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La surprise d’Anaïs

Chapitre 1

Trash
Voici mon histoire :

Je m’appelle Anaïs, j’ai 18 ans et je suis l’étudiante la plus normale qui soit ! Laissez moi vous parler un peu de moi : je mesure 1m63 pour 52 kilos, j’ai une peau claire, les cheveux châtain-roux raides et des yeux verts. Je fais sinon 90 B de tour de poitrine et j’ai une silhouette frêle mais avantageuse : j’ai d’ailleurs toujours attiré les mecs , tellement que j’ai l’habitude de m’amuser à voir leurs tentatives minables pour m’aborder se solder par un échec . Oui je sais ça à l’air méchant mais au bout d’un moment ça devient lassant, quoi ! J’ai juste eu un copain quand j’avais 17 ans et qui avait alors le même âge que moi : j’ai perdu ma virginité avec lui mais notre relation ayant duré trois mois, autant dire que je suis restée quasiment inexpérimenté côté sexe et aussi farouche qu’une mante religieuse… Comme je suis mignonne ( non que j’en tire une grande gloire , c’est juste un fait, tout le monde me le dit ! ) les gens ont tendance à me croire stupide et pourtant ce n’est vraiment pas le cas : de ce fait je supporte d’autant moins les mecs lourds , j’ai horreur des vieux pervers qui draguent dans les boites de nuit, etc. enfin comme tout le monde . Mes parents quand à eux sont très protecteurs, et ils ont eu beaucoup de mal à me lâcher dans le milieu universitaire.Ça fait maintenant plusieurs mois que je suis en fac de droit , les études se passent bien, c’est difficile mais je m’accroche . Mes parents m’ont loué un appart pas trop loin du centre-ville ce qui est pratique pour les sorties ! D’ailleurs je sors ce soir , j’imagine que mes copines vont encore m’ennuyer du fait que je n’ai pas de mecs et que je boive peu . On devait commencer la soirée dans un bar un peu miteux proche de chez moi puis y revenir après avoir fait le tour des autres au centre-ville . Ici les conso ne sont pas chères autant en profiter ! Mais bon c’est fréquenté que par des loosers.
On était quatre alors , j’étais avec deux copines et un copain . Un moment je sortis fumer, je demandais donc au mec qui était avec nous s’il pouvait me prêter son manteau vu le froid qu’il faisait dehors . Alors que j’étais mêlée aux gens devant le bar , je surpris une conversation entre deux mecs qui devaient avoir 26-27 ans :
« T’a vu les trois bombes dans le bar ? -Ouais oh putain j’en sauterais bien une ou deux, le petit cul qu’elles ont avec leurs jeans moulants ! il est veinard le mec qui les accompagne, ha ha ha ! » Repris l’autre, un grand brun avec un chapeau .
Nul doute, ces deux abrutis parlaient de nous , il n’ont pas du me reconnaître à cause du manteau .
« Puis la petite brune là, repris le grand , franchement t’imagines pas tout ce que j’aimerais lui mettre…-Ouais elles sont encore fraîches les meufs de cet âge…— Mais bon tu sais c’est le genre de petite pétasse coincée qui se tape un ptit intello de sa promo ..Je te parie tout ce que tu veux qu’elle n’a jamais connu une queue de vrai mâle ..— toi je comprends pourquoi ça fait 5 ans que t’a pas tiré un coup, t’es vraiment un gros dégueulasse » renchéris son pote en rigolant à son tour. 
C’est le moment que je choisis pour me planter devant eux pour qu’ils ne puissent pas me rater : je leur lançais un « bande de ratés » avec le regard le plus méprisant possible , les laissant muets et abasourdis . Satisfaite de ma petite vengeance, je me faufilai à l’intérieur et proposai à mon groupe de partir .
Plus tard dans la soirée , dans un bar dansant je me suis fait aborder sur la piste par un mec absolument .. Parfait . Il dansait bien, vraiment beau gosse , grand brun avec un chapeau, comme quoi tous n’étaient pas des abrutis! Il s’appelait Marc. De fil en aiguille il me proposa un verre , puis deux… J’ai commencé à sympathiser avec lui , il avait 23 ans ( un petit peu vieux pour moi ) et étudiait dans une fac d’économie . Mes copines ne me reconnaissaient pas: étant probablement dans un bon jour et l’alcool aidant, je n’étais absolument pas timide ! Il nous accompagna finalement toute la soirée. A la fin de celle-ci j’étais complètement bourrée, c’était la première fois que ça m’arrivait .Ayant bien aguiché mon Marc, c’est naturellement que je finis par me retrouver dans mon appartement seule avec ce garçon... Dieu sait ou j’avais abandonné mes copines , elles ont probablement dû rentrer chez elles .
