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Tanger la magnifique

Chapitre 1

Trash
L?amour , la mort Après avoir participé à plusieurs opérations sur les côtes algériennes, Nous faisons une escale de représentation de huit jours à Tanger, alors port franc. Cette ville était renommée pour ses trafics de cigarettes, d?armes et ses lieux de plaisirs. Le Maroc n?avait aucune souveraineté sur ce port. Le deuxième jour de l?escale, l?amicale des Français expatriés dans cette ville organise une soirée dansante en notre honneur et nous sommes invités par le commandant à nous y rendre pour faire danser ces dames. Certaines fois, c?est une corvée, souvent, c?est assez agréable. Mais puisque nous sommes invités et en service commandé, on est bien obligé de faire acte de présence pendant une partie de la soirée.
L?alliance Française a organisé un dîner dansant. A part le Commandant et les officiers qui sont à la table des officiels, à notre arrivée, nous sommes répartis aux différentes tables selon le souhait des convives , par le maître de cérémonie. Pour ma part, je suis dirigé vers une table où sont déjà installés trois jeunes femmes et deux hommes . Les hommes sont âgés d?environ 35 ans, les femmes d?une trentaine d?années maximum. Un des hommes se lève et présente ses amis, sa femme Michèle, une jolie blonde, assez menue, 1 m60 environ, une jolie poitrine mise en valeur par une robe de cocktail couleur grenat, Doris, des cheveux châtains clairs assez court, 1m70 environ, à l?allure sportive, des yeux verts, des petits seins. Elle est vêtue d?une robe en soie vert émeraude , Claudine, une brune d?environ 1m60, aux cheveux longs, un regard lumineux mais qui laisse percer une pointe de tristesse, une belle poitrine bien galbée apparemment libre de toute entrave sous une très belle robe noire .Bernard, le compagnon de Doris, légèrement plus grands qu?elle, des cheveux courts châtains foncés ,et l?homme qui m?a accueilli, Alain, 35 à 40 ans, 1m70 les cheveux bruns commençant à grisonner. Je me présente et salue chacun d?eux. L?accueil est chaleureux et je vois de suite que ça leur fait plaisirs de parler du pays. Au cours du repas, ils m?interrogent sur la vie en France qu?ils ont quitté depuis plusieurs années, sur la guerre d?Algérie, qui les inquiètent et d?autres sujets d?actualités. Le repas est entrecoupé de périodes réservées à la danse. N?ayant jamais été très attiré par celle-ci, je me contente des slows et tangos, ce qui me permet de danser avec les trois femmes. Ensuite Claudine m?invite à la faire danser continuellement prétextant avec juste raison que c?est en pratiquant qu?on apprend. Les slows sont langoureux, dans une pénombre presque absolue seulement striées par des raies de lumières multicolores reflétées par une boule à facettes miroitées suspendue au plafond . Dans ces soirées souvent guindées, il faut éviter de trop serrer sa cavalière sauf si elle fait le premier pas et encore, méfiance, il y a les allumeuses qui crient au viol si elles sont surprises par leur mari. Claudine me met de suite à l?aise en disant qu?elle est divorcée et en se collant à moi dés la première danse. Sa robe en tissus fin ne laisse aucun doute sur son anatomie. A part un slip, elle est nue sous celle-ci. Sa taille est mince, des fesses biens dodues et fermes, ses seins ronds et durs tendent le corsage de sa robe noire. Excellente danseuse, son bassin continuellement en mouvement se frotte sur mon pantalon et je ne peux rester longtemps indifférent à ce traitement. Une bosse commence à en distendre le devant . Cela ne lui a pas échappé et ne lui déplaît pas car elle accentue sa pression et ses déhanchements. A la fin d?un slow, le repas étant terminé et avant de rejoindre notre table, elle me dit :? il est tard, je vais dire à mes amis que nous allons prendre l?air et que je te raccompagnerai au port . ?? D?accord, ? Michèle et Doris nous embrassent et je serre la main des deux hommes, les remerciant de leur accueil puis nous quittons la salle. Claudine m?entraîne vers le parking où sa voiture, une grosse américaine est stationnée. Elle déverrouille la portière que je lui ouvre et referme après qu?elle se soit installée. Je m?installe à ses côtés. Claudine se penche vers moi et me tend ses lèvres en me disant : ? Merci pour ta galanterie ? Je l?embrasse sur la bouche et le baiser s?éternise voluptueusement .Sa langue se love avec ma langue, s?entremêle, me caresse laissant présager de ses possibilités . Je m?enhardis ; Mes mains partent à la découverte de son corps. Je lui caresse les seins dont les pointes durcissent aussitôt, les cuisses rondes et fermes, glisse ma main entre celle-ci jusqu?à la fourche qu?un mini-slip protège, écarte le rempart et caresse le cratère ruisselant de lave, cherche le clitoris et commence à le caresser doucement. Elle gémit, s?ouvre à la caresse mais le parking étant trop éclairé et des personnes quittant la soirée arrivant vers nous, elle se libère , démarre le moteur et pendant que je continue à lui caresser les seins et le haut des cuisses, nous conduit vers son appartement. Arrêt rapide au parking, très chaud dans l?ascenseur qui nous propulse au sixième étage. A l?arrivée, elle n?a plus de slip et le haut de sa robe pend sur son ventre laissant ses nichons, qui n?ont d?ailleurs besoins d?aucun soutien , à l?air lorsque nous sortons de l?ascenseur. Pour ma part, les pantalons à pont de la marine lui ont permis de sortir ma queue et celle-ci, raide lui sert de remorque pour m?entraîner vers la porte de son appartement. Lorsqu?elle me lâche pour chercher sa clé dans son sac et l?introduire dans la serrure, je soulève sa robe et mon gland va lui titiller l?entrée de service, ce qui ne semble pas lui déplaire. La porte enfin ouverte, elle m?entraîne à l?intérieur, allume les lumières. Nous sommes dans un vaste séjour meublé à l?oriental , canapés bas, poufs en cuir décorés, de jolis meubles garnissent les murs clairs. Elle m?entraîne vers une immense chambre . Au milieu de la pièce, trône un lit rond surmonté d?un vaste miroir fixé au plafond. Je la prends dans mes bras et tout en l?embrassant, fini de la déshabiller ne lui laissant que ses bas noirs et son fin porte jarretelles, puis la couche doucement sur le lit, caressant ses seins, volumineux et durs tout en finissant de retirer mes vêtements. Je prends alternativement chaque pointe entre mes lèvres, les mordillent, les sucent, les titillent de la pointe de ma langue. Elle semble apprécier la caresse car elle gémit de plus en plus fort et tend son buste vers ma bouche. Mes mains ne restent pas inactives, elles descendent en caressant son dos et ses hanches puis se dirigent vers sa chatte et ses fesses. Mon index droit explore son buisson noir, bien fourni, les poils un peu dur, taillé au ciseau et le pourtour épilé. Je découvre les grandes lèvres de son sexe, bien galbées, les écarte, les caresse. Continuant ma progression, mes