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Tanya

Chapitre 3

SM / Fétichisme
TANYA Chapitre 3: La première sortie de Tanya.

Elle était généralement de repos le jeudi, je lui donnai donc rendez-vous pour le lendemain à 14 heures.
Toujours aussi ponctuelle, elle se présenta devant moi dans une superbe robe rouge et noire, assez courte, et qui se fermait par plusieurs boutons sur le devant.
Un autre avantage pour moi, mais peut être pas pour elle, était que cette robe était assez étroite et serrée au niveau du bassin. Cela allait me permettre de l’initier à un nouveau rite, et de voir sa dépendance à mes caprices.
— Je vais t’apprendre à t’asseoir correctement lorsque tu es en jupe, ou en robe.
Son regard ne marquait plus à présent l’inquiétude, mais plutôt l’envie d’une nouvelle découverte. Elle progressait à vitesse grand V.
— Pour t’asseoir dorénavant, tu devras retrousser ta jupe à l’arrière, pour que ta peau soit directement en contact avec le siège. Montres-moi si tu as compris sur le tabouret là-bas. Tu mettras tes pieds sur les barreaux.
Elle s’approcha du tabouret, et commença à retrousser sa robe. Comme celle-ci était étroite, elle sembla avoir une légère hésitation, mais continua tout de même. N’ayant pas d’autres solutions, elle la fit remonter jusqu’à sa taille, laissant tout le bas de son corps à nu. Elle posa ses fesses sur le réceptacle, puis ses pieds sur les barreaux, en écartant franchement les genoux. Elle était fière de me faire admirer son intimité.
— C’est très bien. L’encourageai-je. On va aller faire un tour pour t’acheter quelque chose, je veux te remercier de tous les efforts que tu as fais jusqu’à présent.
A peine installée dans ma voiture, elle mit en pratique le petit cours de maintien que je venais de lui donner. Retroussée jusqu’à la taille, et les cuisses ouvertes, elle semblait très heureuse de me faire plaisir. J’en profitai pour glisser ma main, et caresser son entrecuisse.
Nous n’allâmes pas très loin, juste dans un hypermarché de la ville voisine. Dans la galerie commerciale, il y avait un magasin d’habits où j’amenais mes anciennes compagnes, pour leur offrir des tenues adaptées à mes goûts.
Une fois arrivés dans la boutique, et après m’être renseigné sur sa taille, nous fîmes le tour des présentoirs sur lesquels je pris plusieurs vêtements. Tanya me suivait sans poser de questions. Une fois les bras chargés, nous nous sommes dirigés vers les cabines d’essayage.
— Tu vas essayer ces tenues pour être sûrs qu’elles me plaisent.
Il n’était évidemment pas question de lui demander son avis.
Lorsqu’elle fut entrée dans une cabine, je pris place sur le banc qui était juste devant, en lui disant:
— Retire ta robe, et viens chercher ce premier T-shirt. Ne ferme pas la porte.
Entièrement nue, elle regarda de chaque côté avant de sortir. Je lui fis immédiatement les gros yeux pour marquer ma contrariété. Elle n’avait que quelques mètres à faire pour me rejoindre, mais n’importe qui pouvait venir à tout instant. Heureusement pour elle, à ce moment l’échoppe était quasiment vide de clientes. J’en profitai pour le lui faire remarquer, et lui dire de faire l’essayage hors de la cabine. Voyant que je n’étais pas très content de sa première réaction, elle se mit bien face à moi, les jambes naturellement écartées à présent, pour enfiler le vêtement.
Ce premier T-shirt était assez moulant, on pouvait voir la pointe de ses seins percer au travers. Je l’avais délibérément choisi de couleur sombre, mais en fait je le voulais blanc. J’appelais immédiatement Stella, la vendeuse.
Depuis le temps que je fréquentais ce lieu, celle-ci me connaissait à présent. J’avais remarqué que lorsque je venais, elle n’était jamais très loin des cabines, s’affairant à ranger les étalages tout près. Je ne savais pas si c’était pour voir mes amies nues ou presque, elle avait peut-être une préférence pour les filles, ou par curiosité pour mes habitudes. Une petite question à élucider.
