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La surprise de Selene

Chapitre 1

Hétéro
Ils traversent la fôret surplombant le profitant de la nature richement colorée en ce début d?été, après bonnes heures de montée, elle et Gustav son frère débouche enfin sur les prairies annonciatrices du chengement de vegetation, passant des fôrets touffues aux simples bosquets d?arbre rabougris par les rigueurs de l?altitude, ils se dirigeant vers la combe situé juste après un verrou rocheux où se trouve une petite rivière limpide et un petit lac. Ils ont saisies par la beauté et le calme de ce lieu.
Le chauleur était intense, l?humidité étouffant, des gros nuages défilaient pesament sous le souffle chaud. Ils n?allaient pas tarder à se vider sur eux. Selene est une rousse de l.70, 24ans, une poitrine de 95c, une bouche mutine aux lèvres gourmandes, un peu épaisses, un sourire irresistible qui pique sous la joue une fossette savage de candeur perverse, hanches rondes, la taille fine, des seins plutôt petits fermes, à la fois ronds et pointus, un peu arrogants peut-êtres, et son visage de petiten tigresse.......enfin extremement belle...... pas vraiment de tabous...............Elle était avec son frère qui est homo assumé à bord de la rivière et elle voyait au loin comme un mirage. Un bruit attira son attention dans cette nature figée. Comme le hennissement d?un cheval. Elle regardait à gauche et vit sur une petite coline, un cheval qui galopait. Un beau cheval blond, à long crinière, spectacle déjà surprenant. Mais ce qui était le plus surprenant c?est qu?il était monté par un beau homme. Le cheval de l?inconnu se cabra si brusquement que le cavalier, tenant les rênes d?une main, fut projeté à la terre, sa monture s?éloigna au galop, décochant de formidables ruades. L?inconnu gisait, immobile sur le sol. C?est un endroit très entouré d’arbres, un peu à l’écart dans la ville. Et le jour tout parait normal ! Zigzaguant entre les arbres presque cent mètres avant de le rejoindre. Et c’est là qu?elle fût surpris par l? inconnu. Elle tournait la tête au son frère, l’air choquée mais il oubliait bien vite cette impression en le voyant.
— Il est blessé ? demanda-t-elle— Non, je ne lui vois d?égratignures. Mais sa tête a dû heurter une pierre ! A perdu connaissance.
En effet, l?inconnu gisait, la tête contre une grosse pierre du chemin.— Dieu qu’il était beau !! Il était tellement beau ! Quels yeux! Je les imaginais bruns... ils sont verts.
D?un revers de main. Selene essuie une fine sueur sur son front lisse.......Elle sourit, ses yeux en amande se ferment un instant, une petite fossette se dessine au crux de sa joue lui donnant un air d?enfant espiègle.
— Qu?allons-nous faire ? Interroga Selene— Nous ne pouvons pas l?abandonner ainsi.....— Non, bien sûr que non ! Il pourait mourir ! Et ce serait notre faute !
Tous le deux contemplèrent l?inconnu toujours évanoui. C?était un beau jeune homme, habillé avec beaucoup goût, jamais elle n?avait vu d?aussi belles bottes de cheval ! Le noeud de la cravate était fort élégant; son frère ne resterait sans doute pas à le copier ! Tout ce que portait le cavalier était chic, beau, couteaux ! C?était une aventure palpitante qu?ils venaient de vivre, sans commune mesure avec la monotonie de leur existence ! Ce n?est qu?au bout d?un moment qu?elle se rendit compte combien leur action était blâmade. En y réfléchissant, elle se rendait bien compte que son frère avait raison de vouloir ramener le blessé chez-eux : C?était leur devoir.
Il lui fallut d?un quart d?heure pour aller chez médecin et le même temps pour revenir. Comme elle avait déjà pu le constater il était fort beau de traits bien dessinés, quoique un peu durs; même en dormant, il reflétaient un certain cynisme, et il devait être autoritaire. La blessure à la tempe, qui avait légèrement saigné, s?étendait jusqu?au milieu du front. D?ici demain, le coup ne serait pas beau à voir ! Le soleil couchant inondait la chambre. Selene alla tirer les rideaux pour faire l?obscurité, il lui faudrait s?installer sur un sof? cette nuit pour veiller le malade. Maintenant, ce gentilhomme blessé lui inspirait de nouvelles aventures. C’est à ce moment là qu?elle se rends compte qu?elle ne connaii absolument rien de lui. Qui est cet homme vraiment.

