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Ma tante de 45 ans est sublime

Chapitre 13

Inceste
Les semaines de septembre passèrent de manière inutile. Ma tante ne donna aucune nouvelle. Ma mère s’inquiéta de ma tristesse. Elle vint me voir dans ma chambre.
— C’est ta petite stagiaire qui te rend triste ?— Oui maman, un peu...— Tu sais Chantal va organiser son anniversaire pour ses 40 ans...euh 45 !— Qu’as-tu dit ??— Je me suis trompée ; Écoute, maintenant tu es grand et tu es en âge de comprendre. Mike a 23, elle l’a eu très jeune. Andrew n’est pas son vrai père et vis à vis de l’entourage, on a toujours dit qu’elle avait 5 ans de plus. Ton père est fils unique et moi je n’ai qu’une sœur donc notre famille n’est pas nombreuse. Il n’y a que toi dorénavant qui est au courant et forcément tes grands-parents sauf tous nos proches.— Ah je comprends, alors officiellement elle fête quoi, 40 ou 45 ?— 45 ans !— Eh ben, quelle histoire, c’est incroyable ; elle a rajeuni de 5 ans !— Oh Jean, c’est facile à comprendre quand même.— Donc elle fête ses 40 ans et c’est quand ?— La semaine prochaine et tu viendras j’espère.— Bien sûr, elle a été super cool avec moi.— Ah tu l’aimes ta Tatie !
Ma mère me dit cela sur un ton bien maternel. J’avoue que l’idée de savoir ma tante rajeunir de 5 ans me plut assez sur le moment. Je ne lui en voulus point de n’avoir rien dit. Puis ma mère rajouta la phrase du bonheur.
— Jean, tu révises depuis 2 semaines, tu pourrais aller voir ta petite copine deux jours avant l’anniversaire de ta tante et on te rejoint.— Oui mais elle habite chez ses parents.— J’en ai parlé à ta tante, tu resteras pour dormir chez elle et tu pourras lui tenir compagnie car Andrew est à nouveau en maison de repos.— Ah oui l’infirmière !— Tu es au courant ?— Oui Chantal me l’a dit, ce type est décevant.— Eh oui, ce sont les hommes. Jean, ta tante est déprimée et je compte sur toi pour lui remonter le moral.
— Ne te fais pas de soucis maman.— Dans ce cas, tu pars jeudi, elle fête son anniversaire samedi.— D’ac’ !— Je prépare tes affaires.
Je ne sus par quel enchantement le ciel devint bleu... Une joie intérieure m’habita soudainement, mon cœur accéléra ses battements.J’allais revoir ma tante, ma belle maitresse adorée. Celle qui déambulait sur la terrasse avec son fabuleux bikini, celle dont j’étais secrètement amoureux même si elle était ma tante âgée désormais de 40 ans. Wouah me dis-je, nous avions donc pratiquement 20 d’écart. Un gouffre ? Certainement pas. 
Jeudi matin, ma mère m’emmena Gare du Nord. Elle me donna quelques conseils pour remonter le moral à sa sœur. Je l’écoutai silencieusement. Durant le trajet, mes pensées se perdirent dans des fantasmes avec ma partenaire absente depuis près de 3 semaines. Ma libido en avait pris un coup, nul plaisir en solitaire durant ce laps de temps.
J’arrivai au London St Pancras International, bref la gare. Je fis quelques pas et la vis au loin me cherchant du regard.Ma tante était rayonnante avec un ensemble couleur ivoire et chemisier blanc. Elle l’aurait fait exprès pour m’exciter, elle ne s’y serait pas prise autrement.
— Bonjour Chantal.— Ah je ne t’avais pas vu ! Bonjour Jean.
Nous nous fîmes la bise, précaution oblige. Ma tante me proposa en chemin de prendre un pot dans un salon de thé situé dans un parc. L’endroit fut magnifique. 
Sur le chemin menant au salon, entre deux allées je pris ma tante par la taille, elle m’offrit ses lèvres tout naturellement. Je goûtai à nouveau aux délices intérieurs de sa bouche somptueuse. Chantal me caressa la nuque tandis que je la serrai contre moi. Notre baiser fut court et me fit un effet immédiat. Nous nous arrêtâmes d’un commun accord et nous allâmes nous installer. Tandis que je terminai mon café, j’entamai la conversation sur ce fameux mensonge.
— Pourquoi tu ne m’as rien dit sur ton âge ?— Quelle importance... — Alors ma tante a 40 ans, enfin presque !— Eh oui et cette fois-ci, c’est vrai.— Mais tu es une jeunette, on a 20 ans d’écart.— C’est énorme entre une femme et un homme plus jeune dans notre cas.— Oui enfin avec toi...c’est différent. Et il faut que je te fasse un cadeau.— En quoi est-ce différent ?— Tu en parais 30 et on m’a plusieurs fois pris pour ton frère ou ton ami.— Tiens donc ! On te prend pour mon frère...— Forcément, tu en parais 30 et moi et mes amis me donnent 25 ans, donc...— Jean, on ne va pas vivre ensemble ?— Dans nos rêves ma tante à moi.— Et ce cadeau mon chéri ?— Je ne vais pas t’offrir une bague !— Ne me dis pas que c’est un plumeau ?— Oh quelle idée et ça t’avait plu je crois.— Assez mon cher neveu, assez...
Ma tante commença à se lâcher et me prit par le bras en rentrant. Nous passâmes chez son traiteur et ensuite chez des amis pour récupérer des chaises pour les convives. Cela nous prit toute l’après-midi. Une fois dans la voiture, une petite caresse furtive sur la peau douce de sa cuisse lui rappela à son bon souvenir nos moments intimes. Ma main glissa sur cette peau claire, si lisse comme l’eau qui glisse sur le plumage d’un canard. Sensation exquise.
— Jean, j’ai eu ta mère et elle m’a dit que tu devais me remonter le moral.— Mais j’y compte bien ma tante.— C’est très agréable de sentir à nouveau ta main sur moi...
