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Ma tante de 45 ans est sublime

Chapitre 6

Inceste
Nous nous regardions amoureusement ; j’annonçai à ma tante et à son bon souvenir que jeudi, j’allais avoir 19 ans.
Nous passâmes la soirée sur la terrasse, Chantal ayant pris l’habitude d’allonger ses jambes afin que je lui caresse les pieds, ce dont je ne me lassais point. Dans la conversation, il m’arrivait que je me baisse pour les embrasser ; ma tante m’observait, un peu curieuse de la situation qui, au final, ne lui déplaisait pas.
— Que voudrais-tu pour ton anniversaire ?
Elle s’était juste mis en peu de fard. Je la regardais : ma tante était hyper-sexy sans les lèvres maquillées, avec ses yeux bleus. Je fondais devant elle.
— Tu m’écoutes, Jean ?— Euh, oui. Eh bien, aucune idée.— Me voilà bien avancée... Il est 22 heures et je suis un peu fatiguée ; on va se coucher, chéri ?— Dormir avec toi, c’est une sorte de rêve éveillé, Chantal, lui dis-je en la dévorant du regard.— Wouah, quel compliment tu me fais !— Allez, je te suis, ma belle amoureuse.
Ma tante me regarda sur le moment, un peu mal à l’aise mais heureuse intérieurement.
Je m’étais installé dans le lit conjugal, quand ma tante sortit de la salle de bain avec sa petite nuisette. Elle vint se coucher près de moi, se blottissant comme si elle avait besoin de tendresse. Je l’enveloppai de mes bras, sentant la chaleur de son corps près de moi.
— J’aimerais sentir ta peau ; tu pourrais enlever cette nuisette ?— Oh, toi alors...
Elle se redressa et ôta sa nuisette. Je pus au passage admirer le buste de ma tante, sa poitrine volcanique, ses épaules frêles à souhait. Ma tante était nue près de moi, la lumière tiède de la lampe de chevet me laissait encore entrevoir ses formes. Ça recommençait dans ma tête : j’avais ma tante dans la peau ! J’avais une envie d’elle pas possible !
— Chantal, quand tu m’as dit que tu sentais que tu étais amoureuse de moi, tu étais sincère ?
— Oui, Jean. Ça m’ennuie de te l’avoir dit, mais, oui, je suis amoureuse de toi.— Viens te mettre debout sur moi...
Ma tante me fit un sourire ; elle avait très bien compris ma volonté du moment.
— C’est pas possible, tu es infatigable !— On remet à demain, si tu veux... lui dis-je en bluffant.— Ah non, Jean ! Faudrait savoir !— Comme tu insistes, ma tante, viens que je te fasse un câlin.— Tu ne manques pas de toupet !
Et Chantal s’exécuta en se posant en pauvre victime... Elle se mit debout sur le lit, puis s’agenouilla sur mon torse à la hauteur de mon cou. J’avais devant moi ma tante – enfin, sa chatte – à quelques centimètres de mon visage, et quelque chose me disait que cette jolie chatte n’aurait rien contre un peu de tendresse émanant de ma bouche.Somptueux de voir ma tante ainsi ; j’avais une vue d’elle "pyramidale" avec ses seins diaboliques.
Nous nous prîmes les mains ensemble et je l’invitai à approcher sa douce intimité plus près de mes lèvres. Je devenais "gourmand" de ma tante, ou du moins, dans l’instant présent, c’était plutôt son sexe parfaitement épilé que j’avais envie de croquer à pleines dents.
Elle avança vers moi, mes mains posées sur ses pieds de velours. Cette manière de s’approcher, la façon de l’avoir sur moi me donna l’impression qu’elle était "à moi", qu’elle "m’appartenait". Amoureuse comme elle était, je faisais d’elle ce que je voulais. Impression folle qui se concrétisa lorsqu’elle me murmura :
— Tu es mon homme ; je ferai ce que tu voudras pour que tu m’aimes.— C’est merveilleux ce que tu viens de me dire, Chantal.— Je t’aime...— Et moi je raffole de toi, ma tante chérie.
