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Telle paire... tel fils.

Chapitre 2

Où l'on baise pour la première fois dans ce récit.

Avec plusieurs hommes
Elle allait refermer la porte quand un énorme chat lui fila entre les jambes pour dévaler dans l’escalier. Il était roux, du même roux qu’elle, à tel point qu’on aurait pu croire que c’était sa perruque qui se barrait.
Sans réfléchir, elle ouvrit la porte et se rua sur le palier pour rattraper l’animal. Elle était effectivement entièrement nue. Elle se lamentait presque hystérique : "ma chatte, ma chatte, ils ont laissé partir ma chatte... elle est malade, il ne faut pas qu’elle sorte"!
Mon père prit la situation en main et m’ordonna malicieusement :
— Jules, occupe-toi de la chatte de ta professeur !
M’occuper de la chatte de ma professeur... je ne rêvais que de ça ! Je courus après la chatte plein de la vision de ma prof, mon ex-prof plutôt, nue. En dégringolant dans les étages je ne pensai que chatte. Celle que je poursuivais de mes jambes et celle que je poursuivais de mon désir, la merveille entrevue dans le bas-ventre de la dame.
En m’élançant à la poursuite de l’une et en pensant fort à l’autre, j’entendis mon père dire :
— Allons Madame, rentrez. Vous ne pouvez pas rester ainsi sur le palier. On pourrait nous voir.
Fort heureusement, la chatte (je parle du félin) était corpulente et je ne tardai pas à la rattraper malgré ses astuces pour m’échapper dans le parc, en se planquant sous les voitures, dans les fourrés ou en essayant de grimper aux arbres. C’est lors d’une de ces tentatives infructueuses que je pus enfin la capturer et rentrer au logis, après une dizaine de minutes de chasse cependant. Il était temps que cela s’arrête. Plus et on aurait sombré dans le ridicule.
Lorsque je parvins avec mon précieux trophée devant la porte de ma prof, je la trouvais très légèrement entrebâillée. Je poussais donc.
La vision me rassura pleinement sur les avancées de la discussion entre mon père et Madame Légoustane-coronesse.
Je fermai soigneusement la porte d’entrée derrière moi, sans tourner la clef cependant et j’ouvris la première porte à droite pour me débarrasser du matou, puis je me concentrai pleinement sur ce qui se passait et qui n’était point dépourvu d’intérêt.
J’ignore ce que mon père avait pu dire ou faire pendant dix minutes, mais il n’avait pas perdu de temps. Simplement, ma prof, avait juste passé une culotte de dentelle blanche mais elle n’avait sans doute pas pu se vêtir davantage. Mon père avait pris l’initiative avant qu’elle pût ériger un rempart plus conséquent contre ses prétentions.
La femme était appuyée contre le mur. Il était face à elle, légèrement décalé, pas complètement collé, la frôlant plutôt.

Il avait son froc sur les chevilles. Sa grosse queue pointait vers le ciel en touchant le ventre de la fille.
De sa main droite, il jouait avec le sein gauche, qu’il triturait, malaxait, pétrissait... il pinçait le gros tétons rose qui dardait fièrement, le tortillait un peu, sans violence et, de l’autre main, il fourrageait avec énergie dans la culotte. La position de la main et ses mouvements montraient sans ambiguïté aucune qu’un doigt ou deux étaient enfoncés dans le vagin.
La fille gémissait lentement en acquiesçant à voix basse aux remarques que mon père formulait sur le même ton.
— T’aime ça petite salope ! T’aime mes doigts dans ta chatte. T’aime qu’on de caresse cochonne ? C’est pour ça que tu t’exhibes, hein, t’en veux de la queue toi ? hein, hein, t’as envie de queue ? Aller, sois gentille, dis-le !
Et elle répondait sans cesse des petits "Oui" tout en haletant timidement entre chaque approbation.
Il me semblait qu’elle avait les yeux fermés, mais, à la façon dont mon père la fixait tout en la pelotant, elle pouvait aussi les avoir mi-clos.
