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La téléphone de ma chef

Chapitre 1

Hétéro
Cette aventure s’est déroulée il y a peu de temps puisqu’elle date du mois de novembre 2007, soit il y a à peine 3 mois. Pour des raisons de respect de la vie privée, les prénoms ont été changés dans l’histoire. Celle-ci a pour cadre le milieu militaire.
***
Tout commença au mois de septembre quand mon chef de bureau a changé. En effet, nous sommes passés d’un homme de 45 ans à une jolie jeune femme de 32 ans. Et quand je dis jolie, on pourrait même dire très jolie : brune, cheveux courts, 1m60, 50 kilos toute mouillée, de formes magnifiques, un visage attirant, une poitrine menue mais sympathique et un fessier rebondi juste ce qu’il faut…
Dès le début j’ai donc été attiré par elle. Ayant 26 ans je me disais que j’aurais pu tenter ma chance si elle n’avait pas été maman d’une petite fille et en couple… Elle continuait quand même de rester attirante à mes yeux. Deux mois passèrent à ce rythme, où elle se révéla très sympathique… Tutoiement de rigueur malgré notre différence de grade puisqu’elle est officier alors que je ne suis que sous-officier.
Un jour d’octobre, alors que je me trouvais seul dans le bureau, je vis qu’elle avait oublié son téléphone portable sur sa table de travail… Je me suis dit qu’une femme aussi charmante devait probablement avoir quelques photos sympathiques dans l’appareil. Je me suis donc mis à la recherche desdites photos. Après quelques minutes je trouvai enfin mon bonheur, deux photos. Sur la première on apercevait le bas de son visage et ses jolis seins un peu pointus. La deuxième était prise de haut et l’on voyait sur son visage, cheveux étalés sur l’oreiller, qu’elle était en train de prendre du plaisir… Je m’empressai de transférer ses photos sur mon propre téléphone. Je ne savais pas à ce moment que cela nous mènerait à une aventure sur notre lieu de travail.
Tout commença au retour des permissions de la Toussaint, alors que nous nous retrouvions tous les deux dans le bureau pour une semaine, les autres étant partis en mission. En effet, le mardi, elle m’envoya assister à une conférence qui devait durer la matinée. Par manque de chance ou plutôt par bonheur, ce fut mon tour d’oublier mon téléphone sur mon bureau. La conférence terminée, après un passage au mess, j’ai donc rejoint mon bureau. Quelle ne fut pas ma surprise de trouver un petit post-it sur le bord de mon écran. Il y était écrit :
• — J’ai fait une découverte intéressante sur ton téléphone…
Là, saisi de panique, je me dis qu’elle avait dû regarder mon téléphone et voir ses photos. L’addition risquait d’être salée… L’avenir me prouva le contraire…
À son retour dans le bureau elle me regarda avec un grand sourire puis partit sans un mot s’asseoir à sa place. Elle resta tout l’après-midi sans m’adresser la parole ce qui me mit fortement mal à l’aise. La fin de la journée arriva. Elle se leva de son bureau, se dirigea vers la porte et la ferma à clé. Dans mon esprit je voyais arriver le règlement de compte à toute vitesse. Elle s’est alors plantée devant moi et m’a dit :
• — Alors comme ça on fouille dans le téléphone de sa chef ?
Ne sachant quoi répondre et me sachant pris, je choisis de lui avouer la vérité et de lui raconter mes méfaits. Son visage s’éclaira d’un grand sourire que j’eus du mal à comprendre. À ce moment elle reprit la parole pour me demander si elle me plaisait à ce point. Question à laquelle je ne pus répondre, mon cœur ratant un battement, que oui. C’est alors que je commençai à comprendre l’enchaînement de ses actions de l’après-midi : le post-it, le sourire puis l’ignorance… Son but était, elle me l’avoua plus tard, de me faire mariner.
À partir de là, les choses furent différentes. Elle m’expliqua que son homme travaillait sur Paris et qu’elle ne passait qu’une soirée, parfois deux, avec lui chaque semaine et que les câlins lui manquaient ! Je voyais à présent mon rêve se rapprocher, j’allais sûrement coucher avec ma chef ! Je ne croyais pas si bien dire ! C’est en effet à ce moment-là que je remarquai qu’elle s’était changée entre midi et deux, passant de la chemise, pantalon et chaussures plates, à la chemisette, jupe et chaussures à talons. Habillée comme cela elle était encore plus désirable, évoquant tant la beauté féminine que l’interdit puisqu’elle restait ma supérieure hiérarchique.