doigts rencontrent les petites lèvres trempées de mouille et en haut, le bourgeon bien dur du clitoris. Je m?attarde sur celui-ci, le roule, le caresse doucement. Pendant ce temps, ma main gauche explore ses fesses bien rondes, bien fermes. Elle suit la séparation des globes, caresse la peau tendre cachant les terminaisons nerveuses du bas de la colonne vertébrale. J?utilise la pointe de mes ongles pour effleurer cette zone au combien érogène puis continuant son chemin, mon index suit la raie des fesses, rencontre l?anus qu?il titille puis le cratère brûlant de son sexe inondé, dégoulinant de mouille dans lequel il s?introduit comme un petit sexe, s?englue de lave puis revient vers l??illet brun dans lequel il s?enfonce. Sa mouille lui permet de bien coulisser dans le conduit étroit que je sodomise de plus en plus profondément. Mes lèvres ont continué leur progression vers le bas, lécher son ventre, fouillé son nombril puis arrivées à la fourche de ses cuisses, dédaigné le buisson odorant pour caresser la peau tendre et douce de celles-ci. Enfin, je reviens vers son sexe grand ouvert, luisant de mouille. Je caresse d?abord les grandes lèvres roses et de temps à autre, la pointe de la langue va titiller le clitoris puis repart explorer lus profondément les vallées et le gouffre de sa chatte. Mon index est toujours planté dans son oeillet foncé et les hanches de Claudine suivent le rythme de mon doigt et s?empalent jusqu?à la garde sur ce sexe miniature que je compte bien remplacer par ma grosse bitte avant la fin de la nuit. Enfin, ma langue se fixe sur le bouton du clitoris, le lèche, le malaxe, mes lèvres l?aspire, le font rouler. Ma belle amie gémit, cambre ses reins pour mieux me présenter sa chatte en fusion. Ma salive et sa mouille se mélangent sur mes lèvres, coulent sur mon menton, inondent le lit. Ses reins s?agitent de plus en plus fort, des gémissements se transforment en cris en hurlements. elle se cabre, ses deux mains viennent se river à ma nuque, soudant mes lèvres à son sexe en délire. La langue collée à ses lèvres intimes, fouille , bois, caresse malgré les coups de reins impétueux de sa jouissance, de son plaisir que je partage mentalement sans chercher à la pénétrer. Enfin, le calme revient,.Elle gît sans force, rassasiée de plaisir. Son corps se détend, son visage s?apaise, sa respiration reprend un rythme normal. Je caresse doucement et lentement son visage, ses seins, la peau douce de son ventre. Elle se tourne vers moi et ses lèvres cherchent mes lèvres qui nous unissent dans un baiser profond et passionné. ?Merci pour le plaisir que tu m?as donné? me souffle-t-elle dans l?oreille puis se roulant sur moi, ses lèvres commencent l?exploration de mon corps, léchant ma peau, s?attardant sur l?aréole de mes seins, puis venant se river sur mon sexe dur et tendu. Sa bouche chaude s?active autour de mon gland, caressant le filet, remontant le long de la face postérieure de ma queue jusqu?aux couilles qu?elle chatouille de la pointe de sa langue puis les aspire dans sa bouche. Ce traitement ne me permet pas de tenir longtemps et malgré mes avertissements ,Claudine continuant sa fellation, je lui lâche plusieurs giclées de sperme dans la bouche, ce qui ne semble pas lui déplaire. Elle lèche mon foutre jusqu’à la dernière goutte et voyant ma queue toujours aussi raide, vient s?agenouiller sur mon bassin et s?empale doucement, s?enfonçant à petits coups de reins. Lorsqu?elle est bien à fond, elle se penche vers moi et nos lèvres se joignent. Je lui laisse l?initiative et reste immobile sous elle, lui caressant seulement le dos et les reins. Elle reste un moment immobile, savourant les caresses, seul son vagin se contracte doucement sur mon sexe bien au chaud dans son ventre, entretenant ainsi mon excitation. Nous restons un long moment ainsi enlacés, l?un dans l?autre, savourant le plaisir que nous procure nos baisers et nos caresses. Enfin, elle commence à faire coulisser son sexe sur la tige qui l?envahit, d?abord très lentement avec peu d?amplitude puis de plus en plus fort et de plus en plus amplement. Des gémissements de plaisirs bientôt remplacé par des cris de jouissance sortent de sa bouche tandis que redressée maintenant, elle s?empale avec furie sur ma queue de plus en plus raide et prête à éclater. Enfin, elle s?écroule sur moi, tétanisée par un déferlement de spasmes de plaisirs alors que mon foutre jailli de ma queue et lui inonde le vagin. Nos cris de plaisirs , dans cette nuit calme, doivent s?entendre des appartements voisins. Nous restons longtemps l?un dans l?autre, savourant le plaisir que nous- nous sommes donnés. Je pense à la chance que j?ai eu ce soir. Jamais, en quittant le bateau pour aller, comme à une corvée, à cette soirée, je n?imaginais avoir le bonheur de rencontrer une femme comme Claudine. J?avais déjà fait de nombreuses rencontres au cours de nos escales mais jamais je ne m?étais senti si bien, si heureux . Je pensais à Séverine, la mère de mes amis d?enfance qui m?avait initié à la sexualité. Je retrouvais avec Claudine le même plaisir, le même bonheur. Enfin, ne te fait pas d?illusion, tu es le bon coup d?un soir, demain elle ne pensera plus à toi. Claudine s?est endormie dans mes bras, Son souffle régulier caresse la peau de mon cou. Soudain, elle reprend vie, ouvre le yeux. ?J?ai soif ? elle m?embrasse et roulant sur le côté se retire de mon sexe. Elle se lève, se dirige vers la salle de bain et ouvrant la douche, me demande: ? Tu n?as pas envie de te rafraîchir ?? Je le rejoins et nous prenons une douche?Body-Body?, nous excitant l?un est l?autre. La soif ne nous a cependant pas quitté alors nous décidons de faire un petit intermède à la cuisine. Un grand verre de jus de fruits nous désaltère puis , pressé de reprendre la joute amoureuse, nous regagnons le grand lit rond. Je la couche sur le dos et commence à la caresser lentement, doucement, commençant pas ses pieds, ses jambes, m?attardant sur la peau veloutée de l?intérieur de ses cuisses. Ignorant son sexe, je continue vers son ventre qui se crispe lorsque mes doigts déclenchent des chatouillement. Je contourne ses seins, lui soulève les bras , continue sur leurs faces internes jusqu?à ses mains et ses doigts que je lèche, remonte vers son cou, l?embrasse puis la retourne sur le ventre, reprend le chemin inverse jusqu?à ses pieds. Par moment, sa peau tremble d?excitation, sa respiration s?accélère. Je remonte le long de ses cuisses et ma langue va s?insérer entre ses fesses que j?