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surprise au jour de l'an

Chapitre 2

Inceste
Il m’a fallu du temps pour la calmer. Ce qui s’est dit serait trop long à narrer ici. Disons seulement qu’on s’est expliqué : solitude et manque de relation pour elle, attirance physique pour moi - car si j’ai fais comprendre au début de ce récit que ma tante était invivable, ce qui semble très ironique maintenant, j’ai omis de vous la décrire, ce que je corrigerai un peu plus loin - bref, nous avons convenu que nous venions de faire une grosse bêtise, qu’il faudrait que ça reste entre nous et que nous ne devions absolument plus recommencer.
Elle a donc prit l’habitude de se vêtir en sortant de la douche, ses tenus ont été moins sexy et de mon coté, je me suis acharné à ne plus lui montrer mon attirance et à ne pas faire la moindre allusion à ce qui s’était produit.
Seulement, même si nos discussions étaient déliées et que nous passions tout notre temps ensemble, il planait sur nous le souvenir de cette matinée si particulière. Nous avons passé ainsi les journées du 29 et du 30 décembre, entre rires, confidences et gênes à chaque fois que notre attirance ressurgissait.
C’est dans la nuit du 30 au 31 que j’ai sû que nous ne résisterions pas. Après un simple câlin et une bise de bonne nuit, j’étais assez troublé pour ne pas dormir. et, comme le soir de son arrivée, j’entendis ma tante gémir au milieu de la nuit. Je retournai à mon poste d’observation et le spectacle fut époustouflant : ma tante, en levrette, les fesses tournées vers la porte comme si elle savait que je la matais, enfonçait un gode de belle taille dans sa chatte ouverte en mettant 3 doigts dans son petit trou. J’étais comme fou, surexcité. J’ai enlevé le caleçon que je garde pour dormir et j’ai empoigné ma queue. Ce faisant, j’ai malencontreusement heurté doucement la porte. Ma tante s’est figé, a tourné son visage vers la porte et m’a appelé :
— Rentre, viens me voir.
Autant dire que je ne me suis pas fait prier.
— N’approche pas et regarde moi ! Caresse toi aussi, si tu veux, ça m’excite.Ce que je fis sans plus de paroles.
Ma tante a gardé son visage tourné vers moi, ce qui m’excitait encore plus. Elle a repris sa masturbation. Lentement d’abord, puis de plus en plus fort. N’y tenant plus je m’approchais d’elle, m’asseyant sur le bord du lit malgré son regard désapprobateur. Elle reprend ses caresses en voyant que je ne fais pas le moindre geste vers elle. Je me caresse aussi, lentement d’abord puis énergiquement. Ses doigts dans son cul attire mon regard, ce qu’elle remarque très bien. Elle concentre alors ses caresses sur son anus, faisant aller ses doigts le plus profondément possible entre ses fesses puis les faisant ressortir entier avant de les remettre presque violemment. Ma main s’agite plus rapidement sur mon manche qui n’a jamais été aussi dur. Voyant ça, elle enlève ses doigts et les remplace par son gode. Visiblement hors de contrôle, elle saisi mon sexe et me branle en s’astiquant l’anus. Sa main va et vient sur mon sexe, me rend fou de désir. Je guide ma main vers son cul et rejoins la sienne sur son gode. Elle lâche alors ces simples mots :
— Vas-y !
Je me saisis du gode et bourre son anus de mouvements parfois longs et lents, parfois courts et rapide. Sa respiration accélère, les encouragements fusent. C’est une cascade de "Plus fort ! Comme ça ! Prends moi le cul à fond ! c’est booooooooooooooon" Elle hurle son orgasme, haletante.Je jouis à mon tour. Elle me glisse alors cette phrase:
"Et si on assumait ?"
Je n’aurais jamais crû entendre ces mots sortir de sa bouche.
Ni une ni deux, je lui rétorque :
— Banco !
C’est nul mais je n’ai rien trouvé de mieux. Néanmoins, ça a eu l’air de lui plaire puisqu’elle me fait un grand sourire.
-"Approche, me dit-elle, viens embrasser ta tante. Tu m’as déjà fais jouir du cul deux fois mais tu ne m’as toujours pas embrassée".
Je suis ému en m’approchant d’elle, comme pour une première fois. il est vrai que c’est la première fois que je tombe dans l’inceste et le tabou. Notre baiser est tendre au début, passionné ensuite, furieux à la fin. On se sépare essoufflé. je bande à nouveau mais ma tante, fatiguée par ses précédents orgasmes, me demande d’attendre un peu, de la laisser récupérer. Voyant que mon érection ne passe pas, elle me propose alors de me soulager avant de dormir. Je ne peux qu’accepter cette si gentille proposition.

