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surprise au jour de l'an

Chapitre 1

Inceste
Rien dans ma vie ne m’avait laissé penser qu’il m’arriverai quelque chose comme ça un jour.
Au début du mois de Décembre dernier, alors que la famille s’était réuni pour préparer les fêtes de fin d’année, ma mère m’annonça que ma tante, sa petite sœur, devait venir passer le jour le l’an avec nous pour la première fois depuis son divorce. Bien que très gentille, cette tante est invivable : maniaque, autoritaire, lorsqu’elle s’installe chez vous, ça devient "chez elle". Bref, si tout le monde est heureux de la voir, personne ne veut l’héberger. Malheureusement, étant le seul de la famille à être célibataire, et disposant de la place suffisante chez moi, je ne peux refuser lorsqu’on me demande de la loger. Elle arrivera le 28 décembre et repartira le 3 Janvier.
Faisant contre mauvaise fortune bon cœur, je suis le jour dit à la gare pour la récupérer. A l’arrivée de son train, surprise, elle est vêtu de manière très sexy malgré le froid : chemisier blanc presque transparent, jupe mi-cuisse moulante, escarpins à talon haut, bref, elle est ravissante. Elle me prend dans ses bras, m’embrasse sur les deux joues et se serre contre moi en se frottant légèrement contre mon corps. Voilà que je me sens troublé par ma propre tante. Qu’est-ce qui m’arrive ? Ma tante a bien senti mon trouble et me dit en rigolant que j’ai l’air content de la voir. je rougi comme l’enfant que je ne suis plus à trente-cinq ans.
Dans la voiture, alors qu’elle me raconte sa vie depuis son divorce, je ne peux m’empêcher de remarquer que sa jupe remonte très haut sur ses cuisses jusqu’à la lisière des bas. Des bas en décembre ? Ma tatie n’est décidemment pas frileuse et moi, je sens une érection se former dans mon boxer et ma conduite devient légèrement hasardeuse. Ma tante, qui a tout remarqué, ne fait rien pour descendre sa jupe et me lance, me semble-t-il des sourires ironiques mais ne fait aucun commentaire.
Enfin arrivés chez moi, on s’installe. Je lui laisse ma chambre le temps de son séjour et prépare mon lit dans le salon pendant qu’elle va prendre une douche. Ma première vraie surprise survient lorsque ma tante sort de la salle de bain totalement nue pour aller s’habiller :
— Tu aurais pu t’habiller un peu tata, c’est gênant de te voir comme ça !
— Gênant ou plaisant ?
C’est tout ce qu’elle me rétorque. Mais elle le fait en fixant mon pantalon ou une grosse bosse s’est formée. Elle entre dans la chambre, sourire moqueur aux lèvres, tandis que j’essaie de contrôler mon état.
Au repas du soir, que nous prenons en tête à tête, elle s’excuse de m’avoir gêner. Elle ne s’y attendait pas, n’ayant jamais été pudique. Je lui explique que lorsqu’elle se baladait nue quand nous étions jeune, mes frères et moi, les pensées qui me traversaient l’esprit n’étaient pas les mêmes qu’aujourd’hui. Un blanc se fait alors, ma tante devient rouge pivoine et moi aussi en comprenant que je viens implicitement de lui avouer que j’avais des pensées pour elle. Elle expédie son repas et va se coucher toujours aussi gênée.
J’ai du mal à dormir, les pensées se bousculent dans ma tête. Deuxième surprise à trois heures du matin, lorsqu’il me semble entendre des bruits dans la chambre. Je me lève, me disant que ma tante pourrait être malade lorsque j’entends des gémissements : ma tante se caresse dans son lit. Je n’y tiens plus et colle mon œil sur a serrure. Le spectacle est magnifique : ma tante, à genoux sur le lit, les fesses légèrement tournées vers la porte, se masturbe le clitoris d’une main en enfonçant deux doigts dans son petit cul de l’autre. Son visage est enfoncé dans son oreiller pour étouffer ses plaintes. Je ne peux me retenir, je me branle en calquant mon rythme sur le sien pour que nous jouissions en même temps.
