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Je suis resté bouche bée

Chapitre 7

Trash
Je suis actuellement sur le chemin du retour, accompagnée par Monsieur De Gonzac. C’est un monsieur plutôt charmant, très enjôleur à tel point que nous avons échangé un plaisir charnel dans la boutique d’esthétisme.
C’est la première fois de ma vie que je trompe mon compagnon, et je crois bien que l’adrénaline que j’ai ressentie au moment de la pénétration, au moment de l’acte interdit si je puis me permettre de le dire ainsi, m’a clairement envoyé au septième ciel.A présent, je suis avec lui dans le bus, les quelques badauds présents ne manquent pas une seule miette du spectacle qui leur est offert. En effet, Monsieur De Gonzac a relevé de façon intrépide le bas de ma robe à mi-cuisse.
Cela crée une sorte de tension érotique dans le véhicule de transport. De plus, je ne possède plus ma culotte puisque cette dernière a été déchirée. Je sens bien que le bas de mon ventre réagit à cette épreuve. Mais je sais aussi que je dois me contenir, malgré l’écart de conduite, je me dois de rester une femme respectable, mais c’était sans compter sur le côté très malicieux de mon amant.
Ce dernier ne s’arrête pas à mi-cuisse, puisqu’il remonte la robe jusqu’à la lisière de mes fesses. Je lui demande à quoi il joue, que ce n’est pas sérieux, car je prends cette ligne le matin et le soir. Que généralement, ces messieurs ne se privent pas pour me reluquer de façon assez outrageuse et que je souhaite préserver tout de même ma réputation.D’un ton assez glacial, mon amant me dit que cette notoriété va changer, qu’il va faire de moi sa maîtresse, sa déesse, mais aussi sa soumise. Je lui rétorque tout de même que je suis en couple, que je veux bien être son amante, sa déesse, mais sa soumise non.
Il m’explique d’un ton rassurant que ce mot, cette signification n’est pas en rapport avec le bondage, ou le sadomasochisme, mais simplement dans l’expression de ses fantasmes. Il me dit qu’il aime bien partager ce bonheur, il me parle de libertinage, d’échangisme.
Cette dernière phrase m’électrise, j’ai l’impression qu’un électrochoc vient de choquer mon esprit. Je suis muette pendant cinq minutes, je suis prise entre deux sentiments, celui d’arrêter cette mascarade avec l’éventualité de me trouver un autre amant, ou alors celui de tenter l’aventure.
Après tout, j’ai bien des soupçons sur la fidélité de Sofiane. Pourquoi je me priverai de connaître des histoires hors du commun alors que lui, s’éclate, s’amuse. Je tolère cette situation. Alors mon compagnon officiel se doit aussi de respecter mon choix, si d’aventure, il apprend quelque chose…
Quand tout à coup, je sens une main frôlée l’intérieur de mes cuisses. Monsieur De Gonzac me fait un clin d’œil charmeur. Il est en train de me caresser. Je regarde autour de moi, et vois clairement les cinq badauds habituels baver devant cette image. Mon amant m’invite à rejoindre le fond du bus, il défait sa ceinture, déboutonne son pantalon et sort son membre. Il est déjà assez impressionnant. Ce dernier m’invite à lui faire une fellation. Je ne résiste pas longtemps à la tentation. J’essaye d’être la plus intime possible en me mettant à genou sur les sièges de derrière, mais Monsieur préfère me mettre à quatre pattes devant lui.
Ma croupe doit être visible à qui le souhaite. En attendant, je continue de satisfaire mon amant en variant les plaisirs, à la fois lents et rapides, les mouvements sont légèrement saccadés. Il saisit mes cheveux afin d’aller au plus profond de ma gorge, puis retire les bretelles de ma robe.
Je suis à présent demi-nue face à lui. Il me relève légèrement pour me faire une cravate de notaire, puis je retourne en direction de son sexe pour l’aspirer de nouveau. Quand soudain, je sens une main se poser sur ma fesse droite. Ça ne peut pas être celle de Monsieur De Gonzac puisqu’il me tient la tête. Je me retourne, et vois l’un des badauds me toucher. Cette action m’électrise totalement, je fais les gros yeux à mon amant, qui me réplique par un sourire narquois. Je lui dis qu’il exagère, mais je suis vite coupée dans mon souffle lorsque le gars insère un ou deux doigts dans mon vagin.
Il n’a pas de mal à me pénétrer puisque je mouille abondamment depuis le début de la fellation. Ce côté exhibitionniste m’excite énormément. A présent, je me fais doigter de façon beaucoup plus sauvage, et je ne tarde pas à offrir des jets de cyprine à cet inconnu. J’entends alors une braguette s’ouvrir, puis je sens le sexe de ce type contre mes fesses. Il se frotte contre mes lèvres, puis d’un coup assez fort me pénètre sans ménagement.