écarte de mes mains. Je titille son anneau brun et lorsque je le quitte pour continue mon cheminement , elle cambre les reins et proteste, m?invitant à continuer sur son oeillet. Bientôt, elle gémit, donne de violents coups de rein puis des spasmes de jouissance la traverse. Je veux la prendre par ce chemin étroit mais elle se dégage ? Non, je ne l?ai jamais fait et tu es si gros? Je la retourne sur le dos et enfoui ma langue dans sa chatte, la faisant jouir à nouveau très rapidement. Bien décidé à lui faire crier grâce, je la pénètre doucement et lentement.. . Ses jambes se relèvent aussitôt autour de mes hanches permettant ainsi à ma queue de gagner quelques centimètres et s?enfoncer plus profondément dans le volcan qui l?accueille. Après quelques secondes pour goutter aux sensations que je ressens dans cette chatte inconnue, la douceur de ce sexe chaud et vivant, les frissons qui le parcourent et se retransmettent à ma bitte, je commence un lent mouvement de va et vient dans ce doux conduit, puis un mouvement de rotation de mon bassin permettant à mon gland d?explorer chaque repli de son vagin, déclenchant ainsi de tendre gémissement de plaisir. J?active mon pilonnage et à chaque coup de boutoir de ma queue réponds un coup de boutoir de sa chatte. Nos langues se sont rejointes, s?entremêlent, se mordillent accentuant notre plaisirs. Maintenant notre corps à corps devient une chevauchée torride, nos bassins se frappent lorsque mon sexe s?enfonce sur toute sa longueur dans sa chatte brûlante. Etant tous deux à la limite de la jouissance, je ralentis mes coups de bitte , laissant retomber la tension de nos corps puis repart de plus belle à l?assaut de cette charmante fille qui ne pouvant plus retenir son plaisir, laisse échapper des cris de jouissance tandis que son corps, rivé au mien se tétanise devant mes derniers assauts. Ma semence gicle dans son antre brûlant . Ecroulés l?un sur l?autre, l?un dans l?autre, nous reprenons lentement nos esprits tout en nous caressant mutuellement le dos, la nuque, les fesses. Nos corps se refroidissant, la transpiration qui les recouvrent, nous fait frissonner. ? Merci, tu m?as comblé, il y a longtemps que je n?ai pas joui si intensément ? me dit Claudine. ? avec une partenaire telle que toi, il m?aurait été difficile de ne pas être à la hauteur, ton corps m?électrise, tu es belle, tu aimes l?amour et tu n?es pas une femme à rester passive sous les caresses. ? -? Viens, on va prendre une douche et boire un verre, je crève de soif ? . -? avec plaisir, moi aussi je crève de soif et il faut recharger les batteries , une bonne douche nous remettra en forme ? -? Tu n?as pas l?air tellement fatigué, ta queue est encore bien dure mais un peu de vitamine ne lui feront pas de mal ! ? me dit-elle en regardant mon dard sorti de sa chatte, Elle m?entraîne vers la salle de bain équipée en son centre d?une vaste baignoire ronde encastrée dans le sol. Divers meubles modernes garnissent les murs qui, eux, sont recouverts de miroirs. Des plantes vertes sont suspendues au plafond Des doubles lavabos dont un seul est utilisé en raison de tout les flacons de crème, parfums et autre impedimenta de femme qui s?y trouvent. C?est la première fois que je vois un tel luxe. Devant mes yeux admiratifs, Claudine m?explique que son ex-mari lui a fait cadeau de cet appartement au moment de leur divorce ainsi que d?une boutique de mode lui garantissant ainsi des revenus réguliers et indépendants.
S?approchant de la baignoire, elle ouvre les robinets, règle la température de l?eau . ? installe-toi, je reviens, je vais chercher à boire ! ? je peux m?étendre de toute ma longueur et dans toutes les directions dans cette baignoire immense . Le débit des robinets est si intense que l?eau monte rapidement. Pendant que je batifole dans cette eau à laquelle j?ai copieusement ajouté des sels de bains pris dans un flacon posé sur le bord, Claudine revient avec une desserte roulante sur laquelle, outre un seau à champagne garni d?une bouteille à goulot doré, de flûtes, sont répartis divers ingrédients nourrissant.. ? J?espère que ça suffira à calmer ta soif et ta faim ! ? ? Me redonner des forces, oui mais en ce qui concerne ma faim de toi, je ne vois rien sur cette table pour la calmer par contre pour l?exciter, si ! ? Elle place la desserte à portée de mains, prépare des toasts avec du beurre, du saucisson, de la mousse de foie gras de canard truffé puis me rejoint dans l?eau ou elle s?étend. ? fais le service ? je débouche la bouteille de champagne, empli les flûtes, remets la bouteille au frais. Je lui tends un verre et prends le second ? A ma meilleure et unique amie à Tanger , qu?elle soit toujours aussi belle et accueillante envers les pauvres marins Français ? ? Merci, et si la vie te ramène ici, tu seras toujours le bienvenu ! ? Nous buvons cul sec . je ressers aussitôt et lui présente quelques canapés avec la mousse de canard . Nous mangeons, couchés dans l?eau tout en buvant du champagne. Bientôt rassasié, la baignoire étant pleine, nous jouons dans cette eau chaude et parfumée. Claudine plonge la tête sous l?eau et vient prendre ma bitte dans sa bouche. Au premier contact de ces lèvres chaudes, popol se remet au garde-à-vous, prêt pour le service. Je sors mon bassin de l?eau pour lui permettre de continuer sans risque de se noyer puis après quelques instants, je me dégage, la retourne à quatre pattes et ma langue va lui taquiner l??illet froncé tandis que ma main passée sous son ventre s?est emparée de son bouton que je caresse doucement.. Claudine ne tarde pas à réagir, les mouvements de son bassin me font comprendre qu?elle apprécie beaucoup la feuille de rose qui lui caresse le cul et qu?elle désire une plus grande pénétration. Je continue à la lécher le plus profondément possible puis sentant son clitoris prêt à jouir, je me redresse et veux prendre possession de son cul . Elle a un mouvement de recul et dirige ma queue vers sa chatte. ? Je croyais que tu aimais te faire prendre par le cul, excuse moi ? ? Mon mari a essayé plusieurs fois mais il était si brute que j?ai pris cela en horreur. ? Je la prends en levrette, ce qu?elle apprécie beaucoup. Appuyée contre le rebord de la baignoire, elle participe activement à notre joute amoureuse. Sa main vient entre ses cuises me caresser les couilles puis se fixe sur son clitoris qu?elle branle doucement puis de plus en plus fort au fur et à mesure que l?excitation monte en elle. Son corps est parcouru de frémissements, de vibrations, j?accentue la vitesse et la force de ma pénétration. Ses fesses viennent à la rencontre de ma queue pour mieux l?introduire, mon ventre claque contre elles. Soudain, elle se cambre, se tétanise . La jouissance qui déferle en elle la paralyse. Après plusieurs spasmes, elle s?écroule mon corps toujours rivé à son corps et nous restons là, l?un dans l?autre, repu de plaisirs, reprenant notre souffle et nos sens. L?heure de la retraite a sonné, ma bitte se rétracte , nos esprits embrumés nous poussent au sommeil. Nous quittons la salle de bain et Claudine ne voulant pas me raccompagner au port maintenant, m?invite à dormir avec elle. Elle règle un réveil à 6h30 estimant qu?une demi-heure suffit en voiture pour être présent à 07h00. Claudine me tend ses lèvres. Nous nous endormons dans les bras l?un de l?autre pour quelques heures de sommeil.
