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Suis-je vraiment gay?

Chapitre 1

Gay
Je reviens avec une autre histoire, celle ci c’est déroulé dans mon adolescence et a marqué un tournant dans ma sexualité. Je vous ai pas dit mais je suis né en Suisse dans le canton du Valais, canton catholique et j’y ai vécu pendant 20 ans dans un petit village près de Sion. Cette histoire ce passe donc là-bas
Je me représente, je m’appelle Jean-Marc mais mon surnom c’est JM où Jean-Mi, à l’époque de mes 17 ans je faisait 1m70 pour 64kg, pas très musclé juste ce qu’il faut, yeux noisettes, cheveux châtain coupé court, pilosité presque inexistante au niveau du torse, visage et pubis. Je n’étais pas un canon mais je n’étais pas moche non plus, la gente féminine s’intéressait à moi et, moi j’ai bien sûr répondu à cet intérêt de peur d’être catalogué de PD, car vivre dans un petit village suisse c’est bien car on connaît tout le monde mais cela peut être vite contraignant surtout si vous êtes différent et les ragots vont bon train. Alors je me suis fondu dans la masse, dans la norme moralisatrice catholique. Je suis devenu" hétéro", refoulant ainsi mes désirs et surtout ma vrai nature. Mais je voulais que l’on m’accepte. A cette époque, personne n’était au courant de mes préférences sexuelles, ni mes amis, ni ma famille. Comme tout ado, je me confiais presque pas à mes parents, ne parlais pas, je me suis renfermé un peu plus chaque jour, j’essayais de me persuader que j’étais hétéro, je surfais sur le web, regardait des films pornos hétéros n’osant pas m’aventurer sur les sites gay mais ce qui m’excitait dans ces films ce n’était pas les filles, non c’était les mecs, leur corps musclés, leurs queues impressionnantes, le soir dans mon lit, je me branlait en fantasmant sur les images que je venais de voir. Je pense que mes parents ont vu mon désarrois car mon père à bien tenter une approche pour me parler de la vie et bien sûr de sexe mais il était tellement tendu que j’ai mis un terme à son discours, en mentant et en lui disant que tout était OK, il avait l’air soulagé et moi aussi. Donc, quand cette histoire c’est passé, j’étais célibataire et en pleine réflexion sur moi même.
C’était un samedi après-midi pluvieux, un temps à rester chez soi et à flemmarder, disons que je n’avait pas le choix mes parents m’avaient puni pour mes mauvais résultats du deuxième trimestres. Cette punition prend fin seulement si mes notes augmentent significativement. Donc je suis assis dans mon lit, je lis un livre pour le collège, quand soudain la sonnette retentis et j’entends la voix de ma mère et celle d’un homme il est presque 17h. Je la reconnais, c’est celle de mon cousin Robert.
-JM viens dire bonjours, me hurle ma mère.Merde-Ouais, hurlais-je à mon tourJe m’extirpe de dessous de mon plaide et descend à pied nu pour dire bonjour à mon cousin.-Salut, lui dis-je en le voyantIl me tend un main et me répond-Salut, ça va, tu fais quoi de beau.-Ouais, ça va, je lis un bouquin pour l’école lui dis-je-Ah en plein boulot, dur, durJe me prépare à faire demi-tour pour regagner mes pénates quand ma mère me dit-Fait une pause, mange un bout de brioche. -Non merci, il faut que je continue mon livre, je dois le finir pour lundiJe fais un petit sourire à ma mère et à notre invité et je tourne les talons et remonte dans ma chambre. Ouf, aucune envie de rester en bas avec lui, il est plus vieux, il a 29 ans et c’est un parasite, il arrive toujours à se faire inviter pour manger, il ne voit pas quand il dérange, je ne l’aime pas trop, peu de conversation, il est raciste et fou d’armes. Aucune affinité. Bon, je me glisse sous ma couverture, j’ai un peu froid les pieds. Je reprends ma lecture. Je ne sais pas combien de temps j’ai lu avant que ma porte de chambre s’ouvre, je tourne la tête pour voir qui rentre, c’est Robert. Il ne demande pas la permission de rentrer, il rentre fait lentement le tour de la pièce. Moi, je ne sais pas trop quoi faire, alors je me dis que si je l’ignore, il va partir. Je replonge le nez dans mon bouquin mais je n’arrive pas à me concentrer. Le fait qu’il tourne comme cela dans ma chambre m’énerve. Il rompt le silence :
