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Taton

Chapitre 1

Orgie / Partouze
Ce week-end est consacré à des échanges. Ce sera notre première fois: tant elle que moi avons besoin de connaître un autre sexe que les nôtres. Avant de nous connaître, il y a ans de ça, nous étions parfaitement sages. Enfin, sage à notre manière. Nous avions vécue chacun de notre coté les expérience sexuelles normales, elle des amants et une amante, moi, comme tous les hommes, sauf une fois ou en classe je me faisait masturber par un détraqué qui aimait branler les autres. Autrement dit nous étions des gens normaux. Je ne me souviens plus qui de nous deux a eu envie de goûter, de grappiller ailleurs.Nous étions d’accord pour participer à un jeu libertin. C’est en tapotant sur internet que nous avons trouvé ce que nous cherchions: un club privé où les femmes ne payaient pas. Taton, mon épouse était fière d’avoir trouvé cette adresse à deux pas de chez nous avons fêter ça comme il convient. Déjà, pendant le repas nous nous sommes mis nus. Nous partagions tout avec nos lèvres, nos langues servaient autant à avaler qu’à embrasser. Elle était assise à ma droite, sa main gauche était sans arrêt sur ma bite, elle ne me branlait pas, elle me caressait de façon à ce que je ne jouisse pas. Moi, j’avais mis ma main en entier sur sa chatte. Tant en mangeant, je cherchais à la faire jouir. Elle avait posé sa cuisse sur la mienne, bien serrée pendant que je caressais son clitoris, avec succès. Je la sentais jouir presque sans arrêt d’une part à cause de sa main qui serrait ma queue et les spasme sur sa chatte. Je bandais de plus en plus, je n’avais envie que d’une chose: la lui mettre, où, je ne savais pas, mais le lui mettre. Quand elle s’est rendue compte enfin que ma bite avait de bonnes dimensions, enfin elle venait sur mes genoux. Elle me faisait face, je sentais ses seins contre moi. Plus elle bougeait, plus elle s’approchait de ma bite qu’elle ne tenait que pour la diriger sur son val de plaisirs. Je sentais mon gland contre sa fente pour enfin le sentir dans son con. Je la laisser faire comme elle voulait. Ses lèvres ne lâchaient pas les miennes. Nos langues jouaient de grand air de cet opéra de la baise.Je ne bougeais pas: je donnait mon sentiment quand le plaisir montait dans mes reins. Bonsoir qu’elle baise bien, ma femme. J’envie presque celui où celle qui l’a prendra demain: il ou elle passera un bon moment, et elle aussi jouira comme maintenant. C’est vrai je sens son vagin se resserrer autour de ma pine. La vache, c’est tellement bon que je décharge mon sperme au fond de son trou. Nous restons emboîtés autour de son vagin. Elle reste toujours sur mes genoux, ma bite toujours dans son ventre. Elle resserre encore ses muscles: je bande encore. Content d’elle; elle recommence sa gymnastique un coup en avant un coup en arrière. Cette fois je sens sa poitrine avec ses seins qui sont plus durs. J’abandonne sa bouche pour son cou. Elle lève la tête pur mieux profiter du la bise et de ma langue qui la lèche. J’arrive à sucer ses pointes d’un sein.Cette fois je ne jouis pas, c’est elfe qui part dans l’orgasme. Je la sens jouir autour du mandrin. Elle se lève pour se tourner en revenant sur mes genoux. Cette fois elle s’embroche sur son cul. Elle est légèrement penchée en avant, elle a posé ses mains sur ses genoux, elle peut mieux faire entrer la bite au fond de ses boyaux. Quand elle me sent au plus profond, elle se caresse le clitoris. Elle jouit ainsi plusieurs fois. Elle n’en peut plus d’avoir l’entre-jambes occupée par ma bite, alors, comme elle sait que je n’ai pas joui, elle ouvre en grand sa bouche, lèche mon gland, transforme les lèvres en vagin. Elle fait une fellation dont seule elle a le secret. Je caresse sa tête pendant la durée de sa fellation. Nous nous couchons plus tard: après que nous ayons fini la vaisselle, toujours nus, toujours es mains égarées sur le corps de l’autre: moi sur ses fesses ou ses seins, elle sur les fesses et ma queue. Une fois couchés nous n’arrivons même plus à baiser. Je voudrais la faire jouir une fois. Elle écarte ses cuisses, me donne sa chatte; Là j’ai de quoi faire. Ma langue et mes lèvres la comble quand je lèche son clitoris, entre dans son vagin, et surtout dans le cul. Se faire farcir par la langue est un de ses plaisirs principaux. Sa seule riposte n’est qu’assiéger mon cul avec deux doigts. C’est sa nouveauté, ça me fait plaisir à me faire