Il fait encore nuit lorsque je suis réveillé par des doigts courant sur mon ventre, titillant ma bitte, la caressant doucement tandis qu?un corps chaud et doux est collé contre mon dos. Je reprends doucement conscience et me tourne lentement pour prendre Claudine dans mes bras. Nos lèvres se joignent tendrement. Je sens que quelque chose de différent dans son baiser. Ce n?est plus le baiser d?une femme qui ne profite que d?un amant de rencontre , de l?instant présent. Je la sens transformée. Est-ce une impression. Tout en embrassant ses lèvres, je caresse ses seins, son dos, ses reins, ses fesses, mon doigt va titiller la corolle de l?anus, celui -ci s?ouvrent , appelant l?introduction de mon index, bientôt suivi du majeur qui entreprennent une douce sodomisation et lui arrache des feulement de plaisirs . Elle se glisse contre moi et sa bouche va s?emparer de mon sexe. Je me retourne en 69 Ma langue va titiller son clitoris pendant que mon index continue ses mouvements alternatifs dans son oeillet. Ne voulant être en reste, à son tour elle me caresse le muscle anal puis introduit un doigt qui excite les terminaisons nerveuses . J?arrive à contrôler mon plaisir jusqu’à ce que Claudine , arrivant au paroxysme de l?excitation, se raidisse en criant sa jouissance que je maintiens au maximum pendant plusieurs orgasmes en accentuant mes coups de langue sur son clitoris et le va et vient de mes doigts Puis voyant celle-ci décliner, je me retourne et doucement, tendrement, lui enfonce ma queue au plus profond de sa chatte. Cette présence ranime sa flamme et sous mes coups de boutoir ses orgasmes reprennent jusqu?à ce que j?éclate à mon tour, lui envoyant des jets brûlant de spermes au plus profond de son vagin. Le réveil nous tirent de notre engourdissement et nous rappelle que si la nuit est finie, la journée commence. Après un café et quelques croissants, elle me reconduit au port. N?étant pas de service ce soir là, elle me propose de la rejoindre vers 18h30 dans un café qu?elle me montre au passage à la sortie de la zone portuaire. Elle me dépose au pied du bateau et après un au revoir très corps à corps, je regagne le bord et doit répondre aux questions des camarades qui m?ont vu sur le quai. Après une journée calme, nous sommes en escale de représentation donc pas d?exercice, ni de corvée de peinture, ce qui m?a permis de récupérer pour la prochaine soirée, je me prépare vers 18 heures pour mon rendez-vous au café ? Le Marseillais ? avec Claudine. Les camarades me demandent si je sors avec eux mais je leur explique que j?ai rendez-vous avec la femme que j?ai connu à la soirée de l?Alliance Française. Plusieurs sont également invités chez des personnes qu?ils ont connu à cette occasion. Il fait beau, même chaud pour un mois de Mai souvent capricieux à la jonction de la Méditerranée et de l?atlantique . Je me rends donc à pied jusqu’à mon lieu de rendez-vous. C?est un café typiquement français ou les hommes et les femmes se côtoient alors que les femmes n?ont pas ou peu accès dans les bars espagnol. Je pénètre dans la salle et je vois tout de suite Claudine attablée avec deux femmes que je reconnais pour être les deux autres convives de la soirée précédente. Je m?approche, un peu désorienté par la présence de Michèle et Doris, Je me rappelle leurs prénoms. Ses deux amies m?embrassent à leur tour sur la joue. Je les remercie pour leur accueil et la bonne soirée de la veille. Elles sourient et Michèle me dit : -? C?est surtout Claudine qu?il faut remercier, elle a su te montrer tous les charmes de Tanger ! ? Claudine s?esclaffe et lui répond : -? Si j?avais pu lui montrer tous les charmes de Tanger, c?est qu?ils seraient bien maigre. Ce soir je vous passe le flambeau, à vous de lui faire découvrir le reste ! ? Devant mon air surpris, elle m?explique qu?elle doit se rendre à Casablanca ou on lui a fixé rendez-vous demain matin à 9 heures. Ce rendez-vous ayant été décidé cet après midi, elle n?a pu avoir de place d?avion, elle doit donc partir par le train de nuit et elle reviendra par avion dans l?après-midi de demain. ? Je m?étais fait une joie de passer la soirée avec toi et demain je suis de service, un jour tous les trois jours, et il est très difficile de se faire remplacer. Nous ne sommes que trois radios à bord ? ? Moi aussi je voulais passer la soirée avec toi mais ce rendez-vous est très important pour mon commerce et je l?attendais depuis plus de deux mois. Je ne pouvais reculer la date. J?ai demandé à Michèle et Doris qui sont célibataires ce soir de s?occuper de toi. Elles vont te faire visiter la ville et elles t?invitent à dîner. Je te promets qu?après demain soir, puisque c?est votre dernière soirée à Tanger, je serai là quoiqu?il arrive. Je viendrai te chercher au bateau à 18 heures. Maintenant, il est temps que je parte si je ne veux pas manquer mon train. ? Nous finissons nos verres et nous dirigeons vers la voiture que conduit Michèle. Claudine s?installe sur la banquette arrière et m?attire à ses côté tandis que Doris s?installe sur le siège avant. Aussitôt installé, Claudine se blottit dans mes bras et m?embrasse fougueusement. Je lui caresse les seins à travers sa robe légère et bientôt je sens sa main qui entre dans mon pantalon et me caresse la queue qui bande immédiatement. Michèle jette un coup d??il dans le rétroviseur et dit en souriant : ? Profitez-en, les glaces sont teintées et on ne voit rien de l?extérieur et je vous promets que nous ne regarderons pas. Vous avez dix minutes ! ? Claudine retire sa main de mon pantalon, dégrafe le pont , sors ma bitte turgescente et l?enfonce au plus profond de sa bouche. Pour ne pas être en reste, je passe ma main sous sa robe légère et m?aperçoit qu?elle ne porte pas de slip. Elle se place pour me permettre de lui caresser le clitoris tout en continuant sa pipe. Sa chatte dégouline de mouille et bientôt sa bouche quitte mon dard et relevant sa robe, vient se placer à califourchon sur moi, au dessus de ma bitte raide sur laquelle elle s?empale jusqu?à la garde. Je me contracte pour ne pas éjaculer immédiatement tandis que Claudine sort et s?enfonce de plus en plus vite sur ma queue . Dans le rétroviseur, je vois Michèle qui nous jettent des coups d??il tandis que Doris a baissé le miroir de courtoisie et ne perd pas un instant de notre baise tandis que sur les trottoirs bordant la rue, les passants circulent sans se douter de ce qui se passe à moins d?un à deux mètres d?eux. Bientôt Michèle me fait signe du doigt m?indiquant qu?il ne reste qu?une minute avant que Claudine ne soit obligée de nous quitter. Je laisse le plaisir éclater et mon éjaculation inonde la chatte de mon amie qui s?