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Surpris et pris par...

Chapitre 9

Inceste
Aux alentours de 18h, Alice et Jérémie accueillirent chaleureusement Jeanne en lui demandant comment s’était passée sa journée. 
— Excellente ! J’ai fait un peu de shopping dans différentes boutiques avant de passer à l’institut de beauté pour me faire bichonner. — Je vois ça étant donnés tous ces sacs que tu nous ramènes. 
L’attention de Jérémie se focalisa sur un sac noir que sa mère tenait à la main. Ne voyant pas de logo représentatif d’une quelconque boutique sur le contenant, le jeune homme ne manqua pas d’interroger Jeanne sur son contenu. 
— Il s’agit d’une acquisition spéciale que j’ai faite en passant dans un centre commercial. Avec un peu de chance, nous pourrons l’essayer durant ces vacances. Et vous deux, alors ? Qu’avez-vous fait de votre journée ?— Eh bien, pour tout te dire, pas grand-chose. Nous nous sommes contentés de nous amuser un petit peu au bord de la piscine et d’y bronzer. — Joli programme. Bon, j’ai un peu faim, pas vous ?— J’ai un petit creux, moi aussi. À ce propos, Jérémie et moi avons discuté et il m’a dit que grâce à toi, il avait pris d’excellentes dispositions pour la cuisine. — C’est vrai. Dans ce cas, pourquoi ne pas nous préparer à dîner, Jérémie ? — Avec plaisir, Maman. — Mais d’abord, il faut que tu te changes. Pendant que tu prépares à dîner, Alice et moi allons prendre une douche. 
Sur ces mots, les deux soeurs prirent la direction de la salle de bain tandis que Jérémie se dévêtait, sachant pertinemment ce que les mots « se changer » signifiaient pour sa mère lorsqu’ils lui étaient adressés. Le jeune homme se débarrassa de ses vêtements sur le sol de sa chambre puis se dirigea vers la cuisine afin de préparer le repas. 
Lorsqu’Alice et Jeanne entrèrent dans la salle à manger, elles constatèrent la présence d’un plat de spaghettis à la sauce tomate sur la table ainsi que les couverts et serviettes. 
— Bravo, Jérémie. Beau travail. 
Tandis qu’il remerciait sa mère pour ce compliment, le jeune homme fut interrompu par un cri de surprise de sa tante. 
— Dis donc, Jeanne ! Tu ne m’avais pas dit que ton fils était toujours à poil lorsqu’il fait les tâches ménagères. — Oui, en effet, j’ai oublié de te préciser ce point. Jennifer et moi avons décidé que Jérémie resterait nu dès qu’il est à la maison mais si cela te dérange, je peux lui dire de se rhabiller. 
— Après ce que nous avons fait cet après-midi, le voir nu ne me dérange pas. Cela m’a juste un peu surprise. Aucun problème à ce qu’il reste nu dans la maison. 
Sur ces mots, les trois convives passèrent à table et Jérémie s’appliqua à servir les deux femmes avant de se servir lui-même. Le repas se déroula dans une ambiance tranquille. Jeanne détailla étape par étape sa journée shopping jusqu’à sa séance de massage dont elle fit un compte rendu positif. 
À la fin du dîner, Jérémie fit la vaisselle et sa mère lui recommanda de monter dans sa chambre, prétextant vouloir parler entre femmes avec sa soeur. Le jeune homme obtempéra et, contrairement à la première fois, décida d’écouter un peu de musique pour faire passer le temps au lieu d’aller épier la conversation des deux femmes. 
Aux environs de 21h, Jérémie reçut la visite de sa tante. 
— Ta mère et moi comptons aller marcher un peu dans la forêt. Cela nous ferait évidemment plaisir si tu acceptais de venir avec nous. — Bien sûr, Tata. Ça me ferait vraiment plaisir. Je me change et j’arrive. — Non, inutile de te changer. Tu viendras avec nous comme ça. Et au fait, je préfère que tu m’appelles Alice. Tata, ça fait un peu gamin de cinq ans, je trouve. — D’accord, Alice. 
Sur ces dernières paroles, Jérémie sortit de la maison en compagnie des deux soeurs. Durant tout le trajet qui les menait à la forêt, le jeune homme ne cessait de jeter des regards inquiets autour de lui en espérant que personne ne le voie dans le plus simple appareil, ce qui eut pour effet de faire sourire sa mère et sa tante qui ne manquèrent pas de le charrier. 
— Je t’ai dit qu’ils étaient tous partis en vacances, Jérémie. Personne n’aura le plaisir de voir ta petite bite. — Et même si quelqu’un te voit, dis-toi que ça pourrait mettre un peu de piment dans ta vie d’esclave. 
Le jeune homme décida de ne pas répondre aux railleries de Jeanne et Alice. Tandis qu’ils continuaient de cheminer vers la forêt, un détail sauta aux yeux de Jérémie : les deux femmes avaient chacune apporté un sac à main. Il se demanda pourquoi sa mère et sa tante auraient eu besoin de prendre leurs sacs pour une balade en forêt mais il se garda de les questionner, ne voulant pas les offenser par une question indiscrète. 