En quelques secondes, elle fut auprès de nous, s’enquérant de ce que je désirais.— Auriez-vous le même modèle en blanc, Mademoiselle.
— Je vais voir tout de suite, Monsieur.
Le temps qu’elle cherche, je demandai à Tanya de retirer celui qu’elle portait. Elle était à présent dans le plus simple appareil.
Stella revint très rapidement, et me tendit le modèle similaire de la couleur demandée. Je le regardai sous toutes les coutures, prenant bien mon temps pour mettre Tanya mal à l’aise. Malgré son calme relatif, je voyais bien qu’elle était gênée, et qu’elle aurait bien voulu mettre ses mains pour cacher son intimité. Mais elle s’en abstint.
Quand à Stella, elle était restée à côté de nous, attendant une nouvelle sollicitation de ma part. Et malgré son essai de discrétion, je voyais bien son regard se porter de temps à autre sur les charmes de Tanya. Cette fois, j’en fus convaincu, elle devait être homosexuelle. Après un petit moment, elle sentit qu’elle devenait importune, et elle repartit non loin de là à ses rayons.
Le nouveau maillot était conforme à mes attentes, très collant et plutôt transparent. En croisant Tanya, on serait immédiatement attiré par sa poitrine.
Le second, était d’un autre genre, plutôt large et court, et d’une taille supérieure à celle de Tanya. Large, parce que son décolleté donnait une vue plongeante sur les seins de Tanya, il en était de même pour le passage des bras. Court, parce qu’il descendait à peine plus bas que sa poitrine, un peu comme une brassière. Mais ce n’était pas tout à fait ce que je voulais, j’appelai une nouvelle fois Stella:
— Mademoiselle, est-il possible de faire une retouche sur ce maillot ?
— Bien sûr, Monsieur, c’est sans problème.
Je lui montrais alors ce que je désirais: que le bas arrive juste sous les pointes des seins de Tanya. Ainsi, dés qu’elle lèverait à peine les bras, chacun pourrait voir ses extrémités.
Stella sortit une boite d’épingle, et commença à modifier la coupe du vêtement. Sans en avoir l’air, elle effleurait volontairement les seins de Tanya. Celle-ci ne disait rien, mais semblait apprécier ces attouchements. Ses seins eux-mêmes le prouvaient.
Lorsque le patron fut prêt, Tanya le retira et le tendit à Stella. Elle partit vers le fond du magasin en me disant :
— Je vais le faire moi-même, Monsieur, et je reviens de suite pour l’essayage.
Elle était vraiment très serviable cette petite.
Le troisième fut un chemisier blanc, que j’avais pressenti assez transparent, je ne m’étais pas trompé. Lorsque Tanya l’eut sur elle, et avec un bon contre-jour, on voyait ses seins, et en particuliers ses tétons sombres qui ressortaient si bien. Mais cela, Tanya ne pouvait pas s’en rendre compte.
Pour le bas, j’avais choisi une mini-jupe. Devant, elle arrivait au-dessous de son minou, et derrière, il ne manquait pas grand-chose pour que l’on voie le bas de ses fesses. Tanya n’était pas rassurée par cette tenue, elle ne se voyait pas déambuler dans les rues avec. Elle n’aurait pas le choix.
Pour l’essayage des hauts, tout le bas du corps de Tanya était à nu, et maintenant pour les bas, c’étaient ses seins qui maintenant étaient parfaitement visibles. Pour l’instant, elle avait eu de la chance, personne ne s’était approché trop près du salon d’essayage.
La dernière jupe était un peu plus longue, mais fendue de chaque côté jusqu’à la ceinture. Elle présentait un double avantage: Aux moindres pas, les côtés s’écartaient, laissant apparaître sa peau nue, libre de tous sous-vêtements. Le second était que les côtés n’étaient retenus que par de simples pressions: une petite traction de ma part, et le vêtement chuterait au sol.
Stella revint avec la brassière modifiée. Mais ayant voulu trop bien faire, les extrémités des seins de Tanya étaient presque visibles sans aucun mouvement de sa part. Ce qui n’était pas pour me déplaire.
