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Tendre nièce

Chapitre 2

Trash
ACTE II – soumis
Voilà une heure que ma nièce a découvert mon penchant pour la soumission ; prenant la chose en main, elle me conduit du monde du fantasmeur timide à celui de réelle créature soumise.
Je dois lui faire sa toilette. Elle est nue sous la douche ; le gant savonneux glisse sur sa peau blanche laiteuse. Ses petits tétons roses m’excitent. Depuis que je suis son esclave, je dois être nu dans la maison ; je porte un collier de chien légèrement serré afin que je sente ma fonction et une ficelle liée à mon sexe le maintient en érection. Régulièrement, elle m’effleure, passe ses fesses dessus ; elle semble vraiment savoir comment me rendre dingue.– À genoux, esclave ! Il est l’heure de ta toilette.Ouf, enfin… En-dehors des éclaboussures de la douche, je n’ai pas eu droit de me servir de l’eau pour retirer l’odeur de ma propre urine qui enduit mon corps. Je vais pour me saisir du pommeau quand elle reprend :– Que fais-tu, esclave ? Je ne t’ai pas parlé de cette douche : à genoux, et bombe le torse !
Je m’exécute lentement, de peur de glisser, et mal à l’aise à deux dans une si petite baignoire.Je suis devant elle ; elle place un pied sur le rebord et approche sa minette de mon épaule. Bon sang, je pourrais presque la lécher en tournant la tête… mais je comprends que ce n’est pas son but. Son ondée dorée me coule dessus, et me revoilà souillé pour la seconde fois ; mais quel délice ! Je regarde cette rivière dorée s’écouler sur ma peau, goutter dans la baignoire et disparaître. Elle glousse de me voir si soumis. – Tonton, je pensais : ce serait dommage de s’arrêter à la fin de la semaine ; alors tu vas me payer mon permis de conduire. Ainsi, après chaque séance, je pourrai venir te voir et continuer ton dressage.Je me figeai, pris à la fois d’une stupide peur matérielle et financière, et en comprenant que ce jeu n’était en fin de compte qu’une suite de règles qu’elle choisirait seule. Elle me tenait par mes désirs physiques ; par les couilles, si j’osais l’expression...Elle sortit de la baignoire et s’enveloppa d’une serviette chaude ; elle me jeta un regard sec.– Reste là tant que tu gouttes ; sèche-toi naturellement, puis tu viendras ramper à quatre pattes à mes pieds. Je remonte finir de mater ton ordinateur : j’ai vu une section « trans » et je ne l’ai pas encore explorée.
Je baisse la tête et patiente dans la baignoire... Dans l’autre pièce, je l’entends glousser.Suffisamment sec à mon goût, et la queue si tendue qu’elle me fait mal, je retourne la voir à quatre pattes. Je me sens tellement humilié par cette gamine qui a moitié moins de mon âge et qui a autant d’autorité. À ses pieds, je dépose de doux baisers, espérant que mon geste soit apprécié. Elle se lève, retire la chaise et me fait mettre à sa place. Elle pose ses fesses nues sur mes reins ; sa peau est chaude. Elle regarde quelques photos de sexes dotés de piercings.– Tonton, je pense avoir une excellente idée, humm… Mais je préfère ne rien te dire. Puis elle se tait et se caresse la minette sans se faire jouir pendant les vingt minutes suivantes, en continuant d’explorer ma collection d’images pornographiques. Je n’ai droit qu’à quelques fessées quand je bouge un peu pour me recaler ou montre des signes de fatigue.– Habille-toi. On sort : tu vas faire chauffer ta CB !
Et merde...
Fin de journée ; c’est les bras chargés que nous revenons ; enfin, surtout les miens : ma nièce, en maîtresse, joue les divas. Nous avons fait d’interminables achats : des petites tenues sexy pour elle, et des jouets pour mon dressage dans le sex-shop. D’ailleurs, la moitié des trucs ont été achetés sans que je puisse voir ce que c’était. Je souffle un peu mais déjà elle me réprimande ; pas de pause, nous repartons. C’est tête basse, le collier caché sous une chemise à haut col que je la suis.
Centre ville, nous rentrons dans une boutique de tatouage piercing ; mon cœur bat a cent, je n’ai pas envie du tout d’aller aussi loin, j’essaye de lui dire que j’ai des limites : elle me répond d’une caresse, d’un sourire et d’un baiser. Je me perds soudainement, un baiser doux et tendre ; je la jurerais amoureuse tant il est doux, mais elle doit sûrement encore me manipuler... et comme un lâche, je cède encore. Elle parle à présent au vendeur. Nous entrons dans une arrière-salle et, retirant mon pantalon, mon slip, je me retrouve nu devant ce type. Je n’ose même pas parler : j’ai si honte, ma queue est si petite, il va sûrement raconter ça à toute la ville !– Tonton, le professionnel ici présent, va te poser deux anneaux en perçant la peau de ta calotte ; ça n’a rien de douloureux et ça disparaît au bout d’un mois si tu retires les anneaux. Tu as une petite bite et une grosse calotte : c’est idéal pour toi.Je ne sais pas pourquoi je dis oui de la tête. Sûrement qu’en secret j’ai toujours admiré ce genre de bijou intime.Me voilà donc confortablement assis dans un fauteuil, le slip sur les chevilles,
Le type est un vrai pro : je n’ai quasiment rien senti. Il m’explique les consignes d’hygiène et tout ce qui va avec, me file des produits et je passe à la caisse. Aucune remarque sur la taille de mon sexe ; je me sens un peu soulagé.Dans la voiture, elle m’ordonne :– Sors-la !Je râle ; je ne vais pas faire ça dans la voiture… Elle réitère son ordre.– Sors-la !
J’ouvre ma braguette. Assis, mes plis de graisse enveloppent ma queue ; elle semble noyée dans mon ventre. Elle agrippe alors les deux anneaux et tire doucement dessus : ma queue sort comme un serpent de son trou. Clic !! Le déclic soudain d’un cadenas. La garce vient de me coiffer le capuchon d’un cadenas passant dans mes deux anneaux. Je sais déjà que mes érections seront bloquées. La garce ! Je frémis dans mon siège. Des doigts me caressent la queue ; un doigt se glisse même par le bout de ma calotte, caressant mon prépuce. Je sens des choses étranges ; je suis si excité, je... Hummm, je jute sur mes couilles, sans vraiment jouir ; juste une sécrétion due à mon excitation. Ses doigts me caressent les couilles, et poursuivent leurs douces caresses... Elle me dit de rentrer à la maison.
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