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  • Histoire érotique écrite par Anonyme
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Telle mère, telle fille

Chapitre 1

Lesbienne
Le soleil parvenait à transpercer les doubles rideaux de la chambre. Quelle heure pouvait-il être? 9 h, 10 h? Je ne me sentais pas la force de me retourner pour regarder le réveil. Il faut dire que le corps qui était collé contre mon dos m’empêchait tout mouvement et je n’avais pas du tout envie de changer de position. Ces durs tétons qui semblaient vouloir transpercer mes omoplates, ce bras alangui qui m’enveloppait le torse dont la main, négligemment, me touchait le sein, cette jambe qui passait par dessus les miennes, ce bassin fortement appuyé contre mes fesses dont je sentais le doux contact d’un pubis à peine velu, tout faisait que je me sentais bien. J’aurais voulu que ce moment durât toujours.    Chloé dormait encore. Il faut dire que les efforts qu’elle avait fournis cette nuit, avaient dû l’épuiser. Un instant je me suis à nouveau assoupie, une minute, une heure peut-être quand les doigts, posés sur mon sein, se mirent en mouvement et effleurèrent mon téton qui, sous cet attouchement, ne tarda pas à entrer en érection. Je feignis le sommeil. La main alors se déplaça lentement vers mon ventre, s’attardèrent sur le nombril. J’attendais avec impatience la progression de cette main, essayant de ne pas le laisser trop transparaître. Malgré moi mon souffle s’accélérait. Enfin la main reprit sa progression. Elle descendit sur le ventre et s’arrêta une nouvelle fois à la lisière de ma toison. Inconsciemment mon bassin se déplaça vers l’avant, comme pour dire: ’ Mais vas-y, qu’est-ce que tu attends!’. La main descendit encore et les doigts en crochet peignèrent mon pubis. Je mouillais. Contre mes fesses la pression du bassin s’intensifia et je sentis bientôt un autre sexe, tout aussi mouillé que le mien, se frotter contre ma cuisse. Son mouvement de bassin s’amplifia, des gémissements sortaient de sa bouche.    - Oh! La vicieuse Chloé me dis-je, elle va s’envoyer en l’air et moi alors?    Ma main couvrit la sienne et d’un mouvement ferme, je l’amenais sur ma chatte écartant le plus possible mes jambes, bien que la position ne le permettait pas trop. Chloé, tout à son plaisir, se laissait faire et ne prenait aucune initiative aussi, je fus obligé de me masturber avec son doigt, le faisant coulisser entre mes petites lèvres. Mon clitoris était bandé mais j’évitais tout contact avec lui, sachant combien sa sensibilité pouvait me conduire trop rapidement à l’orgasme. Derrière moi les gémissements s’intensifiaient et bientôt, avec un petit cri, le corps de Chloé fut agité se spasme. Je posais alors le doigt de Chloé sur mon bouton et en un quart de seconde ma jouissance éclata.    Nos souffles s’apaisèrent lentement, je me retournai et fis face à Chloé. Nos bouches se joignirent pour un tendre baiser.    - Je t’aime ma Chloé.    - Je t’aime aussi maman.    Je m’appelle Justine, j’ai 39 ans, divorcée depuis 18 ans, juste après la naissance de ma fille Chloé. Il faut dire que je me suis marié sans amour, simplement pour quitter le giron familial. Vierge, ma nuit de noce ne m’a pas laissé un souvenir impérissable. Rapide pénétration, dépucelage douloureux, éjaculation précoce, tout ce qu’il faut pour vous dégoûter de la gente masculine. Je n’étais pourtant pas ce que l’on pouvait appeler une ingénue, le plaisir sexuel je le connaissais bien. Dés la puberté, presque journellement, les caresses que je me prodiguais, me conduisaient inexorablement à l’orgasme. J’ai pourtant espérer que cette première fois était un accident du à l’émotion mais au bout d’un mois, malgré mes efforts pour lui montrer comment fonctionnait le corps d’une femme, il fallut s’y résoudre, mon mari était et resterait un rustre.    