Elle le prend alors dans sa bouche. Je me sens fondre de plaisir. ma tante est une experte de la pipe, sans aucun doute. Ses mains, ses lèvres, sa langue, son corps entier participe à sa fellation. Ayant déjà jouis, je sens que ça va durer longtemps et l’en averti. Elle me répond que ce n’est rien, qu’elle aime sucer et qu’elle a toujours aimé ça. Je profite donc de la caresse. Elle salive beaucoup, m’avale entièrement et s’y prend tellement bien que je sens que je vais être moins long que prévu. mon bassin commence d’imperceptible va et vient, je commence à baiser la bouche de ma tante.  Ca la surexcite. Elle saisit mes fesses à deux mains pour m’encourager et pour gérer la profondeur de mes mouvements.
Sa langue s’enroule autour de mon gland à chaque fois qu’elle m’aspire, elle me prend de plus en plus vite au fond de sa gorge et mes mouvements se font plus rapides. Elle me lance alors :
-"Vas y mon neveu, jouis dans la bouche de ta tante si salope".
Ses mots me font venir presque instantanément. Elle n’a que le temps de me ravaler que je me déverse en elle. Elle avale le tout avec gourmandise et me souhaite une bonne nuit. elle se love dans mes bras et nous nous endormons comme ça.
Au réveil, je suis dans un état d’excitation pas possible. Elle le sent bien mais se contente de m’embrasser en me disant :
"- Ce soir"...
Jamais une journée ne m’a paru aussi longue mais nous arrivons tant bien que mal à minuit. La soirée chez ma mère s’est bien passée. ma tante n’étant pas assise à mes cotés mais près de sa sœur, nous nous sommes contentés de quelques regards et de rire avec le reste de la famille, comme si de rien n’était. Mais nous voilà arrivés à minuit le temps des embrassades. Mon frère, ma belle sœur, ma mère et le reste de la famille, tout le monde fait la bise à tout le monde lorsque ma tante se présente devant moi. Je la prends dans mes bras, lui fais une grosse bise sur la joue, qu’elle a l’air d’apprécier, mais, avec un petit sourire de défi, caresse rapidement mon sexe à travers mon pantalon avant qu’on ne se sépare. elle me glisse à l’oreille :
-"elle me fait très envie, j’espère qu’on ne va pas trop s’éterniser, j’aimerai qu’on passe une longue nuit ensemble".
Vers une heure du matin, je prétexte la fatigue et la nécessité de devoir encore conduire pour que nous quittions la soirée rapidement. Ma tante a le bon goût de me chambrer un peu devant les autres pour que la famille ne se doute de rien et nous remontons en voiture vers une heure trente.
Dès que la maison familiale est hors de vue, ma tante vient se blottir contre moi. Je passe une main sous sa robe de soirée et commence à caresser ses cuisses. Doucement, elle écarte les jambes. Répondant à son invitation, je remonte jusqu’à son sexe...que je découvre sans protection et totalement imberbe.
-" Je ne porte jamais de culotte, me glisse-t-elle, surtout que ce soir j’ai envie d’être particulièrement disponible. J’espérais qu’on serait assis cote à cote, tu aurais pu me faire du bien sous la table".
Quelle cochonne ! Je bande immédiatement à ces mots, ce qu’elle remarque aussitôt. Elle entreprend alors de libérer mon sexe de mon pantalon. Une fois qu’elle a réussi, elle me fixe en me branlant. Je me venge alors en pénétrant sa fente humide de deux doigts. Sa réaction est si forte que sa main se crispe sur moi, manquant de me faire perdre le contrôle de ma voiture. Elle me prend alors dans sa bouche - décidemment elle adore sucer - et me conseille de rentrer le plus vite possible à la maison. Tant bien que mal, j’arrive à me retenir jusqu’à ce qu’on soit enfin à destination. Je me rhabille et nous sortons du véhicule. Elle me tient par le bras et colle son corps au mien avec toute la sensualité qu’une femme de son âge - 55 ans bien conservé - peut dégager.
Ne vous ayant pas encore décrit ma tante, je fais une petite parenthèse pour palier cet oubli; Ma tante est une petite femme d’1m55 pour 45 kilos, sportive, des fesses rondes et hautes, des seins en pomme  qui tiennent bien, des cheveux châtains coupés en carré plongeant et des yeux noisettes. Bref une petite bombe. Quant à moi, je mesure 1m72 pour 65 kilos, plutôt sportif. Blond très clair et des yeux noisettes aussi (c’est de famille), on me trouve en général assez mignon, sans pour autant me faire draguer. C’est toujours à moi de faire le premier pas même si j’arrive régulièrement à mes fins.
Nous rentrons dans mon immeuble quand ma tante - qui a décidemment le goût du risque et de la provocation - me dit que la montée des escaliers sera intéressante pour moi si je reste derrière elle. Ce que je fais bien sûr.
