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Oh! Je suis une putain !

Chapitre 3

Travesti / Trans
J’ai l’impression de m’entendre respirer. Respirer ? On dirait plutôt que je suffoque. Je finis par me calmer et par reprendre peu à peu mes esprits. Je sens le poids de Mike m’écraser. Il se retire après avoir débandé, laissant mon trou occupé par un vide humide et brûlant.   Je me lève malgré la douleur qui se répand à mes fesses rougies par les claques. Je n’arrive pas à faire un pas sans gémir tellement mon cul est défoncé. Je sens le sperme de Mike sillonner mes cuisses pour arriver jusqu’à mes mollets. Il m’a vraiment rempli !
— Tu ne vas pas rentrer comme ça ? demande ce dernier allongé sur le canapé, ayant pour seul vêtements sa chemise défaite et ses chaussettes ridicules. Passe à la salle de bain sur ta droite.
   J’entends à peine ce qu’il dit, mais j’obéis. Je suis comme dans un état de demi-conscience, dans ma tête j’ai l’impression de m’entendre gémir, comme si mon esprit était encore au moment où Mike s’est vidé en moi pendant que je criais comme une chienne en chaleur « Remplis-moi putain ! ahh !!! » et que j’écrasais mon cul contre son bassin.   J’avance comme je peux jusqu’à la salle de bain et dès que j’entre, un grand miroir est placé à ma gauche. Je vois mon reflet, debout de profil, mon cul bombé sous mon sweat « Je marche toujours cambré comme ça ?! » je me demande en haussant un sourcil et en passant mon regard sur mes jambes où le sperme de Mika a fini par sécher. Je tourne le dos au miroir et j’avale ma salive en voyant la partie inférieure de mon corps. Mes jambes aussi avaient des traces de rougeur, de griffures ! Surtout sur mes cuisses. Les souvenirs remontent et je rougis en me retournant pour faire face au miroir. J’ai vraiment l’air d’une fille qui vient de se faire défoncer ! J’ai même la gueule qui va avec ; un regard innocent et des lèvres entrouvertes. Je passe ma main sur ma bite qui fait plus office de clito qu’autre chose et, en la couvrant, j’ai vraiment l’air d’une femelle qui vient de se faire mettre.   Je sursaute en entendant des bruits dans le salon et me précipite vers la douche. Je fais couler l’eau tiède et me lave du mieux que je peux, en gémissant à chaque fois que mes doigts frôlent mon anus ou les parties maltraitées par Mike.    Je finis par me nettoyer entièrement, dès que je le fais, je fais coulisser la porte de la douche et je suis surpris en voyant Mike nu, en train d’arranger quelques affaires.
— Voilà ton fuseau, dit-il sans se retourner.— Tu ne pourrais pas me prêter un jeans ou… je ne sais pas.
   Il se retourne, en présentant à mes yeux sa queue en demi-molle que je m’efforce d’éviter de regarder, et il me regarde en fronçant des sourcils.
— Tu ne me donnes même pas ton prénom, et tu veux que je te rende service ?
   Qu’est-ce qu’il fait chier ! Je sors de la douche, trempé, et je fais vite de me sécher en prenant le fuseau qu’il avait entre les mains. Il ne le lâche pas et me maintient par l’avant-bras. Il me fait un peu mal.
— Va dans la chambre, dit-il en me retournant brusquement et il me susurre à l’oreille : Tu trouveras dans un tiroir sous la télé les fringues de ma copine.
   Je sens sa queue se terrer entre mes fesses et je fais vite de m’avancer pour éviter une énième connerie. Je sors de la salle de bain en sentant son regard sur mon cul. De toute façon, j’étais obligé de marcher comme une poule après ce qu’il m’a infligé. Après plusieurs déhanchements j’arrive à sa chambre et je vais directement au tiroir sous sa télé. Je pourrais bien prendre un de ses jeans ! Pourquoi celles de sa copine bordel ! Mais je n’arrive plus à réfléchir, je fais tout ce qu’il me dit, ça commence à devenir bizarre.   Quand j’ouvre le tiroir, je trouve des culottes de différentes couleurs, à dentelles ou sans, des strings, des débardeurs, des t-shirts, des bas et des shorty ! Je ne trouve pas de jeans !  Je prends un shorty en jeans et l’essaye. Je rentre difficilement dedans contre toute attente… mes hanches sont plus larges que celles de sa copine… et pourquoi ça m’excite merde ? C’est comme si j’en étais fier !    Je me regarde dans un petit miroir accroché à son armoire et quelle est ma surprise quand je vois le bas de mes fesses dépasser. Les marques sur mes cuisses sont toujours visibles. Je ne peux pas marcher comme ça dans la rue ! Et si des amis me voyaient ? De toute façon j’en ai pas tant que ça…. Je me lève sur la pointe des pieds et le shorty me rentre davantage entre les fesses merde ! Je fais ressortir le bout rentré à l’aide de mon doigt et me souviens d’avoir oublié mon sweat à la salle de bain… Hors de question de retourner voir ce mec !
   Je m’agenouille à nouveau devant le placard et choisis un haut blanc avec le plus de tissu… et malgré ça mon nombril est apparent ! Fait chier, je me lève et me dirige vers l’armoire où je me regarde et pendant deux secondes, j’ai cru voir le corps d’une femme. Je ne sais pour quelle raison je me mets à prendre des poses sexy, de profil, puis je me retourne et je me cambre davantage pour faire ressortir mon cul. Dès que je le fais, j’entends un sifflement parvenir de la porte et je me redresse instantanément.
— Putain t’es…— Quoi tu vas me dire que je suis bonne encore ? fis-je en croisant les bras l’air contrarié. C’est tout ce que j’ai trouvé.— Ouais c’est ça. Tu aurais pu prendre mes affaires mais tu l’as pas fait, ça t’excite de jouer à la femelle soumise.— Je ne le suis pas !— Ah bon ?