Je me suis retrouvée très vite enceinte et la naissance de Chloé n’arrangea pas notre couple. Le divorce fut prononcé rapidement.    Pendant deux ans ma fille fut ma seule raison de vivre. Puis, un soir d’été, il faisait très chaud, ne pouvant dormir, je me suis installée sur le divan avec une boisson fraîche et machinalement j’ai mis en marche la télé. J’ai zappé et une image a retenu mon attention. Sur M6, une jeune femme, nue, une main entre les cuisses semblait prendre beaucoup de plaisir. Cette image me ramena quelques années en arrière et me rappela, combien ce genre de caresse, pouvait vous donner beaucoup de satisfaction. Bien entendu, dans la minute qui suivit je me suis branlée. Ma jouissance fut si forte que je me suis demandée comment j’avais pu m’en passer pendant tout ce temps. Cette nuit-là je me suis fait jouir 4 ou 5 fois, comme si je voulais rattraper le temps perdu. Par la suite le rythme baissa et la masturbation quasi quotidienne devint peu à peu hebdomadaire, principalement le dimanche soir devant le film érotique de M6. Bizarrement je me suis rapidement aperçue que mes orgasmes éclataient principalement lors des scènes de lesbianisme. Il faut dire que l’homme ne m’avait pas laissé un très bon souvenir.    Chloé avait 6 ans quand mon père décéda prématurément d’un cancer et sachant ma mère incapable de vivre seule, je la fis venir à la maison. Juliette, ma mère, avait alors 47 ans. Sa présence dans la maison était fort discrète. Elle me déchargeait des corvées ménagères. On s’entendait bien. Ce fut l’anniversaire de Chloé, pour ses 7 ans, nous avions fait un gâteau et ouvert une bouteille de champagne. Comme il est de coutume nous avions fait boire une faible quantité de ce breuvage à ma fille et rapidement, l’alcool, même en quantité infime, a agi rapidement sur Chloé et nous avons dû la coucher. Ma mère et moi avons dégusté une nouvelle part de gâteau et vidé la bouteille de champagne. Nous avons alors entamé une discussion à bâton rompu et l’alcool aidant, nous avons abordé des sujets plus intimes.    - Justine, me dis ma mère, ça fait maintenant 1 an que je suis veuve et j’avoue que la solitude commence à me peser.    - Mais tu n’es pas seule maman, nous sommes là Chloé et moi!    - Bien sur, mais je parle surtout de solitude affective ou plutôt amoureuse devrai-je dire, continua ma mère, enfin tu me comprends. D’ailleurs je me demande comment fais-tu, toi, de ce point de vue, toi qui es seule depuis tant d’années.    - Tu sais, Maman, moi, les hommes...    Je lui fis la narration, sans trop entrer dans les détails quand même, des relations intimes qui jalonnèrent ma courte vie de couple.    - Et puis, continuai-je, il y a d’autres moyens pour apaiser ses pulsions.    Ma mère, opina de la tête comme pour confirmer mes propos.    - Certes mais je mettrai le mot ’moyen’ surtout au singulier. Tu vois lequel n’est-ce pas?    - Oui maman, je vois ce dont tu veux parler. Tu as raison! D’ailleurs, comment en aurait-il d’autre en vivant seule.    - Donc, si je comprends bien, continua Juliette, depuis 6 ou 7 ans tu te contentes de te... de te...    - Eh oui maman! Je me contente de me... comme tu dis, enfin pas exactement depuis 7 ans.    Là, je me mis à lui expliquer ma vie chaste pendant plus de deux ans puis le film érotique et la suite.    - Voilà mon histoire maman. Tu vois il n’y a là pas de quoi en faire un roman. Puisque l’on en est aux confidences, utilises-tu, toi aussi, ce ’moyen’?    - Bien sur ma chérie. Il faut dire qu’à l’inverse de toi je n’ai jamais eu de période chaste. J’ai commencé à le faire avant le mariage, un peu comme toi, ne dis pas non, les cloisons de notre maison étaient minces, j’ai continué ensuite pendant le mariage, non pas que ton père ne me donnait pas de plaisir, mais surtout à cause de la fréquence de nos rapports, une fois par semaine ne correspondait pas à mon tempérament.