-Ça va, me lance-t-il-Ouais, lui répondis-je en haussant les épaules
Je m’attends à ce qu’il parle encore mais non, il continue de faire le tour de la pièce sans un mot. Je me remets à lire. Il s’assied sur le lit, près de mes pieds, je les pousse un peu. J’ai envie de lui dire de foutre le camp mais je ne dis rien, je reste le nez dans mon livre. Je n’arrive pas à lire, il y a un silence de mort, il ne dit rien mais il me regarde, je le sens, je suis mal à l’aise. Il sent fort la transpiration, elle est mêlé avec une odeur de bois-sciure, cette odeur m’enivre et je ne sais pas pourquoi. Parce que Robert me répugne d’habitude, il est petit 1m68 et trapu, doit peser dans les 90kg, il est blond cheveux court ,hirsute et gras, visage rond, yeux bleu, nez proéminent, lèvre rose pâle et charnue, il est rempli d’acné ma mère dit que c’est dû à son manque d’hygiène évident, traîné brunâtre dans le cou. Il a de grosses mains avec des doigts petits et épais, elles sont calleuses et rugueuses dû à son travail de bûcheron. Robert s’habille mal, chemise à carreaux rentrée dans le pantalon,celui-ci retenu par une ceinture ce qui fait ressortir son ventre, jeans trop serré ce qui fait apparaître son paquet et bien sûr tout ces vêtements sont maculé de taches douteuse et de résine d’arbre. Comment cet homme, mon cousin peut-il me troublé? Je ne veux pas lever les yeux, je sais qu’il me regarde. Tout d’un coup je me tétanise, il vient de prendre mon pied gauche qui se trouvait sous le plaide. Il le soulève et commence à masser la plante du pied tout doucement, toujours sans un mot ,moi qui suis généralement chatouilleux je ne me dégage pas, je suis cloué sur place. Le contact de ses mains rugueuses de travailleurs sur mon pied commence à me faire de l’effet,je sens des fourmillement dans mon bas ventre, dans le bas de mon dos, je sens mon sexe durcir légèrement, je me sens rougir, je suis honteux et gêné, je suis sur qu’il a dû voir mon trouble. On peut entendre nos respiration dans ce silence, la sienne est calme et posé quant à la mienne, elle est rapide et saccadé. Je commence vraiment à apprécier ce qu’il me fait et je me relaxe un peu. Il a dû sentir que je me détendais car il a posé mon pied sur sa cuisse. Je jette un coup d’œil rapide et je vois que la couverture recouvre sa cuisse et mon pied, où veut il en venir ? que veut il de moi ? Je me pose plein de questions. Il est tellement sur de ses mouvement. Est-il gay ? Toujours en me regardant et sans rien dire Robert continue son massage sur toute la plante du pied, il fait des cercles au milieu, appuie sous les orteils, je sursaute à chaque changement de pression, mouvement, il doit observer mes réactions car il les refait encore et encore. J’ai arrêté de lire, je tiens juste mon livre ouvert, je tremble comme une feuille, d’excitation, je ferme les yeux et appuie ma tête contre le dossier du lit, ma respiration s’accélère. Lui aussi je l’entend, comme je m’abandonne complètement à ce premier contact avec un homme, Robert prend plus d’assurance, car il monte mon pied sur sa cuisse et le pose à plat sur sa bosse. Je sens une barre dure sous son jeans et il commence à faire bouger mon pied dessus, il laisse mon pied pour reprendre son massage maintenant il s’attaque à mon mollet, Robert fait de légère pression en montant et en redescendant sur mon pied. Je frissonne à ce nouveau contact sur ma jambe nu, ses doigts sont larges et puissants, il masse ma jambe jusqu’à mon genou,j’ai chaud, mon érection se fait de plus en plus présente, je sens ma bite monté et tendre mon short et la couverture, j’aimerai me mettre à l’aise et me soulager mais pas là, pas maintenant. Soudain, nous sommes interrompu par une voix-Et les garçons, vous descendez, le souper est servi, hurle ma mèreJ’ouvre les yeux et je croise le regard de Robert pour la première fois depuis qu’il a commencé son massage, ses yeux bleus me transperce,j’essaye de me dégager mais il me tient fermement la jambe, je vais pour lui dire quelque chose mais il met son index sur sa bouche.