Son sexe était désormais sur mon visag; je lui caressai le bas du dos pour mieux lui saisir ses fesses à pleines mains. Elle me regardait à son tour fixement tandis que mes lèvres et ma langue s’activaient sur son sexe tout entier ; je lui bouffais littéralement la chatte. Elle mouillait comme une folle, ne sachant que faire de ses mains, sinon me les passer dans les cheveux. Elle s’agitait sur moi, oscillant avec son bassin pour mieux se faire baiser sa belle chatte. J’aurais pu passer la nuit entière à la lécher !
Elle prit l’initiative de se reculer, m’embrassant au passage pour mieux se positionner sur ma verge tendue à l’extrême : Chantal avait pris les commandes ; c’est elle qui dorénavant était devenue "la chef".
Inutile de préciser qu’elle "glissa" en moi sans aucune difficulté. La chaleur de son sexe était redoutable ; je baladais mes mains sur l’ensemble de son corps. Je sentais en moi, tout en regardant Chantal, que le plaisir se faisait de plus en plus intense de par les mouvements savants de son bassin. Elle me fit des clins d’œil, me signifiant qu’elle aussi prenait son pied avec son neveu à elle.
— Tu aimes, mon amour ? me demanda-t-elle tout en gesticulant sur moi.— C’est charmant, ma chérie !— Alors on aime ce que te fait ta Tatie ?— Ma Tatie, comme tu dis, est une femme d’exception.— Tu aimes me sentir en toi, Jean ?— Aaah oui ma Chantal...
Puis mes mains se crispèrent sur les cuisses de ma tante chérie et je sentis cette pression en moi se déverser en elle. Chantal s’agita de plus belle, folle de plaisir, ivre de la chaleur qu’elle ressentait au plus profond d’elle-même. Cette chaleur que je lui délivrais, que je lui transmettais la rendit encore plus belle. J’eus cette impression furtive que je "remplissais" le corps de ma tante bien ancrée sur moi.
— Oh ouiii... Cette fois tu y es, mon chéri !— Oui! Tu es à moi, tu es ma chose, ma Chantal, ma tante que je baise !— Oui, Jean... Tu me baises comme un dieu !— Je suis ton dieu !— Oooh ouiii : mon dieu fait pour moi.
On était comme des fous ! Elle frissonnait de l’extrême jouissance ressentie.Épuisée de plaisir, Chantal s’affala sur moi mais resta encore en moi et me dit ces mots :
— Chéri, je dois te l’avouer : j’ai jamais connu ça, tant physiquement que sur le plan émotionnel.— T’es une partenaire de rêve, ou mieux, LA partenaire dont j’ai rêvé.— Tu es un neveu de rêve, mon homme qui me fait jouir comme aucune autre.— Tu es celle avec qui je fais "nos nuits"...— T’es mon neveu adoré, et peu importe si je suis ta tante !— Je savais que ce serait grandiose entre nous : tu m’affoles rien qu’en te regardant.— Ouiii, tu me fais l’amour avec tellement de douceur et de sensualité pour ton âge... T’es au-dessus de tout ce que j’ai connu.
Encore une fois, je lui dis :— La vache, tu m’as dans la peau !— Si tu avais 20 ans de plus, je te dirai que tu es l’homme de ma vie.— Eh bien malgré tes 45 ans, j’ai l’impression d’être avec la femme qui me ferait des enfants.— Tu dis des bêtises...
Chantal s’approcha de moi. Je regardais le visage de Chantal, les yeux fermés, sa bouche ouverte pour mieux y coller la mienne. Elle était comme d’un autre monde. Chantal m’embrassait amoureusement, goulûment, nos langues s’entremêlaient avec une harmonie telle que je pensais réellement que ma tante était vraiment faite pour moi : elle devinait mes désirs, je devinais les siens.
Ma tante me lança un sourire contemplatif, devant son neveu qui, pour ce soir, était son homme à elle. Chantal me caressa machinalement le torse, comme apaisée par cette soirée un peu folle. Elle était câline à souhait, apaisée de s’être fait baiser une fois encore par son jeune neveu plein de fougue.Le calme revint... enfin. Nous pouvions ainsi nous endormir l’un contre l’autre.
