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Un système de notation particulier

Chapitre 2

Hétéro
Un système de notation particulier ; Chapitre 2==================================
Les personnages :
— Stéphanie : 18 ans, lycéenne en seconde, narratrice de l’histoire. 1m65, 48Kg, blonde aux yeux bleus, porte un 90D— Loïc Leclerc : 38 ans, professeur d’histoire et professeur principal de Stéphanie. 1m75, 75Kg, brun aux yeux vert, sa verge fait 15cm au garrot
*/ Pour respecter la charte modifiée (plus de textes avec des mineurs), Stéphanie passe à 18 ans dans la suite de ses aventures */
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Les jours passèrent sans événement particulier. Les cours se suivaient et se ressemblaient, on retrouvait les mêmes élèves au fond de la salle pour discuter plus ou moins discrètement, les intellos étaient eux au premier rang, et moi, dans le milieu, j’essayais de suivre tant bien que mal.Mes deux profs pervers ne me lançaient pas de regard particulier, j’étais redevenue une élève comme les autres.Puis vint un cours d’histoire ou le prof, Monsieur Leclerc, devait nous rendre les copies d’un devoir effectué quelques jours plus tôt. Je ne l’avais pas trop mal réussi, et pensais donc avoir la moyenne.L’enseignant passa dans les rangs et commença à distribuer les copies. Mon tour arriva.« - Mademoiselle Salasse, ce sera seulement un 8. »Oups, pas si bien réussi que ça finalement. Cela va encore faire baisser ma moyenne. Heureusement, il y a ces exercices spéciaux prodigués par mes profs pour faire augmenter la moyenne, et qui sont plutôt plaisant à faire.A la fin du cours, alors que j’allais quitter la salle, Leclerc m’interpella et me demanda de rester. Je savais alors ce qui m’attendait. Ce pervers allait profiter de la récré pour se vider en moi.Une fois tous les élèves partis, il ferma la porte et s’assit à son bureau.« - Bien, Stéphanie, je vois que tu as encore besoin d’un peu d’exercice.— Est-ce que vous voulez que je vous suce monsieur ?— Pas aujourd’hui, je veux te présenter un autre moyen efficace de t’aider à te concentrer. »Il sortit de son bureau un objet que la lycéenne que je suis n’avait encore jamais vu. Deux objets pour être précis.Le premier était une sorte de petit œuf, et le deuxième une petite télécommande. Les deux couleur rose bonbon.
« - Assis-toi sur la table s’il te plait »Je m’exécutai, en m’asseyant sur la première table à côté de moi, et écartant légèrement les cuisses.Je portais une jupe courte, et ma position permettait à quiconque qui se retrouverait devant moi, de voir ma culotte. Ce qui était justement la situation de Leclerc. Le vieux prof jeta un œil à mon entre-jambe et s’approcha de moi avec les deux objets qu’il posa à côté de moi.« - D’abord, je vais devoir enlever ta culotte. »Ses mains s’aventurèrent dans ma jupe, caressant au passage mes cuisses. Il se saisit du bout de tissu qui recouvrait mon intimité, une jolie culotte blanche ornée de petits cœurs roses et rouges, et le fit glisser jusqu’à mes pieds.Il écarta ensuite un peu plus mes cuisses, prit l’objet en forme d’œuf, et l’amena jusqu’à ma chatte.Il la caressa quelques secondes en allant du clitoris au périnée, ce qui me donna des frissons.Il concentra les caresses sur l’entrée de mon vagin, qui s’ouvrit peu à peu sous l’excitation.L’œuf, guidé par mon prof, faisait maintenant des va-et-vient dans mon sexe, tandis que ma respiration se faisait plus rapide et bruyante.A mon grand regret, Leclerc s’arrêta et se recula, laissant la boule en moi.Il prit la télécommande et me demanda :« - Sais-tu ce que c’est Stéphanie ?— Une télécommande monsieur, mais je n’en sais pas plus.— Cette télécommande actionne l’œuf que tu as dans ton vagin, je vais te montrer. »Il déplaça le curseur de la télécommande vers le haut, et je sentis instantanément l’effet.Une vibration qui venait de mon bas-ventre, sensation nouvelle et curieuse, me donna rapidement des frissons et de l’excitation. Puis la vibration s’arrêta. Un œuf vibrant, j’aurais dû m’en douter de la part de mon cochon de prof.« - Il faudra que tu l’aies à chacun de mes cours, et pour t’habituer, garde le jusqu’à ce que tu ailles te coucher ce soir. »Je remis ma culotte en place et me relevai. Je fis quelques pas vers la porte. Je sentais l’œuf dans ma chatte, mais cela n’était pas non plus inconfortable.Leclerc actionna à nouveau la télécommande, ce qui me fit légèrement sursauter tandis que j’ouvrais la porte.Je le regardai et il me lança un regard coquin. Il arrêta l’œuf et je parti.
