Après avoir administré une claque monumentale à son mari, Madame De Gonzac revient autour de la table, parle toute seule, disant que de toute façon monsieur est souvent bien trop occupé avec ses secrétaires pour lui donner de l’amour. Tandis que de mon côté, je continue de pénétrer avec vigueur Valentine qui ne cesse de couiner à chaque coup de butoir. Ses fesses sont d’une douceur agréable. La mère de cette dernière m’invite à faire de même avec elle. Je me rapproche d’elle, caresse son vagin qui est complètement humide puis présente mon sexe à l’entrée de celui-ci. Je la prends de façon bestiale, cette attitude me surprend, moi qui suis beaucoup plus tendre d’habitude. Valentine a rejoint Monique qui est toujours en train de faire une fellation au jeune griffon. Il a d’ailleurs retrouvé toute sa vigueur. La jeune femme profite de la situation pour faire un cunnilingus à sa gouvernante. Cette dernière semble prendre du plaisir, je l’entends grogner et souffler assez fortement. Valentine insère un doigt dans le vagin de la femme, elle se cambre, elle doit prendre un pied énorme. C’est à ce moment-là, que la jeune femme décide d’initier Monique à la zoophilie. Puisqu’elle positionne cette dernière sur le dos, elle lui écarte les cuisses de façon obscène, et le chien en profite pour laper son puits d’amour. Celui-ci n’attend pas de recevoir l’ordre pour tenter une première pénétration. Cette fois-ci, il ne tarde pas à trouver les entrailles de la femme. Le rythme est plus soutenu, il envoie des coups de butoirs désorganisés, ça ne l’empêche pas de gicler ce fameux liquide blanchâtre à plusieurs reprises. De mon côté, je suis toujours en levrette avec la mère de famille, je l’invite alors sur le canapé, je m’assois, et voilà qu’elle s’empale avec une vigueur sans précédent. Ses gestes sont bestiaux, les allers-retours sont rapides, à cette cadence-là, je ne sais pas si je vais pouvoir me retenir longtemps. Je n’oublie pas de gober ses seins qui sont en forme de poire, et qui se dressent fièrement devant mes yeux. Je la sens tressaillir, les mouvements sont beaucoup plus saccadés, elle se met à trembler, et pousse un grognement de plaisir incroyable. Elle prend une légère pause, se remet tout doucement de cet orgasme, puis s’allonge sur le dos. De manière plutôt classique, je la prends en missionnaire, elle lèche aussi mes tétons, ce qui me procure des frissons immenses. Après dix minutes de cette pratique, je jouis dans ses entrailles. Nous reprenons petit à petit nos esprits. Monique de son côté, continue de se faire mettre par le jeune griffon, et elle semble prendre un plaisir énorme. Ce dernier gicle une quantité incroyable de liquide blanchâtre. La perversion de cette soirée augmente encore d’un cran, puisque Valentine se délecte de ce jus. Elle n’en manque pas une goutte. Nous sommes tous les quatre épuisés par cette partie de jambes en l’air. Il est maintenant presque vingt-trois heures, il faut que je me prenne une douche rapidement, et je dois aussi rentrer à la maison. Monique dort sur place donc je n’aurais pas besoin de faire un grand détour pour rentrer. J’embrasse toutes les femmes, puis je m’en vais. À la maison, Anissa regarde la fin d’un film, je l’embrasse, puis nous nous couchons le plus tranquillement possible. Mais une phrase, celle prononcée par Monsieur De Gonzac me trouble, celle où il parle de vengeance, vas-t’il mettre en place un plan désastreux ? Cela m’empêche encore une fois de dormir, mais après tout ce n’est pas grave puisque je suis de repos en ce vendredi matin. Le réveil d’Anissa sonne à huit-heures, j’ouvre un peu les yeux et admire le corps magnifique de cette dernière, et je reconnais que mon attitude est complètement déplorable. Je me dois de me reprendre. Je me lève donc en même temps qu’elle, l’embrasse chaleureusement, lui fait une accolade et lui prépare son petit-déjeuner. Je lui propose même de l’emmener sur son lieu de travail, puis de venir la chercher ce soir. Elle accepte sans aucun souci. Je me dis qu’un petit restaurant ne sera pas de refus ce soir, histoire de penser à autre chose et d’évacuer le trop-plein d’émotion. Durant la journée, je cherche sur internet un lieu plutôt sympathique, nous irons, je pense dans un restaurant japonais qui se situe en dehors de la ville. Je sais qu’elle adore ce type de nourriture, donc autant lui faire plaisir. La journée est plutôt longue, j’effectue surtout le travail administratif concernant mon entreprise, je fais un peu de ménage dans la maison, bref, rien de bien passionnant. Il est bientôt dix-sept heures, je me prépare rapidement afin de récupérer Anissa au salon d’esthétisme. Je stationne mon véhicule sur le parking, puis patiente un peu en jouant sur mon téléphone. Le bruit d’une voiture un peu sportive me sort de l’écran. Je reconnais cette mélodie allemande, mais je ne me souviens plus du lieu où je l’ai déjà entendu. C’est à ce moment-là, que Monsieur De Gonzac sort du véhicule. Il regarde en ma direction, et me fait un sourire forcé. C’est un véritable coup de tonnerre que je subis de plein fouet. J’attends quelques minutes, puis je le vois sortir du salon. Anissa l’accompagne, et rit de bon cœur avec lui. Il doit lui faire la "parodie" du mec bien dans ses bottes, le mec presque parfait. Puis, elle entre dans la voiture. Je la questionne sur son attitude avec ce monsieur. Elle m’indique alors qu’elle riait assez fortement, parce que c’est la première fois qu’elle va devoir faire ce que l’on appelle vulgairement le maillot à un homme. Le ciel s’écroule sur mes épaules, puisque j’apprends par la même occasion qu’Anissa fera cette épilation. J’essaye tout de même de faire un sourire forcé, mais une boule dans l’estomac m’empêche de faire plus. Sur la route, je lui expose l’idée que j’ai eue, un petit restaurant entre amoureux ne peut faire que du bien. Elle accepte cette invitation.