    - Et donc encore maintenant que tu es veuve ma petite maman.    - Plutôt deux fois qu’une. En douterais-tu? Conclut Juliette.    Ma mère et moi partîmes dans un grand fou rire et, pour sceller notre rapprochement, nous avons débouché une autre bouteille. Nous étions un peu parties.    - Tu sais, repris ma mère avec une bouche pâteuse, je savais que tu te soulager en solitaire.    - ...    - Il y a un mois environ, je t’ai vu, sur le divan, devant la télé...    Malgré mon esprit embué par l’alcool, je ne pus m’empêcher de rougir.    - N’est pas honte reprit ma mère voyant mon embarras, je t’ai trouvé très belle et cette vision m’a un peu déculpabilisé car, comme je te l’ai dit, je m’adonne fréquemment à la ...à la...Au point où nous en sommes, n’ayons plus peur des mots, à la masturbation. D’ailleurs ce soir-là...    - Oui maman, ce soir-là?    - Je me suis caressée avec ton image devant les yeux et j’ai éprouvé un plaisir intense, bien plus fort que d’habitude.    - C’est étrange ton histoire répondis-je.    - En quoi mon histoire est-elle bizarre demanda ma mère?    - Pour moi aussi le plaisir est décuplé lorsque le film diffuse des amours féminines. Tu crois que l’on devient lesbiennes? Pourtant jamais je n’ai eu de contacts intimes avec d’autres femmes. Et toi maman? As-tu connu des relations avec des filles?    - Je ne peux pas dire oui mais je ne peux pas dire non, non plus.    - Comment cela questionnai-je?    - J’avais une douzaine d’années, ma meilleure copine et moi venions de découvrir tous les plaisirs que l’on pouvait se donner en se caressant le sexe et bien entendu, il nous est arrivé de nous masturber face à face.    - Vous n’avez jamais eu l’envie de toucher le minou de l’autre? Demandai-je    - Pour mon amie je n’en sais rien, moi si, avoua Juliette, mais je n’ai jamais osé. Tu m’as dit que jamais tu n’as eu de relations féminines mais aujourd’hui, si ça se présentait qu’elle serait ta réaction.    - Franchement je n’en sais rien, ça dépendrait du contexte je crois.    - Si maintenant, à brûle pourpoint, je te disais, Justine, je mouille comme une folle, veux-tu me branler la chatte.    J’étais abasourdi par ces paroles crues de plus sortant de la bouche de ma mère. Je mis cela sur le compte du champagne.    - Je te répondrai, Juliette tu es ma mère et il y a des choses qui ne se font pas. En parler est une chose, passer à l’acte est autre chose.    - D’accord je suis ta mère mais une femme avant tout et parler de tout ça m’excite. Regardes!    Juliette décolla son derrière de la chaise et troussa sa jupe au dessus des hanches. Elle avait de belles jambes encore, gainées de bas sombres autocollants mais mon regard ne s’attarda pas très longtemps sur elles et mes yeux se portèrent rapidement sur son entrejambe. Malgré moi l’envie de voir le sexe d’une autre femme était la plus forte, ce fût même celui de ma mère. Voyant que je ne bougeais pas, au contraire, que mon regard était fixé sur son bas ventre, Juliette s’enhardit et écarta davantage les cuisses, faisant apparaître sa culotte en dentelle transparente, ornée d’une énorme tache de mouille. C’est vrai qu’elle mouillait mais je dois avouer que je n’étais guère en meilleur état. Maintenant je voulais en voir plus. Ma mère le devina car deux de ses doigts se glissèrent sous la culotte et la poussèrent sur le côté. Sa chatte, peu poilue, m’apparut. Entre ses grandes lèvres bien épaisses, des petites lèvres, d’un rouge violacé, dépassaient nettement gonflées par l’excitation. Son autre main se posa sur le pubis et de deux doigts elle écarta les petites lèvres laissant apparaître une fente profonde d’un rouge luisant de mouille, puis tirant ses doigts vers le haut, elle dégagea son clitoris et là, je fus ébahie. Il paraît que le clitoris est l’organe des branleuses et il paraîtrait toujours que plus on s’en sert plus il grossit, je ne sais pas où est la vérité mais celui de ma mère mesurait au moins 5 cm de long et était aussi gros que mon pouce donc, si on en croit le dicton, ma mère a du se branler encore plus souvent qu’elle ne l’a avoué.    