Elle commence alors un striptease en marchant, moi récupérant ses vêtements au fur et à mesure qu’elle les ôte. Comme elle n’a pas de sous vêtement elle fini bien avant d’arriver chez moi et c’est nue qu’elle parcourt les derniers mètres. Heureusement que je n’habite qu’au deuxième étage. Sauf qu’elle a une nouvelle surprise pour moi : s’adossant à la porte pour m’empêcher de l’ouvrir, elle me demande de me déshabiller aussi. Après un instant d’hésitation, je me dis que les gens faisant la fêtent, personne ne risque de nous surprendre. et je m’exécute, pour son plus grand plaisir. Pas trop vite cependant, il n’y a pas de raison que je bâcle le spectacle après celui qu’elle m’a offert.
Ce n’est que lorsque le dernier rempart est enlevé qu’elle me laisse accéder à la porte pour l’ouvrir. Ce qu’elle me laisse faire non sans me masturber pour me déconcentrer, ce qui l’a fait beaucoup rire. Je parviens finalement à ouvrir et là, la passion se déchaîne.
Ce n’est plus ma tante qui est face à moi. c’est une femme. Une femme magnifique, désirable et qui m’excite depuis ce matin. Je suis fou de désir. Je me jette sur elle, ma bouche sur la sienne tandis que mes mains la découvre enfin toute entière et en pleine lumière. Mais alors que je souhaite prendre un peu de temps, ma tante, encore plus enragée que moi, me regarde droit dans les yeux et me dis :
-"Prends moi le cul !"
Ce n’est pas un souhait, c’est un ordre. Pour bien me le faire comprendre, elle se tourne, prend appui sur la table du salon, et cambre les fesses en écartant les jambes. Une vraie chienne. Je ne peux résister. Je m’approche d’elle, m’agenouille entre ses cuisse, écarte ses fesse à deux mains et entreprends consciencieusement de lui bouffer la rondelle. Mon premier coup de langue la fait gémir. Elle se cambre encore plus, levant une jambe sur la table pour mieux s’ouvrir. Ma langue passe et repasse sur son anus tandis que d’une main, je titille son clitoris. Elle se tord, se contorsionne, en redemande. Je n’ai jamais vu une femme mouiller autant que ça. Lorsque son anus est bien lubrifié, je me redresse et, d’un coup long et profond, je la sodomise sur toute la longueur de ma queue. Elle crie :
-"ooooooooooooohhhh c’est bon ! Oh putain qu’elle est bonne ta queue"
Elle devient nympho ma parole. Je n’ai jamais vu ça. Elle s’emmanche tellement que je n’ai plus besoin de bouger. Son cul vient heurter mes hanches tellement fort et vite qu’elle manque de me faire sortir. Je l’agrippe alors par les fesses pour reprendre le contrôle et me mets à la défoncer aussi fort que je peux. elle en prend plein le cul mais elle adore ça. C’est une cascade de mots crûs et d’encouragements :
 -" Vas y, plus fort ! C’est bon d’enculer sa tante hein mon neveu ? Défonce moi avec ta bite ! Elle est dure et grosse, je la sens bien ouiiii ! Ton oncle ne m’a jamais donné autant de plaisir".
Elle part complètement. Pour l’achever, je sors ma queue tendue à son maximum pour la remettre brutalement au fond de son cul qui reste ouvert tant elle est excitée. Plusieurs aller-retours la font jouir en quelques secondes. Je la laisse souffler, me retire et la couche sur le dos, les jambes relevées sur mes épaules. Je la saisi d’une main au creux de la cuisse et la re-pénètre tout aussi sauvagement. Elle jouit, crie quel prend son pied et quand je titille son clitoris tout en l’enculant, elle devient folle et m’inonde le ventre de mouille. Nouvelle surprise, la voilà fontaine.-"J’en peux plus mon neveu, mon cul commence à me brûler, finis devant stp"
Je m’exécute, quitte son cul si accueillant et découvre pour la première fois les parois de son vagin. Elle est étonnamment serrée mais ça ne fait qu’amplifier mon plaisir et après quelques minutes seulement, je me répands en elle.
On est essoufflé tous les deux, on transpire et nos jambes tremblent. mais on se sourit et nos gestes ne sont que tendresse. La gêne du jour de son arrivée est très loin de ce qu’on ressent à ce moment là. Disons le, malgré les tabous, malgré les conséquences qui nous tomberaient dessus si cela se savait, on est juste heureux du moment qu’on vient de vivre.
Ma tante repartira le 3 Janvier comme prévu et les deux jours qui nous restaient ne furent que sexe et plaisir. Sur le quai de la gare, ma tante m’a embrassé très tendrement, je l’ai invité à revenir cet été.
Si j’ai choisi ce moment pour écrire cette histoire, c’est parce qu’elle arrive demain. Ma situation a un peu changé : j’ai actuellement une copine. elle est au courant de tout et est impatiente d’accueillir ma tante, autant chez moi que dans notre lit. j’ai d’ors et déjà prévenu ma tatie et, vous savez quoi ? elle est impatiente de la connaître aussi. Les trois semaines qui arrivent risquent d’être le sujet d’une prochaine histoire.
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Si ceux qui ont vécu une expérience similaire veulent me dire comment ils l’ont vécu et quelles suites ils ont donné, je serai très heureux de lire leur témoignage.
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