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Surpris et pris par...

Chapitre 4

Inceste
Durant la nuit qui suivit son asservissement par sa mère, Jérémie s’était empressé de trouver une photo de celle-ci pour en faire un photomontage similaire à celui qu’il avait fait pour sa soeur. Satisfait du résultat, il l’avait imprimé et laissé sur sa table de chevet afin de le donner à Jeanne le matin suivant. 
À son réveil, il alla rejoindre Jeanne et Jennifer dans la cuisine pour prendre son petit-déjeuner. En le voyant arriver dans le plus simple appareil, les deux femmes sourirent et le saluèrent par quelques petites claques sur ses fesses. Lorsqu’il eut fini de manger, il rangea les couverts dans le lave-vaisselle et alla faire sa toilette avant de s’habiller pour se rendre à ses cours. En partant, il tendit le photomontage qu’il avait réalisé la veille à sa mère qui le remercia d’un sourire ravi. 

Durant tout le trajet qui l’amenait vers la fac, Jérémie ne pouvait s’empêcher de penser aux évènements qui s’étaient déroulés la veille. En proposant à leur mère d’assister au spectacle, sa soeur l’avait bien puni en lui imposant une seconde maîtresse, donc deux fois plus de travail en tant que soumis. 

En entrant dans l’auditoire pour suivre son premier cours de la journée, le jeune homme put temporairement oublier sa situation en se plongeant dans l’écoute des paroles du professeur. Le reste de sa journée de cours se déroula normalement, sans trop de complications. Durant la pause de midi, il s’était installé dans un parc avec ses amis pour manger un kebab et à la reprise des cours, Jérémie écoutait à nouveau avec attention les enseignements dispensés par les professeurs. 

Sa journée de cours terminée, il décida de consulter sa messagerie. À peine avait-il fait les manipulations nécessaires que son téléphone lui afficha un message de sa mère :

 « Lorsque tu auras fini tes cours, rentre tout de suite à la maison et sonne à la porte. J’ai quelqu’un à te présenter.»

En lisant le message, Jérémie s’empressa de monter dans le premier bus qui prenait la direction de son domicile tout en se demandant pour quelle raison sa mère lui avait demandé de sonner à la porte. Au bout de dix minutes de trajet, le véhicule parvint à l’arrêt où il devait descendre. Le jeune homme se hâta de gravir les marches le menant à son appartement et sonna à la porte, comme Jeanne le lui avait demandé. Celle-ci vint lui ouvrir quelques secondes plus tard. 

— Bonjour, Jérémie. Déshabille-toi devant l’entrée et rejoins-moi dans ma chambre. J’ai une surprise pour toi. 

Le jeune homme s’exécuta et alla retrouver sa mère dans sa chambre en se demandant à qui il pourrait bien avoir à faire, sachant que Jennifer était de sortie avec des amies. Là, il fut surpris de constater la présence d’une jeune femme blonde d’environ une trentaine d’années équipée d’un matériel photo et vidéo dernier cri. 

— Jérémie, je te présente Rosalie. Elle est photographe et elle compte faire une exposition de photos érotiques. Ma fille et moi avons beaucoup discuté depuis la dernière fois que tu es venu ici et il nous est apparu que par la force des choses, tu ne nous seras pas soumis pour toujours. Nous avons donc décidé de recourir aux services de Rosalie afin de créer des albums photos de nos séances. 

Jérémie hocha la tête en signe de compréhension. Le jeune homme comprenait en effet que si sa mère avait utilisé ces termes pour lui expliquer la situation, c’était parce qu’elle souhaitait éviter que l’on sache qu’il était son fils, d’où sa demande de sonner à la porte. 

— Bon, Rosalie, si vous êtes prête, il ne me reste plus qu’à me changer et nous pourrons commencer. — De mon côté, tout est prêt. Souhaitez-vous que je fasse aussi des vidéos ?— Faites comme bon vous semble. Du moment qu’il y a des photos que je pourrai ranger dans mon album, il n’y a aucun problème. — Très bien, Madame. 

Sur ces mots, Jeanne ordonna à son fils de s’allonger sur le lit et alla se changer. Elle reparut quelques minutes plus tard, entièrement nue, un gode-ceinture long d’une trentaine de centimètres et large de huit centimètres dans une main et une cravache dans l’autre. 

En la voyant ainsi équipée, Jérémie sentit instantanément son sexe prendre de l’ampleur et il s’imagina être pris par l’énorme engin de sa mère. Celle-ci posa le gode et la cravache sur sa table de chevet et sans plus de cérémonie, s’assit sur son visage et se mit à jouer avec sa verge. 

Comprenant ce que Jeanne désirait, le jeune homme se mit à lécher le postérieur de sa mère avec dévotion sous les flashs de Rosalie qui ne cessait de se déplacer pour prendre les clichés sous tous les angles possibles. Mère et fils jouèrent à ce jeu durant quelques minutes puis Jeanne abandonna sa position pour s’allonger sur le lit. 

— Viens me lécher la chatte, maintenant. 

Jérémie obéit à l’ordre de sa mère et s’occupa du sexe de celle-ci avec la même ardeur que pour son fessier. Jeanne maintint la tête de son fils sur son calice tandis que la photographe immortalisait sans le savoir ces instants intimes entre la mère et son fils. 

Jérémie lécha le sexe de sa mère jusqu’à ce que celle-ci repousse son visage et ne lui donne l’ordre de s’assoir sur une chaise installée dans la chambre. Le jeune homme obtempéra tandis que Jeanne se saisissait d’une corde rangée dans un tiroir. 