-Chutttttttttt, fait-ilJ’ai peur que ma mère rentre dans ma chambre et nous surprenne dans cette position, je suis honteux . Il tient toujours mon pied, il enlève la couverture et soulève mon pied jusqu’à son visage. Je ne bouge plus, je le laisse faire, il le renifle tout en le massant et tout d’un coup je sens sa langue sur la plante du pied, je sursaute et tout en me regardant il fait tourner sa langue sur ma gros doigt de pied et le met en bouche, le suce, ma respiration s’accélère, j’essaie de me dégager mais il continue à sucer mon orteil, je vais exploser, je sens que ça vient, je me cramponne au lit, je ferme les yeux et renverse ma tête sur le dossier du lit, il suce, aspire mon doigt de pied et brusquement il arrête, pose ma jambe sur le lit et sort de ma chambre sans me parler mais avec un grand sourire. Putain de merde, j’ai envie de crier, de pleurer, c’est pas du jeu, il n’a pas le droit de faire cela, de me exciter de la sorte et de se tirer, putain de merde, quel Con hurle ai-je intérieurement . Je bande toujours à en avoir mal il faut que je fasse vite car mes parents m’attendent pour manger. Alors, je soulève mon postérieur et descend mon short sous mes fesses, mon sexe se dresse comme un i, fière, mon gland et violacé. Je crache dans ma main et tout doucement je commence des vas et viens sur mon membre de 17cm totalement en érection, je repense à ce que Robert m’a fait, à se premier vrai contact avec un mec, à ses mains me parcourant le corps et tous les désirs et fantasmes refoulés, il ne faut pas longtemps pour que 4 à 5 jet de sperme explose de mon méat, je n’ai jamais eu un tel orgasme, j’en ai mis partout, je lèche mon sperme qui se trouve sur mes doigts et attrape les mouchoirs qui sont sur ma table de nuit pour essuyer mon short.-JM tu viens, hurle mon père-J’arrive, criais-je Je me rhabille, me lève rapidement, attrape mon bas de jogging et passe à la salle de bain. Je passe un peu d’eau froide sur mon visage, me fait une petite toilette vite fait et enfile mon survête. Je me regarde dans la glace et constate que je suis rouge pivoine. Tant pis, je descends et passe à table, je n’ai pas quitté le nez de mon assiette et je n’ai pas parlé, j’avais l’impression que mes parents étaient au courant de ce qui c’était passé dans ma chambre avec mon cousin, quant à Robert, il était pareil à lui même, parlant peu mais profitant d’un bon repas. A la fin du repas, j’ai prétexté que je me sentait pas bien pour me réfugier dans ma chambre, .J’ai dit bonne nuit à tout le monde en fixant le sol, je ne voulait pas croiser le regard de Robert et je suis monté, me suis mis au lit, mon cœur battait la chamade, il fallait que je me calme, mais mon esprit tournait plein régime, j’arrêtais pas de me dire, tu es GAY, tu es GAY, il a fallu que ton cousin te touche pour que tous tes désirs resurgissent , mes sentiments étaient partagé entre honte et fierté. J’étais ravi que mon rêve devienne réalité, enfin un homme venait de me toucher, de me faire bander, et j’ai aimé chaque moment de cet après-midi, je les revivais indéfiniment dans ma tête.C’est au bout d’une heure que j’ai entendu la porte d’entrée, notre invité venait de partir. Je me suis sentis soulagé qu’il soit parti,. C’est rempli d’image érotique avec mon cousin que je me suis endormi. Robert n’est pas revenu à la maison avant un bon mois, mais ça c’est une autre histoire.
Si vous avez aimer je vous raconterai la suite, faites moi des commentaires positifs ou négatifs Merci JM
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