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Je suis resté bouche bée

Chapitre 9

Zoophilie
Cette question taraude mon esprit toute la nuit. Comment savoir ? Par quel moyen ? Autant d’interrogation sur une pratique certainement très jouissive, mais aussi interdite par les mœurs d’une société qui se veut uniforme.
J’ai quasiment fait une nuit blanche, entre l’information que m’a donnée Monsieur De Gonzac sur l’infidélité de Sofiane, mais aussi les pratiques diverses et variées, j’ai eu beaucoup de mal à dormir.
Je savais que mon compagnon me trompait, j’en étais convaincue, mais je pensais plus à des filles de son âge lors de soirée, ou à la salle de sport. Ce qui peut éventuellement être pardonnable avec le temps, mais jamais je n’aurais cru en des pratiques extrêmes, qui plus est chez l’un de ses clients.
Bref, je suis sorti de mes pensées par mon copain, il me fait des bisous dans le cou, cherche à me toucher, mais une nouvelle fois, je le repousse. Il grogne à nouveau, puis part en claquant les portes de la maison.De mon côté, je me lève, pars en direction de son bureau où il y a un ordinateur ainsi qu’un accès à internet. Je tape dans la barre de recherche zoophilie. Je regarde une, deux puis trois vidéos et en effet, les femmes présentent dans ces dernières, semblent prendre un pied incroyable.
Je me touche même en voyant l’image d’une femme soumise par son berger allemand. Quand soudain, je regarde l’heure, il est huit-heures, mon bus vient de passer et je vais être très en retard pour ouvrir mon salon d’esthétisme.
Je m’habille en vitesse, et je téléphone à Monsieur De Gonzac. Je lui demande s’il est disponible, il me répond par l’affirmative et est en un rien de temps devant mon domicile. Nous nous embrassons puis il me demande les raisons de ce retard. Timidement, et un brin gêné, je lui explique que j’étais en train de regarder des vidéos zoophiles afin de mieux comprendre le sujet, mais aussi le plaisir que les femmes pouvaient ressentir lors de l’acte. Il glisse malicieusement une main sous ma robe, me caresse à travers mon string et s’aperçoit que je suis mouillé.
Il me dit alors qu’il ne croyait pas que ce genre de pratique m’aurait excité à ce point. Je rougis suite à cette remarque. Il est huit-heures trente, je suis contente, car nous sommes un peu en avance donc du coup, je vais pouvoir me maquiller afin d’entamer ma journée de travail. Mais en arrivant devant le salon, je vois deux sans domicile fixe avec un chien dormant devant la vitrine.
Gentiment, j’essaye de les réveiller, afin qu’ils aillent un peu plus loin. Monsieur De Gonzac tente de faire de même, l’un d’eux, Aldo se réveille difficilement, bouscule un peu son ami Éric ainsi que le chien qui se met à aboyer fortement. Les deux hommes se lèvent, et me dévisagent complètement.
Ils discutent entre eux, quand soudain, je me fais interpeller de façon un peu outrageuse. Aldo demande à son ami si je ne suis pas la salope d’hier soir qui s’est fait sauter dans la brasserie. Je ne sais pas où me mettre. Je leur demande un peu de respect.
Mais Éric en rajoute une couche disant que le respect n’existait pas hier soir à la vue de tous, que ce n’est que foutaise. En même temps, ils n’ont pas forcément tort, depuis que j’ai entamé ma relation d’adultère, je suis devenue une belle coquine. Mais ce n’est pas pour autant qu’il faut le crier sur les toits.
Monsieur De Gonzac les prend à part, essaye de les calmer ce qui arrive au bout de dix minutes puis les invite à venir ce soir à dix-sept heures trente.
J’en ai du mal à avaler ma salive. Je l’interroge, et il me répond qu’après les hommes du bus, le serveur de la brasserie, ces deux hommes me désirent énormément. Je lui réplique avec une colère non dissimulée que je ne suis pas sa putain, que j’ai encore le droit de choisir avec qui je couche.

Il me répond le plus simplement du monde en me rappelant qu’il apprécie le candaulisme, et l’échangisme, que dans le bus, j’avais réagis de la même manière pour finalement apprécier le traitement qu’il m’avait offert. Là, il vient de marquer un point, car effectivement dans l’autobus, j’ai pris un pied d’enfer. Dans le même temps, je me suis calmé, et accepte donc ce rendez-vous.
Ce dernier me promet qu’à l’avenir, il sera plus attentif vis-à-vis des partenaires qu’il choisira. La journée se déroule normalement, le midi, je mange une nouvelle fois dans la brasserie, le serveur m’offre alors son plus grand sourire, et je rêve à travers la vitre.
