J’habite une belle petite maison avec ma copine, Cora. C’est une belle jeune femme de 25 ans, blonde, mince et aux formes parfaites. Mais ce n’est pas d’elle que je vais parler, je préciserai juste que ma copine ne sait rien de mes écarts. Tant mieux ! Notre chambre donne sur un petit balcon qui nous offre une vue, sur une autre maison. Depuis peu nous avons de nouveaux voisins. Un charmant couple avec une fille de 16 ans, ou 17 ans, je n’en sais trop rien. De mon balcon, j’ai vu sur la chambre des parents et de la gamine, qui ont tous deux un balcon. Un soir alors que je me retrouvais seul car ma copine était chez ses parents, je me suis mis au lit avec un bon porno. J’allais allumer la télé lorsque je remarque la lumière dans la chambre des parents. Le volet est à peine descendu et je ne peux voir que deux paire de jambes et des hanches collées ensemble. Une main sur une cuisse, bientôt une nuisette qui tombe au sol. Maudit rideau ! Je m’approche de mon balcon et au moment ou je voulais sortir, j’aperçois la gamine sortir. Je me cache dans l’ombre et l’observe. Elle s’approche du garde corps et se penche vers le balcon de ses parents, elle doit s’en doute entendre les mêmes sons que moi même j’entends, en plus fort pour elle. Je la vois glisser sa main entre ses cuisses, contre son petit short de nuit, je reste scotché mais je ne bouge pas et je fais bien, car elle regarde dans ma direction, sans doute pour s’assurer que personne ne la voit. Satisfaite, elle se recentre sur le balcon de ses parents et passe sa main à l’intérieur de son short. Je dois halluciner ! La gamine se touche en espionnant ses vieux ! J’ai la bite dur, qui étouffe dans mon jean ! Voila qu’elle abaisse son short et libère une cheville. Agilement, elle pose un pied sur le garde corps m’offrant une vue excitante sur son abricot ou elle enfonce deux doigts. Elle se masturbe d’une main, de l’autre dévoile ses seins. J’y tient plus, je sors ma bite de mon jean et commence à me branler en regardant cette petite cochonne se baiser la chatte en écoutant ses parents forniquer. Je l’entends gémir, mais voila qu’elle se déplace,, se laisse tomber au sol et je ne la vois plus ! Si je veux continuer à la mater, je dois sortir de ma cache, mais elle risquerait de me voir et disparaître dans sa chambre. Tant pis, je prends le risque. Je monte sur mon balcon, avec un peu de chance, elle ne me verra pas... Elle est là, les cuisses écartées, la main s’agitant sur sa moule que je devine dégoulinante. Qu’est-ce qu’elle me fait bander !! Elle ne me remarque toujours pas et moi je fais même plus attention à ça. Après plus de 10 minutes à me masturber, je jute sur le balcon, j’ai du poussé un gémissement car la gamine me regarde. Je lis dans ses yeux un mélange de honte, de gêne, mais aussi d’amusement. Elle ne s’arrête pas pour autant la petite salope, elle se fait jouir en me regardant fixement. Juste de quoi me faire reprendre vigueur. Prenant mon courage à deux mains, je lui fait signe de venir. Elle me réponds non. Déçu, j’allais rentrer quand c’est elle qui me fit signe de la rejoindre. Ni une, ni deux, j’y allais ! Me voila juste devant chez elle, j’hésite a toquer quand une silhouette apparaît sur ma droite. C’est elle. Elle n’a même ps pris le temps de remettre son short. Elle attrape ma main et m’entraîne a l’arrière de la maison, juste à côté du garage. Elle me dit. Moi c’est Audrey, mais j’aime mieux Ode. Et toi ? Thierry.. Tu risques pas de te faire choper par tes vieux ? Aucun risque, à leurs âges, la baise est un somnifère ! Je rigole légèrement et arrivé dans le coin le plus sombre, elle me pousse contre le mur du garage et se colle à moi. Je cale mes mains sur son cul. Elle m’embrasse et déjà défait mon jean pour libérer ma queue déjà bien dur. Je lui pelote le cul, la raie et passe entre ses cuisses pour sentir sous mes doigts la mouilles. Et putain qu’est-ce qu’elle mouille. Elle lâche ma bouche et j’en profite pour me baisser et téter un téton à travers son t-shirt. T’es pas sensé être avec une nana toi ? Comment tu sais ça toi ? J’vous ai vu plus d’une fois vous envoyer en l’air. Maintenant que vous avez des voisins faudrait penser à baisser les volets. J’ricane encore une fois avant de lui répondre tout bêtement. Mauvaise habitude.