Le lendemain, nous étions mercredi ; une journée banale sur le plan professionnel, mais sur le plan sentimental, voire sexuel – n’ayons plus peur des mots – ce fut comme d’habitude.J’en oublie les superlatifs...
Mais nous arrivions à cette journée de jeudi, jour de mon anniversaire. Qu’avait donc pu me préparer ma tante ? Un dessous sexy ? Un strip-tease ?La question restait posée.
JEUDI 
Nous étions en Angleterre, ne l’oublions pas et la pluie tombait ce matin de septembre. Chantal se réveilla en premier.Je descendis après ma douche toujours en caleçon, torse nu.Elle prenait son café dans la cuisine, tournant machinalement sa cuillère dans son bol, l’air pensive. Quand ma tante me vit, elle me fit un sourire tout en finissant son petit-déjeuner. Je la vis fatiguée, du fait de nos ébats incessants de ces derniers jours. Quelques cernes étaient apparues sous ses yeux, cela renforça le charme émanant de son visage.
— Bon anniversaire !— Merci ! ..... Alors bien dormi Tatie ? 
Elle pouffa de rire.
— Tu veux savoir si j’ai récupéré d’hier ? — Oh tu m’as l’air en pleine forme Tatie ! — Approche et viens dire bonjour à ta tante !
Évidemment, je m’approchai de Chantal pour comme on dit se rouler une pelle mémorable. Elle colla ses lèvres aux miennes tout en étant assise, me maintenant contre elle avec sa main posée sur ma nuque. Évidemment, ma tante n’avait que sa robe de chambre sur elle. Sa robe entrouverte me procurait une excitation "visible", ma tante le savait très bien, elle connaissait ses nombreux atouts. Les jambes croisées, elle avait un de ses pieds sans mule, il était ainsi mis en valeur, c’était fort excitant de voir une femme avec des pieds si fins (oui il y a répétition sur les pieds, mais force est d’avouer que cela devient une véritable obsession, de voir d’aussi jolis pieds chez une femme).
— Eh oui ma tante, tu me fais toujours autant d’effet ! 
Dans la foulée, je me baissai, saisis son pied. Je le caressai sous le regard de ma tante, qui désormais en avait l’habitude. Je le couvris de baisers et le portai à mes lèvres. Avec ma langue, je suçai la pointe de ses orteils aux ongles bien coupés, je sentis que Chantal y prenait goût. Comme j’aimai les pieds de ma tante.Je me redressai pour saisir ma tasse.
— Tatie, c’est mon anniversaire non ? 
Ma tante fit un grand sourire en hochant de l’œil. Puis je me mis en face de Chantal et baissai mon caleçon, ma verge tendue à la hauteur de son visage.Comme dit auparavant, ma tante était folle de ma verge, son visage s’illumina à la vue de mon appareil bien portant (!). Elle me regarda, esquissant un sourire.
— Ah, c’est déjà l’heure des cadeaux, tu ne me laisses guère le choix ! — Non, mais tu peux goûter.— Jean, comme tu es en forme, Tatie va te faire du bien mon chéri.
Elle approcha sa bouche de mon sexe tendu et sans aucuns préliminaires, elle le porta à ses lèvres. Ma tante le glissa dans sa bouche et commença à me prendre les bourses avec sa main !La pluie continuait de tomber faisant du bruit contre les carreaux de la fenêtre, cela donnait une ambiance bien morne, face au spectacle que m’offrait ma tante.
Elle était diabolique d’imagination !Chantal me suçait sans relâche avec l’agilité de sa langue qui, de manière habile, tourbillonnait autour de mon sexe si précieux, enfoui dans sa bouche comme un coffre-fort. La journée commençait très bien, moi étant debout dans la cuisine avec ma tante, assise, en train de me sucer le gland sans relâche. Ma tante se prit au jeu d’hier, en parlant à mon sexe, son fameux bébé (!).