Je restai deux à trois minutes à contempler cette scène; mon père, mâle magnifique, musclé, grand mature, à la queue dressée, aux couilles poilues et bien pleines et la fille, jeune, à la chair ronde un peu comme les femmes des tableaux de Rubens (ben oui, on peut ne pas être le premier de la classe et connaître un peu la peinture du XVII°), au seins lourds et bien bombés, à la peau blanche et les auréoles et tétons roses, à la toison aussi bien entretenue que si elle avait été taillée par un jardinier de Versailles... c’était bandant évidemment.
Ma main flattait ma queue tendue à mort. Je décidai de me mettre à l’aise et ôtai tous mes vêtements.
Mon père, détachant un cours instant sa main droite de l’opulente mamelle, me fit signe d’approcher. C’était une invitation qu’on ne pouvait refuser, néanmoins je le fis avec précautions craignant la réaction de celle à qui je devais mon "exclusion" du lycée et que je redoutai encore un peu quand même.
Effectivement, ses paupières étaient entre-ouvertes et elle me regarda mais sans volonté, sans réagir, complètement hypnotisée par les soins que mon père lui prodiguaient.
Enfin proche d’elle, je dirigeai ma bouche avide vers le téton pour le sucer à fond Mon père retira ses doigts de la chatte pour me les mettre sous le nez et me les faire sentir.
— Tu sens ça fiston ? C’est bon hein? T’as vu comme elle est déjà chaude et humide. C’est dingue !
J’acquiesçai. Nous restâmes ainsi en long moment, dans la même attitude, moi toujours à bouffer le nichon en flattant la croupe dodue de ma main droite, et plongeant à mon tour mes doigts dans le trou tout humide, quand mon père me le permettait.
Puis mon père me dit :
— Vas-y là, grimpe-là !— Comme ça, debout ?— Oui, elle te doit bien ça !
Il s’écarta un peu pour que je me présente face à elle.
Elle murmura :
— Vous avez des capotes ?— T’inquiète pas ma belle, on est clean tous les deux, j’y veille. Dis papa.— Moi aussi mais en ce moment, je prends pas la pilule !— Pas de souci, on va pas te remplir la citerne. Y’a assez de place sur tes nichons pour recevoir le jus d’un régiment. Et ta bouche... t’as une bouche à aimer le sperme.
Elle ne répondit pas.
J’essayai d’enfiler ma bite mais elle était trop grosse pour me permettre de bien la plaquer et il aurait fallu qu’elle ouvrît les cuisses plus grand pour que je pusse la pénétrer, au lieu de quoi, ma verge se fraya juste un passage dans les chairs et vint chatouiller de son extrémité le clitoris dodu qui fendait les épaisses boursouflures des lèvres.
— J’y arrive pas !— Allonge-là !
Nous la prîmes chacun par une main pour la diriger vers le canapé. Elle se laissa faire sans résistance. Dès qu’elle y fut installée, elle écarta les cuisses. Ses cours de SVT me revinrent et je ne pus m’empêcher de penser qu’elle agissait en réflexe pavlovien.
Je m’allongeai sur elle et la pénétrai lentement.
Elle n’eut qu’un gémissement et un sourire de contentement.
Je commençai un lent va-et-vient super bon. Mon père s’approcha et tapota sa bite contre la joue droite.
— Suce-moi !
Elle se tourna vers lui et ouvrit la bouche pour pomper le dard paternel.
Ah putain qu’elle est bonne. T’es une bonne suceuse toi ! Hmmm tu sais t’occuper d’une bite. Vas-y, bourre la à fond, plus vite, fais la chanter. Bouge-lui le corps. J’veux voir ses gros nichons danser sous tes bons coups de bite ! Allons, du nerf. Je t’ai mieux élevé que ça bordel ! Fais pas ton timide !
Je me dressai donc sur mes bras qui s’enfoncèrent dans les coussins, me donnant une posture aussi inconfortable qu’instable.