Commençant à ouvrir sa chemisette elle me demanda si je voulais passer des photos au réel. Je ne pus répondre que d’un hochement de tête tout en sentant mon pantalon commencer à me serrer de plus en plus.

Consciente de l’effet qu’elle produisait, elle fit durer le plaisir, pour finir en soutien-gorge. À ce moment, passant de mon côté du bureau, Magali me regarda avec une petite lueur dans les yeux. Dès qu’elle fut à portée de tir, je ne pus m’empêcher de prendre ses deux seins dans mes mains. Elle me dit que ce serait encore mieux sans le tissu. Je m’empressai donc de dégrafer le soutif gêneur. Au même instant, alors que je finissais de tomber le morceau de dentelle, elle se déplaça en m’entraînant avec elle dans la chambre de service qui nous servait de vestiaire, de salle de détente et de repos. Dans cette salle se trouvaient une table, deux chaises, un lit à une place et des placards. Magali me dit alors :
• — Tu ne dois pas être le seul à pouvoir tâter la marchandise !• — Loin de moi l’idée de t’en empêcher… Mais à toi d’y accéder !
Elle commença par enlever ma cravate, puis déboutonna ma chemise. Après quelques caresses sur le torse, sa main fila vers ma fermeture éclair et l’ouvrit. Elle plongea sa main dans mon slip…
• — Assieds-toi, tu seras plus à l’aise pour la suite, me dit-elle avec un éclair de gourmandise dans les yeux…
Assise sur mes genoux, elle continuait de me branler délicatement pendant que je lui malaxais les seins. Au bout de quelques minutes de roulage de pelles, de caresses et de masturbation, elle échappa à mon étreinte pour se retrouver à genoux entre mes jambes. Je sentis alors mon slip descendre sur mes chevilles et sa langue vint titiller mon gland. Mon sexe fut alors aspiré dans toute sa longueur dans sa bouche divine et visiblement experte en pipes. À ce moment j’ai senti la jouissance arriver. Je sentais sa langue aller et venir tout le long de mon membre, passant et repassant sur le frein. De temps en temps mon sexe sortait de sa bouche afin qu’elle le mouille avec encore un peu plus de salive avant de le ravaler de plus belle.
Au bout d’une bonne dizaine de minutes, je lui fis comprendre par une pression derrière la tête que je n’allais plus pouvoir me retenir. Son travail se fit de plus en plus rapide jusqu’à ce que je sente mon sexe se gonfler et que plusieurs jets puissants arrosent le fond de sa gorge et son visage quasi angélique.
Pensant que c’était fini je lui dis :
• — Je m’excuse de ma performance, mais j’attendais ça depuis tellement longtemps…• — Ne t’en fais pas, je suis assez douée dans ce jeu, mais ne crois pas que j’en aie fini avec toi !• — Vu ce que je viens de mettre sur ton visage et dans ta gorge il ne doit pas rester beaucoup de réserves, répondis-je.• — Tant pis ! J’en ai déjà bien profité par le haut, j’aurai juste un peu moins de jus pour le bas…
À ces mots, elle se remit à l’ouvrage sans prendre soin d’essuyer mon membre ou son visage encore souillés de foutre. Après quelques minutes de succion appliquée, mon sexe avait repris de la vigueur. Elle se leva, se pencha en avant et posant les mains sur la table, se cambra et se mit face à mon visage… Je compris immédiatement qu’il me fallait la pénétrer. Je commençai donc par remonter sa jupe sur ses reins en m’attendant à devoir baisser sa culotte. Une surprise m’attendait à ce niveau puisqu’une fois sa jupe retroussée je découvris sa fente rasée sans aucun morceau de tissu.
• — Tu avais vraiment tout prévu même de me vider les réserves avant de commencer le véritable sport !• — Je ne serais pas allée jusqu’au bout si je n’avais pas prévu de quoi te remettre en forme et le cul nu faisait partie du plan ! Je n’avais comme seule peur que tu ne t’aperçoives de ça durant l’après-midi et que cela m’empêche de te faire mariner un peu.