Je regardai ma tante en train de conduire. Elle avait toujours son profil séduisant, sa nuque élancée, ses lèvres si bien dessinées. En fait, je n’avais qu’une envie, la croquer (!). Mais il me fallut me comporter en adulte et la laisser venir à moi. Une fois les chaises stockées dans le garage, ma tante me proposa un apéro bien mérité. Je m’installai dans le canapé, Chantal dans son fauteuil.
— Oups, j’ai oublié que tu aimais me caresser les pieds !— Ce n’est rien, tu vas me prendre pour un obsédé. Lui dis-je totalement frustré.— Je vois à ta tête que tu aimerais que je me mette près de toi.— Ah tu lis dans mes pensées comme on dit.— Bon, je viens près de mon chéri. Me répondit Chantal un brin joyeuse.
Elle s’installa près de moi et se déchaussa tout en restant assise. J’eus cette impression farfelue d’avoir non pas une femme mûre mais une élève studieuse. J’en avais oublié que ma tante fusse-t-elle à l’approche de ses 40 ans, n’en demeurait pas moins être une femme aimant se faire diriger.
— Viens sur mes genoux que je te caresse.— Oh oui ! toi et tes caresses...— Je crois bien que tu aimes ?— J’en raffole avec toi mon neveu.
Chantal se leva et mon étonnement s’intensifia quand je la vis se baisser pour enlever sa culotte tout en gardant sa jupe. Encore une vision de ma tante dans son salon, enlevant sans pudeur son slip devant son neveu, bigrement provocateur de sa part ou tout simplement carrément à son aise avec moi, pensais-je.
— Comme ça, tu feras ce que tu veux avec ta tante sur tes genoux !
Sur le coup, je trouvai que Chantal ne manquait pas de culot. Elle annonça la couleur une fois sur moi en m’enlaçant tendrement. Son chemisier bien transparent me permit d’entrevoir qu’elle ne portait aucun soutien-gorge. Elle porta ses lèvres à ma hauteur et sans empressement, je lui fis quelques baisers tout en déboutonnant un à un les boutons de ce corsage, aussi blanc que le fut sa peau. 
Je ne pus qu’admirer le caractère opulent de sa poitrine, prompte à se faire câliner par mes soins. Mes doigts effleurèrent avec douceur la base d’un de ses seins, évitant avec adresse de stimuler sa pointe. Cela dura un certain temps et Chantal manifesta l’intention que je m’engage davantage, en changeant de position pour mieux gober son merveilleux sein. De ce fait, mes doigts vinrent parcourir son auréole ; je vis une excitation profonde de ma tante. Pour lui donner le plaisir tant attendu, je pinçai son téton déjà bien enflammé entre mes doigts tout en remontant par une caresse somptueuse sur la globalité de ce fruit en forme de poire. Chantal pencha sa tête sur mon épaule et se mit à onduler son bassin. 
— Oh c’est bon ce que tu me fais mon chéri.— Je le sais ma douce Chantal.— J’aime quand tu m’appelles ainsi... dit-elle avec un souffle haletant.— Tu es ma douce Chantal à moi, faite pour moi.— Tu m’excites Jean, tu m’excites !!          Je happai son beau mamelon qui n’en demandait pas tant et je l’aspirai à pleine bouche. J’eus droit à un premier petit cri étouffé puis un long gémissement se fit jour. L’impression me fut donnée d’être un chasseur attrapant sa proie. J’oserai ajouter, une proie relativement aisée à capturer, du fait de ma parfaite connaissance de ses failles.Néanmoins, mon sexe cohabita d’une manière aisée avec un voisin proche, la Turquie (!!).
— J’ai une folle envie de toi Jean.
Je ne répondis pas, continuant mon œuvre savoureuse. Même si mon sexe réclamait le corps de ma tante, je voulais dans un premier temps la faire jouir sur place. Il eut été trop facile à mon goût de monter en haut et de terminer en foudroyant ma tante endiablée.Je voulus tout au contraire qu’une brise légère s’abatte sur sa jouissance. Donc je poursuivis ma succion.
Chantal ne tenant plus, se débarrassa avec empressement de sa chemisière puis se leva. Le buste bien en avant, elle en fit de même pour sa jupe. Il ne lui resta plus que ses escarpins. Elle vit mon visage et ma sublime proie devint chasseuse en mettant ses mains sur les hanches, sûre de son effet.
— Alors, elle te plaît ta tante de 40 ans ?— Complètement ! Dis-je désemparé devant cette attitude déloyale.
Ma proie avait pris connaissance des failles de son prédateur et s’en amusa. Chantal se caressa la poitrine et le ventre tout en ondulant ses hanches. Après 3 semaines d’abstinence, mon sexe entama une grève générale agrémentée de manifestations qui paralysèrent tout le pays. Il me fallut réagir. Ce ne fut pas mai 68, mais une décision s’imposa.
Je me levai, oubliant la brise légère pour préférer la foudre. Ma tante, affichant sa nudité sans complexe me fit un large sourire et me tendit la main. Cette invitation à monter dans sa chambre n’essuya aucun refus de ma part. 
Je la suivis dans les escaliers tout en contemplant son derrière, véritable provocation pour mon sexe en pleine effervescence. Sa paire de fesses fut un délice à contempler et devint le fruit de mon imagination soudaine, quant aux fantasmes que j’allais pouvoir accomplir voire assouvir.
Elle déplia le drap pour s’étendre sur le lit. Je me déshabillai tout en regardant ma tante luxuriante de grâce. Elle écarta ses longues jambes et j’y vis, là où se forme le genre humain, le péché auquel j’allais succomber. L’idée de baiser à nouveau ma tante m’interpella. Oui il s’agissait de la sœur de ma mère, oui notre relation était incestueuse donc interdite par notre société. Mais voir ainsi Chantal bousculait tous ses interdits. Elle avait une envie sexuelle, l’envie de s’accoupler avec son neveu pour se procurer du plaisir. Elle en avait oublié qui j’étais, juste son jeune amant. Elle profitait du présent sans se soucier de l’avenir.