Comme je ne donnais pas toute la mesure de mes moyens mon père reprit les choses en main.
— Donne ta place.
Je m’exécutai donc et mon père au lieu de la prendre en missionnaire, par des gestes assurés lui fit comprendre qu’il attendait autre chose. Elle se retourna, se mit à genoux et présenta son cul.
Sans hésitation mon père planta sa bite dans le trou et, se cramponnant fermement aux hanches, il se mit à la déchirer.
Ma pine tendue, je me ruai sur la bouche avide. C’est vrai qu’elle suçait bien ! Très bien même. Il était évident que la garce, non seulement n’en était pas à son coup d’essai, mais qu’elle aimait la queue. Cela me changeait de toute les petites pucelles ou les jeunes salopes sans habitude qui, à force de vous sucer en y mettant les dents, vous font presque une circoncision. Non, là c’était du grand art. Ma queue était en fête.
De son côté mon père exultait !
— Ah, putain, elle est bonne, ça c’est de la chatte! Et puis tu bouges bien! Sans dec, pour savoir aussi bien y faire, t’as été pute dans une vie antérieure. Bordel de putain de bordel à queue, ça c’est du cul ! Y’a un bail que j’ai pas tiré un coup pareil !
Je savourai la pipe profonde qu’elle me faisait en un état demi-extatique mais je ne négligeais pas pour autant mes devoirs. Mes grandes mains palpaient les mamelles pendantes et pinçaient les tétons. J’appréciais le contact de cette masse lourde dans mes paumes.
Complétement désinhibée, ma prof se donnait sans calculer. Ses coups de langue, la succion de ses lèvres, ses habiles mouvements de tête pour changer l’angle de suce, sa dextérité à s’immiscer entre le prépuce et le gland, tout concourrait à une éjaculation rapide. Il fallait que je me reprenne.
— Papa, viens à ma place, j’ai envie de lui bouffer le cul.— Bonne idée fils. Moi, pendant ce temps, je me prendrais bien une petite branlette espagnole.— Ah, cool... tu seras mieux si je m’allonge.
Notre dialogue valait consignes et la fille fit les mouvements qui convenaient à nos projets comme un automate.
Je m’allongeai donc et elle vint poser sa grosse vulve sur ma bouche. Elle ruisselait de cyprine. J’y poussai ma langue aussi loin que je pus.Son corps ondulait, à la fois pour positionner sa moule là où elle ressentait le plus de plaisir mais aussi pour satisfaire la bite de mon père qui se tenait debout devant elle. Mais je devinai vite qu’elle cherchait par ses balancements à se coller à mon menton où poussait alors une barbe rêche de deux ou trois jours et, manifestement, elle goûtait le picotement des poils sur sa chair en feu.
Mes mains enserraient ses fesses, s’y cramponnaient, y plongeaient de sorte que, si j’avais eu des griffes, je l’aurai lacérée.
Elle accéléra ses déhanchements et se mit à crier par à-coups : "oh oui... oh oui... Oh oui..." ! et je fus soudain inondé à tel point que je crus qu’elle avait pissé. Mais non, elle venait juste de jouir et sans être tout à fait une femme fontaine, elle se rapprochait cependant de ce que j’avais pu en voir dans des films porno.
— J’ai envie de la prendre en double...— Oh oui, bonne idée p’pa. On n’a jamais fait ça.— Toi peut-être mais moi, avec Mathieu, j’ai déjà pratiqué...— Vous m’aviez caché ça !— Mais on ne vous dit pas tout !
En tout cas, si moi je ne l’avais jamais fait, elle, elle pratiquait sûrement déjà car, toujours sans rien dire, elle se releva, nous empoigna chacun par le chibre et nous traina vers sa piaule. Ce ne fut pas long.
Papa s’allongea sur le lit et elle s’agenouilla face à lui pour enfoncer le pieu dans sa chatte. Il y disparut comme la poupe d’un navire lors d’un naufrage, ne laissant que les gros testicules comme témoins de la présence d’un homme en cet endroit. Elle se pencha en avant.