— Tu aimes ce que tu fais ... pas vrai ? — Oui Jean, bon maman va s’occuper de nouveau de toi, comme tu es beau mon bébé ce matin, gros et fort ! maman va te donner ta tétée 
Après ces mots, ma tante ouvrit sa bouche et enfouit mon sexe à l’intérieur. Une bouffée de chaleur envahit mon sexe qui tournoyait dans la bouche de Chantal, grâce à l’habileté de sa langue experte. Je lui passai les mains dans ses cheveux, je lui pris la tête pour l’inciter à aller plus profondément. Elle me fit TOUT. Tout ce que je voulus.
Ma tante me tenait par les hanches, elle avait accéléré et ses mouvements de va et vient avec sa tête devenaient incessants. Tel un métronome, Chantal aspirait mon sexe pour mieux le faire ressortir de sa bouche, avec en prime, ses lèvres somptueuses qui touchaient mon sexe une fois sorti.Sublime.
Ses lèvres papillonnaient autour de ma verge avec une multitude de baisers langoureux. Voir les belles lèvres de ma tante contre mon gland me donnait la chair de poule. Et de plus, elle gardait ses lèvres au bout de mon sexe en pratiquant une succion sur mon méat, avec la pointe de sa langue.Grandiose.
Chantal se mit à me lécher mes parties intimes et là, il faut admettre que ce fut "la fin du monde". Comme une preuve d’amour ma tante, à l’aide de sa langue,me lapait littéralement mes couilles. Cela peut paraître quelque peu vulgaire, mais cette manière n’est pas dénuée de charme, quand on s’y prend avec la passion qui l’habitait. Ma tante voulait me faire plaisir à tout prix.
— C’est ton premier cadeau d’anniversaire de la journée !        — Hum continue ma Tatie ...
La saveur de la bouche de ma tante commençait à avoir raison de moi. Je n’en pouvais plus face à ses coups de langue ravageurs de plaisir, le début de mes crispations se faisaient naître.
— Je crois que ma récompense arrive ! dit-elle entre deux coups de langue.
Ma tante me suçait lentement puis se mit à l’arrêt, elle me procurait du plaisir avec juste sa main, branlant mon sexe prêt à exploser de bonheur. Elle continuait les yeux fermés, la bouche ouverte avec la langue tirée, en attente d’accueillir ma semence.
— Allez mon bébé, fais comme hier ! Maman t’a mis au fond de sa bouche, tu as bien joué avec les lèvres de maman ... maintenant montre à maman comme tu l’aimes, donne lui ce qu’elle attend.— Ah ouiiiiiii trop bon ! - dis-je en forme de reconnaissance face à la jouissance ultime procurée ma charmante Chantal.— C’est bien mon bébé, donne encore que maman avale ton jus tout chaud.
Mes jets successifs éclaboussèrent le doux visage de ma tante qui, avec sa langue, récupéra le précieux jus pour en avaler une bonne gorgée. Elle s’essuya une partie du visage avec une serviette à ses côtés, puis rattrapa mon sexe dans la foulée.
— Le petit cochon ! Tu en as mis sur le visage de ta maman, je te pardonne et continue, ton jus est si bon, si chaud, maman avale tout de toi mon bébé.
Elle le remit en bouche pour "pomper" les dernières saccades. J’avais la tête de Chantal dans mes mains et je la collais contre moi, pour qu’elle continue à m’aspirer tout au fond de sa somptueuse bouche. Ma tante me suçait avec frénésie, bien décidée à ne rien perdre, ne fut-ce qu’une goutte. C’était un délice "d’être" dans la bouche de ma tante, avec sa langue qui festoyait autour de mon gland.
— T’es purement géniale Chantal ...!— Je sais, t’arrête pas de me le dire, laisse-moi encore mon bébé.
Ma tante, dans un ultime geste, m’aspira une nouvelle fois, pour mieux glisser hors de sa bouche et finir par un "câlin" avec ses lèvres pulpeuses, qui embrassèrent une dernière fois l’objet du délit. Je fus vidé sur le plan émotionnel ... et physique. Chantal se leva et me dit qu’elle allait prendre une bonne douche.
— Chéri, on se retrouve au bureau ?— Oui ma Chantal .
Ma tante prit l’escalier en me faisant ses yeux de biche. Ce fut pour mieux me faire comprendre, que les "cadeaux" n’étaient pas finis pour la journée ... Je quittai la coquette demeure de ma tante, un brin heureux (!).