J’hausse les épaules et attrape le bas de son t-shirt pour lui enlever. Elle s’accroupie devant moi et passe sa langue sur mon gland, insiste sur le frein et j’en frémis. T’es une sacrée cochonne ! Elle sourit et comme pour me dire que je n’avais encore rien vu, elle me goba la bite et se mit à me sucer ! Quel délice ! Elle me pompe divinement, J’amorce un léger mouvement de rien lorsqu’elle place ses mains derrière mes cuisses. Je prends cela pour une invitation à lui baiser la bouche. Je continue donc d’aller et venir en nichant ma droite sur sa nuque, ma gauche s’accrochant à ses cheveux. Elle a vraiment l’air d’aimer ce que je lui fais, du moins, ses yeux me le dise. Oh putain, tu m’excites salope ! Et j’y vais de plus en plus fort, fort heureusement que j’ai vidé le chargeur juste avant. Au bout de 5 minutes de traitement, je la libère, j’ai vraiment trop envie de la baiser ! Je la relève et la tourne dos contre le mur, je me plaque contre elle et lui relève une cuisse. Je vais m’occuper de ta petite chatte. MmM, vas y. Baise moi, je suis en manque ! Je lui enfile la moule de ma queue, elle entre tellement facilement. Elle est chaude, humide, mais je devine l’habitude des queues ! Je commence à la baiser, à frapper le fond de sa chatte de mon gland et elle pousse des petits cris de plaisir qui me plaisent. Elle a l’air d’une vraie chienne à couiner comme ça. Je la nique de plus en plus fort et elle m’en redemande encore. Je me retire, tient ma queue en main et lui dis. Retourne toi, petite pute ! Elle ne tarde pas à se mettre face au mur, me tendre son beau petit cul. je me place derrière elle et de sa main guide ma bite sur son trou déjà bien labouré. Je veux ta bite, elle est trop bonne ! T inquiète bébé, tu vas l’avoir. Et je l’empale brutalement. Me retire et recommence à plusieurs reprise. Je lui démonte sa petite moule et elle ne tarde pas à jouir. Je place ma main sur sa bouche pour étouffer un peu le son et lui prolonge son orgasme.. Elle finit par avoir les jambes en compote alors je me retire. Elle se tourne, se remet dos contre le mur et reprend son souffle. Ca t’a plu ? MmM oui ! J’ai aimé ça ! Parfait,, parce que j’ai pas fini. Elle me sourit d’un air gourmand et de ma main sur l’épaule, je la pousse à se mettre a genou, puis la pousse à quatre pas. Je me place derrière elle et frotte mon gland contre son cul. Elle se contracte et tourne son regard vers moi. Je devine. Tu t’es jamais faites enculer ? Elle me réponds non de la tête. Tu as envie d’essayer ? Vu sa tête, j’en déduis que c’est non, mais je me trompe.. c’est peut-être ! Ca fait mal ? J’irai doucement, t’inquiète. Mh.. D’accord, mais si j’ai mal tu te retires. Promis ! Elle se replace et cambre d’avantage son cul; Je me baisse un peu, écarte ses globes de mes main et crache sur sa rondelle. Puis je reprends ma bite en main et frotte le gland avant de presser son fion. Elle se crispe. Chut, détends toi.. Elle inspire profondément et j’en profite pour percer son trou. Elle pousse un petit cri de douleur et moi je l’attrape par les hanches. Je commence à lui limer le trou sombre et au fur et à mesure que je la pilonne,, elle commence à prendre son pied. Moi, j’accélère par moment le rythme, défonçant son cul profondément. Oh oui, t’arrête pas, je la sens bien ta grosse queue ! J’avais pas l’intention d’arrêter .. Loin de là. bien au contraire, je lui fourre la totalité de ma queue et l’encule comme une bête ! Putain ! Ton cul est bon, salope ! Oui ! Ouuuii. Ouuuui, bordel oui ! Je lui démonte littéralement le cul, mes couilles qui claque sur sa chatte et elle en redemande. Moi, je me fait pas prier, je la baise comme une chienne, la traite comme tel. 10 minutes passent et je finis par me vider au fond de ses entrailles. Après avoir repris notre souffle, elle se redresse et attrape son t-shirt. Elle vient me baiser la bouche d’un bisou sec et se dirige vers chez elle tout en m’adressant un clin d’oeil complice. Merci pour la baise ! Puis elle rentre chez elle. Mais quelle pute !
