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Je suis resté bouche bée

Chapitre 10

Avec plusieurs hommes
Il fait nuit, il est trois heures du matin, et je transpire. Je me revois encore une fois soumise dans le salon d’esthétisme avec Aldo, Eric, Monsieur De Gonzac et le chien en train d’échanger un plaisir charnel que je n’oublierai sans doute jamais. D’un parce que j’ai pris un pied énorme, et de deux parce que j’ai découvert une pratique que j’aurais trouvée scandaleuse il y a encore quelques mois, mais qui finalement m’a plu.
Je repense aussi à cette photo que mon amant a envoyée sur le portable de Sofiane, il s’agit ici d’une vengeance personnelle, mais d’après les dires de Monsieur De Gonzac cette sensation, ce besoin s’est transformé en sentiment d’amour.Ses pratiques sont certes peu catholiques, entre l’échangisme, le caudaulisme, et quelques dérapages zoophiles, mais ces dernières m’ont totalement transformé.
Je me sens femme, je me sens désirée, et ce n’est pas rien. Je ne suis plus ce vulgaire bout de viande a qui ont fait l’amour, ou que l’on baise juste pour l’hygiène, mais parce que je suis devenue fatale, et certainement belle ou plutôt désirable aux yeux des hommes que j’ai rencontrés jusqu’à maintenant.
J’essaye de me rendormir, mais c’est quasiment impossible. Heureusement, que je suis en week-end sinon je n’aurais pas tenu la journée à la boutique.
Il est maintenant sept-heures du matin, je vais dans la cuisine, me fait un café, prends une tartine de pain puis m’étale de tout mon long dans le canapé afin de regarder la télévision. Il n’y a pas grand-chose d’intéressant, du coup, je me rendors quelques instants, enfin presque deux heures, puisque je suis réveillé par Sofiane.
Ce dernier n’a pas desserré les dents depuis hier soir. Nous nous disputons à nouveau, il n’y a plus de retour possible. Je lui explique pourtant qu’il m’a trompé plusieurs fois, que ce n’est pas normal, mais rien n’y fait. Il fait sa victime alors que depuis que nous sommes ensembles, je lui ai quand même permis de s’amuser afin qu’il calme sa libido, mais aussi son envie de plaire, mais il ne perçoit pas cette tolérance de la même manière en ce qui me concerne.
Pour lui, j’aurais dû rester la femme docile, le genre qui reste à la maison pendant que le coq part s’éclater. Sauf que je ne le vois pas de cette manière-là. Il est à présent, onze heures, il doit partir à la salle de sport. Il quitte la maison en claquant la porte.
De mon côté, je m’empresse de prendre mon téléphone afin de téléphoner à mon amant afin que l’on se donne rendez-vous quelque part. Il me propose le bord du lac où se trouve le restaurant japonais. Je valide ce choix. Je me prends une douche, m’habille de façon classique avec un débardeur et un jean puis me maquille légèrement.
À midi trente, j’entends le ronronnement de sa voiture, il se gare, sonne, puis nous partons. Durant le premier quart d’heure, le silence est pesant dans le véhicule puis je me lance. L’interroge sur le pourquoi du comment il a pris la décision d’envoyer la photo sur le téléphone de Sofiane. Ce dernier me parle de vengeance. Je lui dis tout de même que c’est osé, qu’il aurait pu être plus adulte dans son attitude.
Mais comme il a très souvent le dernier mot, il réplique en m’expliquant que mon compagnon a quand même couché avec sa femme et sa fille dans la même soirée.
Et qu’il ressentait une vraie colère, une vraie frustration de voir ça sous son propre toit. Je lui dis que je comprends tout à fait cette situation puis nous arrivons sur les bords du lac. Nous marchons quelques instants, puis nous nous asseyons. Nous bavardons de nouveau de tout et de rien.
Il m’explique qu’il va demander le divorce avec sa femme, il n’a plu envie de vivre avec elle me dit-il. Puis une phrase, tel un électrochoc vient heurter mon esprit, il me propose de rompre avec Sofiane afin de vivre avec lui. Dans un premier temps, je bégaye, je ne sais pas quoi répondre, puis il me coupe et me demande d’être disponible, dans un premier temps, je ne comprends pas où il veut en venir.