écroule sur moi en proie à une terrible jouissance. Après quelques instants d?anéantissement, Claudine reprends ses esprits et Doris nous passe un paquet de Kleenex par dessus le siège. Juste le temps d?une toilette rapide et nous sommes à la gare. J?accompagne Claudine à son wagon et nos adieux sur le quai excite la curiosité du public. Lorsque le train est près à partir Claudine me dit -? amuse toi bien avec Michelle et Doris, ce sont de très bonnes amies et ne t?inquiète pas si elles te font des propositions, tu peux les accepter. A après demain soir, je te jure que je serai là. ? Sur ces mots elle m?embrasse et monte dans le train qui commence à rouler. Je regagne la sortie et rejoins mes deux amies qui m?attendent dans la voiture. ? On va te faire visiter Tanger puis on ira dîner? me dit Michèle pendant que je m?installe sur le siège de la voiture. Michèle est une femme d?environ 30, 35 ans, blonde ,elle doit mesurer environ 1m60, de corpulence assez menue mais bien roulée, de beaux petits nichons qui ne doivent pas connaître souvent de soutien gorge., les yeux tirant sur le gris vert, un petit nez , des lèvres bien ourlées et charnues appelant le baiser. Elle est mariée depuis une dizaine d?années avec Alain que j?ai connu à la soirée de l?alliance. Il s?occupe d?import-export et il est souvent absent. Doris est châtain clair, ses longs cheveux sont magnifiques, très belle femme elle aussi, elle est légèrement plus grande que ses deux amies, environ 1 m70, d?allure sportive, une poitrine plus plate mais quand même attirante. Elle est divorcée mais vit avec Bernard qui a une entreprise de transport et s?absente également très souvent. Michèle qui conduit me désigne les lieux intéressants puis s?arrête près du souk ou elles m?entraînent dans les magasins qui, comme dans toutes les villes orientales vendent des cuivres, des tapis et autres bimbeloteries. Après une demi-heure dans le marché, la soirée avançant , nous regagnons la voiture et Michèle me dit : ? nous allons chez moi, on sera plus tranquille et il y a tout ce qu?il faut .Comme Claudine m?avait prévenu qu?elle te confiait à nous,. J?ai dit à la fatma de préparer un repas léger ? La voiture sort du centre ville et se dirige vers le quartier résidentiel puis s?engage dans une impasse fermée par un portail d?environ trois mètres de hauteur. Michèle tend un trousseau de clé à Doris qui va ouvrir et la voiture pénètre dans la propriété et se gare dans un garage à proximité de l?habitation. Un parc assez grand entoure celle-ci. Je remarque une piscine en partie sous la maison, en partie en plein air mais la partie en plein air est placée sous une immense vérandas fermée ce jour là. Me voyant regarder la piscine, Michèle nous invite à en profiter. Lui faisant remarquer que je n?avais pas de maillot, elle rit et me dit : ? tu as besoin d?un maillot ! nous on se baigne à poil, à moins que ça ne te dérange ! ? ? non pas du tout, mais nous nous connaissons si peu que je préférais vous prévenir ? Sur ces mots elle nous entraîne vers la maison qu?elle ouvre et dit à Doris : ? allez à la piscine, j?arrive. Je vais voir ce que nous a préparé la fatma et j?amène à boire ? Doris ouvre la marche tout en dégrafant sa robe qu?elle laisse tomber sur un siège se trouvant sur le bord de celle-ci,. Elle ne porte pas de soutien-gorge et ses seins bien ronds et fermes, les tétons gonflés dardent au milieu des aréoles.. Elle se baisse, les jambes tendues légèrement écartées, me tournant le dos, quitte son slip et ses chaussures, se retrouvant ainsi entièrement à poil à mes côtés. Mon regard est attiré par son oeillet foncé qu?elle me présente en oscillant lentement. Pendant ce temps j?ai entrepris de me déshabiller mais c?est plus long et la vue de ce corps de femme a déjà agi sur mes sens. Flamberge est dressée . Lorsque je quitte mon slip. Doris me regarde sans aucune gêne, me sourit et me dit : ? Eh bien toi, tu as été gâté par la nature. Je comprends que Claudine tienne à toi . Si tu sais t?en servir tu dois avoir du succès ! ? Sur ces mots, elle me prend par la main et saute dans l?eau , m?entraînant avec elle. La piscine est profonde, elle se colle à moi et m?entraîne vers le fond. A ce petit jeu, elle ne sera pas gagnante car je reste plus d?une minute en apnée, je lui laisse donc l?initiative , elle ouvre ses cuisses et les referme autour de mon bassin, mettant ma queue raide face à sa chatte et je sens ses poils qui me chatouillent le gland. Je me dégage doucement et me laissant couler, amène ma bouche face à son sexe que j?attire vers moi. Ma langue lui caresse le clitoris, pénètre son vagin, joue avec ses lèvres mais l?air lui manque et elle se débat pour remonter. D?un coup de pied au fond du bassin, je nous propulse à la surface ou nous émergeons devant Michèle hilare, tenant un plateau de boisson à la main. ? Je crois que tu as trouvé ton maître pour rester sous l?eau, Doris. Tu allais boire la tasse ! ? Essoufflée, Doris sort de l?eau et s?ébroue. ? C?était tellement bon que j?en ai perdu ma respiration, mais tu peux reprendre ou tu en étais ? et se dirigeant vers un matelas posé au sol elle se laisse tombé et écarte ses cuisses me présentant la fleur de son sexe . ? attends donc un peu, tient, prends un verre pour te faire patienter, je voudrais bien me baigner moi aussi ? Michèle pose son plateau et plonge dans un style impeccable puis entreprend d?effectuer une longueur en crawl. Revenant vers moi, elle se laisse couler et après avoir parcouru quelques mètres sous l?eau, sa bouche vient se avaler ma queue toujours tendu et entreprend une fellation digne d?une professionnelle. Je la laisse faire pour voir combien de temps elle pourra tenir dans ces conditions. Elle émerge après environ trente secondes et se colle à moi, cherchant à s?emparer de ma bitte avec sa chatte mais je ne suis pas pressé et me dégageant à mon tour, je plonge au fond de la piscine et prends possession de ses lèvres intimes avec ma bouche. Je lui caresse la chatte avec ma langue de plus en plus profondément et tenant ses fesses dans mes mains, c?est tout naturellement que mon majeur va se loger dans son oeillet .Il le caresse d?abord en surface puis l?enfonce et entreprend un va et vient de plus en plus rapidement et profondément..Soudain, ses cuisses se resserrent sur ma tête et ses coups de reins me font comprendre qu?elle est en pleine jouissance. Lorsque celle-ci s?apaise, je refais surface. Lorsque j?émerge, Doris est penchée sur le bassin , caressant les seins de son amie. et l?embrassant à pleine bouche. Me voyant émerger, elles se séparent et Michèle et moi sortons de l?eau. -? Que c?était bon! C?est la première fois qu?on me fait jouir de cette façon. J?ai cru que tu allais rester au fond tellement tu as tenu longtemps mais ne te fatigue pas trop dans l?eau, tu nous as pour cela. ? Michèle nous tend des serviettes éponges et après nous être séchés mutuellement, elle nous entraîne vers l?intérieur de la maison. Nous pénétrons dans un vaste séjour garni de meubles modernes, de fauteuils et de canapés en cuir. Sur une table basse, elle a déposé trois plateaux garnis de victuailles et une bouteille de vin rosé rafraîchi dans un seau à glace. Nous nous installons sur les sièges et commençons à déguster le repas composé de viandes froides, poissons et salades diverses. Nous discutons de chose et d?autres, de mes voyages mais bientôt ,rassasiés de nourriture , la conversation en vient au sexe et les mains commencent à se promener. Elles se lèvent et me prenant chacune par une main elles m?entraînent à l?