— Alors mon chéri ? Me demanda Chantal étonnée.— Rien, je pensais juste à toi.— Oh mais dis-moi, on dirait que ta Tatie t’a manqué ?— Un peu beaucoup !— Viens par-là mon bébé...
Je m’accroupis face au visage de ma tante. Ni une ni deux, elle saisit mon membre et le porta à sa bouche. Elle enfouit mon sexe dans son palais brûlant pour le faire ressortir aussi vite. Puis, lentement elle commença à me sucer amoureusement. 
Elle n’avait d’yeux que pour mon sexe, ses lèvres glissèrent le long de mon sexe y déposant de sa salive. Sur le coup, je crus bien que la foudre allait s’abattre mais il me fallut me retenir. Que ce fut dur face à la dextérité de Chantal la bien nommée. Puis, je n’aime guère ce terme mais Chantal se mit à me laper goulûment avec une telle délectation, une telle précision, qu’elle réussit à me faire trembler de l’intérieur. Elle fit des sortes de pause ; mon sexe s’échappant de sa bouche divine, sa langue me léchant tout le long. Sur l’instant, j’eusse aimé que le temps s’arrête. Chantal en prit un tel plaisir qu’elle en ferma les yeux. 
Dire que je fus aux anges eut été un euphémisme, tant ce fut beau de la voir me sucer ainsi. Je passai mes mains dans ses cheveux blonds et la repoussa délicatement. Chantal insista pour continuer cette fellation mais le plaisir de la pénétrer l’emporta.
— Je te l’ai déjà dit mais Chantal, tu me suces comme une reine.— Oui je sais ! répondit-elle satisfaite de mon compliment.— Tu as vraiment la manière.— Je l’ai fait très rarement mais jamais aussi longtemps... sauf avec toi.
Je me mis en face d’elle, Chantal écarta ses jambes prête à m’accueillir.Son intimité avait l’éclat du chef d’œuvre féminin.Je vis sa rivière à diamants dont mon sexe voulut en goûter la douceur.
Mon corps vint se baigner dans cette eau pure, limpide, turquoise. Je fus dans une sorte de lagon, emprisonné par les bras de ma somptueuse partenaire. Le paradis existait, j’en étais convaincu...
Chantal se mit à gémir, se crispa lorsque les remous de ma pirogue animèrent sa rivière bien aimée. Je maîtrisai   mon embarcation à la perfection, surfant sur des vagues déchaînées, mais l’inéluctable se produisit. Le chenal dans lequel je fus engagé, déboucha sur un fleuve tout aussi animé.
— Oh oui mon chéri ! Oh ouiii c’est si bon avec toi.— Tu es ma douce Chantal.— Je t’adore !!! Dit-elle en hurlant de plaisir.
J’oubliai le fleuve et mes coups de reins eurent raison de ma tante. Les jambes écartées, le souffle haletant, ma tante jouit allègrement. Des perles de sueur se mirent à éclore sur nos corps respectifs, notre accouplement incestueux prit une tournure angélique. Chantal appliqua ses lèvres aux miennes, me confia sa langue pour mieux se donner à moi. Nous fûmes durant cet instant dans notre monde, seuls, se fondant dans nos corps.
Emporté par ce fleuve oublié, ma pirogue explosa dans la cascade finale. J’émis un râle immédiatement accompagné par les mots de ma tante.
— Continue ! Ne t’arrête plus... Me dit ma tante en plein orgasme.
Ce fut une cascade sans fin, Chantal gémit de plus belle, me serra, planta ses ongles dans mon dos. Je ressentis sa jouissance extrême quand nos langues muettes, se blottirent entre elles, immobiles.Instant magique, instant unique (?).
La vie reprit ses droits au bout de longues minutes. Je m’allongeai à mon tour, exténué. Ma tante reprit son souffle. Je caressai sa poitrine de manière nonchalante, ma tante continua de se détendre.
— Tu vas me tuer Jean !— T’es fabuleuse.— Arrête de dire des bêtises et allons dîner mon chéri.— T’es merveilleuse...
Chantal approcha et me caressa le visage pour y déposer un baiser. 
Nous descendîmes, Chantal en nuisette et moi avec un simple tee-shirt. Bref, nous fûmes nus pour manger.
Nous dinâmes en tête à tête. Je ne pris aucune nouvelle d’Andrew bien entendu.Ma tante parla beaucoup de Mike, qui a son grand regret ne viendrait pas. Nous évoquâmes notre avenir, mais ma tante coupa court pour préférer en parler plus tard, même si elle avoua que ce serait compliqué pour nous voir, une fois la fête terminée.Elle avait pris son vendredi pour s’affairer à la préparation de ses 40 ans. Il se fit tard et une fois la cuisine rangée, nous primes la direction de la chambre. 
— Mets-toi au lit, je te rejoins. Me dit ma tante tout naturellement.
Nous nous endormîmes, ma tante se blottissant contre moi.
Le lendemain matin, le soleil se fit jour. Un soleil éclatant éclaboussa les formes de ma tante dissimulées sous le drap, des formes claires comme un matin de Pâques, chaudes comme des langueurs océanes. Paroles chères au poète disparu.
Nous nous retrouvâmes dans la cuisine, prenant un café. Chantal, jambes croisées avec ses pieds fins fut d’une sensualité inégalée, en me regardant avec ses yeux de biche.
Une fois encore, je me crus en plein rêve et il faut bien avouer que l’impatience se fit naître. Mon sexe se mît en ébullition.
Chantal le remarqua et se déplaça, puis en profita pour frôler mon membre avec la paume de sa main. Évidemment, mon sexe répondit immédiatement à cet appel. Sa main se promena habilement le long de ma verge pour remonter vers mon torse. J’admirai l’imagination de ses caresses. Ma tante fut relativement excitée de me voir, à en croire ses allers et retours vers mes parties intimes. Je me laissai faire, inerte en apparence.
— Jean, j’ai comme l’impression que tu es dans une forme exceptionnelle !— Eh oui ma chère tante...— Embrasse-moi alors.
Tandis qu’elle continua à me stimuler, j’approchai ma bouche de la sienne. Nos langues se rencontrèrent et le festival battît son plein. Je goûtai à nouveau la chaleur de sa bouche, la salive suave propre à ma tante. 
