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Je suis une MILF soumise, même très soumise

Chapitre 6

Mon epilation totale en institut

SM / Fétichisme
Monsieur m’attendait au restaurant, je fis une entrée un peu remarquée, avec une robe trop courte pour l’endroit et surtout pour mon âge... Je zozotais comme une sotte en demandant au Maitre d’Hôtel la table de mon Maitre ! Jay fut très surpris et heureux, il ne s’attendait pas que j’aille aussi vite dans ma prise de décision. Lorsque je l’avais embrassé et salué avec difficulté, il me demandait pourquoi j’avais du mal à parler, je lui sortis ma langue et tout de suite comme un gentleman qu’il est, me dit
— Ma Liz chérie, ce piercing est la preuve de ton acceptation de la liste, j’en suis immensément heureux. A partir de cet instant tu m’appartiens et je m’occuperai de toi complètement ! Tu viens t’installer chez moi dès ce soir, ton « dressage » commencera tout de suite, il sera long, parfois pénible, mais tu sais comme moi que tu aimeras ta nouvelle condition de soumise.
Lorsqu’il utilisa le mot « Dressage » j’eus un sursaut, mais il avait raison, il allait me dresser à devenir une vraie Salope... Allais je aimer ? Le futur le dira, en tous les cas, je m’étais embarquée dans une « drôle » d’histoire.Nous rentrions chez lui. Il m’installait dans sa chambre pour ce premier soir de ma nouvelle vie, en me disant qu’il ferait préparer l’une des autres suites de la maison pour moi. Dès le lendemain il me fit démissionner de mon travail. En accord avec mon employeur, je donnais un très court préavis pour raison médicale en disant que je devais subir une chirurgie (sans en donner les détails). Personne au bureau ne comprenait pourquoi je parlais avec difficulté et pourquoi j’étais en robe courte et hauts talons. J’expliquais à mes meilleures amies que ma vie allait changer et que je les tiendrais au courant.
Jay avait pris le jour même rendez-vous avec l’un des plus grands chirurgiens esthétiques de Paris. Il m’accompagna à la visite, il tutoyait le chirurgien et lui disait que je voulais me faire agrandir les seins. Le médecin sembla tiquer un peu lorsque je me déshabillais du haut devant lui. Il soupesa de ses yeux et de ses mains ma grosse poitrine, pris des mesures et des photos. Ils discutèrent entre eux, ils parlaient de moi comme si je n’existais pas ou mieux comme si j’étais un objet. Ils arrivèrent a la conclusion que le maximum que je pourrais supporter serait des prothèses qui me laisseraient avec un tour de poitrine de plus ou moins 120 cm et un bonnet FF. Je ne comprenais pas trop mais je me rendais compte que cela était beaucoup.Le chirurgien me dit
— Vous allez avoir une poitrine très importante, cela vous forcera à vous tenir droite, elle sera lourde, le sport vous sera interdit. Vous devrez porter des soutiens-gorges spéciaux. Etes-vous d’accord pour cela ? — Oui car cela est notre volonté à Monsieur Jay et à moi
Il me disait alors que j’allais devoir signer une autorisation car cette opération n’était pas très éthique et il ne voulait pas avoir de problèmes futurs avec le conseil de l’ordre. Je regardais Jay apeurée, et lui demandait si j’allais être un « Monstre »Le chirurgien me conforta en me disant Non, mais j’allais être une très jolie femme avec une poitrine extraordinaire. Il rajouta, si un jour je voulais enlever les implants, il le ferait. Jay lui avait déjà dit qu’il prendrait aussi cette opération à sa charge, si telle était ma décision. Plus tranquille après avoir écoutée ses mots, je signais les papiers d’autorisation et prenait rendez-vous pour les examens préopératoires ainsi que pour l’opération elle-même.
Je m’installais chez Jay, en attendant le jour de l’opération. Carole et Mathilde les deux lesbiennes employées domestique de Jay, commencèrent à prendre mon « dressage » en main a la demande de notre Maitre. Carole m’emmena dans un salon esthétique dont la propriétaire était une amie de Monsieur. Elle me fit faire les cheveux, les mains et pieds et surtout une épilation ont la cire totale. Carole se faisait faire aussi un traitement similaire. Lorsque la jeune fille qui faisait l’épilation avait fini, elle me demanda si je voulais qu’elle me caresse. J’avais eu mal au moment de l’arrachage de la cire et de l’épilation finale à la pince. Ensuite elle m’avait passé une crème sur mon pubis et mes lèvres, cela m’avait excitée. Je ne savais pas trop quoi faire, je lui demandais de demander l’autorisation à Carole, j’avais très peur de faire quelque chose de non permis... La jeune fille parut surprise, elle sortit et revint dans la cabine avec Carole. Celle-ci me dit
— Tu es une vraie petite salope mais très obéissante, j’aime ça ! Oui j’autorise qu’elle te donne du plaisir, mais si tu cries tu seras punie. Je veux voir comment tu jouies en silence petite gouine.
Je remerciais Carole, qui resta assise sur un petit tabouret dans un coin de la cabine, pendant que la jeune fille commençait à titiller mes anneaux clitoridiens et vaginaux. Je sentais doucement le plaisir monter en moi... Je fermais les yeux, Carole me reprit en disant
— Yeux ouverts, salope, et tu me regardes bien dans les yeux, je veux te voir jouir en me regardant...

