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Je suis timide, mais je me soigne

Chapitre 4

Hétéro
Je vais toujours à la fac, mais mon comportement a changé, j’ai perdu ma timidité maladive, maintenant je n’hésite plus à draguer les filles, je me suis fait pas mal d’amis et ma copine du moment à la vue de mes caractéristiques en a parlé à ses amies.
Je suis harcelé de toute part, elles veulent voir ce qu’est une très grosse bite.
Maman et Valérie m’encouragent à amener mes copines à la maison en espérant que certaines finiront dans leur lit.
Voyant mon succès auprès des filles, j’ai aussi un grand nombre de copains, qui viennent souvent me chercher, en espérant profiter de mes relations.
Maman aime les recevoir et souvent elle me demande d’être en retard pour être seule avec eux.
Je reçois mes copines régulièrement dans la chambre de maman ou celle de Valérie, de temps en temps, certaines de mes copines viennent avec leurs mères à qui elles ont parlé de mon gros défonce-cul.
Maman et Valérie ont l’idée de passer le week-end à la campagne, nous avons testé plusieurs auberges avant de trouver la bonne à une trentaine de kilomètres de la maison, qui sert plus pour les rendez-vous galants, que pour faire un séjour, au moins nous serons tranquilles.
Nous réservons deux chambres, l’une pour maman et Valérie l’autre pour moi en sachant très bien qu’une seule servira.
Nous arrivons donc le samedi dans l’après-midi, prenons possession de nos chambres, décidons de visiter le voisinage puis nous dinons et regagnons nos chambres pour soi-disant dormir.
Nous nous levons tard, le petit déjeuner est déjà passé, nous nous retrouvons à table pour le déjeuner.
Je prends soin d’ouvrir mon lit pour que la femme de ménage ne remarque trop que je n’ai pas dormi dans ma chambre.
Après une sieste « réparatrice » nous prenons congé pour rentrer à notre domicile, la patronne et la serveuse de l’auberge nous disent :    - A bientôt.La semaine suivante, maman téléphone à l’auberge pour retenir deux chambres comme la semaine dernière.