Stella aida Tanya à essayer son vêtement, une nouvelle fois les mains de la vendeuse furent assez baladeuses.
Je demandai alors à Tanya de faire un tour sur elle-même, pour que Stella découvre le plug qu’elle n’avait pas encore vu. Jusqu’à présent Tanya avait toujours été de face, quelle serait la réaction de Stella?
Celle-ci me surprit en faisant semblant de ne pas le remarquer. Sauf qu’après avoir découvert l’objet, elle laissa son regard courir un moment à cet endroit, et eut peut être un léger rougissement arrivé brutalement sur ses joues.
Je remerciai Stella pour son aide, et lui demandai de me préparer la note.
Quand à Tanya, je lui posai un baiser discret sur les lèvres. Celle-ci ne s’attendait pas à une telle marque de tendresse de ma part, je vis alors une petite larme d’émotion couler sur sa joue.
En sortant de la boutique, je proposai alors à Tanya de boire un verre, dans un bar de cette même galerie. Je le connaissais bien, et je savais qu’il y avait des tables hautes avec des tabourets, comme celui que j’avais à la maison. Une nouvelle épreuve pour Tanya.
Je choisis pour elle un siège juste à côté de l’allée, les nouveaux arrivants ne manqueraient pas de voir son joli postérieur. Elle s’installa comme elle l’avait fait à la maison, avec peut-être une légère gêne. La position était conforme à mes attentes. Je lui demandai juste de se tourner un peu pour être face à la salle.
Les clients déjà présents ne s’étaient pas rendu compte de sa situation. Deux jeunes garçons arrivèrent peu après, après avoir bien guigné ses appâts, ils choisirent naturellement une table bien placée face à Tanya. Dés lors, leurs regards ne s’écartaient pas des cuisses de ma belle. Lorsque je les regardais, leurs yeux changeaient de direction, mais dés que je cessais, je sentais qu’ils n’en perdaient pas une miette.
Tanya n’avait pas remarqué leur manège, ou faisait semblant de ne pas les voir. Lorsque je le lui fis constater, elle se redressa encore plus, écarta davantage les genoux, et me regarda fièrement: C’est la première fois qu’elle semblait si heureuse de me faire plaisir.
Avant de partir, elle descendit du tabouret, tourna ses fesses vers les jeunes, et prit bien son temps pour remettre sa robe en place. Ces deux là feraient de beaux rêves cette nuit.
Cette fille était un vrai bonheur, jamais je n’avais eut une apprentie aussi douée, ni aussi décidée qu’elle.
Toutes ces séances m’avaient bien échauffé moi aussi, il était temps que nous rentrions à la maison.
A peine rentré, je lui demandai de se dévêtir, et de prendre place face au canapé. Sans que je lui précise quoi que ce soit de mes desseins, elle se pencha en avant en prenant appui sur ses coudes. Elle semblait lire dans mes pensées.
Je m’amusai à titiller son plug quelques secondes, avant de le retirer délicatement.
Si j’aimais la domination, je n’étais pas forcément adepte de la brutalité. C’était beaucoup plus excitant pour moi, d’amener une fille à faire ce que je voulais par la douceur, plutôt que par la force. Jusqu’à présent, je n’avais pas eu besoin de punir Tanya, j’espérais qu’il en serait de même par la suite.
Je passai ensuite un doigt entre ses lèvres intimes, comme je m’y attendais, elles étaient déjà bien humides. Mon doigt fit quelques allers retours avant de prendre la place du plug. Une fois celui-ci bien introduit, je caressai toutes les parties que je pouvais atteindre, Tanya appréciait ma douceur.
Je me déshabillai rapidement, et frottai ma virilité bien tendue, entre ses deux globes. Elle ne pouvait pas ignorer quelles étaient mes intentions. Les mains sur ses fesses, et les pouces au plus près de son petit orifice, je commençai à les écarter lentement. Je glissai ensuite deux doigts à l’intérieur, qui pénétrèrent sans mal, le plug avait bien fait son travail. Je les fis aller et venir plusieurs fois entre ses deux niches intimes, afin de bien enduire son petit trou de ses sécrétions intimes, et faciliter ainsi ma pénétration. Ce moment là arriva enfin.