Ses va-et-vient sont plutôt saccadés, visiblement, il ne doit pas avoir l’habitude de faire l’amour. Il continue malgré tout de me pilonner avec force, ce qui provoque en moi un orgasme. Le petit cri a dû réveiller ou disons-le clairement inciter les quatre autres mecs du bus puisque je sens plusieurs mains me toucher le corps.
Certains touchent avec avidité mes seins, un autre me doigte l’anus, et le dernier s’est présenté devant moi pour profiter de ma langue agile. Je suis clairement leur jouet sexuel. Et sincèrement, cela me procure un plaisir immense, je suis heureuse de connaître ce côté extrême de ma sexualité personnelle.
Bref, en attendant, le premier mec qui était en moi vient de jouir sur mes fesses. Celui qui me titille le petit trou en profite pour prendre sa place. Ce n’est pas pour le vanter de façon outrageuse, mais il est beaucoup mieux monté. Il pénètre brièvement ma vulve, non pas pour y prendre du plaisir, mais pour lubrifier son sexe.
Puisqu’il est à présent à la porte de mon anus, il n’a pas besoin de forcer énormément pour me pénétrer étant donné qu’au salon d’esthétisme Monsieur De Gonzac est passé par là. Le mec est dans mes entrailles, mais je ne peux pas crier, car une autre verge occupe ma bouche.
Il s’enfonce en moi de façon puissante, j’ai l’impression qu’il va me perforer. Il s’arrête un instant, me lèche le petit trou puis recommence son manège. Au bout de cinq minutes, nous jouissons en même temps. Le gars qui profite de mes lèvres s’est positionné en dessous de moi, je m’empale d’ailleurs assez vite sur son membre, tandis que le dernier qui malaxait mes seins maladroitement, mais avec avidité se présente à l’entrée de mon anus. Il tente de me pénétrer par à-coup, c’est la première fois que je vais connaître la double pénétration, qui plus est avec des inconnus. Les deux hommes mettent facilement cinq minutes pour se coordonner dans les gestes. Cette fois-ci, je prends énormément de plaisir, j’ai poussé le vice à son maximum.
Moi la jeune femme sérieuse, et fidèle, me voilà complètement dévergondée. Et ce n’est pas pour me déplaire, je découvre une autre facette de ma personnalité. En attendant, je me fais secouer dans tous les sens. Les deux hommes semblent experts dans cette position, mais ne tardent pas à jouir.
Je reçois alors dans mes entrailles des jets de sperme et de mon côté, j’envoie des jets de cyprine. Monsieur De Gonzac me fait un sourire, je lui renvoie. Quand tout à coup, le chauffeur de bus arrête son véhicule sur le bas-côté, et vient chercher son bonheur. Il se déshabille rapidement, lèche mon vagin et mon anus poisseux, puis m’allonge sur le dos. J’écarte mes jambes, et il ne se fait pas prier pour me pénétrer.
Pendant ce temps-là, je vois le flash d’un appareil photo, il s’agit du téléphone de Monsieur De Gonzac qui veut immortaliser ce moment. Je gronde un peu, mais les coups de butoir m’empêchent de parler. L’homme soulève alors mes compas, puis s’enfonce au plus loin qu’il peut. Son gland est plutôt gros, mais sa verge petite, ce qui fait que je sens bien entendu le pieu coulissé, mais sans plus. Il transpire à grosse goutte, la chaleur ambiante du bus n’est pas très agréable.
Le chauffeur de bus me change une nouvelle fois de position. Contrairement aux autres types, il est beaucoup plus endurant. Il me prend désormais en levrette, et me doigte l’anus en même temps. Cela me provoque quelques convulsions de plaisir. Au bout de dix minutes, ce dernier vient lui aussi en moi.
Puis, il reprend la route comme si de rien n’était. J’essaye de me réajuster, histoire d’être présentable lorsque je franchirai le seuil de mon domicile. Mais c’est assez difficile, de plus, j’ai le sperme qui coule le long de mes cuisses. En gros, je vais faire un sprint à la douche, mais j’ai oublié un détail, Monsieur De Gonzac n’a pas joui.
Je lui offre alors ma bouche, je fais coulisser le membre entre mes lèvres, ce dernier semble apprécier ce traitement, puis il saisit de nouveau ma tête. Non pas pour aller en profondeur, mais simplement pour exploser de plaisir. Je me délecte de ce jus. Puis nous nous rhabillons. L’arrêt Montesquieu s’affiche, c’est le mien. J’embrasse amoureusement mon amant, salue le chauffeur de bus, puis rentre à la maison. Au bout de deux cent mètres, je vois le véhicule de société de Sofiane.
Je tourne la clé dans la porte, vais faire un smack à Sofiane puis part me doucher. Je fais couler l’eau chaude pour me détendre. Après ce quart d’heure de détente, je sors, je me sèche, et reçois un MMS sur mon téléphone. C’est une photo de Monsieur De Gonzac, celle où je me fais prendre par le chauffeur de bus.
On me voit clairement prendre du plaisir. J’en ai la bouche ouverte de béatitude. Un message écrit est en dessous de l’image. C’est une invitation pour aller manger à la brasserie du centre-ville là où je déjeune le midi, nous irons vers vingt-heures pour y prendre un dîner. Je réponds à cette dernière par l’affirmative.
Puis je rejoins Sofiane qui joue à sa console. Nous mangeons ensemble, nous discutons brièvement, mais sans plus, puis nous nous couchons. Pendant mon sommeil, je revois les images, je ressens les sensations de plaisirs que j’ai ressenties dans le bus, et sincèrement, je ne suis pas prête de les oublier.
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