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Surpris et pris par...

Chapitre 10

Inceste
Durant les deux semaines qui suivirent leur retour de Nice, Jeanne et Jérémie avaient pu raconter leurs péripéties à Jacques et Jennifer avant qu’ils ne s’en aillent à leur tour, le père de famille partant pour Marseille avec l’une de ses équipes de football dans le cadre d’un tournoi inter lycées et la jeune femme pour un camp de volleyball préparatoire des championnats nationaux qui devaient se dérouler à Paris à la fin du mois d’août. 
Durant les quelques jours qu’il leur restaient à passer ensemble avant que Jeanne ne reprenne son travail, mère et fils en avaient profité pour s’amuser à leur façon en évoquant la façon qu’avait eue Alice de le dominer. Pour le taquiner, Jeanne avait demandé à Jérémie laquelle de ses dominatrices il préférait entre Jennifer, elle et Alice. Ne souhaitant pas la contrarier, le jeune homme lui avait répondu qu’elle était sa dominatrice préférée, prétextant une plus grande excitation éprouvée à l’idée d’être soumis par sa propre mère même si en réalité, il appréciait les méthodes des trois femmes les unes autant que les autres et en retirait le même plaisir puisqu’elles étaient toutes issues de sa famille. 
Le lundi 15 août fut le jour J pour Jeanne qui allait retrouver son salon d’esthéticienne, laissant Jérémie seul à la maison. Remarquant la déception de son fils au petit-déjeuner ce matin-là, la mère de famille parvint à le rassurer. 
— Je ne te l’ai pas dit plus tôt mais j’ai reçu un coup de fil de quelqu’un qui m’a dit que tu aurais de la visite aujourd’hui. Comme ça, tu ne t’ennuieras pas trop durant cette journée.— Super ! Et qui viendra me rendre visite ?— Ça, c’est une surprise. Tout ce que je peux te dire, c’est que tu pourras aller à poil ouvrir la porte. — D’accord, Maman. Dans ce cas, j’ai bien hâte de recevoir cette visite. — Tu vois que je pense à ton plaisir. Qu’est-ce qu’on dit ?— Merci beaucoup, Maman. 
Sur ces mots, Jérémie embrassa sa mère puis finit sa collation avant de faire la vaisselle. Jeanne partie, le jeune homme se demandait que faire. En effet, sachant qu’il aurait de la visite, il ne pouvait se permettre de faire faux bond à la ou aux mystérieuses personnes dont parlait sa mère. N’ayant de surcroît pas pensé à demander à Jeanne à quel moment de la journée il recevrait ses visiteurs, Jérémie se résigna à rester à la maison en attendant leur arrivée. 
Heureusement pour le jeune homme, l’attente fut d’assez courte durée. En effet, deux heures après le départ de Jeanne, Jérémie entendit la sonnette retentir et s’empressa d’aller ouvrir. En découvrant l’identité de ses visiteuses, il fut à la fois surpris et ravi.
— Zoé ! Emilie ! Je ne m’attendais pas à votre visite. — Ça nous fait toujours plaisir de te voir, cousin. Surtout maintenant...
Préférant ignorer cette dernière remarque de Zoé, Jérémie fit entrer ses cousines et leur proposa de laisser leurs affaires dans le salon. Les deux jeunes femmes acceptèrent la proposition et la conversation s’orienta sur leurs vacances respectives. 
— Vous vous êtes bien amusées en Espagne ?— Oui, c’était super. Surtout pour Emilie. — Comment ça ?
— Disons simplement qu’elle a eu beaucoup de succès avec la gent masculine espagnole. Et toi ? C’était bien, ces vacances avec ta mère et la nôtre ? On nous a dit que tu avais été très sollicité. — On peut dire ça comme ça. Mais assez parlé de moi. Vous avez fait un long voyage pour venir jusqu’ici. Vous voulez boire quelque chose ?— C’est proposé si gentiment... Pour moi, un jus d’orange. — Et pour toi, Zoé ?— Un Coca. 
Jérémie se dirigea vers la cuisine et revint auprès de ses cousines avec les boissons demandées. Le jeune homme les regarda savourer leurs rafraîchissements en s’interrogeant sur la raison de leurs éclats de rire entre deux gorgées. 