Instinctivement ma main est partie en direction de son entrejambe mais, à peine ai-je effleuré sa chatte que ma main retourna sur mon genou.    - Regardes dit Juliette un brin déçue de ne pas me voir continuer mon geste ébauché, regardes moi bien. Comment trouves-tu ma chatte? Tu as vu mon clito?    - Oui, répondis-je dans un souffle, il est énorme.    - Si tu savais comme il me fait jouir dit-elle en se saisissant de l’organe bandé entre le pouce et l’index. Tu vois comme je le branle, on dirait une petite bite. Ton père n’a jamais voulu me le sucer, pourtant je suçais la sienne de bite. Il se contentait de me pénétrer. Heureusement il était endurant et pendant qu’il me limait j’arrivais toujours à glisser un doigt entre nous pour me branler le clito et me faire jouir pendant qu’il éjaculait. Et le tien de clito, comment est-il?    En parlant ma mère s’excitait et branlait toujours plus vigoureusement son clito.    - Bien moins développé que le tien ça c’est sur mais certainement tout aussi sensible    - Ah, disait-elle, Ah! Tu me le montreras hein? Je te le sucerais moi. Si tu voulais, je serais la plus heureuse des femmes.    - Si je voulais quoi demandai-je d’une voix chevrotante car, je ne voulais pas l’avouer, mais j’étais dans un état d’excitation extrême et peut-être prête à tout.    - Si tu...tu....vou...voulais, mon dieu que c’est bon de se branler, regardes-moi, branles-moi, suces-moi.    Juliette s’excitait toute seule. J’eus envie tout à coup d’accéder à sa demande mais je sentais son orgasme si proche qu’il valait mieux la laisser se finir seule mais ce que je fis alors je n’aurais cru que je puisse le faire un jour même dans mes rêves les plus fous. En quelques secondes, devant le regard reconnaissant de ma mère, j’avais relevé ma robe, baissé ma culotte et enconné deux doigts au plus profond de ma chatte. Avant même que je n’eus commencé à me branler, ma mère partit dans un délire, prononçant des mots sans suite et jouit bruyamment. De la voir ainsi, prendre un plaisir aussi intense, il m’a suffi de serrer mes jambes sur ma main toujours enfouie au creux de mes cuisses pour jouir à mon tour. Nous n’étions plus que deux femelles lubriques, avides de sexe et de sensations fortes. Nous nous sommes levé et nous nous sommes étreint. Nous savions désormais, même après que les vapeurs d’alcool se soit dissipées, que maintenant notre vie serait différente, qu’il nous serait impossible de faire abstraction de ce qui venait de se passer. Le soir même nous avons partagé le même lit. Ma mère fut comblée car pour la première fois une bouche s’est posée sur son minou et des lèvres se sont occupées de son énorme clitoris. J’ai beaucoup aimé le goût de son jus quelle secrétait en énorme quantité. Je sais le plaisir que je lui ai procuré car sa bouche n’a pas hésité à me rendre la pareille.    Ma mère et moi coulions des jours heureux. Les nombreuses étreintes du début s’espacèrent quelque peu mais, lorsque nous décidions de nous retrouver, c’était toujours avec la même fougue. J’adorais son clito, sa chatte que j’avais habitué à pénétrer de ma main entière pendant que lui suçais son gros organe érectile. A chaque fois elle prenait un pied monstre. Quand à moi j’avais appris à recevoir des godemichés ou des vibrateurs dans la chatte et dans l’anus. Lorsque notre libido baissait, nous louions des K7 X. Le problème est que Chloé grandissait. Il fallait faire attention aussi, le plus souvent, nous avions pris l’habitude de nous aimer le jour, pendant que ma fille était à l’école.Mais ce qui devait arriver, arriva. Chloé venait d’avoir 15 ans. C’était les vacances scolaires de la Toussaint, ma mère et moi avions décidé d’aller fleurir la tombe de mon père qui se trouvait à une centaine de kilomètres. Chloé n’avait pas souhaité nous accompagner. Cela faisait ? d’heure que nous roulions quand nous nous sommes