J’arrivai au bureau à 8h comme d’habitude. La pluie continua son bruit incessant. Nous discutâmes entre collègues, personne ne fut au courant de mon anniversaire. Je les entendis parler de leur long week-end.Un long week-end ? aussi je demandai plus d’informations, et un de mes collègues me parla de "boxing day" pour l’entreprise, signifiant "jours fériés". En effet, l’entreprise de ma tante étant une filiale d’un groupe américain, aux USA, le 9 août était férié, jour de création de la boite aux states.
Donc demain, repos !Je me dis dans la tête, un cadeau de plus : une journée entière avec ma tante.
8h30, j’entendis le claquement de la porte de son bureau, preuve qu’elle venait d’arriver.Il y avait un arrêté des comptes (terme de comptabilité) et ma tante avec plusieurs experts dans son bureau, préparait les documents nécessaires. Je ne la vis point de la journée. Elle fit me dit-on, une pause de 30mn pour déjeuner, puis ils reprirent le travail toute l’après-midi. Exceptionnellement ce jour-là, nous fûmes autorisés à quitter les bureaux pour 16h. Ce que je ne fis pas bien évidemment.
Le temps passa puis vers 17h30, deux types en costard-cravate sortirent du bureau de ma tante. Les bureaux s’étaient vidés, j’entrai dans le bureau de ma tante. Je la vis, la tête penchée dans ses dossiers avec des lunettes sur le bout du nez.
— Wouah Chantal, ça te va super bien les lunettes !— Ca me donne un coup de vieux tu veux dire.— Tu peux dire n’importe quoi mais pour le coup de vieux, il faudra repasser ! 
Ma tante visiblement émue se leva et prit ses affaires.
— Bon Jean, c’est tout pour aujourd’hui ! — Je te rejoins chez toi ? — Mais avec plaisir mon neveu, viens pour 19 h, le temps que je prépare ta surprise ...
Je lui fis un clin d’œil suivit d’un baiser. La fin de la semaine approchait et l’idée que Andrew serait de retour me trottait dans la tête.
Je chassai cette pensée et me concentrai sur ce soir.A 19h, ayant en fin un double des clés, j’ouvris la porte d’entrée de la charmante demeure de ma tante. Dans le living, une table dressée, avec deux bougies en guise d’éclairage procuraient une ambiance feutrée. Le four de la cuisine était allumé avec deux flutes à champagne sur un plateau, que je m’empressai d’amener dans le salon.
J’entendis les bruits des marches de l’escalier, ma tante arriva. Habillée en robe du soir noir avec un beau décolleté, Tatie avait une allure peu ordinaire. Maquillée comme il se doit, elle sentait bigrement bon, elle s’était mis un rouge à lèvres très léger, sa coiffure avec une frange et ses cheveux blonds mi- longs lui donnait un charme irrésistible. Avec des escarpins noirs à talon, je craquai littéralement devant la beauté de ma tante. Elle s’approcha sûre de son effet, effet qui se traduisit par une poussée "hormonale" de ma part.
— Tu es resplendissante ! — Merci ! Tu as sorti les flutes ...— Oui ma tante ! " puis, verre en main, nous trinquâmes à mon avenir.
Ma tante s’éclipsa pour revenir avec un paquet en main, je m’empressai de l’ouvrir toute en la remerciant.
— Du parfum ! — Oui mon chéri et j’aimerais que tu en mettes pour savoir quel effet ça fait.Sur ces paroles, j’en vaporisai dans le cou.— Alors ? 
Chantal approcha et en humant, elle me fit un baiser sur avec ses lèvres tièdes.
— Je te trouve très à mon goût.— Gourmande !— Oh je peux faire un compliment à mon neveu.
Je la regardai, du haut de son mètre 70 avec ses escarpins qui mettaient en valeur la finesse de ses jambes. Dans l’instant de ce baiser, je m’aperçus que ma tante ne portait pas de soutien-gorge et j’en déduisis que pour le bas, ce devait être la même chose ...