Ses doigts s’activent, elle se défonce littéralement l’anus devant moi et lorsqu’elle jouit, je l’entend murmurer mon nom. Je gicle immédiatement ! Le lendemain, ma tante et moi nous réveillons assez tard. je prépare le petit déjeuner et l’appelle lorsque tout est prêt. Elle vient s’asseoir vêtue d’une ravissante nuisette noire, transparente à certains endroits et qui cache tout en laissant tout deviner. heureusement que je suis déjà assis, caché par la table. C’est elle qui prend la parole :
-Je suis désolée pour hier, je ne pensais pas te gêner.
Elle est toute triste en disant cela et je m’empresse de la rassurer:
— Ce n’est rien, j’ai simplement été surpris mais si tu veux tout savoir, ça ne m’a pas vraiment embêter plus que ça. Je n’ai jamais été pudique, seulement, je ne m’attendais vraiment pas à te voir comme ça mais maintenant que je le sais... disons simplement que ça ne me dérange pas du tout en fait. Et je suis content de te voir à la maison.
Elle me fait un grand sourire et m’explique que depuis qu’elle vit seule, n’ayant plus personne chez elle, elle a pris  de "mauvaises habitudes" et n’a plus de raison de se cacher mais qu’elle a oublié qu’elle n’était pas chez elle, ce à quoi je rétorque qu’elle peut continuer à oublier. elle pars dans un grand rire en me traitant de coquin.
C’est alors qu’elle se lève et vient s’asseoir sur mes genoux pour me prendre dans ses bras en me disant :
— Je suis contente d’être avec toi.
Elle continue de dire des choses mais moi je ne les entends plus : je sens les fesse de ma tante sur mes genoux : elle n’a pas de culotte sous sa nuisette. Mon érection est immédiate. Elle est tellement soudaine que ma queue dépasse de mon boxer et frotte sur sa cuisse. Elle le remarque, se fige et me regarde droit dans les yeux. Ma jambe devient légèrement humide. La situation l’excite. Ma main glisse sous sa nuisette et vient lui caresser les fesses. Son cul est d’une fermeté incroyable et la position ouvre le sillon qui sépare les deux globes. elle se trouble, se mord la lèvre et je glisse mes doigts vers son petit trou. Sans un mot, sans un baiser, elle se saisis de mon sexe et commence à me masturber. Sa caresse est douce et ferme à la fois. Je glisse deux doigts dans son anus et commence des aller-retours. Elle gémit, me dit qu’elle aime ça tandis que sa main accélère ses caresses et qu’elle me saisit les couilles de l’autre pour une caresse en bonne et due forme.
Mes doigts s’agitent dans son cul qui a l’air bien ouvert, elle a clairement l’habitude de se faire sodomiser et cette pensée manque de me faire éclater dans ses mains. Elle remue, dandine ses fesses pour que mes doigts la pénètre plus profondément, en demande plus. un troisième puis un quatrième doigt pénètre son anus grand ouvert. elle s’agite de plus en plus, gémit, crie dans sa jouissance et je sens mes jambes inondées par son plaisir.
Elle descend alors de mes genoux, baisse mon boxer et engloutit ma queue. Sa bouche est fantastique, sa langue agile et ses caresses m’ont tellement excitées que je ne tiens que le temps de lui dire que ça vient. elle me fixe droit dans les yeux et me suce encore plus goulûment, branlant ma queue très fort pour me faire éjaculer, ce qui arrive quelques secondes plus tard : c’est une véritable explosion, jamais je n’ai lâché autant de sperme. Elle me fixe, continuant de sucer jusqu’au dernier de mes spasmes et, vicieusement, avale tout en me fixant droit dans les yeux. Puis, à ma grande surprise, elle fond en larmes et s’enfuit dans la chambre, me laissant dans un grand désarroi. Je ne peux pas la laisser dans cet état alors après m’être réajusté, je la rejoins et la trouve allongée sur le lit le corps secoué de sanglots.
à suivre...
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