aperçu que nous avions oublié les fleurs à la maison, chacune de nous comptant sur l’autre pour les mettre dans le coffre. Nous avons donc fait demi-tour. Pendant que Juliette chargeait les fleurs entreposées dans le garage, je rentrais dans le maison pour expliquer à Chloé la raison de notre retour. La télé était en marche et à cause du son un peu fort, Chloé n’avait pas entendu notre arrivée. Je m’avançais et le spectacle qui s’offrait à ma vue, me laissa pantoise. Sur le canapé, Chloé, le bas du corps dénudé, regardait un de nos films X que je croyais pourtant avoir bien dissimulés. Bien sur elle ne faisait pas seulement que regarder. Les jambes bien ouvertes, une main passée dans le corsage l’autre posée entre ses cuisses avait entrepris une masturbation en règle. Ce n’est que lorsque je fus presque à sa hauteur qu’elle s’aperçut de ma présence. Elle me regarda avec des yeux ronds. Je crus qu’elle allait reprendre tant soit peu une attitude correcte mais elle n’en fit rien et continua même sa masturbation comme si je n’étais pas là.— Chloé! Criai-je, tu pourrais au moins avoir la décence de te couvrir. Que tu te masturbes soit, mais évite de le faire devant moi.— Mais maman, pourquoi? Rétorqua Chloé la main toujours en action, accélérant même, faisant entendre les clapotis de sa mouille, tu ne devais pas être là, le film est plutôt excitant, j’ai commencé, je finis. Tu sais certainement que c’est mauvais de couper la montée du plaisir.Je restais comme deux ronds de flan devant un tel aplomb.— Pourquoi devrai-je le savoir demandai-je?Entre temps Juliette, ne voyant pas Justine revenir, entra à son tout dans le salon. Avant qu’elle ne pu émettre un son, Chloé lui dit:— Ah! Te voilà Mamie, tu tombes bien. Pour répondre à ta question maman, parce que tu te branles aussi et tu a l’air d’aimer ça, tout comme Mamie d’ailleurs. Oui, j’aime me branler et alors. Est-ce que je vous dit quelque chose à vous. Non seulement vous vous branlez comme moi devant un film porno mais vous vous faites des choses avec la bouche ou des jouets sexuels. Je sais aux enfants on dit ’faites ce que je dis, pas ce que je fais’ mais ce n’est pas si simple. Ne vous êtes vous jamais demandé qu’elle serait mon comportement si un jour je voyais ma mère et ma grand-mère en train de se donner du plaisir.— Tu nous a vu demandai-je, quand?— Il y 3ans déjà. Tu te rappelles le jour où j’étais malade? Mamie et toi, persuadée que j’étais trop faible pour me lever, vous êtes venu ici sur ce canapé mais je me suis levée et je vous ai vu, tête-bêche. J’ai attendu plusieurs minutes intriguée mais quand vous avez poussé des grognements non pas de douleur comme je l’ai cru un instant mais bel et bien de plaisir, je suis repartie dans ma chambre. Ce jour-là j’ai compris qu’entre les cuisses il y avait quelque chose d’important. Il n’a guère fallu de temps pour en comprendre le fonctionnement et depuis je me caresse le minou très souvent. Le soir j’essayais de voir ce vous faisiez dans votre chambre mais à part deux ou trois fois où votre porte était mal fermée j’ai du ne me contenter que du son. Si vous saviez le nombre de fois que j’ai joui l’oreille collée à votre porte. Depuis quelque temps je suis frustrée car vous ne faites plus rien au lit. Rassurez-moi, vous vous aimez toujours, alors quand le faites-vous? J’ai fouillé votre chambre et je suis tombée sur vos jouets. Soit dit en passant, le vibrateur sur le clito c’est divin. J’ai aussi trouvé les K7 porno. Un film c’est bien mais, je vous l’avoue, c’est moins bien que lorsque c’est vous.Juliette et moi avons écouté la tirade de Chloé. Nous étions scotchées. Chloé se caressait toujours avec plus d’application toutefois que pendant son monologue.— Je vais bientôt jouir, maman, mamie, maintenant que nous savons tout de nous, aimez-vous, là maintenant, devant moi, sans vous cacher. Cela ne vous excite pas de voir votre petite Chloé se branler. Je suis sure que vous mouillez.C’était vrai ma fille m’excitait. La voir ainsi, dans une posture que Juliette et moi adorons prendre, me faisait mouiller. Je me suis tournée vers ma mère, elle semblait tout aussi excitée que moi.