bander et sucer encore une dernière fois. Enfin Taton va être satisfaite; c’est tout à l’heure qu’elle se prépare pour aller se faire mettre, comme je me prépare pour mettre. Elle oublie son string, son soutien gorge, met une mini jupe en jean délavé, effrangée en bas, un vague t-shirt qui ne couvre que le nombril. Je suis plus présentable avec un pantalon léger et une chemise par-dessus. Dès l’entrée nous sommes frappés par l’odeur de sexe qui règne à l’intérieur. Nous sommes un peu en retard, le gérant de l’établissement qui connaît son monde nous classe elle dans la catégorie des gouines, moi dans celle des hétéros. Taton est d’accord, pour ce soir elle entend baiser avec d’autres femmes. Elle voudrai aussi une pine pour le cul. Moi, je suis moins difficile: un simple vagin ira au moins au début. Nous sommes à peine assis qu’un belle fille moitié nue est avec nous. Seule elle a décidé de nous baiser tous les deux. Une petite triangulaire ne me déplaît pas du tout. Taton, elle s’en fiche un peu du moment qu’elle pourra sucer et se faire sucer par une femme: que je l baise en même temps ne lui déplaît pas non plus. Si au début nous restons assis nous ne nous empêchons pas de nous caresser, surtout ma femme qui assise entre nous deux reçois ma main sur sa poitrine et la main de l’autre fille, sa bouche est partagée, disons plutôt qu’elle embrasse la fille. Cette nana est fort bien faite. Elle nous plaît tellement que Taton la laisse la masturber. Je regarde cette main agir sur l’entrejambe de ma femme. Elle sait vite trouver les endroits favoris: elle la fait jouir plusieurs fois à la suite. Je reste sur ma faim, la bite bien dressée. J’ai envie de baiser ou enculer cette fille qui finalement se penche sur la chatte de ma femme, la prend dans sa bouche; je vois la langue aller sur le clitoris, puis dans la cramouille directement. Elle se met normalement sur Taton, en position de 69. Elle est tournée vers moi, elle me donne son cul en écartant les fesses avec ses mains. Elle entre un doigt dans son cul. J’en profite pour aller rendre visite à ce lieu particulier. Taton qui connaît la musique mouille le plus possible l’entrée secondaire. Ma pine est dessus, c’est la main de ma propre femme qui me guide vers le trou dit petit. Je craignais d’avoir des difficultés pour entrer. Je force tellement que j’entre d’un seul coup au fond de ce cul quo je ne connais pas. Il est confortable. Ma femme connaissant mes goût allonge une main pour entrer deux doigts au fond de mon propre cul. Ces deux femmes vont me faire mourir d’amour physique. J’ai de la chance d’être avec ces deux nanas: je ne jouis pas tellement vite, au contraire. Par contre je sens les orgasme de celle que j’encule. Elle a raison de moi. Mon jet de sperme doit la traverser jusqu’à la gorge au moins. Elles se séparent, Taton prépare la suite; elle est à moitié allongée appuyée seulement sur l’avant bras, les cuisses ouvertes. Elle attend l’autre qui comprend ce qu’elle veut. Elle aussi écarte les cuisses pose son clitoris sur celui de ma femme. Elle entament une danse du ventre très particulière: les deux clitoris se frottent jusqu’aux explosions finales particulièrement simultanées. Je ne peux rien faire, alors sans vergogne je me branle, lentement en les regardant: je fait un panoramique sur le salle: je ne suis pas le seul à me masturber, juste à mes coté une rousse regarde son compagnon se faire enculer par une bite monumentale. D’un simple regard, elle m’accepte: je m’approche d’elle la bite en l’air. Je jette un regard sur les amours de ma femme: elle se frotte toujours le bouton. Elle les a vue aussi. Excitée par la vue, elle prend ma bite dans la bouche, me suce un instant, juste pour vérifier que je suis assez dur pour son ventre. Elle reste sur son siège, les cuisses ouvertes. Je vais lécher un instant une chatte à goût mi sperme mi mouille. Je pousse ma queue dans cette entrée féminine. Dès que je suis en elle, elle entoure ma taille avec ses jambes. Nous baisons comme des bêtes que nous sommes. Ses seins ballottent un peu, ce qui la rend encore plus excitante. Elle n’arrête pas de jouir: c’est encourageant. Surtout quand je décharge longtemps après ses orgasmes.Ma femme fini de baiser avec celle qui devient sa copine qu’elle invite à la maison pour le lendemain pour baiser encore avec elle: elle a pris goût aux filles.Ce sera l’objet de l’histoire suivante.
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