— Merci ma Tatie à moi et tant mieux si je te plais ! — Chaque jour qui passe avec toi me remplit de joie.
Je regardai ma tante et finis par lui dire ce qui me trottait dans la tête.
— Mais comment fais-tu pour avoir un corps aussi parfait ? — Un corps parfait ! Toi tu exagères ... je fais du stretching dans ma salle de sport, je muscle mes fessiers si tu veux savoir.— Eh bien ma tante, le résultat est devant moi, tu as 45 ans et tu en parais 30 ! — Oh je crois bien l’avoir déjà entendu.— En tout cas ma tante, je peux te dire que tu as un cul d’enfer !— Oui bon, tu le connais bien je crois ... allez on se met à table - me dit-elle visiblement gênée.
Nos flûtes vidées, Chantal se dirigea vers la cuisine pour revenir avec une entrée au foie gras, tout ce que j’aime. Nous mangeâmes par la suite un suprême de volaille délicieux. Quelques framboises pour terminer en guise de gâteau d’anniversaire firent l’affaire.
Puis curieusement, dans notre conversation, Chantal se mit à dévier sur notre relation.
— Tu sais Jean, j’y pense depuis un bout de temps, tu viens d’avoir 19 ans et moi 45, ok je te plais mais Andrew rentre samedi.— Oui tu me plais et tu sais bien que notre différence me plaît, j’aime connaître une femme comme toi, une vraie femme.— C’est beau ce que tu me dis et toi aussi tu me plais malgré tes 19 ans ... et en plus t’es bien foutu !— Ca me gêne de te le dire, mais tu te rappelles quand je t’ai mis de la crème à bronzer il y a 4 ans ? — Je m’en rappelle très bien, tu ne me mettais pas de la crème, tu me caressais en fait ! ... et j’étais loin de penser que nous allions faire toutes ces choses ensemble.— Oui ma Tatie ! et ne pense plus à Andrew.          
Je m’assis sur le canapé, ma tante restant debout devant moi, très câline dans sa position.
— Alors ma tante et cette surprise ? Chantal souleva sa robe jusqu’à la taille.— La voilà ta surprise mon cher neveu ! 
Ma tante était nue sous sa robe.Je pouvais admirer sa superbe chatte bien épilée, un véritable modèle à peindre pour Gourbet. " L’origine du monde " était devant moi ... en moins touffu.
Il restait du champagne, je pris nos deux flûtes et en proposai à ma tante. Elle but d’une seule traite son verre. Ma tante était en forme !
— Alors, que veux-tu que je fasse maintenant ? — Ce soir, tu es comme ma femme.— Oui je suis ta femme ! — Tu aimes les caresses ?— Oh oui Jean, avec toi tu peux me caresser des heures.
Je me levai et pris ma tante par la main tout en la déshabillant. Je l’allongeai avec soin sur le canapé et je me mis assis à l’extrémité. Ma tante était nue, les jambes repliées vers elle, me regardant en souriant, se demandant à quelle sauce elle allait se faire sauter, enfin manger ( !). Elle me faisait ses yeux à elle, remplis de l’amour d’une tante pour son neveu. Cela se vit dans son expression.
— Écarte bien tes jambes et masturbe-toi pour moi.— Qu’est-ce qui te prend ? Tu es fou !— Allez Tatie, c’est mon anniversaire.— Mais c’est très gênant, je n’ai jamais fait ça devant personne, pas même devant mon mari ! 
Je commençai à lui caresser ses pieds toujours aussi sublimes, tout en remontant entre ses cuisses.
— Fais-le ma belle Tatie ! — Jean, ça me gêne vraiment ! — Tout ça reste entre nous, c’est merveilleux de le faire, ça renforce notre complicité.— Je ne sais plus quoi penser.
Ma tante était en pleine hésitation. Je sentais une gêne réelle de sa part, si elle le faisait, elle allait me livrer une part de son intimité.