Puis, il me le dit plus clairement, en me disant qu’il souhaite avoir un enfant avec moi. Je manque de m’étouffer en entendant cette dernière parole. Je lui dis que je ne sais pas, que je ne m’attendais pas à tant de nouvelles venant de sa part. Je l’interroge sur la faisabilité de la chose, sur son côté espiègle, sur sa sincérité lors d’une relation amoureuse, et puis en dernier sur la différence d’âge.
Vingt-ans d’écart, c’est assez énorme même si de nos jours, les mœurs ont changé. Il me prend alors par la main, puis nous partons dans une direction inconnue. Nous arrivons en bas d’une résidence privée très luxueuse, nous montons dans l’ascenseur au premier étage, puis il ouvre une porte.
Cette dernière donne sur un appartement assez grand. Il me le fait visiter, et me demande s’il me plaît. Bien entendu, je réponds oui en hochant. Ce dernier est magnifique, et il me parle de ce lieu comme de notre cocon d’amour. Sincèrement, je ne suis pas adepte du brillant, du luxe, mais je dois avouer que je me sens bien ici.
Pendant quelques instants, j’imagine les meubles, les appareils électroménagers qui pourraient prendre place ici. Je lui demande tout de même un peu de temps pour réfléchir. Chose qu’il accepte sans aucun souci. Nous nous câlinons, embrassons, puis il me propose d’enterrer le côté très coquin que j’ai acquis avec lui afin que nous nous stabilisions le plus possible.
Je lui demande alors comment, mais il ne me répond pas. Nous retournons dans sa voiture, puis nous partons en direction d’une ville voisine. Il se gare dans le coin un peu chaud, si je peux me permettre de le dire ainsi, nous entrons dans une boutique aux vitres fumées.
Mes yeux s’écarquillent puisque nous sommes dans un sex-shop. C’est la première fois de ma vie que j’entre dans ce type d’endroit. Nous saluons le vendeur qui me dévisage complètement, puis nous partons dans le coin des tenues sexy. Il m’en choisit une qui ressemble à celle d’une écolière, il y a un bustier blanc, une jupe à carreau, des sous-vêtements blancs en dentelle ainsi qu’une cravate. Il m’invite à aller l’essayer au sous-sol.
J’ouvre le rideau, entre dans la cabine d’essayage, puis commence à me déshabiller puis met la tenue. Monsieur De Gonzac me trouve très charmante. Je me regarde dans une glace et effectivement je suis réellement sexy. Il me propose de me l’acheter, j’accepte. Quand soudain, il m’invite même à sortir ainsi et à laisser mes anciens vêtements sur place.Nous remontons, il paye, puis nous quittons le lieu. Les hommes que nous croisons dans la rue ne cessent de se retourner à mon passage. Cela flatte l’égo de mon amant puis il me propose d’aller au cinéma.
Je trouve l’idée plutôt romantique, donc je valide son choix. Nous parcourons quelques kilomètres en voiture, nous arrivons devant cet endroit qui s’appelle curieusement, l’endorphine.Monsieur De Gonzac prend deux tickets aillant un nom de film à consonance italienne, sans doute un rapport avec la musique classique, ou avec un film d’histoire. Lorsque nous entrons dans la salle obscure, il n’y a que des hommes, dix ou douze peut-être qui me reluque de la tête au pied.
Nous nous asseyons pratiquement au milieu de la pièce puis nous patientons quelques instants. Il y a bien entendu les premières publicités qui apparaissent sur l’écran, et je suis assez surprise puisque ces dernières parlent de vibromasseur, de plug anal, et de lubrifiant. Je demande à mon amant où est-ce que nous sommes. Et il me répond sur le ton humoristique qui le caractérise bien que l’on est au cinéma.
Les premières images défilent, et le doute que j’avais s’avère réel, puisque ce n’est pas un film normal, mais bel et bien d’un porno. Je souris bêtement en voyant ceci et commence par la même occasion à avoir le bas de mon ventre qui chauffe de désir.Monsieur De Gonzac tente une première approche en posant sa main sur mon genou nu, remonte petit à petit jusqu’à la lisière de mon sous-vêtement puis caresse mes lèvres gonflées. Je me mords les lèvres, il se rapproche de mon oreille, et me propose d’enlever le haut de ma tenue, du moins la veste. Ce que je fais sans aucune hésitation.