Nous n’utilisons qu’une seule chambre, mais malgré le fait que je prends toutes les précautions en défaisant mon lit comme la semaine précédente, la femme de chambre, qui a l’habitude, a tout de suite repéré que je n’avais pas dormi dans ma chambre. Elle s’en doute depuis la semaine dernière, mais maintenant elle en est sûre.
Pendant notre repas, la femme de chambre qui est aussi serveuse me regarde avec insistante en pensant « S’il passe la nuit avec deux femmes, c’est que ça doit être un super coup. »
Aurélie (la serveuse) regarde mon entrejambe et voit la grosse bosse dans mon jean, maman et Valérie remarquent l’attitude d’Aurélie et m’encouragent à aller plus loin.
Maman demande à Aurélie, à quelle heure elle termine son service et comme nous sommes les derniers clients du soir, elle répond : - Après votre départ. - Alors mon fils vous attendra dans sa chambre, quand vous voudrez.
Nous montons nous coucher, j’attends dans ma chambre Aurélie qui arrive une bonne demi-heure après.
Je suis déjà au lit. Sans une parole, elle se déshabille et se met au lit à côté de moi.Aurélie glisse sa main sous les draps pour prendre ma queue, elle est étonnée par la grosseur, se doutant bien de sa taille, mais apparemment c’est encore plus gros que ce qu’elle pensait.
En bonne technicienne, malgré la grosseur, elle s’applique à la branler et la prendre dans sa bouche, elle entre mal, mais s’y reprend à plusieurs fois pour enfin la prendre en entier.
Avant que je jouisse, elle me dit : - Tu pourras rester en moi, j’ai l’habitude et j’aime bien le sperme chaud, mais pour m’enculer, elle est trop grosse, mon cul est large, mais là je           vais m’entraîner toute la semaine avec de très gros godes.
A peine ces paroles prononcées, elle retire ma queue de sa bouche pour me chevaucher et la mettre dans son vagin en la guidant de sa main, de toute évidence ce n’est pas la première fois qu’elle aide pour se faire prendre.
Après avoir bien fait l’amour et qu’Aurélie a joui plusieurs fois, soit avec ma queue, mes doigts ou ma langue, nous parlons un peu.
Elle me raconte qu’elle est arrivée dans cette auberge il y a cinq ans environ alors qu’elle n’avait que vingt ans et n’a pas été embauchée pour ses talents de serveuse ou de cuisinière, mais pour ses formes.
Au début, elle a commencé dans la cuisine à aider le patron dans la préparation des plats et comme femme de ménage (enfin changer les draps), quand son patron passait près d’elle, il s’arrangeait toujours pour se frotter, cela ne la dérangeait pas bien au contraire, elle aimait trop bien les hommes.
Le patron, devant la situation, lui pelotait les fesses et elle écartait les jambes pour le laisser faire.
Un jour, elle décida de ne pas mettre de culotte, elle sait qu’elle va se faire sauter.
Elle se laisse faire, son patron, après avoir mis un et deux doigts dans sa chatte, avait sorti sa queue de taille respectable, elle se baisse pour prendre cette belle bite dans la bouche pour faire une bonne pipe, elle l’avait souvent fait avec ses copains avant de travailler et aime bien la saveur du sperme dans sa bouche, il lui demande de la mettre dans sa chatte toute mouillée, sans hésiter elle se met sur le bord des fourneaux pour se faire prendre en levrette.
Tous les matins, avant de travailler, elle fait l’amour avec le patron.
Elle fait l’amour avec le patron à chaque fois que la patronne était occupée avec des clients.
Un jour, en plaine action, la patronne entra dans la cuisine et vit le spectacle, elle pense maintenant qu’ils étaient de connivence.
Elle rejoint la patronne dans l’entrée de l’auberge, un peu penaude, mais celle-ci lui dit : - Ce soir tu viendras chez nous.
Elle n’ose pas dire non et le soir après le service, elle rejoint ses patrons.
La patronne est en porte-jarretelles, les seins à l’air bien remontés dans un corset noir, un fouet à la main.
Le patron, à quatre pattes avait les fesses toutes rouges, venant de prendre quelques coups de fouet, elle s’attendait aussi à être fouettée.
La patronne, au lieu de la fouetter, lui demande de se déshabiller et de prendre son mari dans la bouche, pendant qu’elle s’applique à lui faire une bonne pipe, la patronne embrasse ses seins.
Le patron vient de jouir dans sa bouche, elle est pleine de sperme et avale tout.
Pendant que la patronne suce un sein son patron suce l’autre, la patronne quitte son sein pour lui embrasser le ventre et la chatte, la langue s’arrête sur son bouton d’amour pour le lécher jusqu’à la jouissance.
Le patron s’arrête de sucer son sein, elle se retourne pour sucer le bouton d’amour de la patronne pour la faire jouir.
Le patron, après avoir sucé son doigt pour le lubrifier un peu, le met dans son petit trou, elle est surprise, mais se laisse faire. Après intrusion du deuxième doigt, elle commence à aimer ça, la patronne s’en aperçoit et dit : - Tu aimes, il va t’enculer, mais tu me laisses préparer ton cul avec de la vaseline et un gros gode.
Comme c’est la première fois de ce côté elle a un peu peur mais se laisse faire.
Le gode rentre difficilement dans son cul bien lubrifié, il finit par entrer entièrement, après quelques souffrances elle apprécie de se faire prendre par un gode.
Le patron est très doux, il arrive, après plusieurs essais, à rentrer sa queue entièrement dans son cul.
Elle passe le restant de la nuit en baisant en se faisant enculer ou sucer le clitoris de sa patronne. Elle aime le sperme ou la cyprine.La patronne lui dit : - Maintenant, tu viendras tous les soirs te faire enculer.   Tu vas quitter la cuisine pour venir servir en salle avec moi.
Un jour la patronne lui demande de servir des clients habitués, alors que c’est elle qui s’en occupe d’habitude, et me dit : - Surtout tu retires ton collant et tu te laisses caresser par l’homme ou par la femme, ils sont là pour se faire plaisir, d’habitude je vais partager    leur lit pendant la sieste, mais aujourd’hui c’est toi qu’ils veulent, ne les déçois-pas.
Comme la patronne lui a demandé elle va servir les clients habitués, le monsieur passe la main sous ma robe pour s’apercevoir que ma culotte est trempée, c’est au tour de la femme de s’en apercevoir et lui dit : - Viens tout à l’heure dans notre chambre.    La prochaine fois mets des bas et pas de culotte.
Depuis, à chaque fois qu’un couple le lui demande ou lui fait comprendre, que ce soit pour l’homme ou pour la femme souvent les deux, elle partage ses après-midis ou ses nuits avec lui.
Nous finissons par nous endormir dans les bras l’un de l’autre, demain Aurélie doit se lever de bonne heure pour le service.
Maman, Valérie et moi nous nous retrouvons pour le petit déjeuner servit par Aurélie, maman et Valérie me demande comment c’est passé ma nuit, mais n’attendent pas de réponse, le sourire d’Aurélie leur suffit.
Nous quittons l’auberge pour rentrer à la maison.
Aurélie et la patronne nous disent : - A la semaine prochaine.
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