Au bout de dix minutes de marche, Jérémie et les deux soeurs parvinrent à l’entrée de la forêt. Ils cheminèrent encore durant cinq minutes environ puis s’arrêtèrent devant un arbre au tronc fin. Jeanne et Alice posèrent leurs sac à terre. 
— Nous allons faire une petite pause ici. — Mais il n’y a aucun banc ou tronc sur lequel s’assoir !— Ce n’est pas pour nous assoir que nous nous sommes arrêtés ici. 
En prononçant ces dernières paroles, Jeanne sortit une paire de menottes de son sac. 
— Je te présente ma nouvelle acquisition. Si ta tante et moi t’avons proposé de venir avec nous, c’est précisément pour la tester. Mets-toi à genoux devant ce tronc d’arbre et tiens-le. 
Jérémie s’exécuta sans broncher tandis que sa mère passait les menottes autour de ses poignets et du tronc d’arbre sous le regard pétillant d’excitation d’Alice qui avait commencé à se déshabiller. 
Pendant que sa soeur se faisait copieusement lécher le derrière par le jeune homme, Jeanne se dévêtit à son tour et prit place aux côtés d’Alice. En sentant les mains de sa tante tourner son visage vers le fessier de sa mère, Jérémie comprit que les deux femmes souhaitaient qu’il leur lèche le postérieur. 
Dans sa position inconfortable, le jeune homme s’appliqua tant bien que mal à procurer un maximum de plaisir aux deux femmes par ses coups de langue. Lorsqu’il parvint pour la il ne savait pas combientième fois au fessier d’Alice, celle-ci se retourna et lui offrit son sexe à lécher. Tandis qu’il s’exécutait, le jeune homme vit brièvement sa mère se détourner de la scène pour aller chercher quelque chose dans son sac. 
Alors qu’il s’occupait toujours de lécher le calice de sa tante, Jérémie ressentit une vive douleur au niveau de ses fesses. Il comprit alors que le mystérieux objet que Jeanne était allée chercher n’était autre qu’une cravache. 
— Tu veux essayer, Alice ?— Volontiers, Jeanne. 
Les deux soeurs échangèrent leur rôle puis Jérémie se mit à lécher le sexe de sa mère sous les puissants coups de cravache de sa tante. Après avoir frappé une vingtaine de fois le postérieur de son neveu, Alice posa la cravache à terre et s’équipa d’un gode-ceinture. 
Tandis qu’il donnait encore des coups de langue appuyés sur la chatte de Jeanne, Jérémie sentit le gode-ceinture de sa tante s’enfoncer dans son postérieur puis ses cuisses buter contre son fessier. 
Alice lima son neveu jusqu’à épuisement puis céda sa place à sa soeur qui partit s’équiper à son tour de son gode-ceinture. Tandis qu’il supportait les violents coups de reins de sa mère, Jérémie sentit le sein de sa tante sur ses lèvres et le téta avec avidité. 
Jeanne sodomisa son fils de toutes ses forces jusqu’à en être épuisée puis se retira pour se débarrasser de son gode-ceinture. À l’instar de sa soeur, elle se positionna devant Jérémie pour lui donner un sein à téter. Le jeune homme profita quelques instants durant de ces deux poitrines offertes puis les deux femmes le libérèrent. 
— Il a été plutôt docile, notre petit Jérémie. Et si on le faisait jouir ?— Tu as raison, Alice. Il a été très serviable et nous allons le faire jouir. La question est de savoir comment. On le branle ?— Bonne idée mais pas avec les mains. On va lui faire une branlette espagnole. Chacune de nous va le branler avec le sein qu’elle ne lui a pas donné à téter. 
Fortes de cette décision prise, les deux soeurs se placèrent de part et d’autre de Jérémie et logèrent habilement sa verge entre leurs deux seins pour le masturber. Le fait d’avoir été entravé et soumis à leurs caprices ayant exacerbé son excitation, le jeune homme sentit rapidement la jouissance le gagner. 
— Maman ! Alice ! Je vais jouir !
Dès qu’elles entendirent ces mots, les deux femmes se retirèrent, laissant Jérémie éjaculer sur le sol. Après s’être rhabillées et avoir rangé leurs affaires, les deux femmes poursuivirent leur promenade en compagnie du jeune homme en parlant avec animation de ce qu’ils venaient de faire et de ce qu’ils pourraient encore faire ensemble. 
— Je dois dire que c’est vraiment génial d’avoir un soumis que je peux sodomiser sur demande. Dommage que vous ne restiez que deux semaines. — Ne t’en fais pas : nous vous inviterons sûrement, Laurent, les filles et toi, à passer les fêtes de Noël chez nous. — Excellente idée ! D’ailleurs, en parlant de mes filles et de Laurent, tu voudrais bien laisser ton album photo ici pour que je puisse avoir un support visuel sur lequel me baser pour leur expliquer la situation ? Je ne voudrais pas qu’ils me prennent pour une folle. — Aucun souci. Je veux bien te le laisser à la condition que tu me le rapportes pour les fêtes de Noël. — Merci beaucoup, Jeanne. Compte sur moi. 
Sur ces dernières paroles, Jérémie et les deux soeurs finirent leur promenade et rentrèrent chez eux pour se remettre de leurs émotions. 
[ à suivre ]
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