La fatigue occasionnée par le rapport incestueux qu’il avait eu avec sa soeur ayant eu raison de sa crainte, Jérémie avait fini par s’endormir paisiblement en rêvant de la prochaine occasion qui se présenterait à Jennifer et lui pour remettre le couvert. Au lendemain de cette soirée riche en révélations et en émotions, le jeune homme se leva pour prendre son petit-déjeuner avant de se rendre à ses cours. À son arrivée à la table familiale, ses parents et sa soeur le saluèrent comme à l’accoutumée, ce qui le rassura quelque peu car il pouvait en déduire que Jennifer n’avait encore rien dit à Jacques et Jeanne de leur occupation de la veille.
Après avoir mangé, Jérémie s’habilla et prit la direction de l’Université pour y suivre son premier cours de la journée. Cependant, malgré son intérêt accru pour ce qu’il étudiait, le jeune homme avait l’esprit ailleurs. En effet, son cerveau ne cessait de lui projeter l’image de Jennifer en train de le prendre au gode-ceinture. Cette pensée ne pouvant être réprimée, il sentit son sexe prendre de l’ampleur sous ses vêtements.
Le cours toucha peu à peu à sa fin et le professeur transmit aux étudiants ses dernières recommandations avant que la sonnerie signalant la fin des cours ne retentisse.
En sortant de la salle de cours, Jérémie ôta le mode Avion de son téléphone. À peine le jeune homme avait-il retrouvé du réseau qu’une bannière lui indiquant qu’il avait reçu un message de Jennifer apparut sur son écran. Aussitôt, il ouvrit sa messagerie afin de savoir ce que sa soeur lui voulait.
« Retrouve-moi au terrain de rugby à 17h. J’ai quelqu’un à te présenter. Surtout, ne sois pas en retard. »
Jérémie nota dans son agenda électronique le rendez-vous que lui avait fixé Jennifer et prit le parti d’organiser sa journée en conséquence. Étant donné qu’au vu de la voie d’études qu’il avait choisie et le fait qu’il soit en première année, il n’avait pas de cours l’après-midi, le jeune homme décida de passer le temps en flânant dans les rues, de terrasse en terrasse et de boutique en boutique.
Lorsqu’il eut fini sa promenade, Jérémie consulta l’horloge de son téléphone. Celle-ci indiquait 16h30. Cela lui laissait juste le temps de prendre un bus et d’arriver pile à l’heure au point de rendez-vous. Le véhicule qu’il attendait arriva à l’heure prévue et le jeune homme s’installa tranquillement à l’arrière.
Soudain, alors qu’il constatait que le bus prenait un détour inhabituel, Jérémie comprit qu’en conséquence, il ne serait pas à l’heure au rendez-vous fixé par sa soeur, ce qui risquait probablement de causer l’ire de celle-ci.
Lorsque le véhicule parvint à l’arrêt auquel il souhaitait descendre, Jérémie courut aussi vite qu’il le put vers le terrain de rugby. À son arrivée, il put voir Jennifer accompagnée d’un jeune homme brun à la carrure athlétique qui semblait s’impatienter.
— Désolé pour le retard. Le bus a fait un détour à cause des travaux. — Tu aurais pu le prévoir, ça, mais bon... Je te présente Matthieu, capitaine de l’équipe de rugby de ma fac. C’est un très bon ami à moi et il est bissexuel. Matthieu, je te présente Jérémie, un jeune soumis de première année de fac que j’ai eu le plaisir de prendre à mon service.
Matthieu formula une formule de politesse en disant qu’il était enchanté de rencontrer Jérémie puis il décida d’aller droit au but.
— Tu m’as dit, Jennifer, que ton soumis avait encore quelques petites choses à apprendre. Je peux savoir de quoi il s’agit exactement ?— Tu le sauras bien assez tôt, Matthieu. En attendant, est-ce que tu connaîtrais un endroit tranquille où nous pourrions nous amuser ?— Dans les vestiaires. Comme je suis le capitaine de l’équipe, je possède la clé des vestiaires et à cette heure-là, tous mes coéquipiers sont déjà partis. — D’accord. Dans ce cas, allons-y. Ne perdons pas encore plus de temps que nous ne l’avons déjà fait.
Sur ces deux dernières paroles, Jennifer lança un regard plus qu’éloquent à son frère et tous deux suivirent Matthieu jusqu’au vestiaire. Comme le sportif le leur avait indiqué, celui-ci était complètement désert. Le rugbyman referma la porte derrière eux et alluma la lumière puis, sur impulsion de Jennifer, ils ôtèrent tous trois leurs vêtements.
En voyant l’athlète dans le plus simple appareil, Jérémie fut encore plus impressionné par sa carrure qui lui faisait penser à celle de son père. Quant à la rigidité de la verge de Matthieu, le jeune homme se sentit quelque peu complexé car la sienne devait mesurer bien cinq centimètres de moins.
— Matthieu, j’aimerais donner sa première leçon à mon soumis. Viens près de moi.
Le sportif s’avança vers Jennifer qui se mit à genoux devant lui. D’un geste, la jeune femme invita son frère à s’agenouiller à ses côtés.