— Si ce n’est pas trop indiscret, je peux savoir ce qui vous fait rire ? Ce sont les restes de l’alcool que vous avez bu quand vous étiez en Espagne ?— Non, pas du tout. C’est juste que notre mère nous a montré les photos de ta mère et toi. Quand on repense à la tête qu’a tirée notre père... Il était vachement surpris de voir ça. — Et vous deux ?— Pour être honnêtes, ça nous a plutôt beaucoup excitées. — Je vois... Et ça a fini comment par rapport à votre père ?— Notre mère a réussi à le calmer en lui disant que tu étais heureux de cette situation. Nous espérons seulement qu’elle ne lui a pas menti. — Pas du tout. D’ailleurs, si vous voulez, je peux vous montrer les photos de ma soeur et moi. — Il y a un album photo avec Jennifer en train de te soumettre ?! On ne nous avait pas dit, ça ! — Ah non ?— Non, seulement le fait qu’elle t’ait surpris en train de te branler sur un photomontage que tu as fait de vous deux et qu’elle t’a ensuite dominé. — Ah, d’accord. Je pensais que ma mère en avait parlé à la vôtre. Vous voulez voir les photos ?— Bien sûr !
Jérémie se dirigea vers la chambre de sa soeur et en revint avec l’album photo dont il avait parlé. En parcourant les clichés répertoriés, la réaction de ses cousines ne se fit pas attendre. 
— Whaou ! Encore plus excitant que les photos avec ta mère ! Jennifer a vraiment l’air d’une pro sur ces photos. On dirait vraiment qu’elle adore ça. — Elle adore ça, effectivement, puisqu’elle m’a offert aux désirs de l’un de ses amis et de deux de ses copines de volley. — Ça nous fait vraiment envie, cette histoire. — Dans ce cas, mettez-vous seulement à l’aise et je serai à vous. — Tu es vraiment devenu très serviable, Jérémie. Ça fait plaisir. 
Sur ces dernières paroles d’Emilie, les deux filles se dévêtirent pour rejoindre leur cousin dans sa nudité. En contemplant leurs corps, Jérémie sentit sa verge s’ériger. En effet, avec leurs longues chevelures brunes qui leur tombait sur le haut du dos, leurs poitrines plutôt généreuses pour leur morphologie et leurs longues jambes fuselées, il les trouvait vraiment belles.
— Regarde ça, Emilie ! On lui fait de l’effet, à notre cousin ! Sa petite bite est toute dure. — Je vois ça. Je sens que nous allons bien nous amuser aujourd’hui. — Moi aussi. Mais je me demande ce que Jérémie nous trouve vraiment. Allez, cousin, dis-nous ce qui te plaît chez nous. — Eh bien... Pour commencer, vos seins sont magnifiques. J’aime les filles fines comme vous ayant une poitrine aussi développée. — Pas mal... Quoi d’autre ?— Euh... J’aime voir vos chattes épilées parce que ça fait monter mon excitation d’un cran et vos culs rebondis sont vraiment agréables à regarder. — Voilà de beaux compliments, Jérémie. Ne t’en fais pas : tu vas faire bien plus que regarder nos culs et nos chattes. 
Suite à cette dernière déclaration, Zoé et Emilie s’assirent sur le canapé et invitèrent Jérémie à s’agenouiller devant elles. Le jeune homme obtempéra et Emilie fut la première à attirer son visage vers son sexe. Ne sachant que trop bien ce que signifiait ce genre de signal, il se mit à la lécher goulûment sous les yeux ravis de Zoé qui se masturbait tranquillement en attendant son tour. 
En voyant sa soeur se faire du bien, Emilie décida de changer de position. 
— Pas besoin de te branler, Zoé : on a un soumis qui est là pour ça. Si tu es si pressée de te faire lécher, j’ai une meilleure idée. 
Emilie se coucha de tout son long sur le canapé et fit signe à Zoé de venir s’assoir sur son visage. Surpris de voir un tel tableau, Jérémie ne put esquisser le moindre geste tant cela l’étonnait. 
— Ça te surprend tant que ça ? On pensait que ça ne te dérangerait pas puisque tu as l’habitude de te faire prendre par les femmes de la famille. — C’est juste que je ne pensais pas que vous aimiez vous faire du bien l’une à l’autre. — Maintenant, tu le sais. On découvre un truc sur toi et tu découvres un truc sur nous, ça me paraît équitable en fin de compte. Et maintenant, si tu t’occupais de moi ?
Le jeune homme ne se fit pas prier pour accepter l’invitation d’Emilie qui s’était déjà remise à lécher le calice de sa soeur. Jérémie se pencha sur le bas-ventre de sa cousine et lui prodigua un cunnilingus dont il avait le secret sous les gémissements de Zoé qui lui servirent d’aphrodisiaque. 
