20 janvier 2008, Xavier me téléphone, il me demande si j’ai respecté sa demande de ne pas me laver et m’ordonne de venir immédiatement chez lui et de descendre dans la cave. J’enfile mon pull et mon jean de la veille et claque la porte. J’entends Rex hurler à la mort. Pris de remords je l’emmène avec moi. Arrivée à la porte, je tape le code et descends à la cave. Une odeur d’humidité flotte dans l’air, j’avance à la cave N°7 et pousse la porte. Petite pièce sombre mais éclairée par une vingtaine de bougies, là, Xavier nu attaché sur un sling l’anus dilaté et occupé par un énorme plug en métal. Il me sourit, me demande de fermer la porte à clef et de me mettre à poil. Surpris par l’arrivée de Rex, Xavier sursaute en sentant sa langue dans la raie de ses fesses, sa langue râpeuse pousse sur son plug. Je me penche et commence par lécher son gland violacé, son membre est harnaché par un cockring en cuir qui l’enserre à la base et remonte entre ses couilles. Il me regarde tendrement et me dis que maintenant il sait d’où vient l’odeur de mon corps. Il vibre sous la langue de Rex qui maintenant lèche plus profondément sans plug. Ma bouche qui le pompe remonte en serrant légèrement les dents, sont corps tremble, tressaute, j’ai presque envie de jouir sans me toucher, il a un corps parfait. Je laisse sa bite, pousse Rex et commence par lui lécher les fesses exactement comme le chien, puis ma langue s’insinue dans sa raie, je le masturbe en même temps, il couine ce petit vicelard, c’est à mon tour de me faire lécher l’anus par Rex, mais j’ai trop envie de planter ma tige dans l’anus de mon amant. Je titille son petit trou avec mon gland, et sans prévenir, je lui plonge entièrement mon engin au plus profond de ces entrailles et au même moment sa bite éjacule comme une lance de pompier. Je retire mon sexe de son tunnel du plaisir et lèche son sperme, je n’en perd pas une goûte et fini par lui nettoyer le gland qui n’a même pas débandé, et je l’embrasse tout en replongeant mon sexe dans son cul. La j’ai la tête qui me tourne, j’ai chaud, je le pénètre brutalement, j’ai l’anus qui coule, qui mouille comme une chatte de femme, le sol est mouillé. Mes couilles tapent sur ses fesses, dans la pièce, flotte une odeur enivrante et excitante de sexe, de sueur, de cul, nos corps ruissellent de transpiration. Je continue toujours d’enculer mon pote, mon chéri, mon amour, mon amant et arghhhhhhhh je joui comme rarement tout au fond de sont conduit rectale. Immobile je sens les giclées sortir de mon sexe, giclées chaudes et longues. C’est divin j’ai les jambes qui tremble, j’embrasse Xavier, il me regarde avec ces yeux plein d’amour, des larmes coulent sur son beau visage et me dit qu’il m’aime. Je le détache, on s’installent sur le sol, il se couche sur moi, m’embrasse tendrement. Nous restons dans cette position, ivre de plaisir. 21 janvier 2008, à la mi journée mon petit ami en stage, me téléphone pour prendre de mes nouvelles. Il m’avoue qu’il a du mal à résister à la tentation d’aller faire un petit tour dans un sauna, il a la bite qui le démange. Et me demande si de mon coté je résiste. Ma réponse étant assez évasive, mais je le persuade que pour son plaisir, il doit se faire une petite virée dans un sauna. Dans l’après midi, je me rend chez Xavier, et surprise, je découvre une super jeune femme brune à moitié nue qui déambule dans son appartement. Il me présente sa sour jumelle. Après un verre, Xavier m’attire dans sa chambre et m’embrasse, il me demande si je suis partant pour un trip avec sa sour. Etant d’accord pour tout ce qui touche au sexe, j’accepte évidemment. Il me demande de me mettre à poil, j’obtempère. Il s’agenouille, me branle délicatement, puis brutalement, décalotte complètement mon gland, il le plonge dans sa bouche, me suce bruyamment, puis sa sour rentre dans la chambre elle aussi nue. Direct elle embrasse son frère et se met à quatre pattes sur le lit. Elle se caresse le minou puis branle son anus avec un, puis deux doigts. Xavier me fait signe de la prendre par derrière. Je place mon gland gluant de salive sur son petit trou plissé et pousse sauvagement mon membre jusqu’au couille. Elle souffle, ses cheveux noirs en avant, je me fais du bien dans son cul, sans savoir si elle a du plaisir, mais visiblement elle apprécie. Mes pénétrations sont rapides et toujours brutale. Elle se touche le minou. Xavier m’arrête, demande à sa sour de se mettre sur le dos et je l’enfile cette fois ci dans la chatte, chatte très large et baveuse. Dans cette position, je sens