Je pris sa main, la mis dans ma bouche afin qu’elle suce ses doigts, ma tante en ferma les yeux. Avec une infinie délicatesse, je portai sa main vers sa douce intimité. Elle posa ses doigts couverts de ma salive suave, sur la douceur de ses lèvres intimes. Comme au ralenti, elle entra son majeur dans son orifice si précieux, puis sans se soucier de ma présence, elle se laissa aller en pratiquant un doigté à sa manière. Elle ouvrait les jambes de plus en plus, tout en s’allongeant à sa guise. Elle rouvrit les yeux, visiblement horriblement gênée de cette situation.
— Jean, tu me fais faire des choses inimaginables, tu oublies que je reste ta tante !— J’aime te voir ainsi, continue à te donner du plaisir.— Jean, tu exagères, je suis horriblement mal à l’aise.— Continue Chantal, j’adore te voir.
Ma tante continua sa masturbation. Force est d’avouer que je scrutai sa façon de faire, dans le but de répéter ses gestes pour la faire jouir à sa façon. À vrai dire, ma tante n’était pas la seule à se donner du plaisir, de mon côté, la voir ainsi me produisit une irrésistible érection. C’est qu’elle y prenait goût et la voir la rendait fort désirable. J’avais ôté mon pantalon et ma tante en avait profitait pour glisser ses pieds sous mes cuisses. Les pieds de ma tante, comme déjà dit, me procuraient une sensation extrême. 
Chantal avait désormais deux de ses doigts introduits dans son sexe, elle se donnait du plaisir sans pudeur. Elle ouvrit les yeux comme si elle était ailleurs. Nous nous regardions avec une complicité rarement atteinte. Ma tante se masturbait devant moi, je vis qu’elle était dans un état second.
— Viens mon neveu chéri, viens me pénétrer ...— Pas si vite ma belle !— Alors viens me lécher mon chéri !
Ma tante, avec ses seins en forme de poire aux tétons durcis, écarta ses cuisses pour laisser apparaître sa chatte béante. Elle s’offrait à moi oubliant que j’étais son neveu.
— Putain Chantal ! Comme tu es bandante !!— Alors viens me baiser...
Je ne reconnaissais plus ma tante. Elle, si réservée, m’offrait son sexe en continuant de se caresser !
— Allez mon neveu, viens baiser ta tante !          
Je me levai dans l’instant, me débarrassant de mes vêtements. Ma tante me regardait avec un air admiratif tout en continuant à se doigter.
— Que tu es beau et dire que je me fais baiser par un môme de 19 ans ! — Et il te plaît le môme ? — Oh ouiii ce môme me fait jouir avec une telle facilité ! Parfois, j’ai l’impression qu’il sait ce que je veux au bon moment ! — t’as une chatte à bouffer, tu le sais ? — Je sais que tu aimes bien y mettre ton sexe mon neveu ".— Pour ton grand plus plaisir ma tante chérie .— Ouiii ... 
Ma tante avait une peau très blanche, ça la rendait si excitante, je bandai comme un turc.
— Que tu es gros ! — Je ne suis qu’un môme comme tu dis.— Que tu es bête, allez viens me pénétrer, viens dans la chaleur de ta Tatie.
Chantal écarta un peu plus ses jambes magnifiques, pour me signifier qu’elle était en attente de se faire prendre.
Quelle vision de voir ma tante attendre de se faire pénétrer par son jeune neveu (!). L’idée de la lécher fut vite oubliée, je souris et approchai mon sexe de la chatte de ma Chantal, toute brûlante, toute mouillée, toute ouverte pour se faire introduire mon membre. Je commençai à avoir mes habitudes avec elle, je la pris doucement par les hanches pour la pénétrer lentement, par des mouvements légers. La chaleur de son corps embrasa mon sexe, parcourut mon torse et arriva dans mes neurones. Je n’étais pas loin du paradis ... J’arrivai au bout de son antre enchanteresse. Chantal ne put se contenir à ce moment.
— Oh oui mon chéri, que c’est bon avec toi.
Ces mots sortaient de sa bouche comme un soulagement, comme une réponse à une attente du plaisir qu’elle voulait recevoir. Je pénétrai ma tante comme le jeune mâle qu’elle était en droit d’attendre. Elle qui s’était masturbée devant moi, qui avait ouvert sa part d’intimité secrète, qui attendait le plaisir de se faire prendre par son jeune neveu, arrivait enfin à ses fins.