Cousin et cousines s’amusèrent ainsi durant quelques minutes puis Zoé décida qu’il était temps pour elle et sa soeur d’échanger leurs places. Lorsque les deux soeurs furent bien installées, Jérémie s’appliqua à lécher le sexe de Zoé avec la même passion qu’il avait eue pour s’occuper de celui d’Emilie tandis que cette dernière profitait d’habiles coups de langue de la part de sa soeur. 
À nouveau, les gémissements d’Emilie servirent de motivation à Jérémie qui sentit le corps de Zoé onduler sous son visage, signe de satisfaction de la part de sa cousine concernant son cunnilingus. 
Le jeune homme et les deux filles se divertirent de cette manière durant un certain laps de temps puis Emilie suggéra de changer à nouveau de position. Les deux soeurs et Jérémie se positionnèrent à quatre pattes sur le sol du salon, Jérémie en dernière position.
Sur la base de l’exemple fourni par Emilie qui s’était attelée à lécher le postérieur de Zoé, le jeune homme en fit autant avec celui de son autre cousine. Une nouvelle fois, les trois protagonistes demeurèrent dans cette configuration durant un certain temps puis les deux soeurs échangèrent leurs positions. 
Comme il l’avait fait pour Emilie, Jérémie lécha passionnément le fessier de Zoé qui en fit de même avec celui de sa soeur. Le jeune homme et les deux soeurs poursuivirent leur relation ainsi durant quelques minutes puis les deux filles se relevèrent en faisant signe à leur cousin de rester dans sa position. 
— Maintenant qu’on a eu ta bouche, il y a un autre petit trou qu’on aimerait avoir de toi. 
Sur ces mots de Zoé, les deux filles sortirent chacune un gode-ceinture de leurs sacs et s’en équipèrent. Cette fois-ci, Emilie laissa sa soeur sodomiser Jérémie la première. Cette dernière enfonça son engin centimètre par centimètre dans le petit trou de son cousin afin de pouvoir savourer ce moment. Constatant le plaisir du jeune homme, la jeune femme se mit à le pilonner violemment. Au bout d’une vingtaine de va-et-vient, Zoé céda sa place à Emilie qui en fit de même. 
Les deux soeurs se plurent ainsi à enculer Jérémie en alternance durant une bonne demie heure puis, épuisées par leurs efforts, décidèrent qu’il était temps de conclure. 
— Jérémie nous a fait bien fait jouir avec ses coups de langue. Il serait juste selon moi de lui rendre la pareille. — Tout à fait, Emilie. Et je sais déjà comment on va s’y prendre. 
Sur un signe de Zoé, les deux soeurs logèrent habilement la verge de leur cousin entre leurs seins et le masturbèrent. Grâce à l’expérience de ses cousines en matière de branlette espagnole et à ce qu’ils venaient de faire ensemble, Jérémie ne tarda pas à sentir la jouissance l’envahir. 
— Zoé ! Emilie ! Je vais jouir !
Contrairement à ce à quoi il pouvait s’attendre, ses cousines ne se retirèrent pas pour le laisser jouir sur le sol. 
— Vas-y, cousin, jouis sur nos seins. 
Libéré par cette autorisation d’Emilie, Jérémie répandit sa semence sur les poitrines offertes des deux soeurs qui finirent par se lécher l’une et l’autre sous ses yeux étonnés. 
— Ça non plus, tu ne t’y attendais pas ? — Euh... Non. D’habitude, on me fait lécher mon sperme lorsque j’éjacule. — Eh bien, avec nous, c’est dans nos ventres qu’il finit. On adore ça et il faut dire que le tien a plutôt bon goût. — J’en suis ravi. 
Lorsqu’ils furent remis de leurs émotions, Jérémie et ses cousines se rhabillèrent pour prendre la direction de la gare où les deux soeurs devaient prendre un train en direction de Nice. 
Lorsque le train qu’elles devaient prendre entra en gare, Zoé sortit l’album photo illustrant Jérémie et Jeanne de son sac.
— Notre mère nous a chargées de te donner ça. — Ma mère appréciera. Merci. — Une dernière chose : ne raconte à personne pour Zoé et moi. Nous attendons les fêtes de Noël pour annoncer ça à la famille en espérant que notre relation en entraînera d’autres. — Comptez sur moi. J’espère pour vous que ça ira comme vous voulez. Il faut dire que ce serait effectivement plus amusant pour tout le monde. 
Sur ces dernières paroles, Zoé et Emilie montèrent dans le train et Jérémie leur fit de longs signes de la main jusqu’à ce qu’elles disparaissent de son champ de vision. Satisfait de la journée qu’il avait passée, le jeune homme rentra chez lui, impatient de tout raconter à sa mère. 
[ à suivre ]
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