Ou plutôt, je repense à hier soir, à ce qui s’est passé entre Monsieur De Gonzac, le bel italien et moi-même. J’en soupire d’émotion. À la fin du repas, je ne paye pas, il est offert me dit mon bel italien puis je retourne dans la boutique. Il est dix-sept heures et quart, j’entends la voiture de mon amant, il se présente à la porte, nous nous embrassons puis nous discutons de tout et de rien, il me promet à nouveau qu’il m’emmènera dans des clubs échangistes afin que je choisisse mes partenaires sexuels et qu’il arrêtera de me mettre dans des situations compliquées.
J’accepte cette proposition. Un quart d’heure après, Éric et Aldo frappent à la porte, ils se sont faits beaux pour l’occasion, puisqu’ils ne sont plus en tenue de rue, si je peux me permettre de le dire ainsi. Ils sont tout propres, même le chien a eu droit à sa toilette visiblement.
Je leur propose de boire un verre dans l’arrière-boutique, mais c’était sans compter sur la contenance de leur sac à dos. Ils ont ramené des bières fraîches et des chips. Ils ont réellement pris la décision de me séduire plutôt que de me sauter vulgairement comme le disait Éric lors de notre dispute de ce matin.
Nous trinquons donc à la santé de chacun, nous discutons de tout et de rien, puis soudain Monsieur De Gonzac m’invite à faire un striptease. J’allume la musique de la boutique, mets un disque contenant des chansons langoureuses, puis commence mon effeuillage.
Je joue dans un premier temps avec les bretelles de ma robe en faisant semblant de les enlever, je soulève cette dernière légèrement afin de montrer le bas de mes fesses, puis danse un peu pour affoler mes compagnons du jour. Je continue mon manège, à présent, j’ai enlevé le haut de mon vêtement, je suis en soutien-gorge face aux trois hommes, puis j’ôte ma robe. Je suis en petite tenue, les trois hommes ont sorti leurs verges et commencent à se masturber. Je dois dire pour être honnête qu’ils sont bien montés, je sens que je vais en prendre plein les trous si je peux me permettre de le dire ainsi. Je marche langoureusement devant eux, les effleure afin de les rendre fous d’excitation, puis je me remets devant eux.
A présent, j’entame les minutes les plus érotiques de ma vie. Je dégrafe mon soutien-gorge, le maintien avec mes mains, puis le lance en direction des trois hommes. Je fais de même avec mon string. Aldo le porte à son nez, Éric fait la même chose puis je me mets à genou devant ces trois membres imposant. Je leur fais une fellation, Monsieur De Gonzac savoure ce moment, sa tête part en arrière, puis je passe aux deux autres hommes. Aldo est un peu plus brutal, puisqu’il me tient par les cheveux et me baise la bouche. Il va jusqu’à buter sur ma luette. J’en ai des hauts le cœur, puis son compagnon profite à son tour de ma bouche. Il est un peu plus calme, je dirais qu’il est presque romantique dans sa façon de faire. Monsieur De Gonzac me relève, m’entraîne vers lui et je m’empale sur son membre.
Il me lime avec une force incroyable, ce qui m’arrache un premier cri de jouissance. Au bout de dix minutes, c’est au tour d’Aldo de profiter de mon corps, il est toujours aussi brutal, à chaque fois, j’ai l’impression qu’il va me déchirer, mais je dois avouer que cette puissance, cette bestialité provoque en moi des contractions dans le bas de mon ventre. J’ai dû avoir au moins trois orgasmes en l’espace de quinze minutes avec lui.
Quant à Éric, il est toujours aussi tranquille. En mode amoureux si je puis dire. Il me prend avec tendresse, profite même de la situation pour me lécher les seins, me les mordre, mais avec un respect incroyable. Monsieur De Gonzac prend alors l’initiative de me mettre à quatre pattes.
Il me prend en levrette, puis les trois hommes font de même. Maintenant place à une séance de sodomie que je ne peux pas oublier. Mes fesses claquent contre le bas du ventre d’Aldo, cette position le rend encore plus fou. Il me défonce clairement, j’ai l’impression d’être une poupée gonflable avec lui tandis qu’Éric est un soulagement pour moi, son calme me permet de reprendre un peu de souffle quand soudain son bassin se contracte, sa verge inonde de sa semence mes entrailles.
Il s’assoit sur le côté, tandis que Monsieur De Gonzac s’allonge sur le dos. Il me pénètre le vagin en chandelier, puis je sens deux doigts entrer dans mon petit trou complètement lubrifié. C’est Aldo qui prépare mon anus afin de me pénétrer. Ce qu’il fait au bout de quelques instants. Son membre est imposant, dans un premier temps, je crie de douleur, puis petit à petit, c’est une autre sensation qui parcourt mon corps puisque je suis en extase totale. Les deux hommes me prennent avec vigueur, je suis prise en sandwich, de plus ils sont en totale harmonie pour m’offrir des orgasmes à répétition.
