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Je suis resté bouche bée

Chapitre 6

Erotique
Nous sommes à présent lundi, j’ai une boule dans le ventre, une sorte de goût amer qui m’empêche de boire le café traditionnel, mais aussi de me dire qu’aujourd’hui sera un jour comme les autres. Mais j’ai beaucoup de mal à être convaincu de cette théorie. D’ailleurs, je vais laisser l’ordinateur à Anissa puisqu’elle a décidé de raconter cette histoire à sa manière.
En ce lundi matin, je me réveille de bonne humeur, j’ai vécu un week-end formidable avec Sofiane, il est d’une tendresse incroyable et je l’aime énormément même si je sais, ou plutôt je suis quasiment sûr que c’est un homme à femmes et qu’il n’est pas toujours fidèle. Mais, je le comprends, nous sommes encore jeune, et je me dis que dans quelques temps il saura être sérieux.
Bref, il est maintenant l’heure de prendre le petit-déjeuner, je prends un thé aux fruits rouges, et une tartine de pain complet.Je vais me préparer pour la journée de travail. Je me mets une robe noire assez classique, et des sous-vêtements blancs. Je me maquille sans excès, puis je sors de la maison. Dans le bus, quelques regards sont insistants lorsque je m’assois sur un fauteuil, j’ai l’impression d’être un bout de viande dans une boucherie.
Je connais bien ces comportements puisque c’est ainsi tous les matins. Je pourrais tromper Sofiane de nombreuses fois, mais je n’ai pas la tête à ça pour l’instant. Je suis plutôt en train de me demander comment va se passer l’épilation du maillot avec Monsieur De Gonzac, je n’ai jamais fait ce genre de chose sur un homme.
Va-t-il avoir une érection ? Fait-il ça pour me draguer ? Je ne sais pas trop, toujours est-il que je vais devoir attendre dix-sept heures pour avoir ma réponse. Le temps défile assez lentement, certaines femmes viennent pour faire les jambes, les aisselles ou les sourcils.
Il est bientôt midi, et comme d’habitude, je prends une pause dans une brasserie qui est proche du salon. Le serveur ne manque d’ailleurs jamais une occasion pour reluquer mon décolleté, ce qui me permet d’avoir généralement un café gratuit en fin de repas. De plus, c’est un garçon plutôt charmant, il est brun, possède un accent un peu italien, et il est toujours galant. Lorsque, je discute avec lui, je découvre aussi une personne très cultivée, chose qui généralement me plaît beaucoup. Ensuite aux alentours de quatorze heures, je retourne vaquer à mes occupations.
Mais en cet après-midi, j’ai la tête ailleurs, l’impression d’être dans une sorte de brouillard. Il est désormais dix-sept heures, j’entends le bruit de la fameuse voiture allemande de Monsieur De Gonzac. Il ouvre la porte, je le salue avec un sourire un peu coincé, puis l’invite dans une cabine d’épilation.
Je lui indique qu’il peut se déshabiller afin de voir le travail que j’ai à faire. Ce qu’il fait dans le coin douche, il ressort nu comme un ver. Et je dois dire que je suis assez surprise, il est plutôt musclé, et possède un torse velu, quelque chose d’assez bien ordonner si je peux me permettre de le dire ainsi, puis forcément mon regard se pose sur son membre qui est également entouré de poils.
Je comprends maintenant son besoin d’être un peu plus à l’aise à ce niveau-là. Je lui propose de s’installer sur la table de travail, réajuste le coussin pour qu’il ne subisse pas de douleurs dorsales puis commence la préparation de mon matériel. Je prends un gant que j’imbibe d’eau, puis humidifie le tour de sa verge. Lors de cette première activité, ce que je craignais le plus arriva. Puisque le membre de Monsieur De Gonzac s’est dressé quasiment aussitôt. Il est plutôt imposant, et n’ayant vu que celui de Sofiane, je reste complètement stoïque pendant quelques secondes.
Le pieu ne descend pas pour autant, je ne sais pas comment je vais faire pour me concentrer, c’est une épreuve plutôt difficile. Je tente malgré tout de débroussailler le maximum de poil, mais rien y fait, les vibrations de la tondeuse semblent même augmenter la tension veineuse de ce membre.
Monsieur De Gonzac s’excuse même de me faire assister à ce spectacle peu honorifique. Je lui avoue que je m’attendais un peu à ce genre de réaction, mais que je ne sais pas comment faire pour éventuellement trouver une solution aléatoire. Après effectivement, pour travailler, c’est plus simple puisque je n’ai pas besoin d’y toucher, mais je reste tout de même gêner.
Mon client essaye de me rassurer, et me propose de travailler en sous-vêtement. Peut-être qu’en étant quasiment nue, ça me permettra d’évacuer le trop-plein d’émotion. Je lui indique que ce n’est pas très sérieux, mais si cette solution peut diminuer la tension électrique autant faire l’épilation ainsi.
Je vais tout de même fermer la boutique, je n’ai pas forcément envie d’être vu en petite tenue avec un homme, puis naïvement, j’enlève ma robe noire. Je reprends un peu confiance en moi, puis continue mon activité. Intérieurement, je me sens plus libre ce monsieur avait donc raison.
À cet instant, je vais attaquer l’aine. J’y vais avec beaucoup de prudence, mais je suis aussi obligé de prendre le sexe en main. Je le fais aller de droite à gauche afin de pouvoir effectuer ma prestation correctement.Maintenant que tout est déblayé, je vais mettre de la cire afin d’enlever les poils en profondeur. Une fois de plus, j’essaye d’être la plus tendre possible en effectuant cette action, je tire une première bande, ce qui crée une douleur à Monsieur De Gonzac. Chose qui est normale dans cette zone du corps sensible.