— Suis-moi mon amour. Dit-elle à voix basse.
Nous allâmes dans le salon s’asseoir sur le canapé.
Chantal ôta cette nuisette inutile tout en me présentant son buste sans s’en rendre compte.Dieu qu’elle fut belle avec ses seins déjà en alerte, ses muscles contactés, son port de tête arrogant avec son regard foudroyant d’une femme qui sait que l’amour est (encore) au rendez-vous.
Elle s’allongea sensuellement, s’offrant à moi totalement nue. Elle approcha un de ses seins délicieux près de moi.
— Tète ta tante mon chéri.— Volontiers !
Je m’accroupis et Chantal dirigea sa poitrine près de ma bouche. Elle fut désireuse de se faire téter. Je caressai ses hanches pour finir par attraper ses fesses. Son souffle s’accéléra ; elle écarta ses jambes, désireuse de se faire câliner son intimité.
Pour un vendredi matin, cela commençait de la plus belle des manières (!).
Ma main descendit sur la peau duveteuse de son ventre pour caresser son entre cuisses, Chantal oscilla son bassin afin de me présenter son sexe. Elle avait une folle envie de me recevoir.
— Chantal, tu voudrais commencer la journée en te faisant baiser par ton neveu chéri ?— Oui baise-moi.— Je vais te faire mouiller ... toi !
Chantal me fit un sourire plus que coquin. Elle prit un coussin pour le mettre derrière sa belle frimousse et attendit, son sexe à l’air. Elle prit ses doigts pour écarter ses lèvres intimes, elle exposa de cette manière l’intérieur de son intimité reluisante.
— Viens me lécher, je sais que tu en meurs d’envie. Dit-elle les yeux malicieux.— T’es une sacrée coquine avec ton neveu !— Tu me rends coquine...
Ma langue vint se coller à ses lèvres douces, elle gémit quand elle s’introduisit dans son vagin. Mes coups circulaires à l’intérieur de son sexe ne firent que l’achever dans le début de sa jouissance. Elle redressa son bassin, je lui saisis les hanches ; elle se sentit possédée par son neveu avec désormais ma bouche toute entière au contact de son intimité, dont la plénitude au plaisir se devinait. Sa liqueur royale abonda tel une rivière qui sort de son lit. Chantal, au bord de l’ivresse orgasmique voulut autre chose, plus profond, plus intense. Elle me repoussa et se mit à genoux sur le canapé, cambrée. Elle tourna la tête, d’un air jovial, remplie de désirs interdits.
— Alors chéri, les fesses de ta tante te plaisent ?— Oui, elles sont magnifiques.— Elles sont à toi.
Certes ma tante et moi étions devenus amants.Mais je fus loin de m’imaginer qu’un jour, ma tante se retrouverait entièrement nue un vendredi matin sur le canapé de son salon et qu’elle me proposerait que je la possède en m’offrant ses fesses somptueuses.
Je ne me fis pas prier en regardant Chantal dans une telle posture. Ma tante resta immobile, ce fut LA posture rêvée pour ce type d’opération ; ma tante rêvait d’une sodomie matinale en plein dans son salon. Si je puis dire, notre relation incestueuse atteignit son zénith dans le cas précis ou mieux, un relâchement total de ma tante face à son neveu.
Mes mains caressèrent ses belles fesses douces, lentement, délicatement. 
— Tu veux ton cadeau d’anniversaire en avance ! Lui dis-je.— En quelque sorte mon chéri.
En guise de bon anniversaire et sûr de l’effet escompté, ma langue balaya le bas de son intimité pour remonter vers son petit orifice. Afin d’éviter des répétitions inutiles, ma langue entreprit un travail dit préparatoire. Durant ce laps de temps, les premiers remerciements de ma tante ne furent que de longs soupirs de soulagement. 
A première vue, il me sembla que Chantal désirait cet acte depuis la veille. Son petit fessier adorable se montra d’une docilité étonnante. J’insistai avec des mouvements lents, aussi bien avec mes doigts, ma langue voire mes lèvres pour lui inspirer une confiance totale en moi. Elle se laissa faire et je dois encore avouer que, de part sa position de soumission de la femelle face au mâle, cela me procura un sentiment d’extase. Je dominai ma tante totalement disciplinée, tant sur le plan physique que sur le plan psychique.Je fus le maître, celui qui allait décider de l’heure à laquelle ma tante allait jouir. Et Chantal attendait avec impatience ce moment.
— Ooooh ouiii, c’est si bon Jean.
Je commençai ma pénétration et déjà ma tante manifesta son plaisir sans retenue. Bien entendu, mon sexe poursuivit son chemin pour disparaître entre ses deux fesses charmantes. Ma tante avait pris l’habitude de ce type de pratique. Il fait bien s’accorder pour admettre que ce genre de choses se fait avec une confiance absolue de la femme dans son amant. Tel fut le cas.Chantal aimait de plus en plus cette pratique nouvelle pour elle (et pour moi, admettons-le). Nous nous accordions bien et je sentais ses muscles de son canal se décontracter au fur et à mesure de mes passages en elle. Ma tante se cambra davantage, ce fut le signe qu’elle était prête à recevoir des messages d’amour que mon sexe, en bon élève, s’exécuta à distribuer.
— Tu me fais jouir mon chéri ! Viens en moi...maintenant ! dit-elle haletante.— Oui ma douce Chantal... dis-je dans un souffle.
Et une partie de mon corps s’abandonna dans le celui de ma tante chérie. S’en suivirent des spasmes violents, Chantal hurla son plaisir, lâcha cette joie contenue depuis des années quand l’orgasme la submergea.
— Oh que c’est bon...que c’est bon mon beau neveu, mon étalon à moi...que c’est bon ce que tu me fais...— Je suis au Nirvana avec toi Chantal !! lui dis-je en m’affalant sur elle.
