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Sylviane, pute à en devenir.

Chapitre 3

Amoureux ou pas? Je pense pas, enfin...

Trash
Cela fait une semaine que j’ai laissé Sylviane en lui laissant des consignes. De maintenir son appartement propre et plus en bordel comme je l’ai trouvé la semaine dernière. De s’habiller le plus sexy possible et de ne plus porter de sous-vêtements.De parfaire son épilation intégrale.On est samedi matin, 10h00, quand mon téléphone sonne.
— Coucou, Hervé, c’est Sylviane…
Je la coupe.
— Non, moi c’est Monsieur Hervé, compris !!!— Pardonnez-moi, Monsieur Hervé…— Que me veux-tu ?— J’aurais aimé vous voir…— Pour de la baise ?— Pas que, pour vous montrer mon changement…— Là, je n’ai pas le temps, envois moi des photos de toi et de ton appartement, j’aviserai ensuite. Tu as dix minutes…
Je lui raccroche au nez en bandant comme un cerf. Elle n’est pas très belle mais elle me plait. Pleins d’idée salaces viennent se percuter dans ma tête mais une surtout. Je vais l’éduquer et en faire une vide couilles de première. Je n’aurais pas à forcer, vu ses aptitudes.Huit minutes plus tard, mon messenger sonne. J’ouvre le fichier. J’y vois une cuisine, un salon, une chambre impeccablement rangés, tout brille et sens le propre. Je lui réponds.
— Trés bien, et toi ?
Nouvelle sonnerie deux minutes plus tard. Sylviane s’est prise en selfy. Elle plus que sexy. Mini-jupe blanche, chemisier de ja même couleur et des bas de couleur rouge. J’ai une trique d’enfer.
— Rendez-vous chez moi à 19 heure.
Cela me laisse le temps de me restaurer, de prendre une douche et d’aller parfaire mon épilation chez mon éstéticiénne.Sandrine est une amie de longue date et prodigue les soins du corps chez elle, à deux pas de chez moi. Je l’appelle pour savoir si elle peut me recevoir. Elle me fixe rencart pour 13h00. 15h00, mon épilation est parfaite. Torse, jambes, bras, aisselles et sexe totalement glabres. Nu comme au premier jour. Cela me fait bizarre, c’est la première fois que porte des vêtements directement sur ma peau. Je bande.Je rentre chez moi et je me mets nu. Sensation agréable de se sentir véritablement à poil. Je prépare le salon, je le transforme en baisodrome. Une grande nappe cirée rouge au sol, des cordes de bondage, deux paires de menottes en cuir et le collier assorti et je dispose sur la table base des bougies adaptées aux jeux sado-maso.  Je mets une bouteille de vodka au frais, je suis pervers mais pas goujat.19h00, ma sonnette retenti. Par le biais de l’interphone je lui dicte mes directives. De monter, la porte sera ouverte. D’aller dans le salon et de se dévêtir. De m’attendre debout, mains dans le dos.
Cinq minutes plus tard, elle est là.
— Bonsoir Sylviane.— Bonsoir Monsieur Hervé.— Tu es très belle, ton épilation est parfaite. Lui dis-je en lui caressant les fesses du bout des doigts.
Elle frémit. Je lui demande si elle est prête à se donner à moi.
— Oui Monsieur Hervé. Je suis prête.
Je lui mets les quatre menottes et le collier. Elle est redoutablement belle, elle va en faire bander plus d’un, ce qui me réjouit. Je lui fais écarter les jambes plus que de raison et je lui demande de tourner sur elle même, lentement. J’allume une bougie et l’approche de ma, désormais, soumise. Elle me regarde apeurée.
— Ne t’inquiète pas, elle est en cire spéciale, ça chauffe mais ne brûle pas, sois sans crainte. Continu de tourner.
Elle s’exécute. Le premier filet de cire est pour son dos. Il part des omoplates et descend jusqu’aux fesses. Elle se cambre, c’est l’effet désiré. le second est pour le ventre et le nombril. Elle essaye d’esquiver mais sentant que le douleur est supportable, elle continue de tourner. La troisième et la quatrième sont pour ses fesses, les suivantes pour ses seins. je continue cette douce torture un moment, jusqu’à ce que son corps ressemble à un bougeoir d’église mal entretenu.
— Je vais te laisser ainsi pendant que l’on va boire un coup. Assoies toi sur ce tabouret.
Je lui détache les mains et je vais nous servir deux vodka-orange bien tassées.
— Tiens, bois ça, lui dis-en écroûtant ses seins.