Au bout d’un quart d’heure, je sens plusieurs jets explosés dans mes entrailles, ils viennent de jouir en même temps que moi. Ils s’assoient sur le côté, et moi, je reste allonger sur le dos, les jambes écartées. J’ai les yeux dans le brouillard, je suis encore émue par ce qui vient de m’arriver.
Quand tout à coup, je sens une langue parcourir mon vagin de haut en bas, de façon complètement saccadée. J’essaye de me relever, mais une pression sur mon épaule m’en empêche de le faire. Je continue de profiter de ce cunnilingus délicieux, je sens bien que la langue me pénètre assez loin dans mon vagin.
Le brouillard disparaît petit à petit de mes yeux, et je m’aperçois alors qu’il ne s’agit ni d’Aldo, ni d’Éric ou de Monsieur De Gonzac mais bel et bien du chien appartenant aux deux hommes. Je ne l’arrête pas pour autant, puisqu’il me donne du plaisir. Je saisis à présent le membre de l’animal, il est assez imposant, je le masturbe, ce dernier semble prendre beaucoup de plaisir puisqu’il sécrète un liquide blanchâtre sur le sol et dans mes mains.
J’essaye de lui faire une fellation, il semble heureux de ce traitement, puis j’écarte mes compas le plus possible afin de voir jusqu’où va aller l’animal. Il positionne ses pattes avant de chaque côté de mon corps, présente son sexe à l’entrée de mon vagin, et fait des gestes désordonnés. Je le guide du mieux que je peux, enfin, plutôt comme j’ai vu dans les vidéos. En missionnaire, tout ceci semble difficile à mettre en place.
Mais il réussit tout de même à me prendre. Je sens qu’il est gêné, qu’il ne peut pas aller à fond. Du coup, je me positionne à quatre pattes. Il renifle ma vulve, lui donne deux trois coups de langue, me monte sur le dos et réussit à me pénétrer. Ça y est, il est en moi, il me pilonne maladroitement dans un premier temps, puis trouve au bout de cinq minutes le bon tempo.
D’un coup puissant, il reste bloquer en moi pendant dix bonnes minutes. Je ressens alors plusieurs jets de sperme certainement, puis il reprend ses gestes. Il me fait jouir comme jamais, je ne sais pas si c’est la situation dans laquelle je suis ou l’animal en lui-même, mais je suis dans une sorte d’extase incontrôlable.
Ses coups sont bien accordés, puis je vois comme un flash dans la pièce. Ça me fait sursauter, mais je n’y prends pas garde et puis je ne peux pas vraiment bouger. Au bout de quinze minutes, l’animal sort de moi et se couche dans un coin du salon. Pour ma part, j’ai un liquide poisseux qui sort de mon vagin, puis part me doucher.
Entre-temps, les trois hommes m’ont fait un sourire qui en dit long sur ce qui vient de se passer. Après m’être rafraichis, Aldo et Éric sont partis tout en me remerciant pour ce moment de plaisir. Monsieur De Gonzac est resté avec moi. Nous bavardons quelques minutes, puis ils me ramènent à mon domicile.
Il est presque dix-neuf heures, je dîne avec Sofiane, puis le téléphone de ce dernier reçoit un message. Il l’ouvre, et entre dans une colère noire. Je lui demande ce qu’il se passe, pourquoi un tel comportement, puis me montre une photo. Sur cette dernière, on me voit nue, avec le chien qui me prend en levrette. Je rougis de honte, ou de colère, je ne sais pas trop, mais je lui explique que j’ai rencontré Monsieur De Gonzac et que ce dernier m’a tout expliqué sur l’aventure qu’il a eue chez ce dernier avec sa femme, sa fille et aussi le chien de la famille.
Il y a une urgence à mettre les cartes sur table afin de savoir si oui ou non, on arrête ces relations extra-conjugales, ou si on continue, ce qui emmènera à coup sur notre couple droit dans le mur.
Ce soir, nous ne dormons pas ensembles. Seule dans le lit, je repense aux moments torrides que je viens de vivre et je ne peux m’empêcher de me masturber. Je me demande même si j’ai réellement envie d’arrêter, car Monsieur De Gonzac a créé la femme que je suis aujourd’hui. Mais, je ne manquerai pas de lui exprimer mon mécontentement sur le fait qu’il est envoyé la photo à Sofiane.
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