Nos corps transpiraient l’amour, la déraison... Nous savions inconsciemment que nos ébats prendraient fin dès demain, que notre relation atteignait son apogée. Notre écart de 20 ans d’âge n’était pas le problème, nous nous entendions parfaitement, pas uniquement sur le plan sexuel. Non, le vrai problème était bien notre relation tante-neveu. 
Je n’allais pas annoncer à ma mère que ma petite stagiaire était en réalité sa propre petite sœur et de même, Chantal se voyait mal en parler pour dire quoi ? Oui je couche avec mon neveu, on s’éclate comme des bêtes et il est plus jeune que mon fils. Ah non, la morale de notre société nous l’interdisait. L’inceste reste tabou mais pour ma part, cela reste plus "acceptable" de faire l’amour avec sa tante qu’avec sa mère. Inimaginable rien que d’y penser. 
Ce qui me tracassait le plus était le fait de ne plus se voir, de plus connaître une femme avec qui je partageais des moments aussi intenses. J’avais réalisé mon fantasme : baiser une femme mûre et hyper bien foutue et qui plus est, celle qui m’avait toujours ensorcelé, ma tante, ma douce Chantal.
Un dernier coup de reins terrassa ma tante accompagné d’un long soupir. Mais elle ne bougea pas et je ne sentis pas de contractures m’indiquant la sortie, Chantal voulut que je reste en elle. Pure gourmandise de sa part, aussi je restai en elle, tout en continuant un va et vient bien lent qui me permit, une fois l’orage passé, de mieux sentir les chairs intimes de ma tante. Les soupirs si audibles de ma tante m’excitèrent au plus haut point. Ma cadence lente ne fit qu’attiser son plaisir et je commençai à ressentir quelques contractures de sa part, preuve qu’elle devenait à nouveau réceptive pour un second départ. Mon cerveau commanda mon sexe et en bon soldat, il répondit présent pour le plus grand bonheur de ma tante.
— Jean, je crois que tu es infatigable !— Avec toi, je ne sais pas m’arrêter.— Oh, c’est un joli compliment mon neveu.— Ne le prends pas mal, mais tu es une merveille à baiser ma tante chérie.— Alors je te retourne le compliment, tu me baises à merveille mon amour.
Mon cœur s’accéléra, mes mains tremblantes d’excitation se mirent à caresser sans cesse la croupe si majestueuse de ma tante. Tout en la pénétrant, je me sentis sur l’instant comme un privilégié. Voir le cul si parfait de ma tante, sa nuque élancée, ses hanches si...En fait, son corps respirait la féminité, je respirais ma tante, je humais sa sueur, je l’enveloppais de mon corps, elle était ma chose, mon objet du déni.
Je ne cessai d’admirer sa croupe offerte, dans laquelle mon sexe plein de vigueur à nouveau, se mit à augmenter à un tel rythme que ma tante proféra des mots crus. Elle se lâcha sentant la fin de notre accouplement.
— Oh Mon dieu, que tu me baises bien petit salaud !— Je sais.— Oui, tu sais me faire jouir comme tu veux ! me baiser quand tu veux ! ...que c’est bon, continue...— C’est juste génial.— Ouiii génial, tu me baises si bien, tellement bien...tu es le meilleur amant que j’ai eu.
Je pétrifiai les fesses bien fermes de ma tante et la pris ensuite par les hanches en lui imposant cette fois une charge héroïque, tel un western entre les nordistes et les sudistes. Il me manqua le cheval ... et le drapeau. J’omets le sabre volontairement. Ne sachant quel camp choisir, je préférai en devenir le réalisateur. Les images se succédèrent. 
Je pensai à Victor Hugo, à son poème "Demain dès l’aube". En utilisant des mots simples, les phrases deviennent parfaites.
Voir ma verge disparaitre dans ses fesses subliminales dépassa mes fantasmes ; la faire gémir, l’entendre jouir me donnèrent accès à un plaisir inconnu ; la posséder, elle, ma tante, la sœur de ma mère, femme mûre de 40 ans me nourrit d’un orgueil inégalé. Je baisai ma tante, ma superbe tante si inaccessible dont je fus son maître, je devins son Cupidon, Dieu de l’amour s’accouplant à ma déesse toute à moi, mon Aphrodite.Ma tante, le visage étalé contre le tissu du canapé n’en finissant plus de gémir de plaisir, son corps perlant de sueur me chuchota des mots d’amour, les mots d’une femme apaisée, sereine, heureuse.
— Je t’aime Jean, tu le sais ?— Oui ma douce Chantal et sais-tu que ça va être très dur de ne plus te voir ?— Ne m’en parle pas...je n’ose pas y penser.
Puis la bataille reprit. Pour la première fois, je pensai que ce serait la dernière fois que je prenais ma tante par cet endroit. Je ne sus ce qui me passa par la tête, mais pensant cela, il me fallut profiter au maximum de ma tante, de son si joli derrière. Je fus concentré à l’extrême pour la pénétrer au plus profond, lui faire ressentir mon membre dans cette cavité si intime, lui apporter un bien-être physique et moral qu’elle n’aurait jamais avoué avoir ressenti venant d’un autre homme que moi.
Chantal aimait se faire pénétrer en force, pas de manière brutale mais plutôt virile.J’enfonçai mon sexe tantôt lentement en glissant dans son canal si étroit à sa naissance, pour finir bien au fond de ma tante chérie ou de manière saccadée. Les 2 manières plurent à ma tante.Elle prit un coussin et ses doigts se crispèrent dessus.
— Crie ma belle ta jouissance ! Lui lançais-je dans l’action— Je la sens si grosse en moi, j’adore !!!— Alors encore ?— Oooh Ouiii Mon seigneur et mon Dieu, encore !!!!
Je serai les hanches de Chantal, elle sentit que ma jouissance arrivait.
— Viens en moi ! Viens dans le cul de ta tante !— Tatie, Quel langage...— Je m’en fous ! Je jouis...oh oui oh oui...Oh la vache comme tu me baises bien, c’est pas possible !