étage , dans une vaste chambre garnie de matelas à même le sol et décorée dans le style oriental. La porte a peine franchie, elles se collent à moi, une devant , une derrière et commencent à me caresser, m?embrasser. Je sens la langue de Doris ,placée dans mon dos descendre le long de ma colonne vertébrale puis s?enfouir entre mes fesses qu?elle écarte avec ses mains et plonger dans mon anus tandis que Michèle, qui s?est agenouillée, englouti ma queue au plus profond de sa gorge. Sa langue papillonne autour du gland. Je dois me contracter au maximum pour ne pas éclater, inonder de sperme cette bouche vorace et habile qui s?acharne sur ma bitte. Ne pouvant subir plus longtemps ce délicieux traitement, je me dégage et les entraîne sur le lit. Michèle se couche sur le dos, les cuisses bien écartées. Sa chatte luisante de mouille attire ma bouche et ma langue va explorer grottes et vallées tandis que Doris s?installe à quatre pattes au dessus de la bouche de son amie, lui présentant sa chatte. Voyant que nous sommes tous occupés, je me concentre sur Michèle que ma langue, avec application, lèche, titille, caresse . Sa gorge émet bientôt les premiers gémissements, prélude à la jouissance. De temps à autre, je jette un ?il sur Doris qui a joint ses doigts à la langue de son amie et se branle le clitoris avec frénésie tandis que son autre main malaxe ses nichons. Puis soudain, Doris se laisse tomber sur le dos en proie à une jouissance incontrôlable, sa main toujours rivée à sa moule la branle avec ardeur, son autre main malaxe ses nichons, elle se roule sur le matelas en poussant des cris de plaisirs. Je me concentre sur ma partenaire , glisse ma main sous ses fesses et cherche l?oeillet noir que je pénètre du majeur et place l?index dans sa moule dégoulinante et commence à pistonner les deux orifices en même temps tandis que ma langue s?acharne sur le bouton turgescent. Michèle jouit à son tour et crie son plaisirs. Elle se dégage et m?attire sur elle, en elle. Je la pénètre jusqu?au fond de sa chatte d?un grand coup de bitte et commence à la pilonner avec acharnement , déclenchant à nouveau des vagues de jouissance. Doris se met en levrette à côté de son amie et lui prenant la bouche l?embrasse tendrement. Je sors alors ma queue pleine de la mouille de Michèle et m?enfonce dans la chatte qui se présente si bien à ma vue. Doris a un cri de contentement lorsque je l?envahis puis son cul entreprends un balancement synchronisé par mes coups de bitte qui la pénètre jusqu?au plus profond de son ventre. Je sens la main de Michèle qui vient me caresser les couilles puis s?attarde et s?arrête sur le clitoris de Doris qu?elle caresse vigoureusement. Le vagin de Doris est soudain pris de contractions qui enserrent ma queue et sa jouissance déferle à nouveau, toujours aussi violente, toujours aussi bruyante. Je me laisse allé et envoi une première puis une deuxième giclée de sperme au plus profond son ventre puis me retirant je pénètre à nouveau Michèle et lui expédie le reste de ma ligueur tout en continuant à la pilonner de grands coups de queue ce qui la propulse à nouveau au septième ciel. Nous restons un moment étendus sur les matelas à reprendre des forces. Michèle se lève et va chercher des rafraîchissements . Nous buvons en silence. Doris qui est allongée à côté d?elle, la prend dans ses bras et commence à lui caresser le dos puis ses mains descendent, s?attardent sur les fesses , ses doigts s?introduisent dans le sillon fessier, caressent la corolle bistre de l?anus, s?enfoncent dans le conduit étroit, ressortent puis se renfoncent plus profondément, son autre main continue son exploration, caresse les poils du pubis, ses doigts écartent les lèvres de la chatte, caressent , s?enfoncent, ressortent, montent vers le clitoris tout en titillant les lèvres roses du cratère voluptueux, Michèle gémit , écarte les jambes pour faciliter la caresse. Excité par le spectacle, je veux me joindre à elles mais Doris m?arrête : -? Reste où tu es et regarde, lorsque nous aurons besoin de toi nous t?appellerons et surtout garde tes forces. N?est-ce pas beau deux filles qui se font l?amour. De plus , instruis-toi , regarde les caresses que nous aimons. Nous connaissons nos zones érogènes et nous sommes plus patientes que les hommes, regarde et prends patience, tu demanderas grâce avant demain matin ? Pendant ces paroles, ses mains ont continué les caresses, les effleurements, les pénétrations, maintenant elle se penche vers Michèle et se sont leurs lèvres, leurs bouches qui se joignent pour d?autres caresses plus douces. Doris tire sa langue pointue et lui titille l?anus, s?introduit tel un petit sexe dans la corolle, virevolte, lèche, tirant des gémissements de plaisir à son amie qui, s?étant placée à quatre pattes, cambre les reins afin de faciliter la ? feuille de rose ? que lui prodigue son amie, tout en continuant sa caresse sur le clitoris avec son autre main. Bientôt Michèle halète, gémit plus fort puis se tétanise et la jouissance déferle à nouveau, lançant son corps dans des soubresauts incontrôlés. Doris se tourne vers moi : ? viens, encule-la ! ? Lorsque je m?approche, elle prend ma bitte raide et dure, environ vingt centimètres de longueur et d?un diamètre de cinq bons centimètres, me tire derrière Michèle toujours en position de la levrette, présente mon gland à l?entrée du conduit anal et de son autre main, fait pression sur mes fesses pour m?introduire dans la corolle. Bien lubrifié par la salive de Doris, l?anneau se distant, s?écarte, se dilate et mon gland disparaît dans ce joli cul. L?ourlet du gland passé, la hampe suit et à petits coups de rein, aidé par la main de Doris , je m?enfonce jusqu’à la garde dans ce puis étroit. Michèle gémit sans arrêt et entreprend un balancement avant arrière faisant coulisser l?anneau sombre de son cul le long de ma bitte, ses fesses claquant à chaque coups contre mon ventre comme si elle cherchait à s?enfoncer plus profondément. Doris se glisse alors sous Michèle, sa figure vient se placer entre les jambes de son amie . Je sens bientôt sa langue me caresser les couilles puis prendre possession de la vulve rose largement ouverte au dessus d?elle. Sa langue agace le petit bouton proéminent. Un miroir judicieusement placé me permet de voir sa bouche collée au sexe béant. Michèle se redresse alors, et invite Doris à se placer dans l?alignement de nos corps. Ceci fait, sa bouche prend possession de la chatte grande ouverte sous elle. Je continue à l?enculer à grands coups de pîne, elle, à s?emmancher sur celle-ci le plus profondément possible tout en se faisant brouter la moule par Doris et tout en fouillant de sa langue pointue et dure comme un petit sexe le cratère en fusion de celle-ci. Je suis les jeux de langues par l?intermédiaire du miroir. C?est Doris qui émet les premiers cris de jouissance. Je la sais sensible à une langue fourrée mais je pensais que Michèle se faisant enculer et sucer en même temps allait jouir la première. Elle s?arque pour souder sa vulve à la bouche et à la langue qui lui fouille la moule, sa propre bouche rivée à la vulve de son amie, son corps s?agitant en tout sens . Après plusieurs orgasmes, elle retombe, vidée d?énergie, anéantie par la jouissance. J?augmente la cadence et bientôt Michèle ,à son tour, s?envoie en l?air. Ses cris raisonnent dans la nuit calme puis elle s?