Elle a eu une période où l?asence de relations intimes s?est fait ressentir violement. Elle ne pensais plus qu?à ça. Se masturber ne s?était plus que d?un maugre secours et se satisfaisait à peine. Elle voulait réellement un homme. Elle avait fait tout son possible pour paraître belle et désirable. Selene se frottait doucement le clitoris en pensant en sexe avec l?inconnu. Dans la maison il régnait un chaleur moite et étouffante. Elle essayait d?imaginer un mec entre ses cuisses. Elle fermait les yeux pour mieux rêvasser, pour sentir sa langue le longs de sa chatte, ses lèvres contre son bouton d?amour. Son corps est en feu.. sa libido est à son maximum et personne pour combler tce besoin. Elle n?a pas envie de se masturber, elle a besoin d’un homme! Selene en a tellement envie qu?elle se ferait baiser par n’importe qui, n’importe comment, n’importe où...... son corps est brûlant de désir..... Le gentilhomme est réveillé, il est très calme. Elle s?approcha du lit et posa la main sur le front du blessé. Ses mains si près de sa peau, quelle incroyable sensation! A ce moment-là, le malade ouvrit les yeux. Selene vit qu?il la regardait sans comprendre.
— Je suis tellement heureuse de vous avoir retrouvé ! Comment vous sentez-vous ?— Très bien ! Je ne me souviens pas de ce qui s?est passé.— Je cous raconterai plus tard, quand vous serez mieux, reprit Selene.— Comment je dois l. appeller ?— Fred Tyrone
Maintenant, il faut vous reposer! Tâchez de dormir et ne pense plus à rien......
— Je me sens très fatigué articula-t-il lentement.
Le lendemain ayant disposé les fleurs, bien sûr, la blessure qu?il avait reçue au front n?avait pas encore disparu et virait au noir : Mais il avait incotestablement meilleure mine. Alors, Selene quita la chambre pour voir si les journaux étaient arrivés. Il y avait le Times et Le Washington Post, les deux journaux qu?il lisait chaque jour, et plusieurs autres gazettes.
Et lentement comme s?il désirait, il l?entoura de ses bras et la serra contre lui, Alors, doucement comme pour cuellir une fleur, il se pencha sur elle : ses lèvres se posèrent sur les siennes, pour elle, c?était la musique de ses reves qui ressonait, elle se sentait peu à peu soulevée de terre, transportée jusqu?au ciel où la lumière du soleil les enveloppait d?un glorieux halo doré. Il la trouva et introduit sa langue fougueuse pour un baiser violent. Ses langues s’entremêlent dans un véritable ballet. Tout ce qu?elle avait esperé, imaginé, cette émotion et ce sentiment de beauté qui avaient enivré son coeur et son esprit, elle le vivait maintenant dans ce baiser. L?homme resserra son étreinte embarrassant les lèvres douces, tendres et innocentes qui s?offrent à lui avec plus de passion. Il la serait de plus en plus fort ses baisers se faisant possessifs, impérieux......
Un soir qu?elle était d?humeur égrillard, vétu d?une par de mules à talons et d?une nuisette tranparente et si courte qu?elle devoilait la bas de ses fesses. et elle a dirigé vers la chambre. À la vision de ce cul rebondi, une érection comme il n?en avait pas eu depuis longtemps Fred tendit le pantalon de pyjama. Il restait bouche bée. Selene lui souriais et lui demandais ce quelle pouvait faire pour lui. Il remarquait immédiatement la transparence au niveau de ses seins et son regard se fixa longuement sur les grandes aréoles qui se dessinaient sous le tissu.
Il reste un moment silencieux en ne cessant de la devorer des yeux. Son frère percevoint quelque chose sort discrètement de la maison par derrière. Il en profite pour contourner la maison, passer la grille et il se dirige le plus naturellement du monde sachant que la fenêtre du chambre de blessé était ouverte et qu?il pourrait voir et entendre tout. Ses jambes tremblent et il eut l?impression de tréboucher à chaque pas, la fenêtre est assez grande et était ouverte à cause du chaleur, au arriver il se cache derrière un buisson pour les observer.
Maintenant elle s?installe toute nue assise sur le lit.