Mon sexe retrouva instantanément le peu de vigueur qu’il avait perdue durant les deux dernières minutes. Elle se remit donc en position en prenant soin de placer mon gland à l’entrée de sa grotte. D’un violent coup de reins je m’enfonçai brutalement en elle. De par son cri de plaisir, je sus qu’elle n’attendait que ça. Sa chatte était un vrai régal, chaude, assez étroite pour bien sentir les parois et me procurer le plaisir maximum. À chaque coup de boutoir elle se cambrait. Mon sexe coulissait de plus en plus fort dans sa matrice au point d’en toucher le fond. Visiblement cela lui plaisait.
À chaque coup je sentais sa mouille humidifier mes couilles qui tapaient sur sa fente. Au bout d’un moment elle me fit ralentir le rythme puis me fit sortir de sa matrice. Elle s’allongea sur le lit, cuisses ouvertes, pour que je la prenne en missionnaire. Je recommençai donc mon va-et-vient infernal. Quelques allers-retours plus tard elle me demanda à passer dessus. J’exhaussai donc son vœu en m’allongeant sur le dos. Elle revint s’empaler sur moi. Visiblement il lui en fallait plus car elle prenait moins de plaisir qu’au début. D’un coup elle me regarda puis me dit :
• — On va changer de méthode.• — De méthode ?• — De trou, si tu préfères…
Ainsi elle voulait que je l’encule.
• — Je pense que par-derrière ça sera plus pratique, lui dis-je.• — Comme tu veux, je te laisse les commandes.
Je l’installai donc à quatre pattes devant moi en lui faisant bien cambrer le dos. Je commençai par préparer le passage avec mes doigts, mais grâce à un mélange d’excitation et d’habitude mes deux puis trois doigts furent rapidement avalés par son sphincter. Je présentai mon gland à l’entrée de sa rondelle. Je n’eus pas à pousser très fort pour le faire entrer, ainsi que tout le reste de mon sexe, dans ses intestins. Visiblement ce mode de pénétration la ravissait au plus haut point à la vue des gémissements qu’elle émettait. Pour ma part j’étais aux anges : je possédais ma chef par son trou le plus intime après avoir visité tout le reste de son anatomie. De plus, son anus, malgré son habitude visible de se faire ramoner le conduit, restait assez serré. À chaque coup de reins, elle contractait son sphincter afin que nous puissions pendre chacun un maximum de plaisir. Au bout d’une dizaine de minutes de sodomie, je sentis le jus monter de mes couilles et je lui dis tout simplement :
• — Je vais te remplir les intestins.• — Non, me dit elle, en me forçant à me retirer par un pas en avant sur ses genoux.• — Tu veux que je t’arrose la jupe ?• — Non plus, arrose-moi à nouveau le visage !• — Retourne-toi, alors…
À ces mots, elle se retourna et descendit du lit. Pendant ce temps, j’avais commencé à me masturber afin de lui arroser le visage mais ma main fut rapidement remplacée par la sienne puis par sa bouche experte. Sans le savoir, elle réalisait ainsi mon fantasme du cul bouche, chose que je n’avais vu que dans les films…Je me vidai donc une nouvelle fois au fond de sa gorge et sur son visage. Comble du bonheur, alors qu’elle fermait les yeux, je décidai de lui jouer un tour en arrosant d’un des derniers jets sa belle petite poitrine. Par malheur pour elle, la fin manquant un peu de puissance, un peu de sperme tomba sur sa jupe.
Me regardant et s’apercevant de mon méfait, elle fit une petite moue puis ravala mon membre pour en finir le nettoyage. Cette tâche terminée elle s’allongea à côté de moi. Visiblement notre partie de jambes en l’air l’avait laissée tout comme moi vide d’énergie.
Après quelques minutes de repos elle me déclara :
• — Écoute, j’ai adoré coucher avec toi mais j’ai un homme et une petite et je ne veux pas risquer ça…• — Je comprends ton point de vue ! Mais si jamais tu te retrouves encore en manque de sexe, dis-le-moi et nous recommencerons une petite séance pour mon plus grand plaisir.
Depuis ce jour je vois ma chef d’un autre œil et je n’hésite plus, lorsque nous ne sommes qu’à deux dans le bureau, à lui mettre la main aux fesses, à la frôler ou encore à me changer en veillant à ce qu’elle me voie… J’espère bien qu’un jour, à force de tentatives et d’autres attentions, elle finira par ressentir ce besoin de sexe et par re-craquer. Ce jour-là je serai prêt et je tâcherai de vous tenir au courant !
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