écroule sur Doris, toujours sous nous. Je donne encore quelques coups de pine et me vide les couilles dans ce cul si accueillant. Nous avons cuvé nos jouissances dans les bras l?un des autres puis nous sommes allés prendre une douche, nous savonnant mutuellement et, c?est beau d?être jeune, leurs jeux de mains sur ma bitte, réussirent à lui redonner consistance ce qui les réjouit en prévisions des heures à suivre. Après l?effort, le réconfort. Michèle sort une bouteille de champagne, des victuailles. Nous avons rechargé les batteries en jouant avec nos mains, nos langues, en excitant les endroits érogènes. Je bois le champagne que verse Michèle dans le cratère de la chatte de Doris . Le liquide doré lui coule sur le bas-ventre, traverse la toison pileuse, ruisselle sur le clitoris et cascade en fontaine entre les lèvres roses de son sexe avant que je le recueille sur ma langue et l?aspire , gorgé des parfums de sa féminité. Puis Michèle me remplace à la fontaine et boit le nectar des dieux qu?à mon tour je verse. La crème au chocolat leur donne l?idée de m?en enduire copieusement la queue et elles s?agenouillent de part et d?autre de celle-ci lèchent avec application la crème et le support . Après ce traitement, mon dard a repris des proportions qui ne laisse aucun doute sur ses bonnes dispositions. Michèle prend Doris par la main, l?entraîne vers le canapé et la fait s?agenouiller sur celui-ci, le cul en l?air tout en nous disant : ? Je vois que tu as repris des forces et toi, Doris, tu ne t?es pas encore fait enculer. Comme je sais que tu adores un bonne bitte dans le cul, je vais te préparer comme tu me l?as fait et Yves va se faire un plaisir de te la mettre bien à fond. Pour l?instant, mets-toi en position, d?accord ! ? Doris ne se fait pas prier , s?installe confortablement et en bonne position, à genoux sur le canapé, sa tête reposant sur le dossier, les cuisses écartées, le cul tendu vers nous, la rosette légèrement dilatée nous regardant comme un ?il de cyclope. Michèle prend le reste de crème au chocolat et lui en badigeonne la raie du cul puis commence un léchage bien appuyé, sa langue passant dans tous les coins et recoins de la raie culière, s?attardant sur l??illet, le fouillant de la pointe de sa langue . Je regarde le spectacle, mon sexe est dressé et ne demande qu?à s?enfoncer dans ce cul luisant de la salive de Michèle. Ne voulant être en reste, mes mains partent à la découverte des nichons de Doris qui s?agitent aux rythmes des frémissements de plaisir que lui procure la feuille de rose. J?agace les pointes , les tourne entre mes doigts, les pince, les roule .Ses nichons sont gonflés et durs, les pointes dardées, Doris feule de plaisir, une de ses mains va se loger dans sa fente et branle avec frénésie son clitoris. Voyant son état , Michèle me prend par le dard, m?attire derrière son amie et écartant avec ses doigts son oeillet luisant de salive, elle présente mon gland turgescent à l?entrée royale. Je pousse lentement et ma bitte s?enfonce doucement, le gland disparaît dans les profondeurs sombres de ce magnifique cul bientôt suivi par toute la longueur de ma verge bandée. Je reste immobile au fond de ce havre de délice, mes poils pubiens plaqués contre ses fesses, lui laissant le temps de s?habituer à cette intrusion, à la douleur qu?en principe elle doit ressentir devant cet intrus lui distendant l?anneau brun mais c?est elle qui commence à faire coulisser son anneau sur ma bitte et se la renfoncer vigoureusement, toujours plus profond , me semble-t-il. Ma verge me transmet les sensations que lui procure son frottement contre le conduit anal, des contractions de l?anneau sur ma hampe. A mon tour, je me mets en mouvement, me synchronisant au va et vient de Doris. L?amplitude de ceux -çi est telle que mon sexe sort presque entièrement pour se renfoncer avec vigueur jusqu’à la garde, jusqu?au claquement de ses fesses contre mon ventre et chaque coup est plus violent, et chaque coup lui tire des cris de plaisir plus fort. Michèle qui nous avait quitté quelques instants revient et me caresse les fesses puis un de ses doigts vient me titiller l?anus, puis l?ayant enduit de vaseline, l?introduit de toute sa longueur et l?actionne comme un petit sexe, comme mon sexe dans le cul de Doris. Ce doigt est bientôt rejoint par un deuxième puis un troisième qui me distendent l?anneau et me sodomisent lentement, tendrement, augmentant mon plaisir puis se retirent.. Michèle debout à côté de moi me tend ses lèvres que j?embrasse tout en continuant mon va et viens dans Doris. C?est alors que je sens un objet chaud et dur voulant s?introduire dans mon cul, à la place de ses doigts. Michèle serre son corps contre le mien et me dit : ? C?est Alain qui vient de rentrer. Il nous regarde depuis un quart d?heure et il aime les hommes. Laisse-le faire, donne lui ce plaisir comme nous t?en avons donné. ? Debout derrière Doris, dans Doris, je sens la bitte d?Alain à l?entrée de mon cul. La douce pression qu?il exerce et venant en opposition de mes mouvements avec Doris font que sa bitte gagne du terrain, son gland est bientôt dans mon conduit puis d?une poussée continue, il s?enfonce en moi et se synchronise à nos mouvements. Sa bitte coulisse en moi, sans douleur et de nouvelles sensations se développent , exacerbant mon plaisir, m?entraînant irrémédiablement vers une jouissance plus intense. Devant mes assauts conjugués à ceux d?Alain, Doris donne libre cours à sa jouissance et s?écroule sur le canapé, m?entraînant dans sa chute et sa jouissance. Provoque en moi une vague de plaisir qui me submerge, me transcendante puis m?anéantit. Je lâche giclée après giclée mon sperme dans son ventre et me trouve à mon tour inondé par Alain qui, ne pouvant se retenir, lâche son foutre à jets continus dans mes entrailles. Reprenant conscience après quelques minutes, je me sépare de Doris dans laquelle j?étais toujours emmanché. Elle se retourne et me prend dans ses bras : ? C?est une première expérience ! tu sais, il n?y a pas de mal à se faire enculer, ce n?est pas pour çà que tu es pédé si c?est ce qui t?inquiète. Tu aimes les femmes et je crois que tu les aimeras toujours. Un pédé ne peut jouir qu?avec un homme et ne touche pas une femme. Tu aimes regarder deux femmes se faire l?amour, se caresser, se lécher le clitoris. Ce n?est pas pour cela que ce sont des gouines. Moi, j?adore que Michèle me caresse, me suce, me lèche, elle connaît toutes les zones sensibles de mon corps puisqu?elle est faite comme moi, elle est plus douce qu?un homme, les femmes ont une langue plus pointue qui leur permettent de mieux lécher les replis d?un sexe féminin. Rien n?est sale dans l?amour, rien ne devrait être interdit si ce n?est le sadisme, quoique certains aiment cette pratique mais qu?ils restent entre eux et entre adultes consentants. De même, si un homme te suce la queue, tu éprouveras des sensations qu?aucune femme ne te fera ressentir parce que lui sait ce qu?il ressent, ce qu?il aime. ? Michèle et Alain sont là, dans les bras l?un de l?autre et écoutent. Doris. Alain , qui n?a rien d?efféminé me dit : ? Je m?excuse d?