J’étais dans ma chambre à faire un devoir quand une copine, Lucie, passa dans l’encadrement de la porte.« - Tu viens ? On va manger, j’ai trop la dalle. »Il est vrai que mon ventre commençait aussi à réclamer de la nourriture. J’acquiesçai, et allai la rejoindre, laissant mon exercice inachevé.Le menu de la cantine n’était comme d’habitude, pas digne d’un restaurant. Mais pour quelques euros, il ne fallait pas en demander trop. Une petite salade en entrée, un steak haché et des pâtes, et une espèce de gâteau à la crème en dessert, voilà ce qui m’attendait.Notre petit groupe de quatre interne s’asseyait à une table, et je me concentrai direct sur mon entrée, la faim se faisant vraiment sentir.
Puis une sensation me vint. Connue. La même que cet après-midi… Je me concentrai. Oui, l’œuf était en train de vibrer. Je relevai la tête et regardai autour de moi. Mon raisonnement me fit poser les yeux sur la table des professeurs. Et effectivement, le prof d’histoire était là, une main dans la poche, et il me regardait.Lucie me regarda d’un air interrogateur, mais je lui dis tout simplement que tout allait bien.Je continuais de manger, mais je sentais ma chatte chauffer et s’humidifier. La chaleur montait en moi. C’était à la fois agréable, mais également frustrant car je ne sentais pas le corps d’un homme contre moi.L’œuf s’arrêta de vibrer, et je regardai à nouveau la table des profs. Leclerc n’y était plus.Le repas fini, je ne m’attardai pas avec les autres comme je le faisais d’habitude, mais montai à ma chambre disant que j’avais un exercice à finir.Arrivée en haut, je fermai la porte de la chambre, puis je poussai mon livre et mon cahier pour m’allonger.Je remontai ma jupe, et ma main caressa lentement le tissu de ma culotte. Mon prof pervers m’avais excitée avec son œuf, et il fallait absolument que je me finisse.Je glissai ma main sous le sous-vêtement. Je mouillai encore et je sentis que mon clitoris était un peu gonflé.Je caressai les grandes lèvres, avant d’aventurer mes doigts vers les petites. Un mouvement en rond, qui me donna des frissons.Mes tétons réagissaient dans mon soutif. Je glissai alors l’autre main sous mon haut pour leur apporter du réconfort en les caressant à travers le soutien-gorge.Les doigts de ma main qui s’occupaient de mon entre-jambes butèrent sur la boule en plastique.Je les glissai à l’intérieur du vagin pour attraper l’objet que je sorti. A nouveau des frissons me parcoururent.Je pris l’œuf tout gluant de ma mouille, et caressa l’entrée du vagin avec. Quelle sensation agréable. J’appuyai au passage sur mon clitoris pour me donner une décharge de jouissance.Le sextoy se transforma ensuite en véritable gode. Je le rentrai et le sorti de mon antre tel le ferait le sexe d’un homme. L’excitation devenait plus forte, je me masturbais tandis que je malaxais ma jolie poitrine plus fermement.Des va-et-vient dans ma chatte, des pressions sur mon clitoris, j’alternais ces deux techniques qui me faisaient beaucoup de bien. La pression montait. Mes jambes se resserraient. Ma main sur mes seins se contractait. La jouissance était proche. Je continuai la masturbation tandis que des gouttes coulaient sur mon visage.Les dents serrées, les jambes contractées, le bonheur était tout proche, il était juste là.Puis soudain ma main libéra mon sein, mes jambes s’ouvrirent, tout comme ma bouche pour laisser sortir un jouissement. Ma tête tournait un peu. J’avais atteint cet orgasme que mon corps me réclamait. Quel moment intense. Je respirai rapidement, je me laissai quelques secondes pour revenir à moi.En me relevant, j’entendis du bruit venant du couloir. Je glissai rapidement l’œuf dans ma mini table de nuit, puis plaçai le fameux exercice devant moi.La porte s’ouvrit, et mes amies et voisines de chambre entrèrent avec bruit.« - Je ne sais pas comment tu fais pour te concentrer comme ça Stéphanie », me dit l’une d’elles.Je lui souris avant de rebaisser le regard sur mon cahier qui n’avait pas une ligne d’écriture de plus.
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