvre, comme d’habitude Monique m’offre le café, et je m’aperçois très vite que Valentine et le griffon ne sont pas présent dans la maison. Je pars donc en direction de la piscine, et il me faut quasiment une heure pour terminer ce chantier. J’appelle la gouvernante afin de savoir si le résultat lui convient, elle me dit que tout va bien, puis retourne derrière sa table à repasser.
Je range mon matériel dans mon véhicule, puis comme d’habitude, je vais dire au revoir à Monique. Et effectivement, la pièce où elle exerce son activité est assez petite, et il y fait une chaleur insoutenable. C’est pour cette raison, qu’elle est vêtue régulièrement d’une jupe arrivant au-dessus du genou, et d’un chemisier avec un décolleté plongeant.
Je tousse légèrement pour signaler ma présence, elle sursaute, se retourne, me fait un sourire, puis je m’apprête à lui dire au revoir. Mais une question me taraude l’esprit, pourquoi m’a-t-elle embrassé hier sur la terrasse ? Dans un élan de générosité, elle me répond assez facilement. Elle m’explique qu’elle est veuve depuis cinq ans, qu’elle n’avait pas souvent de contact avec des hommes, que la scène de zoophilie de la veille l’avait troublé, voir même excité et du coup, elle a laissé son instinct, la guider vers moi, et ma bouche.
Je ne sais quoi dire, je lui dis qu’elle a pourtant des atouts physiques forts agréables, et qu’elle devrait en tout logique faire tourner les têtes masculines lorsqu’elle marche dans la rue. Elle rougit à la suite de ces propos, elle a les yeux qui brillent un peu, sans doute une petite émotion incontrôlable. Puis nous restons statiques pendant cinq minutes, elle me propose de reboire un café, je ne refuse pas, puis nous discutons brièvement de son passé. Avant de devenir gouvernante, elle était l’épouse d’un homme qui était comptable, elle n’avait pas forcément besoin d’argent et donc ne travaillait pas.
Lorsque son mari est décédé, la propriétaire de la maison, qui est aussi l’ancienne responsable d’entreprise de son mari, lui a proposé de l’aider à tenir la maison. Le tout avec un salaire confortable pour ne pas avoir de soucis financiers. Après ces quelques mots, des larmes coulent le long de ses joues.
Je lui fais une accolade en guise de soutien moral. Elle se calme petit à petit. Elle me regarde dans les yeux, son regard vitreux est vite remplacé par un regard un peu plus langoureux. Elle me tend ses lèvres, machinalement, je l’embrasse. Elle passe sa main derrière ma nuque, ce qui me fait frissonner.
Je sens que l’expérience parle. Elle sait très bien faire monter la pression. De la cuisine, elle m’entraîne dans le salon, dans la pièce où nous avons assisté malencontreusement à une scène zoophile. Elle me déshabille complètement, mon sexe est fièrement tendu, puis elle me fait asseoir sur le canapé.
Elle se met à quatre pattes, et vient vers moi tel une tigresse. Elle prend ma verge en main, elle commence à me masturber, puis me fait une fellation. Elle n’hésite pas à parcourir ma hampe, jusqu’aux testicules qu’elle aspire délicatement. Elle se redresse sur ses genoux, puis défait petit à petit les boutons de sa chemise.
Je m’aperçois qu’elle n’a pas de soutien-gorge et sa poitrine s’expose alors à moi comme un trésor. Je veux les toucher, mais elle me fait, un non de la tête. Elle se relève alors, puis vient au-dessus de ma bouche. Elle veut que je la tète, je ne me prive pas de répondre à cette demande, ses tétons grossissent dans le même temps dans ma bouche. Après ces quelques instants, elle soulève sa jupe, enlève sa culotte, puis met ses genoux de part et d’autre de ma tête. Nous faisons alors un soixante-neuf, elle a un goût un peu acide, un peu piquant, puis rapidement une liqueur beaucoup plus agréable arrive sur le bord de mes lèvres.
Je me délecte de ce nectar, puis je sens des contractions dans son bassin. À ce moment-là, je reçois une giclée de cyprine sur le visage. Un peu honteuse, elle se retourne face à moi, me lèche le visage, et sans demander son compte s’empale sur ma verge. Elle tempère cette action par des mouvements à la fois lents et rapides. Je n’oublie pas de lécher cette poitrine généreuse, puis elle se met à quatre pattes sur le canapé.
Je la prends en levrette sauvagement, je ne ménage pas ma monture, puis je lui crache un peu de salive sur son petit trou. J’y glisse un doigt, puis assez rapidement un deuxième entre dans ses entrailles. Elle ne dit rien, au contraire cette stimulation semble l’emporter vers le septième ciel. Après quelques mouvements saccadés, elle jouit de nouveau sur mon sexe. Il est à présent assez lubrifié.
Je présente mon gland à l’entrée de son œillet. Petit à petit, je rentre, pour finir jusqu’à la garde, ses cris sont stridents à chaque geste. Elle se retourne quelques fois pour m’offrir un sourire en guise de remerciement, puis je continue, j’enchaîne des mouvements un peu plus sauvages.
Après quelques minutes de sodomie, elle se met dos au canapé, sur le bord des coussins. A présent, je n’ai qu’une seule envie, offrir ma semence à sa poitrine généreuse. Je lui fais alors une branlette espagnole d’anthologie, quand je remonte un peu plus haut mon sexe, elle le léchouille, ou le prend en bouche ce qui a le don de me rendre complètement fou.
Nous changeons un peu notre position, puisque je me suis mis à califourchon au-dessus de ses seins. Je me masturbe entre ses seins, et avec ma main. Quand soudain, je sens comme des chatouilles sur mes fesses, mais je n’y prends pas garde, je me doute bien qu’il s’agît de ses mains qui tentent de me stimuler pour jouir.
Mes gestes commencent à être désordonnés, je sens la pression musculaire montée petit à petit, je jouis alors entre ses seins, elle reçoit quelques giclées sur le front, les lèvres et dans le cou. Sauf, qu’elle continue de couiner, je ne comprends pas trop, je me relève, et je vois à ce moment-là, le griffon qui est en train de lui lécher le vagin.
Ce qui veut clairement dire que Valentine ne doit pas être très loin. Je préviens Monique, qui se relève aussitôt, et c’est à ce moment-là que la jeune femme fait irruption dans la pièce.
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