Lorsque mon extrémité se présenta à l’entrée, Tanya m’aida en creusant encore plus les reins. Je ne fis pas un gros effort pour franchir l’ouverture, et le reste suivit dans la foulée. J’attendis quelques secondes avant d’entreprendre mes mouvements d’avant en arrière. Après avoir commencé, je pris un vibromasseur tout à côté, que je plaquai sur son intimité, à la recherche de son petit bouton. Celui-ci, déjà bien gonflé, fut facile à débusquer. Je voulais que nous ayons du plaisir de concert. Mais malgré ma bonne volonté, et peut-être trop excité par tout ce qui c’était passé depuis le début de l’après-midi, et bien que j’ai essayé de retarder ce moment là au maximum, je ne pus faire autrement que de me libérer avant elle.
J’étais un peu frustré, de ne pas avoir réussi à lui avoir donné du plaisir dans cette position. En me retirant, j’eus une nouvelle idée:
— Tu vas aller t’allonger sur le canapé, et continuer ce que j’ai commencé avec le sexe-toy. Tu ne t’arrêteras que lorsque tu te seras donné du plaisir.
Elle m’avait avoué, qu’il lui était arrivé une fois ou deux de se faire jouir toute seule, mais jamais devant quelqu’un. Une bonne occasion de lui faire franchir une nouvelle étape.
Elle prit malgré tout la position, et commença timidement son approche. Elle fit monter et descendre le gadget le long de sa fente, pendant un long moment. Ensuite elle l’enfila plus franchement, et le fit ressortir aussitôt. Elle réitéra ce mouvement pendant une minute ou deux. Enfin la pointe du jouet se dirigea là où je l’attendais depuis un moment, sur son point le plus sensible. Dans un même ensemble, sa main restée inactive jusqu’à présent remonta jusqu’à sa poitrine. Chacun de ses seins fut cajolé à son tour avec autant de passion, lorsqu’elle en abandonnait un, c’était pour mieux titiller le second. Ses deux mains s’activaient en cadence avec frénésie, je n’existais plus, seule la recherche de son plaisir comptait. Plusieurs fois elle écarta ses lèvres pour mieux agacer son clitoris, absorbé par cette contemplation, je n’avais même pas eu le réflexe d’immortaliser ce moment sur mon appareil photo.
Enfin elle se libéra, et contrairement à ce que je pensais, c’est dans le plus grand silence qu’elle prit son pied. Seule l’immobilité de son corps enfin revenue, prouvait qu’elle avait atteint son but.
Lorsqu’elle ouvrit enfin les yeux, en m’apercevant, elle se leva d’un bond pour me sauter au cou, et pour me remercier comme, si ce fut moi qui lui avait donné autant de bonheur. Je vis sa main se diriger vers moi pour me caresser, puis stopper immédiatement, elle dut se souvenir de mes premiers conseils: pas d’initiative de sa part.De plus, en se jetant dans mes bras, elle ne s’était jamais laissé aller à autant de familiarité avec moi.
C’était la première fois qu’une de mes compagnes me remerciait après s’être donné du plaisir entièrement seule. Décidément, elle n’avait pas fini de me surprendre.
Après l’avoir gardé un moment entre mes bras, je lui donnais un nouveau baiser discret sur les lèvres. C’était le deuxième de la journée, ce n’était guère dans mes habitudes. J’étais en train de me ramollir, il était temps de me reprendre:
— Cette journée n’était pas mal, mais tu as encore beaucoup à apprendre.
Je pus lire dans son regard, qu’elle était satisfaite de ce compliment.
— Je t’attends samedi à 14 heures. Dis-je simplement en guise d’au revoir.
— Je serai certainement en pantalon. Me dit-elle alors simplement, pour me faire comprendre qu’elle ne serait pas totalement disponible.
— Dans ces conditions, je viendrai chez toi. Lui répondis-je alors, en expliquant ensuite:
— Nous ferons un petit break dans nos jeux. La seule chose que je te demanderai pendant cette période, c’est de me montrer que tu ne portes pas de soutien-gorge. J’y tiens.
Si ce récit vous a plu, merci de m’envoyer un petit message: azkinato@hotmail.fr
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