J’en tire une deuxième, et il réagit de la même manière. Sauf que cette fois-ci, il a saisi ma taille, peut-être pour évacuer le trop-plein de douleur. Toujours-est-il que ce geste m’a troublé complètement, c’est la première fois de ma vie qu’un autre homme que Sofiane me touche.
Je continue ainsi, avec la troisième bande qui est positionnée sur le côté droit de son aine, il crie une nouvelle fois de douleur, mais a pris l’élastique de ma culotte blanche pour se soulager. Sauf qu’en tirant, il l’a déchiré.J’ai maintenant le cul à l’air à côté de cet inconnu. Je termine mon travail ainsi. Dans tous les cas, je n’ai pas le choix. Puis pour calmer le feu de l’épilation, je lui applique une crème apaisante. Cette action ressemble presque à un massage, voir une masturbation.
Quand tout à coup, je sens une main se poser sur ma fesse droite. Je sursaute, et demande un peu de tenue à Monsieur De Gonzac. Dans un ton à la fois enjôleur et humoristique, ce dernier me complimente sur mon derrière. J’en ai les joues qui rougissent. Je ne sais pas trop comment réagir.
Je termine tout de même mon massage, il faut que je reste professionnelle jusqu’au bout. Mais ce n’est pas pour autant qu’il s’arrête, puisqu’à présent, c’est dans mon soutien-gorge qu’il y glisse ses doigts. Mes tétons ne tardent pas à réagir, car je suis très sensible à cet endroit. Ma tête part légèrement en arrière, j’ai les yeux qui se ferment de plaisir et il profite de cet instant pour enlever la bretelle qui était la plus accessible.
Machinalement, ma main arrête de le masser, se dirige vers son membre pour le masturber. Cette fois-ci, c’est clair, la dernière barrière entre Monsieur De Gonzac et moi-même vient de se casser. Il appuie légèrement sur ma tête en direction de son sexe afin que je lui fasse une fellation.
Je ne refuse pas, et commence donc les préliminaires. Je fais quelques va-et-vient classiques, jusqu’au moment où mon client saisit mes cheveux. Il me baise carrément la bouche au point d’en baver sur le matelas. Maintenant, il me prend par la taille, je me rapproche de sa tête, il m’embrasse, tout en malaxant ma poitrine.
A présent, il se relève, il est face à moi, il lèche mes seins avec un talent incroyable, il doit avoir une sacrée expérience, car il me mène à la baguette. Il se positionne à présent derrière moi, à genou et goûte à la totalité de mon sillon. Il passe par mon petit trou, puis mon puits d’amour. Il y glisse trois doigts à l’intérieur et me doigte avec beaucoup de vigueur.
Je sens à présent son membre contre mes fesses, je ne suis plus du tout moi-même, je sais que je vais tromper Sofiane, mais je m’en moque, je pense qu’à mon plaisir personnel. Monsieur De Gonzac me penche légèrement en avant et me pénètre en levrette.
Mes fesses claquent le bas de son ventre, ses mouvements sont profonds, il bute même sur le fond de mon vagin. Son sexe est vraiment énorme, j’ai l’impression qu’il va me perforer. Maintenant, nous sommes sur la table de travail, j’ai les jambes écartées, et il me prend ainsi en missionnaire. Il varie les plaisirs puisqu’il fait passer mes deux compas au-dessus de ses épaules pour continuer à aller encore plus en profondeur. D’un geste brusque, il me positionne sur le ventre, il me prend ainsi, c’est la position de l’approche du tigre, c’est ce qu’il me dit en tout cas.
Et c’est de cette manière-là, qu’il a créée en moi des spasmes sans précédent, à tel point que j’ai crié de jouissance. Sans doute, un peu épuisé par cette épreuve, nous sommes à présent dans une position plus confortable puisqu’il s’agit de la cuillère. Il reprend de la vigueur, puisqu’il tape une nouvelle fois au fond de mon vagin.
De mon côté, je ne cesse de grogner, et je veux absolument qu’il vienne en moi. Ce qui ne tarde pas à arriver au bout de dix-minutes dans un cri de jouissance commun. Il est dix-huit heures, je suis en retard, avec Monsieur De Gonzac, nous prenons une douche. Puis nous sortons de la boutique, puis il me propose de me raccompagner jusqu’à mon domicile. Je lui indique que je prends le bus, il décide de le prendre avec moi, et comme d’habitude je sens des regards appuyés sur mon corps.
Nous nous asseyons, puis j’en fais part à Monsieur De Gonzac. Qui audacieusement soulève le bas de ma robe. Je lui dis d’arrêter, que ce n’est pas sérieux, et me rétorque en me disant qu’au moins ils auront une légère vue aguichante. Et qu’avec un corps comme le mien, c’est assez difficile de résister à la tentation.
Je lui dis que je suis malgré tout une fille respectable, et il me rétorque de nouveau qu’à la boutique lorsque nous faisions l’amour le respect, c’était un peu envolé. Je souris à cette remarque, avoue cette faiblesse, et le laisse relever ma robe jusqu’à mi-cuisse.
Les habituels badauds du bus ne manquent pas une miette de ce spectacle, et sincèrement, j’espère que la tension sexuelle qui règne dans le bus va s’apaiser.
C’était sans compter sur l’intrépidité de Monsieur De Gonzac…
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