La chemisette blanche que je porte, illumine la pièce à chaque image claire, il déboutonne petit à petit cette dernière. Me voilà maintenant en soutien-gorge. Je retrouve à présent ce sentiment d’adrénaline qui me rend complètement folle.Il continue son jeu de séduction, mais aussi d’excitation dans le même temps puisque sa main est à présent dans mon string. Il caresse mes lèvres, titille mon clitoris et me pénètre avec un ou deux doigts. Je m’affale sur le fauteuil pour lui faciliter l’accès à mon puits d’amour. Il semble apprécier cette initiative, puis continue de fouiller mon vagin malicieusement.
Entre les images et l’action, je pousse des soupirs d’excitation. Au bout d’un certain temps, je commence même à grogner. Monsieur De Gonzac se lève légèrement, baisse son pantalon et son caleçon afin de sortir son membre. Comme d’habitude, ilest dans une forme olympique. Je commence à le masturber discrètement avec des mouvements variés. Puis, j’essaye comme je le peux, de lui offrir une fellation. Chose qui n’est pas aisé avec l’accoudoir central. Je suis presque à genoux sur le fauteuil.
Mais, j’effectue quand même ce préliminaire à mon amant. Il semble satisfait, je prends sa verge au plus profond de ma bouche, la lèche de bas en haut puis joue avec son gland. Quand soudain, je sens une main se poser sur mes fesses. Dans un premier temps, je crie de peur, mais Monsieur De Gonzac me rassure en me disant de ne pas m’inquiéter.
Je laisse donc faire cet inconnu qui ne tarde pas à arracher mon string. Il plonge maintenant sa tête entre mes deux globes, me suce le clitoris avec ardeur, puis insère deux doigts dans mon vagin. Ce dernier est trempe de désir, et d’envie. Puis nous changeons de rang, nous nous mettons tout en bas, cela permet d’avoir un peu plus de place puisqu’il y a un espace entre l’écran et les sièges. Monsieur De Gonzac s’assoie à nouveau, de mon côté, je suis à genou devant lui, tandis que l’inconnu s’est positionné derrière moi.
J’essaye de me retourner pour voir son visage grâce à la lumière de la toile, mais impossible, mon amant me dit que c’est une surprise. Je lui fais confiance, et laisse cet homme faire. Il continue d’ailleurs de m’offrir un cunnilingus d’une douceur incroyable. Au bout d’un moment, je sens son membre se frotter dans le sillon de mes fesses, puis d’un coup me pénétrer. Il s’arrête net, comme s’il voulait savourer ce moment une dernière fois.
Son bassin commence à bouger, et je sens son sexe coulissé en moi. Cette situation m’excite beaucoup, je suis prise en levrette dans ce cinéma que je ne connaissais pas. L’homme me positionne sur le dos, me lèche les seins, me titille les tétons. Il me semble que je connais déjà cette façon de faire l’amour, mais je n’y fais pas vraiment attention, je prends mon plaisir et je ne pense qu’à ça. Il me prend désormais en missionnaire, il relève mes jambes pour me prendre plus profondément, ce qui me procure un premier orgasme.
Cet inconnu s’est positionné sur le dos, je suis à présent empalé sur son sexe. Je monte, je descends à un rythme assez rapide, puis soudain son bassin se contracte. Il est en train de jouir en moi, et de m’envoyer dans une sorte de septième ciel. Il lèche son sperme, puis se retire.
A présent, je sens une nouvelle main me toucher, décidément ce soir, j’ai beaucoup de chances. Sauf que ce deuxième inconnu est beaucoup plus bestial. Il saisit mes fesses en me faisant presque mal, me palpe les seins comme un sauvage, et me doigte avec une force incroyable.
Cette dernière action me procure beaucoup de plaisir puisque j’envoie quelques jets de cyprine sur cette main peu innocente. Je me retrouve de nouveau à quatre pattes, et une nouvelle fois, je profite d’une levrette incroyable. L’homme se démène comme un fou en moi, à ce rythme-là, il ne va pas pouvoir tenir la cadence. Mais c’était sans connaître son talent. Il titille à présent mon anus, me le lèche, puis me prend d’un coup.
L’effet de la douleur est remplacé par le plaisir. En étant un peu vulgaire, je dirais tout simplement que je me fais complètement défoncer. J’entends même mes fesses claquées sur le bas de son ventre.
Au bout de dix minutes, je sens son sexe gonflé puis jouir dans mes entrailles. Décidément, cette soirée est pleine de surprises, puisque je sens à présent quatre mains se balader sur mon corps…
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