Elle avait la même réaction que Louise la perceuse, cela devait être un code chez les lesbiennes. J’obéissais, je regardais Carole pendant que le plaisir montait en moi... Carole se leva, s’approcha de moi, m’embrassa sur la bouche, en me disant de faire attention avec mon piercing de la langue. Ce baisé inattendu de Carole plus les caresses de l’esthéticienne me faisaient exploser de plaisir. Heureusement, j’avais pu me retenir et ne pas crier...
Une fois cela terminé, Carole dit que c’était à son tour. Elle prit ma place, demanda à la jeune fille de lui retoucher à la cire son épilation et ensuite de la faire jouir de la même façon qu’elle avait fait avec moi. Je pris place sur le tabouret dans l’angle de la cabine, Carole me regardait dans les yeux, ce fut plus fort que moi, je me levais et à mon tour je l’embrassais, nous enroulions nos langues, Carole cria de plaisir en me serrant dans ses bras.Pendant que nous nous rhabillions toutes les deux dans la petite cabine, la jeune fille demandait si elle pouvait jouir elle aussi... Car elle était trop excitée. Carole se tourna vers moi et dit.
— Mademoiselle Liz, voulez-vous caresser cette jeune femme, cela fait partie de votre dressage et Monsieur sera contant de le savoir.
J’étais morte de honte d’écouter ce mot « dressage » dans la bouche de Carole devant cette jeune femme que je connaissais depuis une heure... Mais je me rendis compte que j’allais l’écouter souvent ce mot Dressage !Au moment de sortir, la patronne amie de Jay, me demandait devant tout le monde dans le salon et d’une voix forte pour que toutes les clientes et employées puissent l’entendre...
— Elle vous a plu la jeune Sylvie, elle caresse bien après une épilation totale a la cire. Vous n’avez pas eu trop mal et le plaisir a compensé la douleur ?— Oui Madame, j’ai beaucoup aimée, elle est très douce !
Je m’entendais lui répondre morte de honte.
— Pourquoi avez-vous cette difficulté à parler, elle me demanda.Je ne savais pas quoi dire et Carole répondit à ma place.Liz vient de se faire percer la langue pour faire plaisir à Monsieur Jay J’étais de plus en plus morte de honte, tout le salon appris que je m’étais fait enlever complètement ma toison, grouinée avec l’esthéticienne et enfin que j’avais un piercing dans la bouche pour mieux faire les pipes... Que restait il d’autre de mon intimité à cacher ?
A la demande de la patronne et de ses clientes j’ai du leur montrer mon piercing à qui le demandait en tirant ma langue... La Patronne m’embrassa sur la bouche en me disant que la prochaine fois elle s’occuperait de moi et que nous allions sans doute nous revoir bientôt.Dans la voiture qui nous ramenait Carole me disait — Tu es une très bonne soumise ! Si tu continues comme ça Jay va beaucoup apprécier. En rentrant à la maison et les jours qui viennent en attendant l’opération, avec Mathilde nous allons travailler ton cul pour lui faire accepter Jay et sans que tu tombes amoureuse de Mathilde ou moi nous allons aussi t’apprendre à devenir une bonne petite gouine. Tout cela dit devant le chauffeur qui avait tout écouté. Je regardais Carole avec effarement lorsqu’elle parlait comme cela devant un inconnu... En descendant de la voiture elle me dit L’humiliation, maintenant, fait partie de ta vie de soumise Liz, tu devras t’habituer...
Voilà comment ma vie était en train de changer, j’allais devoir entrainer mon derrière pour qu’il puisse recevoir sans douleur mon Maitre, apprendre les secrets de l’amour au féminin et me faire opérer les seins pour avoir des implants pour qu’ils soient énormes ! Ceci était mon programme des prochains jours...
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