— Comme tu peux l’imaginer, mon soumis n’est pas très expérimenté dans l’art de la fellation. C’est pourquoi je me dois de lui montrer comment on s’y prend.
Sur ces mots, Jennifer décalotta le gland de Matthieu sur lequel elle donna quelques coups de langue. La jeune femme se saisit ensuite des bourses du rugbyman et les massa doucement d’une main tout en lui caressant la verge de l’autre.
Tout excité de voir sa soeur s’occuper si bien du sexe de l’athlète, Jérémie ressentit un violent désir de passer derrière elle pour lui lécher le petit trou mais il s’abstint en se disant qu’il devait suivre la leçon qu’elle lui donnait tel un élève modèle qui boirait les paroles de son institutrice comme du petit lait.
Tandis que son frère luttait contre son envie, Jennifer s’appliquait déjà à gober la queue de Matthieu tout en massant les bourses de ce dernier. La jeune femme s’amusa ainsi durant quelques minutes puis recracha doucement la verge du sportif.
— À ton tour, maintenant.
À ces mots, Jérémie prit la place de sa soeur aux pieds de Matthieu et s’appliqua du mieux qu’il le pouvait à prodiguer au rugbyman des caresses buccales d’aussi bonne facture que celles de Jennifer. Comme il l’avait vue faire, le jeune homme donna quelques coups de langue sur le gland de l’athlète avant de mettre son sexe en bouche et de lui masser les testicules. Aux râles de satisfaction du sportif, Jérémie en déduisit qu’il se débrouillait plutôt bien.
— Hum... Il apprend vite, ton soumis. Avec un peu de pratique, il pourrait sucer aussi bien que toi. — Ne nous emballons pas trop vite : il a encore beaucoup à apprendre pour être un soumis digne de ce nom. En attendant, si on passait aux choses sérieuses ?
Sur ces mots, Jennifer fit signe à Jérémie de recracher la verge de Matthieu et de se positionner à quatre pattes sur le carrelage. Tandis que son frère s’exécutait, la jeune femme alla chercher son gode-ceinture dans son sac et s’en équipa.
— L’avantage avec lui, c’est qu’on y aller à fond quand on l’encule. Je vais te montrer.
Sous le regard pervers du sportif, Jennifer enfonça son engin jusqu’à la garde dans le sombre conduit de Jérémie et entama une série de puissants va-et-vient qui le firent crier de plaisir.
La jeune femme pilonna son frère pendant quelques minutes puis céda sa place à Matthieu. Tandis que celui-ci faisait pénétrer sa queue dans le petit trou de Jérémie, Jennifer ôta son gode-ceinture et le rangea dans son sac avant de prendre place devant son frère.
— Lèche-moi la chatte pendant que Matthieu t’encule.
À ces mots, l’excitation de Jérémie monta d’un cran et le jeune homme s’empressa d’exécuter l’ordre de sa soeur. Tandis que Matthieu le sodomisait sans relâche, il s’appliquait à prodiguer un cunnilingus de la meilleure qualité possible à Jennifer, ce qui n’était pas chose aisée au vu de la puissance des coups de queue de l’athlète dont les bourses venaient s’écraser avec force sur son fessier.
En voyant le spectacle de son frère en train de lui brouter le calice tout en se faisant sodomiser par Matthieu, la jeune femme eut l’idée de tester la langue de Jérémie sur un autre de ses orifices. Elle repoussa son visage et se retourna de façon à présenter son postérieur devant ses lèvres.
— Lèche.
Sans attendre, Jérémie se rua avec enthousiasme sur le petit trou de sa soeur qu’il lécha avec passion. Le jeune homme put rapidement en déduire que Jennifer aimait ses caresses puisque celle-ci ne cessait d’onduler du bassin pour lui signifier de poursuivre.
À cette vue, Matthieu, toujours occupé à sodomiser Jérémie, sentit qu’il n’allait pas tarder à jouir.
— Jennifer ! Je vais jouir !La jeune femme repoussa le visage de son frère de son postérieur et fit signe à ce dernier de se retourner vers l’athlète.
— Vas-y ! Éjacule où tu veux.
Sur ces mots, Matthieu se masturba durant quelques poignées de secondes et trois jets de sperme maculèrent le visage de Jérémie.
Lorsqu’ils furent tous trois remis de leurs ébats, Jennifer autorisa son frère à se laver le visage du sperme de Matthieu et ils se rhabillèrent. Après avoir vérifié que les lumières soient bien éteintes et la porte fermée, les trois protagonistes se séparèrent, Matthieu d’un côté et Jennifer et Jérémie de l’autre.
— Alors, qu’est-ce que ça t’a fait de te faire enculer par un vrai mec ?— C’était plutôt sympa mais je préfère nettement me faire prendre par une femme parce que je trouve ça plus excitant. En tout cas, j’ai bien aimé te lécher le cul. Ça m’a vraiment excité. — Ravie de l’entendre parce que moi aussi, j’ai adoré la dévotion que tu as mise pour me lécher les trous mais...— Mais quoi ?— Je dois tout de même te punir pour ton retard.
À ces mots, Jérémie demeura muet car il se demandait bien ce que sa soeur pourrait lui trouver comme punition...