   Je le vois s’avancer, avec une serviette autour de la taille et qui ne cache rien de sa bite qui commence à durcir, jusqu’à arriver à son armoire où il fouille pour en sortir des escarpins à talons noirs. Je me mords la lèvre et les trouve jolis.
— Tu vois ?— Quoi ? je demande en croisant les jambes, toujours debout.
   Il vient vers moi et s’assis au bord de son lit. Ma respiration s’emballe quand il me prend par la cheville et qu’il pose mon pied sur son genou, comme une cendrillon. Sa main n’arrête pas de caresser mon mollet pendant qu’il me met un escarpin sous le pied, et que j’enfile comme si j’étais né pour cet instant. Il fait redescendre mon pied par terre et me prend l’autre sans me demander mon avis. Pour réussir à tenir l’équilibre je place mes mains sur ses épaules et le laisse faire de moi ce qu’il veut, je suis comme sa poupée, sa chose. Putain !
— Voilà, dit-il en déposant mon autre pied par terre. Regarde-toi dans la glace.
   Je me retourne et mon cœur faillit s’arrêter quand je vois mon reflet. Je pose mon doigt sur mes lèvres et regarde Mika par-dessus ma hanche. Perché sur mes talons avec mes longues jambes, mon cul serré par le shorty et le haut blanc qui laisse découvrir mon ventre plat, mon visage angélique…. Je me rends compte qu’il a raison.
— Laïka ?
   Je me retourne automatiquement, comme si c’était mon prénom, et je le surprends en train de sourire en se levant et en laissant tomber sa serviette.
— Je ne suis pas une chienne !— Tu en es bien sûre ?
   Je fais quelques pas vers lui et dès que j’entends les bruits des talons sur le sol, je me surprends à rougir.
— Une vraie chienne, dit-il en tenant dans sa main sa bite aux veines dessinées qu’il commence à branler doucement.
   Je me lèche les lèvres et continue d’avancer en me déhanchant, je regarde derrière-moi et m’observe en train de marcher comme une pute vers son client, et ça me plaît…   Sans tiquer, je m’accroupis en laissant mes mains caresser ses pectoraux, ses abdos, je lèche son torse en sentant chaque parcelle musclée sous ma langue, je sens sa puissance d’homme me dominer, ses grognements et sa main sur mes cheveux me rappellent que je suis là pour lui obéir. Je suis sa putain, et je la ferme. Son corps m’obsède, je reviens à ses pectoraux dont je mordille les bouts, je lui suce le cou et je redescends vers ses abdos durs.
— Laïka…— Mhmmm ?— Prends-moi dans ta gorge.— D’accord Mike, tout ce que tu veux… oh mon Dieu…
   Je descends en laissant sa bite se frotter contre mon visage au regard de pute. Je passe ma langue sur cette chair qui palpite et qui n’arrête pas de grossir. Dans ma position, sur mes talons, avec mon shorty rentré dans mes fesses, Mike doit avoir une jolie vue de là-haut. Je le regarde en clignant des yeux comme une gentille fille et j’embrasse son gland qui vient se nicher dans ma gorge. Je n’ai pris que la moitié de sa queue en bouche, mais je décide de la pousser plus loin, je fais tout pour ne pas avoir de haut-le-cœur et j’y arrive, je la fais rentrer doucement jusqu’au bout de ma gorge qui l’accueille avec un bruit de salive monstrueux.
— Ahhh putain ! grogne-t-il en me tirant par les cheveux, ressortant sa bite qui se détache de mes lèvres par des filets de mouille.— Remets-là…, je murmure les yeux presque fermés, avec de la salive qui coule abondement sur mon menton.— Tu es accro ou quoi…
   Je n’ai pas le temps de répondre qu’il frotte sa queue mouillée sur mon visage. Je sors ma langue pour profiter de chaque partie de chair qu’il m’accorde et je me cambre davantage quand il m’enfonce sa bite dans ma bouche de salope affamée. Je balade mes mains sur toute la longueur de sa bite pour le branler avec ma salive en enchaînant des gorges profondes interminables, je reprends à peine mon souffle avant de le laisser me baiser la bouche.    J’entends le bruit de ma bouche qui suce et mes gémissements dominer la pièce. Je suis en train de sucer ce mec que j’ai rencontré y a quelques heures à un bureau tabac, qui m’a pris chez-lui comme une chienne, une pute qu’il n’a même pas payée, et qu’il a défoncée à deux reprises avant de se faire sucer. J’en redemande, je ne peux m’empêcher de le regarder, de le sucer, de lui bouffer les couilles, et de me réjouir en l’entendant gémir, je veux qu’il soit comblé par ma bouche et je me cambre davantage pour qu’il voie mon cul qu’il a défoncé.    Mike tremble et ses jambes se contractent. Je sens des giclées chaudes envahir ma bouche, je me retire mais il est trop tard il a déjà répandu une quantité considérable au fond de ma gorge, puis sur mes lèvres, mes joues, mon front et sur mes paupières.   Je ne vois rien, je l’entends gémir et me traiter de trainée. Du bout des doigts, j’enlève le sperme qui m’ôte la vue et le mets directement dans ma bouche. J’avale et c’est salé, chaud, limite dégoûtant mais en imaginant que Mike me voit, je continue. J’ouvre les yeux difficilement en les clignant. Je reste dans cette position avec du sperme sur le visage, les cuisses légèrement écartées.   Un homme a vidé ses couilles sur mon visage et son sperme coule encore sur mon menton. J’ai sa bite encore chaude dans ma main, et pour toute réaction, je lui souris….
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