— Dit-moi Fred ! Est-ce que tu me trouve attirante ! Je veux dire physiquement ? Lui demande-t-elle d?une voix chaude en se frôlant sexuellement la poitrine d?une main et en ouvrant bien les jambes de façon à exposer négligemment son p?bis.
— Je trouve très belle Selene ! Tu le sais.
La jeune femme écarte alors davantage les jambes tout en continuant à ses mamelons, son autre main passé sous ses fesses, Selene se caresse en même temps la partie inférieure de la vulve. Elle regarde lui avec en sourire coquin. Il s?écarte d?elle, défait son pantalon et exhibe une queue r?gide et longue.
Alors son frère put voir le sexe de Fred, il bandait et était beaucoup plus gros que le sien. Et ça procure une étrange sensation pas dépraisante plutôt de l?excitation. Maintenant Fred se branle regardant tous les deux. Fred prend le main de Selene et la pose sur son membre. Son frère voit les doigts delle commencer à le branler, d?abord doucement, puis de plus vite. A ce moment Fred pese sur la tête de sa soeur et comme dans une rêve, il voit Selene prendre dans la bouche et arrondi les lèvres et les fait colisser sur la queue de cet homme, tout en continuant à lui masser les bourses d?une main. Elle le suce pendent un temps qui lui parece très longs; l?homme gémit, puis la repousse.
— Oh putain c’est bon ! Ohhhh. C’est bon ça. Oh oui.
Il doit être au bord de la jouissance. Son frère en train de se masturber comme un fou devant du spectacle. A ce moment déjà il avait envie de lui. Cette scène était absolument délicieuse. Plus il se branlait, puis le gland presse ses lèvres, leur chair délicate et lubrifiée s?écarte avec une douceur accueillante, les muscles de son vagin enserrent le noeud, puis la queue toute entière. Sans attendre, elle écartait au maximum ses lèvres et Fred le pénétrais d’un coup. Elle eut un petit cri en relevant la tête mais rapidement ses coups de butoir.
— C’est de ça que tu avais envie. Une belle bite dans le vagin.— Oh oui. Me faire baiser comme ça. J’aime ça.— Tu es une pute. !— Oui. Je suis ta pute. Tu m’excites.
Quand il s’est enfoncé d’un coup, elle a poussé un gémissement, c’était trop bon, il a commencé j’avais à la limer avec force, elle allait au devant de ses coups de boutoirs elle se mordais les lèvres, elle a peur de hurler son plaisir dans le silence de l’étage. Cette première étreinte fut courte, elle a joui quand il a craché son sperme au fond de sa minette, plusieurs jets puissants qui ont décuplé sa jouissance.
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Fred est dans la salle de bains et Gustav lui demande si lui fait la même chose vec lui . Il lui répond que oui. . Fred sourit et lui répond qu?il a un super petit cul musclé en souriant de ses dents blanches impeccablement alignées.Typé méditerranéen. Il ressemble à un joueur de foot connu. Gustav n’arrive plus à se souvenir de son nom.— Tu n’as jamais essayé avec une vrai bite ?’Il rie et lui réponds que la sienne est un peu grosse pour son cul. Là, il voit sa bite qui commence à grossir sous la douche. En deux secondes son coeur s’emballe. Il bat très fort dans sa poitrine. Gustav sent sa carotide sauter sous les pulsations de son coeur. Fred lui regarde en souriant tandis qu’il se savonne le sexe. Sa bite est très jolie. De belle taille et relativement épaisse avec un beau gland qu’il s’amuse à décalotter sous ses doigts. Faisant rouler la peau du prépuce. Se décalotant et recalotant. Son regard change, il devient profond et très doux. Il le fixe doucement . Gustav a l’impression d’être une de ces jeunes femmes à qui il s’apprete à faire l’amour. il est très troublé et il rougit. Il tremble un peu, c’est irrépressible. Il s’en apercoit et sourit encore. Fred est très calme, tout est calme autour d?eux. L’eau coule , tiède, délicieuse, sur ses deux corps. Les vestiaires sont vides. Aucun bruit à part celui de l’eau qui coule.Il n’y a que Fred et lui . Gustav l’impression qu’il le sort tout son jeu de séduction. Il est magnifique. il le détaile du regard pendant qu’il se shampooine la tête. Ses muscles roulent sous sa peau mate et ses quelques poils sur le torse lui donnent un air très mâle. Fred