A l’intérieur j’étais complètement soûle et je tenais à peine debout j’avais alors du mal à me rendre compte de la situation. J’avais un peu peur mais j’étais à la fois terriblement excitée , d’ailleurs lui aussi semblait trembler un peu . Je me dirigeai vers l’interrupteur quand il m’arrêta d’un geste.
« Je préfère la pénombre . »
Avant que je pu répondre quoi que ce soit il se mit à m’embrasser, à pleine bouche. Tout se passa rapidement : je me retrouvais nue, assise sur mon lit, sa tête entre mes cuisses . Au premier petit coup de langue sur mon sexe, je partis dans les nuages. Celle-ci s’enfonça violemment de plus loin en moi et son nez rencontra les quelques rares et fins poils châtains de mon minou. Celui-ci devint de plus en plus humide, j’en étais surprise car je ne connaissais pas cette forme de sexualité et pourtant cela m’offrait des sensations absolument incroyables. Alors que sa bouche aspirait goulûment mon sexe, je sentis que me dirigeais petit à petit vers un orgasme du moins je le pensais car je n’en avais eu . Malheureusement, il se releva brutalement et fit voler ses vêtements à travers la pièce. J’entendis peu à près le bruit caractéristique du déchirement du préservatif . Il s’allongea sur moi , et je pris conscience de la taille du bonhomme qui me pétrissait maintenant lourdement les seins. Alors que j’étais allongée, il se releva et me pénétra. Son sexe était énorme ! je tentais inconsciemment de refermer mes jambes mais c’était trop tard car il pesait déjà de tout son poids sur moi. Mon appréhension et mon hésitation semblaient le ravir car il s’enfonçait à présent sûrement en moi. Ma respiration était saccadée et tout en moi refusait ce pieu de chair énorme, pourtant son avance était inexorable . Ces coups lents devinrent bientôt rapide et tout mon corps commença à se raidir, le cœur battant à tout rompre . Libéré de tout contrôle, il se mit à me bourrer comme jamais, sa queue se raidissant de plus en plus jusqu’à devenir dure comme du fer . Avant d’avoir pu réagir, il s’enfonça violemment une dernière fois en moi, son comportement indiquant qu’il devait avoir un orgasme puissant . Il se retira en expirant et me laissa sonnée dans la même position sur le lit .
« Aaaah désolé mais j’en avais trop besoin. je vais pouvoir te baiser comme il faut maintenant ! » 
J’étais bien trop hébété pour répondre quoi que ce soit
L’effet de l’alcool étant à son paroxysme, je ne sait combien de temps il se passa avant qu’il me pénètre à nouveau. Mais cette fois-ci ces mouvements étaient plus longs, plus profonds, peut être à la recherche de mon plaisir ? J’étais cependant toujours aussi tendue car je n’arrivais tout bonnement pas à accepter ce sexe aussi gros, mais je poursuivais une lutte que je ne pouvais gagner … Puis le déclic se fit : l’alcool aidant, d’un coup je me détendis, mes jambes s’écartèrent d’elle-même et son sexe coulissa mieux : je me rendais, j’acceptais totalement sa domination. Les sensations vinrent alors très rapidement. Je fermai les yeux ma respiration accompagnant ces coups, je me mis à mouiller comme jamais. Il dû le remarquer puis qu’il s’enfonçait dorénavant aisément en moi . Le rythme de ses coups finit par s’intensifier, ces couilles claquaient contre mes fesses, et j’entendais maintenant distinctement en plus de ce claquement mat, les bruits obscène de la pénétration. Je connu peu après mon tout premier orgasme absolument ravageur, mon sexe serrant le sien pendant que mes petites jambes serraient son bassin... Je pouvais sentir d’ici son sourire satisfait .
« Tu sais tout à l’heure je t’ai léché , j’ai droit à une petite récompense , non ? »