— Non Chloé, il ne faut pas aller trop vite. Soit, tes révélations, ce que tu es en train de faire devant nous, tout cela est nouveau bien qu’excitant je te l’avoue mais non, nous ne pouvons exhausser ton souhait. Si tu le veux, par contre, nous voulons bien rester là à te regarder, que notre simple présence te conduira vers une plus grande jouissance.— Merci maman, merci mamie, regardez-moi, regardez votre Chloé se donner du plaisir.Chloé se branlait avec frénésie.— Justine, me demanda alors ma mère, tu ne crois pas que l’on pourrait l’accompagner un peu?Je retrouvais bien là ma mère. Prête à tout pour s’envoyer en l’air.— Non Juliette, pas question, si tu ne peux attendre, file aux toilettes mais avant regardes ta petite-fille jouir. Tu peux te retenir cinq minutes quand même.Il n’en a fallu qu’une pour que l’orgasme de Chloé ne se déclenche. Nous avons été surpris par sa violence. Le souffle court, ma fille resta semi inconsciente. Je me penchai sur elle et l’embrassa sur le front.Trois minutes plus tard Juliette sortit des toilettes et monta dans la voiture dans laquelle je l’attendais au volant. A peine démarrée, je me tournais vers ma mère et lui dis:— Branles-moi vite.Les trois années qui suivirent furent un véritable supplice. Chloé multipliait les occasions de se montrer nue ou bien en train de se caresser. Nous, pour lui montrer que nous la comprenions, nous laissions parfois la porte de notre chambre entrebâillée. Quelques fois, devant la télé, le soir, Juliette et moi nous laissions-nous aller à quelques attouchements sans nous dénuder. Ces petits gestes suffisaient souvent à exciter Chloé qui n’hésitait plus, à côté de nous, à passer la main dans la culotte. Pour ma mère et moi, le spectacle que ma fille offrait, servait à nourrir notre libido et, dans le lit, venait pimenter nos ébats.Malgré tout j’avais toujours espoir que Chloé rencontrât un garçon qui saurait lui faire revenir vers une sexualité moins débridée mais, j’avais l’impression que Chloé recherchait uniquement des relations féminines que je trouvais trop nombreuses à mon goût. Ses choix allaient de la gamine à peine pubère à la femme plus que mûre voire même très âgées. Pour ces dernières il n’y avait aucun problème par contre je la mettais en garde pour les mineures. Chloé avait beau me dire que l’âge n’a rien à voir avec la maturité sexuelle, que certaines gamines étaient bien plus vicieuses que les femmes épanouies. Je sais bien qu’à la puberté la soif de connaître les mystères de la sexualité, la capacité à avoir des orgasmes multiples donnaient à ces gamines un attrait certain, il n’en reste pas moins qu’il s’agissait d’un acte répréhensible.Est-ce pour cela ou tout simplement par envie que le jour de ses 18 ans, après sa soirée anniversaire et avec la complicité de Juliette, nous lui avons offert, en pleine lumière, le spectacle qu’elle attendait depuis des années. Chloé a pu, tout à loisir, détailler nos chattes, s’extasier devant le clito de sa grand-mère, les caresser, les lécher et nous faire jouir autant de fois qu’elle le voulait. Elle ne s’en est pas privée. Tard dans la nuit, éreintées par tant de jouissances, nous avons pu enfin rejoindre nos chambres respectives. Je me suis endormie comme une souche, je n’ai rien senti quand Chloé est venue s’allonger à mes côtés.    - Je t’aime ma Chloé.    - Je t’aime aussi maman.    Chloé se blottit un peu plus contre moi.    - Maman!    - Oui ma fille.    - Crois-tu que si j’allais réveiller mamie comme je t’ai réveillée, elle serait fâchée?    - Je crois au contraire que tu sera reçu à bras, pardon, je voulais dire à chatte ouverte et...    - Et...    - Si par hasard vous aviez pitié d’une pauvre petite femme seule dans son lit, n’hésitez pas, appelez-moi!
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