Xavier se mettre derrière moi, et moi aussi ayant l’anus hyper mouillé, Xavier me fourre son membre dans le cul. Maintenant c’est lui qui marque la cadence, ses coups de butoirs brutaux me font bouger dans la chatte de sa sour et nous avons un plaisir commun, tout les trois. Apres plusieurs orgasmes sa sour contracte son vagin au moment ou j’éjacule dans son ventre ce qui me contracte l’anus et serre la bite de Xavier qui à son tour me crache sont jus profondément. La chatte dégoulinante, je retire ma bite et lèche mon sperme qui coule, et Xavier me nettoie l’anus de sa langue sans en perdre une goutte. De retour à la maison, puant de sueur, gluant de sperme, odeur de chien, pas lavé depuis 4 jours, je m’allonge fatigué sur mon canapé. Rex se couche à coté de moi. 22 janvier 2008, Yoann, mon chéri m’appele pour m’avouer une petite virée dans un sauna gay. Il a bien baisé et me donne les détails croustillants de cette soirée. Cela m’excite et tout en écoutant je me paluche délicatement sous l’oil de Rex et fini par juter dans ma main que je lui donne à nettoyer ainsi que mon sexe. Sa langue râpeuse est divine et me procure une sensation indescriptible de douceur, de pincement, de picotements. 23 janvier 2008, reprise du travail sans conviction, je ne pense qu’à Xavier et au rencard de ce soir. Son message à été clair, c’est une soirée exhibition, j’ai seulement le droit de mettre un imperméable et surtout nu dessous. Tout un programme. 23h30 Xavier m’attend sur un banc devant la gare, vu l’heure c’est désertique, il me sourit. Je m’assois à coté de lui il m’embrasse sur la joue, et me murmure à l’oreille, salut mon petit chéri. Je rougis. Il passe sa main sous mon imperméable pour vérifier ma tenue. Nu, nu comme un vers. Il me caresse délicatement le sexe, me décalotte, passe son pouce sur le gland qui mouille puis me masturbe. Un rapide coup d’oil autour de nous, et il sort sa bite attaché d’un cockring en cuir, je vais pour le sucer, il ouvre mon imperméable, et m’urine dessus. Etonné j’ai un petit saut de recul, puis referme mon imper. La il introduit sa verge dans ma bouche que je doit nettoyer pour malheureusement la ranger dans sont pantalon. Il m’embrasse avec une belle langue baveuse et se lève en me tirant par la main. Sensation bizarre mouillé sous mon imper, l’odeur d’urine me monte aux narines, mon sexe bande comme une énorme banane. Dans une rue adjacente, Xavier tape un code, puis nous entrons dans un immeuble qui ressemble plus à une tour vue la hauteur. Il me pousse dans l’ascenseur, et après quelques étages, coupe l’ascenseur. Xavier retire mon imper, mon corps maculé de pisse, mon sexe au garde a vous, il baisse son pantalon, retire un énorme gode en latex noir, me retourne et me l’enfile profondément dans l’anus. C’est un pur bonheur. Et là, il m’ordonne de l’enculer sans ménagement. Je commence par poser mon gland contre son anus, et lui-même se pousse brutalement pour s’empaler. Je me déchaîne dans son cul, une odeur de pisse, de transpiration, de merde flotte dans l’ascenseur, je vais jouir, mais ce salaud se retourne et ma bite sort de sont anus dans un bruit de ventouse. Il remonte son pantalon, et me remet mon imper. Déçu, la bite crade, je n’ai pas joui. Mon sexe me fais mal tellement je suis excité. Il m’embrasse et remet en marche l’ascenseur pour monter au douzième étages. D’un coup l’ascenseur stop, un jeune magrébin rentre, me dévisage. Il appuie sur rez-de-chaussée. Là je ressens des vibrations dans mon anus. Ce salaud de Xavier a une télécommande et fais vibrer a distance le plug dans mon cul. Le bruit de la vibration résonne dans l’ascenseur, le jeune magrébin me regarde et me dis. Et msieur, ton portable y vibre. Tout rouge, je lui répond que je n’ai pas de portable, enfin la porte s’ouvre, il descend se retourne et me traite de sale pd de blanc, et part. Xavier et moi sortons de l’immeuble, et se dirigeons vers un quartier réputé chaud. Quelques prostituées se disputent le trottoir. Sur une placette, quelques voitures sont garées, là un homme viens à notre rencontre bise Xavier et lui donne une clef. Intrigué, je suis Xavier dans une petite camionnette. Enfermé à l’intérieur, sombre une banquette au milieu, Xavier me déshabille et ouvre le rideau d’un coté de la rue. Là des hommes 3 puis 5 me regarde. Il me semble qu’ils ont la bite à la main. Xavier me donne sa bite à sucer puis suce ma bite crade par la pénétration que je lui ai faite. A l’extérieur j’entends un chien aboyer, puis quelqu’un cogne au carreau de la camionnette.