— Ne t’arrête plus maintenant !
J’accélérai le rythme de plus belle, ce furent des véritables coups de boutoirs que recevaient Chantal. Je la défonçai littéralement !
— Comme je suis heureuse de te sentir enfin en moi.— C’est pas fini Chantal !! ".— Ouiiii, tu me baises toujours aussi bien !
Elle transpirait, me serrait contre elle. Elle n’avait plus cette volonté ou cette force de contracter son vagin. Elle se libérait totalement sous mes coups de reins incessants.
— Tu aimes te faire baiser par ton neveu ?— Oui j’aime follement avec toi, tu sais me faire jouir à la perfection mon amour.
Ma respiration se fit plus dense, Chantal sentit que j’allais jouir en elle, aussi elle me serra encore plus fort. C’en était trop, sa bouche, ses cuisses, ses seins, la chaleur de son sexe ...
— Oh oui c’est trop bon de te baiser ma tante ! — Défonce moi ! — T’es trop bonne, j’explose.— Je te sens en moi, tu me baises si fort.
Je jouis en force dans ma tante, j’inondai tout son bas ventre, je laissai une partie de moi en elle, je lui donnai tout mon plaisir. Je me libérai en elle autant physiquement que sentimentalement. C’était ma nana que je sautais, brutalement, amoureusement. Je venais de remplir d’étoiles ma tante tremblante et je m’effondrai, brûlé d’amour, le cœur en cendres ...
— Chantal ! C’est toujours génial avec toi !— Oui purement génial nous deux, y a rien à dire.
Je transpirais comme un bœuf, je n’en pouvais plus. Notre "accouplement" avait été bestial. Je commençai à me retirer et je sentis Chantal s’agripper à moi.
— Non reste encore ... - dit-elle d’une voix si douce.
En bon neveu, je restai à "l’intérieur" de ma tante, je "flottai" en elle. Ce fut l’instant où je me mis à penser que j’étais en train de baiser ma tante, celle qui m’avait tant fait fantasmer étant adolescent. Désormais elle avait les cuisses ouvertes et je la baisais allègrement. Sans vulgarité aucune, je me suis dit - putain ! J’y suis-. Alors ? ... Fantastique, grandiose, sublime voire génial. Non, ça dépassait mon imagination, c’était plus que tous ces mots rassemblés. 
Elle me regarda d’une façon émerveillée. Nous restâmes un long moment, sentant le souffle de l’autre. Je fis quelques mouvements, Chantal gémit accompagné de " que c’est bon ... ". Puis exténuée, ma tante me fit comprendre qu’il fallut se reposer. Toutes les bonnes choses ont une fin ! Nous nous assîmes côte à côte, moi caressant le dos de ma tante, elle me caressant la cuisse. J’allumai une cigarette, ma tante en prit une également, comme de vieux amants.
" Bien sur nous eûmes des orages ...Mais mon amour, Mon doux, mon tendre, mon merveilleux amour ... je t’aime ".
Repus de plaisir l’un et l’autre, nous engageâmes une conversation sur notre avenir.
— Dire que tu baises la sœur de ta mère ! Si elle savait !— Chantal, Andrew rentre samedi, il va falloir être prudent ...— Ne plus te voir le soir, dormir ensemble, tout ça va me manquer.— Écoute, nous sommes jeudi soir et demain, nous avons toute la journée pour nous deux.— Oui tu as raison mon neveu à moi.
Ma tante devenait vite mélancolique.
— Embrasse moi.
J’attrapai ses lèvres douces et l’embrassai avec tendresse. Notre folie sexuelle bestiale faisant partie du passé.
Je contemplai ma tante, en me disant que j’allai à nouveau passer une nuit entière à ses côtés, sentir la chaleur de sa peau si douce, pouvoir la caresser nue sous les draps. Je vivais mon fantasme, je le réalisais sans le lui dire. Dormir, me réveiller avec une femme mûre, super bien foutue, qui l’eut cru ?Bref, une femme qui me plaisait bien qu’elle fut ma tante, ce qui au profond de mon inconscient m’excitait follement.
Quel bonheur de vivre...
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