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Je suis resté bouche bée

Chapitre 11

Hétéro
Je suis sur le dos, les jambes écartées vulgairement, je profite des attouchements qui me sont offerts. Les deux hommes s’amusent, me poussent à bout. Ils jouent avec tous les points sensibles de mon corps. J’en ai un qui m’offre un cunnilingus. Il glisse même sa langue régulièrement sur mon anus. A présent, il me doigte, tandis que l’autre inconnu profite d’une fellation, puis d’une cravate de notaire.
Ce dernier semble fanatique des poitrines puisque ça fait bien cinq minutes qu’il est en train de s’occuper de la mienne. Celui qui m’offrait sa langue entre mes cuisses m’a soulevé, puis je me suis empalé sur son membre. Mon anus est rempli de cette verge assez imposante.
Quand tout à coup, le deuxième larron se positionne face à moi. Je suis prise en sandwich, les deux hommes cherchent la cadence pour s’envoyer en l’air. Ce qu’ils font au bout de dix minutes, ils se sont coordonnés, et ça me procure beaucoup de plaisir.
L’excitation de cette position me rend complètement hystérique. Puis dans un cri de jouissance en commun, j’ai senti en moi le sperme coulé. Le manège a duré ainsi durant toute la durée du film. Lorsque la lumière de la salle s’est allumée, j’ai pu voir qui furent les amants de cette soirée.
J’y ai retrouvé le serveur de la brasserie, les badauds du bus, les sans domicile fixe, et le vendeur du sex-shop. J’ai le sourire aux lèvres, Monsieur De Gonzac se lève alors, et signale à ces hommes que désormais, je suis sa compagne et que ce soir, c’était le bouquet final.
Que c’était la dernière fois qu’il allait me partager à d’autres hommes. J’étais à présent fière de cette prise d’initiative, mais aussi heureuse d’avoir découvert tous ces plaisirs qui m’étaient jusqu’à présent inconnus. Nous nous rhabillons tous, puis nous partons en direction d’un bar ambiance qui se situe à proximité du cinéma. Nous nous asseyons autour d’une table, puis nous trinquons à ma nouvelle relation. Quand soudain, je vois le regard de Bertrand se noircir. J’essaye de comprendre pourquoi, je me retourne et vois Sofiane avec une fille qui doit être proche de mon âge.
Je comprends très vite qu’il s’agit de celle de Monsieur De Gonzac. Ce dernier fait un bond incroyable, puis part à leur rencontre. Les cris, les coups fusent entre les deux hommes.
Mes compagnons d’un soir tentent de s’interposer, puis le calme revient petit à petit. La fille revient vers nous, puis est présenté par son père. Il s’agit de Valentine, cette dernière s’excuse auprès de moi de son comportement, je lui dis qu’il n’y a aucun souci, mais Bertrand ne le voit pas ainsi en lui disant qu’elle ne va pas se mettre en couple avec un coureur de jupons.
Elle accepte cette remarque, puis nous continuons de discuter durant la soirée. Monsieur De Gonzac me présente à sa fille comme étant sa nouvelle compagne. Au début, je sens qu’elle n’est pas très heureuse de cette relation, puis finit par admettre que si ce dernier est satisfait de cette nouvelle vie, elle ne nous posera aucun souci en particulier.
Il est bientôt une heure du matin, la joyeuse troupe se dissipe petit à petit. Nous nous saluons une dernière fois puis nous rentrons dans ce nouveau cocon d’amour. À peine, le seuil de la porte passé, je pars en direction de la douche afin de me rafraîchir. Je me mets un peignoir avec rien en dessous, puis rejoins Bertrand dans le lit.
Il me câline, m’embrasse, caresse les parties nues de mon corps. Ce qui évidemment m’excite énormément. Je soulève la couverture, vois son membre en demi-érection, le prends en main pour le masturber et le faire grossir au maximum. Il saisit mes cheveux, me dirige vers sa verge que j’avale sans aucune hésitation.
Je lèche de haut en bas cette dernière. Je la prends en bouche, essaye de lui faire une gorge profonde puis joue avec ses testicules. Ce dernier défait la ceinture de mon peignoir, je suis nue face à lui, puis je me positionne en soixante-neuf. Il joue avec mon clitoris, le suce, le titille, trempe sa langue dans mon vagin, il me pousse à bout à tel point que j’envoie mes premiers jets de cyprine sur son visage.
A présent, il a deux doigts dans ma vulve. Ses mouvements sont variés, lents et rapides en même temps. Il doit savoir quand la pression de mon excitation monte et descend. Je suis complètement en transe. Puis, je me positionne face à lui, et m’assois sur son pieu.
Les vas et vient sont saccadés, j’ai du mal à contenir mon excitation. Ce qui est prouvé assez rapidement par mon premier cri de jouissance. Nous changeons de position, je suis à présent couchée sur le côté, il est contre mon dos et me fait une cuillère. Mes fesses claquent contre le bas de son ventre. Il va au plus profond de mes entrailles. J’ai l’impression qu’il va me déchirer. Et je continue de jouir, cela ne s’arrête pas.
Maintenant, je suis à plat ventre, il est derrière moi, et me prend ainsi. Un peu comme un chien qui soumettrait sa partenaire. Il continue à aller très loin dans mon vagin et à me prendre les seins en main. Il me les malaxe sans ménagement, puis il me positionne de façon un peu plus classique sur le dos. Je suis en missionnaire avec lui, il en profite pour me lécher les seins. Il me besogne avec plus de tendresse, puis éjacule en moi.
Nous nous endormons l’un contre l’autre. Durant la nuit, je me pose des questions, joue-t-il avec mes sentiments, est-il sincère ? J’ai quelques craintes, mais ces dernières disparaissent petit à petit avec le temps. Ça fait maintenant deux ans que je suis avec Bertrand, notre relation est toujours aussi idyllique, mon salon d’esthétisme fonctionne plutôt bien, son travail aussi. Nous faisons régulièrement l’amour, quelques fois avec tendresse, d’autres avec un peu plus de bestialité.
Et puis, je dois vous avouer un petit secret puisque ça fait maintenant six mois que je ne prends plus la pilule. C’est donc au mois de juin que j’ai appris deux bonnes nouvelles puisque nous nous sommes mariés, et que je suis tombé enceinte. Je suis à présent, Anissa De Gonzac. Nous avons eu un petit garçon, David.
Tandis que, Sofiane de son côté, a déménagé dans le Sud de la France et je n’ai plus jamais eu de ces nouvelles.
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