Ma charge héroïque ne fit qu’une bouchée des quelques fantassins adverses. L’ennemi fut dilapidé, dispersé, vaincu ! Ce ne fut pas la bataille qui se révéla grandiose mais plutôt la charge habile du chef des armées que je fus. Désormais, nous pûmes ranger les armes.Chantal se retourna et immédiatement, elle approcha ses lèvres gourmandes des miennes. Un long baiser s’enchaina, difficile à décrire. Ce fut un premier au revoir. Je caressai les seins enflammés de ma tante à moi, je les pelotai tellement ils me parurent si beaux, dressés à l’appel du désir. J’en devins friand et me mis à téter un de ses mamelons.
— Jean arrête... Dit ma tante d’une voix douce.
Mais ma succion se poursuivit, son sein devenant très demandeur. Je mordillai son téton durci, je le malaxai en douceur entre mes dents. Chantal passa sa main dans mes cheveux et approcha sa poitrine plus près de moi. Je délaissai son merveilleux sein pour à nouveau embrasser les lèvres attirantes de Chantal.
— Jean, on reprendra tout ça cet après-midi, mais là il faut que je prenne une douche et que je file en ville, tu m’accompagnes Jean ?— Avec plaisir ma belle Tatie !
Chantal sourit et partit se laver ; Je lui emboîtai le pas.Nous partîmes chez le fleuriste pour quelques arrangements à disposer sur la table.Nous déjeunâmes dans un petit resto en terrasse. Nous parlâmes de notre avenir. Je la regardai parler, qu’elle fut belle à écouter. Voir ses lèvres s’animer fut un enchantement et il me fallut rester concentrer.
— Jean, tu pars dimanche avec tes parents et après on ne se voit plus. Ton école dure 4 ans ?— Oui 4 années. Mais il y a les vacances.— Et alors ? Tu ne vas pas les passer chez moi ! Jean, je suis malheureuse. Mais je crois qu’on se verra comme une tante voit son neveu.— Et tu es sûre pour les vacances ?— Oui et tu vas m’oublier et trouver une copine de ton âge.— Tu es sérieuse ? Tu crois que je vais vivre ce que l’on vit avec une autre ! Avec des émotions aussi fortes ? Des moments aussi intenses ? ...et trouver une femme aussi belle que toi ?
Chantal fondit en larmes sur mes dernières paroles. Les tables voisines se firent encombrantes. Nous primes un café dans un autre endroit. Ma tante me prit le bras et se serra contre moi. Ma tante était une femme forte de caractère mais je la savais très romantique, très sentimentale. Et impossible de me lasser de la voir bouger, marcher, se déplacer, voir ses longues jambes si fines, ses pieds à la beauté renversante, une nuque à vous faire chavirer, des épaules à vous faire fondre et des lèvres à vous emmener ... je ne sais où.
— Tu prends un café ?— Oui Chantal et sèche tes larmes.— Oui, c’est ridicule de me mettre dans un état pareil.— Tu pourrais très bien m’inviter pendant les vacances pour voir ma copine ?— Non je ne veux pas jouer à ce petit jeu, c’est trop risqué et n’oublie pas que je reste ta tante, tu imagines si quelqu’un apprenait ce que nous faisons ensemble ?— Désolé de parler ainsi, c’est vraiment con que tu sois ma tante.— Et pourquoi donc ?— Parce que j’aurais continué à te voir, je l’ai dit ; on te donne 30 ans ! Tu serais devenu ma compagne et moi ton compagnon. Lui dis-je un brin mélancolique.— Eh oui mais je suis ta tante Jean... et voila !— Il nous reste encore la journée et la soirée...— Oui mon neveu, je te l’ai dit, cet après-midi je suis à ta disposition tout comme pour la soirée.— Alors on va faire des choses interdites !— Oui mon neveu chéri, tu vas faire des choses à ta tante que la morale interdit...
Tout fut fin prêt pour samedi. Nous avions notre après-midi pour nous et le temps de rentrer, il se fit allègrement 15 heures. Ma tante ainsi que moi-même étions soulagés de par notre conversation. Nous avions convenu de ne pas nous écrire, cela aurait été bien trop risqué, nous nous verrions aux fêtes de famille et si d’aventure l’occasion se présentait, j’irai la voir pour un évènement sérieux. Cette idée de la revoir était pratiquement nulle, mais bon ; on pouvait toujours rêvasser.
Nous fûmes sur le retour et ma main vint se poser sur la cuisse de ma tante. Je lui frottai l’intérieur comme des balades passagères, aléatoires. Chantal resta concentrée sur la route mais au gré de mes caresses constantes, ses propres mains sur le volant trahirent le plaisir reçu. Ses doigts fins exercèrent une pression sur ledit volant et le passage des vitesses n’en fut pas moins brutal.
— Jean, c’est un truc à avoir un accident.— Ca te plaît on dirait ?— Ouiii évidemment... dit-elle dans un soupir évasif.
Ma tante fut délivrée de mon emprise une fois la voiture garée. Elle partit dans la cuisine se faire à nouveau un café. Je me mis assis la voyant s’activer pour y mettre le filtre. Au passage, je contemplai ses jambes, ses mollets. Y avait pas à dire ! Elle était bigrement bien balancée. Elle avait le corps de la femme que je désirais, que j’avais imaginé adolescent. Chantal comprit que je la détaillais de bas en haut et je crus comprendre que cela la flattait de se sentir désirée par son jeune neveu. Histoire de s’amuser, elle tortilla son petit derrière et me jeta un regard coquin.
— Ca t’excite ?— Pas du tout !
Ma tante pouffa de rire et se servit son café. Elle se mit face à moi, jambes en tailleur. Je saisis un de ses pieds pour caresser ses orteils si élégants. Ma tante me fixa, la bouche entre-ouverte. Je peaufinai sensuellement son merveilleux mollet, ferme et superbement dessiné.
— Tu m’aimes de partout ?— Oui je t’aime intégralement ma douce Chantal.— Arrête... tu me fais craquer mon neveu adoré.