Jeanne se dirigea ensuite vers son fils et enroula la corde autour de son corps, lui attachant les chevilles aux pieds de la chaise et le reste au dossier. Lorsqu’elle se fut assurée de la solidité des liens qui entravaient Jérémie, Jeanne alla chercher sa cravache. 

Le premier coup atteignit le jeune homme à la hauteur du visage sous l’objectif de Rosalie qui ne perdait pas une miette de la scène. Jeanne donna un deuxième coup sur le ventre de son fils puis un troisième sur ses cuisses. En voyant le sexe rigidifié de Jérémie, une idée perverse traversa l’esprit de sa mère. 

— On va jouer à un jeu : tu vas essayer de deviner l’âge de Rosalie. Si ton essai est plus élevé que son âge réel, tu recevras dix coups pour chaque année d’écart. S’il est en-dessous, tu en recevras cinq par année d’écart. Alors, quel âge a Rosalie d’après toi ?— Euh... 28 ans ?— J’ai 26 ans.— 26 ans ? Étant donné que tu as dit 28, cela fait deux ans d’écart à raison de dix coups par année d’écart, ce qui nous fera vingt coups. 

Sur ces mots, Jeanne donna un premier coup sur les bourses de son fils qui gémit de douleur. Le deuxième coup atteignit le jeune homme au visage, le troisième au ventre et un quatrième aux cuisses. Jérémie subit les seize autres coups de sa mère sur ses testicules, lui arrachant des larmes de souffrance devant lesquelles Jeanne sourit avant de défaire les liens qui le ligotaient à la chaise. 

— Et maintenant, à quatre pattes sur le lit. 

Jérémie obéit à nouveau à sa mère et tituba vers le lit, son sexe toujours endolori par les coups de cravache qu’il avait reçus. Celle-ci reposa sa cravache et s’équipa du gode-ceinture. Elle rejoignit ensuite son fils sur le lit et enfonça son sexe factice dans son rectum. Un nouveau flash crépita pour capturer cet instant puis Jeanne se mit à pilonner l’arrière-train du jeune homme qui supportait son gros calibre mieux qu’elle ne l’avait escompté. 

Se disant qu’il y avait une partie du corps de son fils qu’elle n’avait pas pu frapper avec sa cravache, Jeanne décida d’agrémenter sa sodomie par des fessées appuyées qui n’échappèrent pas à la caméra de Rosalie qui passait inlassablement de l’appareil photo à la caméra afin d’immortaliser au mieux la scène dont elle était témoin. 

Jeanne lima son fils quelques minutes durant puis, épuisée, se retira de son anus et ôta son gode-ceinture. Elle ordonna à Jérémie de se coucher sur le dos, recommandation que le jeune homme s’empressa d’appliquer. 

— Comme tu t’es montré très sage, je vais te donner une petite récompense. 

Sur ces mots, Jeanne logea habilement la verge de son fils dans le sillon de ses seins et le masturba jusqu’à ce que trois jets de sperme maculent sa poitrine. Jérémie sentit le sein gauche de sa mère sur ses lèvres et comprit qu’elle souhaitait qu’il lèche et avale son propre sperme. Le jeune homme s’exécuta de suite et ne cessa son activité que lorsqu’il fut sûr de l’absence de traces de sa semence sur les seins de sa mère. 

Celle-ci se releva et adressa un geste discret à Rosalie pour lui signifier que la séance était terminée. La photographe coupa la caméra et éteignit son appareil photo. 

— Merci à vous d’être venue, Rosalie. — C’est moi qui vous remercie, Madame. — Appelez-moi Jeanne. — Très bien, Jeanne. Je pense que j’ai assez de matière pour vous proposer une bonne dizaine de photos et deux vidéos, si cela vous convient. — Super, j’attends vos tirages avec impatience. Bien entendu, vous recevrez votre paiement dès que vous m’aurez fait parvenir les photos et les vidéos. — Bien, Jeanne. Je vais faire ça au plus vite. 

Les deux femmes se firent la bise et Jeanne raccompagna la photographe jusqu’à la porte. Lorsqu’elle eut refermé derrière elle, Jeanne alla s’enquérir de l’opinion de son fils. 

— Alors, Jérémie, ça t’a plu d’avoir été dominé par ta mère ?— Oui, beaucoup, Maman, mais les coups de cravache que tu m’as donnés sur les couilles m’ont fait très mal. Sinon, j’ai adoré te lécher le cul et la chatte et me faire enculer par ton énorme gode. — Je l’ai acheté dans l’optique de t’habituer à prendre des gros calibres dans le cul mais je ne m’attendais pas à ce qu’il passe avec autant de facilité. Le gode de ta soeur t’a aidé mieux que je ne le pensais. Pour les coups de cravache, je reconnais que j’y suis allée un peu fort mais comme Rosalie était là, je voulais lui donner de bons éléments pour ses photos. Dès qu’on est entre nous, j’irai un peu plus doucement avec toi. — D’accord, Maman. Je comprends. — Tu es un bon garçon. Maintenant, va prendre une douche et repose-toi car Jennifer a prévu une grosse journée pour toi demain. — Oui, Maman. 

Jérémie s’agenouilla devant sa mère et lui embrassa les pieds en signe de soumission avant de donner un baiser sur son calice. 

— Bonne nuit, Maman. — Bonne nuit, Jérémie. 

Le jeune homme prit une douche et alla se coucher en attendant avec impatience le lendemain afin de découvrir ce Jennifer lui réservait. 

[ à suivre ]
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