Je glissai mon gland contre les couilles paternelles pour trouver l’entrée.
— Dans le cul ! Mets-la-moi dans le cul.
Elle parlait peu quand on la baisait mais force est de constater que, lorsqu’elle le faisait, ce n’était pas pour ne rien dire. J’appréciai sa concision et sa lucidité, en tout cas mieux qu’en cours. Je répondis :
— Gel ?— Pas besoin. Déchire-moi le cul bâtard !
Elle s’enhardissait. Vraiment, elle gagnait à être connue.
De mes mains, j’écartai donc les grosses fesses pour découvrir une rosette toute lisse, luisante, qui présentait, comme les ornières d’un chemin après la pluie, les traces de nombreux passages. Elle était toute dilatée.
J’y enfonçai mon dard sans rencontrer de résistance, comme à l’exercice.
Je n’étais pas un grand habitué de la sodomie, ayant malheureusement rencontré peu de nanas qui voulussent bien s’y prêter. Néanmoins, je fus surpris de l’humidité. Le trou me parut plein de liquide. Je savais qu’on pouvait mouiller du cul; mais à ce point-là ! Aussi en fis-je tout haut la remarque :
— Putain ! Qu’est-ce que votre cul est mouillé (je gardai le voussoiement par habitude).— Oui.. je n’étais pas seule depuis longtemps quand vous êtes arrivés !— Ah ! On vous avait déjà chauffé le cul alors !— Décidément, faut tout t’apprendre !— Quoi ?
Mon père intervint :
— Ben oui, t’es con ou tes con ! Notre prédécesseur, il a joui dedans!— AH !!!!!— Ne te tracasse pas. Il est propre!— Je le connais ?— Casse-moi le cul au lieu de causer !
C’est vrai que c’était ce que j’avais de mieux à faire. Jamais ma prof ne m’avait fait plus juste recommandation. Je m’y employai donc consciencieusement en pilonnant le gros cul sans pitié, en appuyant fortement mes mains sur les reins. Mes coups de boutoir déformaient la paroi et ma queue comprimait celle de mon père de l’autre côté. Mes couilles touchaient les siennes. Nos deux gros chibres remplissaient la fille qui se pâmait et qui eut un nouvel orgasme.
Ce déferlement de bonheur eut sur moi un effet indescriptible. La rondelle se comprima par spasme successifs et rapprochés qui agirent sur ma queue en en processus masturbatoire unique. Je ne pus me retenir et mon sperme se mélangea à celui de mon devancier.
Après avoir un peu récupéré je me retirai de cette montagne de plaisir et m’écroulai sur le lit bien décidé à contempler le reste.
La fille se détacha de mon père pour le sucer. Il se laissa faire, corps tendu, yeux fermés, proche à son tour de l’orgasme.
Quand il sentit qu’il n’en aurait plus pour très longtemps, mon père se mit debout au-dessus de la meuf et, s’empoignant le zboub, il lui promit un déluge de sperme sur les nichons.
A ce moment, on sonna à la porte. Il était bien temps d’aller répondre! Mon père suspendit brièvement puis reprit son mouvement.
On sonna à nouveau. Nous ne répondîmes toujours pas bien convaincus que l’importun allait se lasser et que nous pourrions finir aussi bien que nous avions commencé. J’avais juste oublié que je n’avais pas fermé la porte d’entrée à clef !
Enfin, mon père jouit en râlant des "rhooo....rhooo.... rhooo". De lourdes giclées de sperme fusèrent sur le visage et les seins de la femme offerte.
Au même instant, alors que le foutre pleuvait encore abondamment, la porte de la chambre s’ouvrit en même temps qu’une voix disait :
— Excuse-moi, je crois que j’ai oublié....
Il s’arrêta médusé, en voyant mon père bite tendue et crachant, la femme soutenant ses seins pour recevoir le jus et moi en train de mater, avant d’ajouter :....mon portable.
A suivre...
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