J’approchai ma chaise et je recommençai ce que j’avais entrepris dans la voiture, d’amples caresses à l’intérieur de ses cuisses à la peau de velours. Chantal écarta ses jambes pour mieux savourer le contact de mes mains sur cette partie de son corps à la zone si érogène. Ce ne fut plus une mais deux mains qui survolèrent cette peau si claire. Et je me mis à penser tout en excitant ma tante.Elle m’avait dit que j’étais le meilleur amant qu’elle a jamais connu. Il me fallait ainsi me comporter de la sorte. Etre le champion toutes catégories confondues, celui qu’elle n’oublierait jamais. Il fallait faire vite, être imaginatif pour lui donner une jouissance nouvelle, une situation nouvelle. La cuisine...
— Chantal, tu fais des pâtisseries ?— Oui, tout est dans la 1ère porte à droite.— Alors déshabille toi et allonge toi sur la table.— OK chef !
Aussitôt, ma tante se leva pour s’exécuter. Je regardai ses formes apparaitre quand le chemisier disparu, puis la jupe et enfin la culotte. C’est idiot de ressentir cela, mais un pincement au cœur m’arriva de plein fouet quand elle se mit face à moi, nue donc belle à croquer.
— Donc je m’allonge sur la table ?— Oui, je mets une nappe pour que tu n’aies pas froid.— Comme il est prévenant mon neveu à moi et comme je fonds devant lui !
Je n’eus qu’une envie, la prendre dans mes bras et me fondre effectivement en elle. Idée stupide et totalement dénuée de charme voire de mystère.Je saisis une serviette pour lui bander les yeux tout en restant admiratif devant son corps allongé dont les jambes repliées m’offrirent une vue bien alléchante de sa belle intimité, soignée, épilée, lisse aux lèvres éblouissantes de beauté.Un pur régal à cuisiner...
Je saisis dans cette fameuse porte un tube de chantilly.Une simple pression et le liquide blanc apparut.
— C’est quoi ce bruit Jean ?— Goûte...
Je déposai un soupçon sur sa lèvre et Chantal l’avala.
— Ah je vois, je deviens la pâtisserie de mon neveu !— Comme tu comprends vite.
J’en mis à l’extrémité de chaque sein. A la place de ses mamelons, un cône blanc comme la neige avait pris leurs places. J’en déposai également sur son sexe, un cône sur le clitoris puis d’autres dispersés sur ses lèvres.
— C’est doux... Me dit Chantal avec une voix apaisée.
J’avais pris soin de baisser à moitié les volets, ce qui donna une ambiance feutrée. Désormais, il me fallut déguster mon œuvre bien appétissante. J’étalai avec la langue les cônes de chantilly sur sa poitrine. D’un seul coup, Chantal cambra son bassin, poussant un petit cri étouffé. J’englobai ses seins avec mes mains et pratiquai un léchage intensif de la chantilly répandue sur sa poitrine. J’alternai entre ses deux seins fabuleux, l’un comme l’autre désireux de se faire prendre en bouche.
— Oh j’aime Jean, c’est doux...
Une fois la crème avalée, je pus voir les mamelons de ma tante. Ils furent brillants, dressés vers le plafond et avaient doublé de volume !Mon dieu qu’ils furent appétissants. Je ne pus que mordiller l’un des deux un court instant. Je vis ma tante me tendre son autre sein en se mouvant sur la table. Sans succès je la laissai en suspens, dans l’ivresse du plaisir futur qui m’attendait plus bas. Mon expérience l’excita au plus haut point. Ses pieds posés sur la table, je me mis assis en face de mon plat de résistance.Mes mains se posèrent sur ses pieds, sur le dessus de ses orteils à la peau si légère.
— Tu es aux anges mon neveu ! Me dit ma tante en relevant la tête.— Disons que le spectacle est de toute beauté, ta chatte est resplendissante sous ses cônes de neige...— Oh ne parle pas comme ça, tu sais que je n’aime pas.— Tu es vraiment bien faite. Lui dis-je en insistant.— Oui. Bon ! Tu dégustes ton plat ?— Mais avec plaisir ma si jolie Tatie !
Chantal s’approcha au plus près, écarta ses longues jambes et posa ses pieds délicieux sur le dos de la chaise, je fus à proprement parlé entre ses cuisses. Mes mains parcoururent son ventre plat tandis que ma langue s’occupa des cônes. Tout en les avalant, je déclenchai chez Chantal de mini-spasmes du fait de mes mouvements avec ma langue. J’effleurai régulièrement ses lèvres intimes et le goût de la chantilly se mélangea à celui du liquide qui s’écoulait de son intimité affolée. Ses réactions furent nouvelles du fait des sensations que je lui procurai.
— Oh oui Jean, mange-moi mon amour, déguste-moi...
Je ne reconnus plus ma tante. Le soleil se mît à briller sur son corps, tel un alpiniste, j’achevai mon escalade pour arriver au somment du monde. La neige avait fondu, j’aperçus le point culminant et en vis deux autres au loin, que j’avais escaladés auparavant.Je reculai mon visage et vis celui de Chantal. Elle me fit un large sourire de satisfaction au passage. Je pris ses mains dans les miennes en les serrant fort, si fort que Chantal souleva son bassin, m’incitant à m’occuper de son intimité débordante de générosité à mon encontre.Le fait d’avoir lécher toute cette crème onctueuse sur son sexe le rendit encore plus attirant, plus affolant à lécher. Dès mes premiers coups de langue, je récupérai la substance abondante qui glissa le long de ses lèvres roses pour finir au bord de son vagin, dont ma langue en fit le tour pour s’y introduire. Je relevai ma tête pour voir ma tante, elle en avait les yeux fermés, je vis ses cotes se creuser tant son souffle fut haletant. Ma langue vint chercher son doux clitoris pour tournoyer autour, tandis que deux de mes doigts pénétrèrent son sexe qui n’en demandait pas tant. Cette fois, Chantal se tortilla d’un plaisir nouveau, me serrant les mains avec ardeur.
— Ca te plait mon amour ?— J’adore...
Puis ma tante détacha ses mains des miennes, elle voulut me faire comprendre qu’elle souhaitait se faire prendre par son neveu.
— Tu aimerais que je vienne en toi ?— Oh oui, tu n’imagines pas...