être rentré à l?improviste mais un de mes rendez-vous a été décommandé. Ca fait environ une heure que je vous regarde et vous m?avez donné des envies. Sur ce, Michèle est sortie et m?a découvert . Elle a insisté pour que je vous rejoigne. J?espère que tu ne m?en voudras pas pour ce que je t?ai fait. Tu peux me rendre la pareille si tu le désires. Tu dois aussi penser que je suis bien complaisant de te laisser baiser ma femme. Considère cela comme un acte d?amour envers elle. Crois-tu que tu tiendras le coup lorsque tu seras marié avec toutes ces belles filles autour de toi. Pour elle, c?est la même chose. Je l?aime, pourquoi la priver d?un plaisir qui, si je lui refuse, la rendra amère. Nous faisons cela en toute conscience tout comme Doris et son mari. Michèle m?avait dit que tu devais être là ce soir lorsque je lui ai téléphoné cet après midi. J?espère que cette soirée t?aura fait plaisir et que tu garderas un bon souvenir de Tanger. Je crois que vous partez bientôt ? ? Je vous remercie pour votre accueil et tout ce que vous avez fait pour moi. Nous partons dans deux jours mais ce soir je suis de permanence et je ne peux pas sortir. Demain j?ai promis ma soirée à Claudine ? ? Venez tous les deux si vous le désirez. Claudine fait partie de notre groupe et participe souvent à nos fiestas bien qu?elle préfère les femmes depuis son divorce. C?est d?ailleurs très rare qu?un homme puisse la prendre. Je suis étonné qu?elle t?ai invité une deuxième soirée. ? Michèle dit : ? Je ne te l?ai pas dit au téléphone mais je crois que Claudine est amoureuse. Je lui téléphonerai dés qu?elle sera rentrée et si elle est d?accord, j?organiserai une petite fête. ? ? D?accord, je me rangerai à l?avis de Claudine ? ? Venez, dit Michèle, on va prendre une petite douche et boire un verre ? Nous retournons à la piscine ou il est plus facile de se doucher à plusieurs et après celle-ci nous plongeons tous dans le bassin à jouer au dauphin. Après un quart d?heure de jeu, nous sortons de l?eau et allons nous étendre sur les matelas qui jonchent la plage et que nous regroupons pour être tous ensemble. Michèle apporte une autre bouteille de champagne, des verres, des victuailles et nous reprenons des forces. Je regarde la pendule accrochée au mur, il est deux heures, la nuit sera courte et la journée difficile mais tant pis, vive le plaisir. Après une demi-heure consacrée à boire et manger, les deux femmes qui se trouvent côte à côte se resserrent l?une contre l?autre et échangent caresses et baisers. Alain et moi les regardons et le spectacle qui ne manque pas de piquant commence à agir sur nos anatomies. Je m?approche pour les rejoindre mais elles me font comprendre qu?elles désirent rester entre elles. Nous ne devons que regarder. Alain se glisse alors vers moi et me prenant la queue dans sa main la dirige vers sa bouche et me fait une fellation.. Gêné, je le laisse faire et bientôt sa caresse buccale me procure des sensations que je n?avais jamais ressentie. Sauter le pas , autant le faire complètement , je me tourne de façon à être tête bêche avec lui et lui prenant la queue dans la main ,je commence à le branler doucement. Il a un sexe plus fin et plus court que le mien tout en étant de proportions honorables. Il est doux, bien décalotté. Avançant ma bouche, je lui lèche le gland avec ma langue, insiste sur la partie postérieure que je sais très sensible aux caresses. Son sexe frémit, se redresse et durcit plus encore, La peau est très douce, le parfum agréable, je m?aventure un petit peu plus loin en lui prenant le gland dans ma bouche, faisant tourner ma langue autour de celui-ci, puis l?enfonçant plus profondément, je mime avec celle-ci l?action d?un sexe féminin .Tout en me rendant ma caresse, Alain m?impose son rythme et les mouvements alternatifs de sa queue dans ma bouche s?amplifient, deviennent plus rapides, plus saccadés. Puis soudain il frémit, se cabre, se tétanise et sa jouissance m?inonde le palais, m?emplit la bouche d?un liquide un peu visqueux, légèrement sucré mais pas désagréable au goût. Je veux retirer ma bouche de son sexe mais il se cambre et sa main appuie sur ma tête. Les deux femmes, à côté de nous, ont interrompu leur gouinage et nous regardent. Me sentant désorienté, Michèle se sépare de son amie et vient m?embrasser à pleine bouche, recueillant sur sa langue les restes de la jouissance de son mari puis se tournant vers celui-ci, elle lui ordonne de se placer à quatre pattes sur le lit. ? Tu n?aurais pas dû lui faire cela pour la première fois, lui dit-elle, pour ta peine il va t?enculer, je sais que tu aimes cela mais il est gros et long et tu le sentiras passer ? Alain dans la position, Doris prend un tube de lubrifiant et d?un doigt, lui en enduit la corolle tandis que Michèle, me plaçant derrière lui guide ma queue et la lui introduit dans l?oeillet. Puis me poussant dans les reins, elle me fait m?enfoncer plus profondément dans ce cul d?homme, pratique que j?inaugure aujourd?hui, sous la direction de deux femmes. Alain s?active de lui même sur la hampe de ma bitte, la corolle bistre de son cul coulissant d?abord lentement puis de plus en plus vite et profondément. Doris et Michèle se sont placées juste devant nous et se branlent mutuellement le clitoris tout en nous regardant. Très excité par la situation, je sens bientôt la jouissance qui monte dans mes reins . Je me déchaîne à grands coups de bitte et bientôt, tandis qu?Alain brame de plaisir, mon sperme gicle à grands jets dans ses entrailles, me laissant vidé de toutes substances, anéanti, écroulé sur le dos de cet homme dans lequel ma queue est toujours plantée. Après avoir repris conscience, nous nous séparons et allons tous ensemble prendre une douche. Comme il est trois heures du matin, et que je dois rentrer pour sept heures Alain règle un réveil sur six heures et nous décidons de dormir un petit peu . Michèle et Alain regagnent leur chambre. Doris m?entraîne dans une chambre d?amis et se couche avec moi. Elle se love dans mes bras et bientôt son souffle régulier me fait comprendre qu?elle dort. Bien qu?excité par cette soirée inattendue, je la rejoins bientôt dans son repos. La sonnerie du réveil nous tirent trop tôt du sommeil. Michèle ouvre doucement la porte de la chambre : ? je prépare le déjeuner. Alain te reconduira au port. Vous avez un quart d?heure, profitez-en ! ? Doris qui s?est réveillée dans mes bras, comme elle s?était endormie, se coule le long de mon corps jusqu’à se que sa bouche soit à hauteur de ma bitte qu?elle avale d?un seul trait jusqu?au plus profond de sa gorge et commence une fellation douce et chaude. Je me tourne de façon à placer ma bouche entre sa fourche et ma langue va se perdre dans le cratère de sa chatte déjà dégoulinante de mouille. Je m?active sur cette moule et bientôt elle se tend, se cabre, crie et joui sans retenue. Je me retourne et plante ma queue au plus profond de son cratère en fusion. Sous mes assauts, ses cris redoublent, son corps s?agite en tout sens en proie à une frénésie sexuelle que seul, mon foutre qui gicle à grands jets au plus profond de son vagin semble calmer. Lorsque no
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