sent que je le regarde. Il lui propose de le laver les cheveux. Il ajoute qu’il aime faire des massages du cuir chevelu. Sans se laisser le temps de répondre, il s’approche et le shampooine la tête. Le contact de ses mains sur lui le donne immédiatement la chair de poule. Il passe doucement derrière moi. Gustav sent ses mains puissantes et très douces qui le massent doucement la tête. Il se rapproche petit à petit. Son sexe frole ses fesses. Il ressent une montée soudaine d’adrénaline dans le creux de ses reins. Sa tête est mainteant tout pret de la nuque. Son souffle calme et chaud glisse sur la nuque. Fred lui sussure à l’oreille :— Tu sens ma bite se durcir ? ajoute t il.— Tu me fais autant d’effet qu’une jolie nana.....c’est ton cul , virgil.....il a jamais essayé avec un mec.Autant dire qu’à cet instant il est au bord de l’évanouissement. Fred le fait complètement tourner la tête . Il est incapable de répondre. Il est entierement sous le charme de Fred. Il savoure le toucher de ce magnifique postérieur bien tendu. Sa peau est d’une extrême douceur. Sa position est trop suggestive, la soulevant encore davantage son cul, jamais un homme ne l’a fait cet effet là. Il trouve la force de lui répondre- Moi non plus je n’ai jamais essayé avec un mec.A ce moment il se rapproche encore tout contre moi. Son sexe en érection brûlant contre ses fesses, ses pectoraux saillants contre son dos. Il lui glisse à l’oreille— j’aimerai essayer avec toi, virgil ’ puis il ajoute- T?es un beau mec, un mec que j’apprecie beaucoup et tu me fais bander grave !...j’ai une furieuse envie de te faire l’amour’
Il accompagne ses paroles d’une pression de son bassin sur ses reins.La tentation est trop forte, Gustav ne peut pas résister. Il se frotte contre ses fesses et il se cambre pour mieux le sentir contre lui, plein de désir. Gustav lui réponds qu?il a très envie de le sentir en lui. Mais voilà que le mec est derrière lui et se frotte à son cul . Il le caresse le cul avec sa bite et se frotte à sa croupe. Fred est super xcité. Mais bon, pas question de se faire baiser dans la salle de bains par ce taureau. Il a un trop gros calibre.ne se lasse pas d’enculer sans relâche le cul complètement dilaté à un rythme excessivement lent et complète l’introduction de son appendice reproducteur de deux doigts supplémentaires comme pour répondre à une question cruciale dans son existence qui est de savoir qu’il est la dilatation maximale de l’anus de Gustav.
— ok, je vais l’enculer !Gustav empoignes son sexe pointant le ciel et le place vis à vis son orifice anale. C’est sa première sodomie et il apprécie particulièrement que sa bite coulisse dans cette ouverture. Il se descend doucement sur son engin de plaisir et de son côté il l’enfonces aussi et la voilà entièrement fichée dans ses entrailles. Ses sphincters enserrent merveilleusement bien sa queue. Gustav se projette pour permettre à sa verge de ramoner tout l’intérieur de son cul ouvert à ses coups de boutoirs, Fred augmente la cadence, s’enfonce comme une malade sur sa verge au bord de l’éjaculation et s’arrête soudainement en gueulant comme une malade. Il hurle, Gustav se fais aller encore une fois sur son sexe bien dur. Il est en extase d’avoir sa bite dans son cul et là, Fred continues à le labourer.— Oh oui, vas y!Gustav était excité, très excité, et il se masturbe. Le corps de Fred se fait de plus en plus imposant sur le sien et il continue à se masturber..... Oh oui...... je vais jouir... et il sen bien son orgasme l’envahir.... .Fred se retiens encore un peu..... oh...... n? est plus capable et son orgasme est puissant et Gustav jouit aussi.et il vient en moi de plusieurs jets de son liquide. te dis ?viens..... oh oui viens? et je jouis. Fred ne reconnait plus le lieu, les parois semblent s’effacer, tout n’est plus que chairs, odeurs et sexe. Il ne vois plus que ce trou béant qui se fait assiéger par cette tige tendue.
?Merci et aurevoir mon bel inconnu!? Dit Gustav lui remercient......FinVos Commentaires sont toujours les benvenusIci, S?o Paulo - Brésil  ?crivez-moi , irl70@hotmail.comIvan Ribeiro Lagos
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