Ma queue, tendue, se balance face à elle. Elle me regarde et me sourit. Putain quelle est belle cette "Uggly-Betty". J’ai envie de la prendre mais mon rôle me l’interdit, pas maintenant. Je passe dans son dos et je lui enlève le reste de cire.
— Tu as été sage. Tu mérites une récompense. Ce soir je vais te baiser comme un sauvage, comme tu aimes. Mais demain tu seras à moi, je vais te faire découvrir un monde inconnue à tes yeux… Es-tu prêtes à cela ?— Oui, Maître…— Si tu veux m’appeler ainsi, pourquoi pas… Finis ton verre et vas nous resservir.
Pendant ce temps, je vais dans ma salle de bain pour y prendre une grande bouteille d’huile de massage chauffante comestible, parfum ananas.Elle m’attend à genou, jambes écartées et nos verres à la main. Je bois une gorgée, elle les a encore mieux servit que moi. La vache, ça décoiffe.On sirote nos verres sans un mot. Une fois fini, je lui demande de ce mettre à quatre pattes, ce qu’elle fait immédiatement.Je l’oins d’huile sur tout le corps en insistant sur sa raie culière, ses seins, son ventre et son pubis. Elle a été surprise par le contact de l’huile froide mais a gémit à mon première contact. Comme une chatte, féline, elle ronronne.
— Fais pareil avec moi, lui dis-je en me mettant à quatre pattes et en lui tendant la bouteille. Profite bien de cette soirée, demain ce sera l’enfer pour toi.
Elle commence, timidement et cela me fait sourire. Elle insiste sur mes fesses, sur mes couilles et ma bite.
— Vous êtes doux, Maître…— Tu as fini ?— Oui, Maître…
Je m’allonge sur le dos et l’attire à moi. Nos corps glissent. J’empoigne ses grosses fesse à pleines mains et essaye de la stabiliser. Elle me regarde ne sachant que faire. je lui écarte les jambes et les positionne de part et autre de mon corps. Ainsi calé, on se regarde droit dans les yeux. J’ai envie d’elle, elle a envie de moi. Mes mains sont retournées sur son cul, son gros cul. Ma bite tressaute entre ses jambes. J’ai envie de la défoncer, elle le sait. D’un geste je me retourne, je la mets en position de levrette. L’huile chauffe nos corps. On transpire, on s’embrasse. Pas d’un baiser d’amour mais d’un baiser torride, violent. On se mange nos langues. Mes mains caresses ce corps, ses seins, ses fesses, sont ventre. J’ai soif de ce corps qui m’est offert, qu’elle m’offre. Elle écarte les jambes.
— Prenez moi, Maître…
L’odeur d’ananas et la chaleur de cet onguent m’enivre, à moins que soit la vodka ou les deux. Je me positionne au dessus d’elle et plante ma bite au fond de sa chatte d’un trait. Elle exulte.
— Merci, Maître….Argh…Oui…. Trop bon….
Je commence à la limer comme un fou. Ses cris résonnent dans l’appart. Sans me déboîter, je la renverse sur le coté. Je la prend dans tous les sens. On se retrouve en missionnaire. En appuie sur mes avant-bras, je la regarde décoller. Je ressort ma queue et rentre à fond, brutalement, à chaque aller-retour. Elle passe ses jambes contre mes reins et me force à être plus brutal. Je vois ses grimaces. Sa jouissance est imminente, la mienne aussi. Sans ralentir, mes coups de boutoir sont de plus en plus forts. On glisse sur la nappe. Elle joui dans un crie sans nom, je continue mon travail se sape. Elle se mord les lèvres et me plante ses ongles, ses griffes dans le dos. Elle joui à nouveau. Elle hurle son bonheur.
— OUIII, MAÎTRE, OUIIIIII, Putain que c’est bon, faites de moi votre pute, votre chose….
Je jouis à mon tour et je lui remplis la matrice par de longs jets puissants. Elle repart en transe tout en se tenant la tête.
— Humfff, je suis à vous, Maître…
Je m’affale sur ce corps qui m’appartient. Elle veut être mienne, elle le sera…Je me réveille par une douce chaleur au niveau de mon sexe. J’entrouvre un oeuil, c’est Sylviane qui me lèche la queue. Je suis sur le dos, toujours allongé sur cette nappe. Elle est entre mes jambes et se délecte du mélange de nos sécrétions et de l’huile. Je mets mes bras en croix et me laisse faire. je bande à nouveau.
— Doucement, il faut en prendre soin, sinon demain…— On est déjà demain, Maître…Hihihi…
Je regarde la pendule, 2h00. Quel con, je me suis assoupie. Je me positionne sur mes coudes.
— Aller, on va prendre une douche. Après je t’expliquerai les règles à respecter. Des doléances ?— Non, Maître…
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