Fort de mes 19 printemps, il me fallut satisfaire ma tante du haut de ses 40 printemps (!). Et c’est à ce moment que je réalisai le bonheur intégral de baiser ma tante. Elle m’était offerte, jambes écartées, seins en feu, bouche ouverte et son sexe désireux de recevoir mon membre puissant. Je baissai mon pantalon à toute hâte et Chantal regarda contemplative mon organe.
— Et bien, je vais être gâtée... dit-elle fixant mon sexe.— Ma belle tatie, je vais te sauter comme tu aimes !— Mais je ne demande que ça mon neveu chéri et je vais avoir 40 ans demain, alors fais-moi un beau cadeau.
Je sentis mon sexe rigide irrésistiblement attiré par la chaleur du bas ventre de ma tante, aux yeux brillants du désir de se faire bien baiser par son propre neveu. Mon pénis gorgé de sang s’approcha du sexe de ma tante, elle attendait les jambes en l’air et un peu de de son jus s’écoula pour se répandre le long de son sexe. Mon cœur battait à 200 à l’heure, j’avais du mal à en croire mes yeux. Ma tante, objet de tous mes fantasmes avait les cuisses ouvertes sur la table de la cuisine et patientait, souriante pour s’accoupler avec son jeune neveu.Mon gland lança le premier assaut en glissant le long de ses lèvres pour mieux effleurer son clitoris. Ce ne fut que pure merveille que de voir mon sexe s’engloutir paisiblement dans l’orifice de ma propre tante. Elle respira un grand coup, synonyme de soulagement de me recevoir enfin en elle.Sans être technique, ce type de position fut idéal pour donner le maximum de plaisir à ma tante, elle qui aimait se faire pénétrer profondément.
J’attrapai au vol un de ses pieds pour en caresser ses orteils au vernis rose. Chantal aima ce geste et à son tour, elle saisit mon majeur pour le sucer ardemment. La magie opéra ; je suçais ses orteils sensuels, elle avait mon doigt en bouche, mon pénis faisant des allers retours dans son orifice. Nous avions chacun nos tâches et plus mes coups devinrent intenses et plus les joues de ma tante se creusèrent en suçant mon doigt. En expirant, ses côtés furent visibles, comble de l’excitation pour moi. J’emmenai tranquillement Chantal vers un puissant orgasme.
— Oh j’adore comme ça Jean...— Tu n’es pas la seule.
Chantal mordit mon doigt férocement, je suçai ses orteils somptueux comme un damné. Notre jouissance devint simultanée, ma tante s’ouvrant à moi dans tous les sens du terme. Elle me regarda fixement tout en train de jouir.Ces mots me vinrent à l’esprit : "Si la mort avait ton regard, je meurs ce soir sans regarder...Au bord du vide et des baisers."
Elle m’emmena avec elle au bord du vide et nous tombâmes dans une chute effrénée. Mes saccades firent tressauter de bonheur ma tante, je ne sentis plus mon doigt dans sa bouche, tout comme ses orteils délicieux au fond de mon palais que j’aspirais. Mon sexe baigna dans le bas ventre de ma tante, je caressai d’une main son ventre duveteux. Je ne pus m’empêcher d’exalter par des mots, ma jouissance profonde ressentie en pénétrant ma sublime tante. Elle en fit de même.
— Oh non de dieu, que c’est bon. Lui dis-je totalement en transe.— Oui mon amour ! Continue, je jouis avec toi, c’est si merveilleux. Continue...— Comme j’aime te baiser ma belle Chantal !— Et comme j’aime me faire baiser par toi... rajouta-t-elle avec cette fois avec un regard rempli d’allégresse.
Mes spasmes s’espacèrent et je continuai à sucer les pieds fins de ma tante, réunis sur mon torse. Chantal de son côté garda mon doigt, en faisant glisser ses lèvres sensuellement. 
Nous savourions notre orgasme commun, nous échangions des sourires subtils, ce fut comme si Chantal me remerciait du plaisir que je lui avais procuré. Mais dans son regard, je devinais aussi sa fierté de m’avoir mis dans cet état. 
Je restai en elle, je dégustai ma tante en caressant ses jambes longilignes. Elle me dégustait en me savourant en elle.Il faut bien avouer que notre accouplement fut ce jour de septembre purement sexuel. Notre attirance mutuelle atteignît un degré ultime dans notre relation incestueuse. Je me retirai de la chaleur de ma tante, une chaleur si fantastique bien difficile à narrer sans l’abus de superlatifs.Immédiatement, ses lèvres amoureuses rejoignirent les miennes pour s’accoler dans un baiser paresseux accompagné par nos langues affamées. Le temps ne nous étant pas compté, ce baiser fut long, sorte de conclusion à notre coït infernal entre ma tante et moi. Avec le recul, je ne connus aucune partenaire à sa hauteur sur le plan sexuel.
Le lendemain soir, la fête battît son plein. Mes parents rigolèrent de mes blagues, nous fûmes environ une trentaine à partager cet anniversaire. L’absence d’Andrew ne se fit guère remarquer, personne ne posa de questions à Chantal, tout le monde connaissant la situation. Ma tante resta éloignée toute la soirée, ce fut notre décision. Le gâteau comporta 45 bougies sous l’œil amusé de Chantal qui me jeta un bref regard. Je lui offris un foulard de marque mais j’aurais préféré deux billets d’avion pour partir au bout du monde...
Le champagne coula à flots et vers deux heures du matin, plusieurs convives prirent le chemin du départ.Vue l’heure tardive, nous nous accordâmes qu’une grasse matinée serait la bienvenue. Je regagnai le bureau d’Andrew aménagé à l’aide d’un lit de camp, tandis que ma mère aida ma tante à faire un peu le propre au milieu de ces bouteilles abandonnées et de ces flûtes égarées.Mes parents montèrent se coucher, ma tante les suivit.Je surpris brièvement un brin de conversation entre ma mère et ma tante, lui suggérant que le divorce était de mise en jugeant cette situation intolérable.
Je pensai de mon côté, quatre années s’écoulent vite...
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