Je n’ai compris ce qu’il voulait dire que lors qu’il approcha son gland de mon visage . Bien que réticente au premier abord, mais ayant compris que la réflexion et l’appréhension bridait mon plaisir, je pris le membre dans ma bouche. Il commença quelques va- et vient, je me mis rapidement à le pomper car nul doute qu’il m’aurait cassé la mâchoire à me pistonner ainsi avec son énorme queue (les réflexions que l’on peut avoir alcoolisé, hein ) j’imagine que c’est ce manque de réflexion et l’obéissance née de celui-ci qui me fit avaler son jus par la suite… De toute façon j’étais bien trop soûle pour sentir le moindre gout .
Mon amant semblait insatiable et nous passâmes le reste de la nuit accouplés dans diverses positions , moi totalement soumise au moindre de ces caprices, lui profitant de ma petite chatte en me bourrant de manière désordonnée. Peut être était ce le fait de la taille importante de son sexe, mais mon plaisir ne diminuait pas . Il essaya même de me sodomiser, mais quelque soit ma volonté de le satisfaire la douleur occasionnée me stoppa nette car il était bien trop gros. Plus tard, la nuit était déjà avancée, et pendant qu’il me prenait pour la énième fois en levrette, prise de fatigue je laissais tomber ma tête sur mon lit . Alors qu’il jouissait ma tête toucha une peluche que ma mère m’avait offerte quand j’étais petite . C’est à ce moment là que je réalisais l’obscénité de la scène : un type monté comme un poney se répandant en moi par derrière comme le dernier des animaux . Il se retira de moi et je pris conscience de l’état pitoyable de ma chatte, plus que remplie après toute ces jouissances, je me suis d’ailleurs demandé quand est-ce qu’on avait arrêté d’utiliser des préservatifs, pas moyen de m’en souvenir . Dégoûtée, je partis me doucher et revins quelques minutes plus tard me coucher auprès de mon amant qui était tombé dans un sommeil profond et probablement très satisfait .
Au matin la lumière du jour me réveilla et me trouva parfaitement lucide . Mon regard se porta sur l’homme qui étais à coté de moi et avec qui j’avais partagée la nuit de façon si bestiale. L’horreur me fit écarquiller les yeux : ce n’était pas Marc mais le type qui voulait me baiser lorsque j’étais descendue dans le premier bar ! Alors que j’étais complètement paniquée il ouvrit les yeux . Remarquant mon trouble il se mit à sourire .
« Tu ne te souviens plus , hein ? Hier tu es revenue au bar ou on étais toujours, t’étais complètement torchée puis le type qui venait avec toi t’a laissé discrètement et tu m’as confondu avec ! Mais je me suis bien occupée de toi, non ? Ha ha !— oh non, s’il te plait va t’en maintenant, et par pitié fais toi discret …-Suce moi une dernière fois , et je dirais rien à personne . »
Il dégagea alors le drap, et je vis distinctement pour la première fois son sexe tendu. Après quelques secondes d’hésitation je suivis ces instructions, embrassant et massant ces parties, puis finalement je pris le gros membre veineux dans ma bouche . Après quelques aller retours au début bien éprouvants pour moi, il posa ces deux mains sur mes cheveux et se vida en relâchant un grand soupir . Effectivement j’avais maintenant l’impression de connaitre depuis toujours cet énorme gland palpitant et ces jets bouillonnants visqueux qui s’étalaient sur ma langue …
« Bon je me casse ! »Il s’habilla en un éclair et sortit de mon appartement, il se retourna une dernière fois :« T’a 18 ans je crois , ben franchement t’es géniale comme fille ! »
Je restais silencieuse …
J’étais toute rouge, fort heureusement il ne savait pas que c’était parce que je m’étais mise à mouiller pendant que je le suçais !Je vérifiai qu’il était bien parti ,puis je me rallongeai. Je portai alors doucement mes doigts à mes lèvres intimes, tout en avalant par petite gorgées ce qu’il m’avait laissé dans la bouche quelques minutes plus tôt .. Quelle salope, pensais-je .
Je ne connaissais même pas le nom de ce salaud. Et pourtant je me suis dit que si je le revoyait par la suite, se serait peut être l’occasion d’une autre histoire …

Fin

Remerciements à StormX pour ses conseils éclairés .
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