ce teste est un fantasme avec moi en en personnage principalbonne lecture ____________________ ACT I- Premier jour Je me dépêchais de faire un semblant de ménage, j’allais devoir recevoir ma jeune nièce durant quelques jours, le temps que ses parents règles a l’autre bout du pays quelques affaire délicates d’un vieil héritage en conflit. Je courrais un peu partout, transpirant , il faut dire que je n’avais pas l’habitude de recevoir, je suis un vieux garçon de 40ans, célibataire malgré quelques très courts essais et dont je suis très lucide un physique qui est loin de se conformer à l’image d’un play boy.Déjà je suis gros, à cela s’ajoute un corps poilu, et pour achever le tableau mon sur-poids que je trimbale depuis mon enfance a bloqué le développement de mon pénis, celui ci n’est gère plus long et gros que mon propre pouce, et si je veux bander et me masturber, chose que j’adore, je dois rechercher des choses perverses sur internet, car à avoir trop fantasmer sur le sexe « classique » celui ci n’arrive plus à me stimuler suffisamment pour me donner une érectionHeure H, ma nièce arrive accompagnée de ses parents, après quelques heures de convivialité affligeante et de conseils idiots me voila seul avec elle. C’est un joli petit brin de fille, son petit défaut à elle est sa taille. Maigre ses dix huit ans, elle ressemble à une petite lolita de seize ans, une petite pierre brillante sur la narine, les seins en poire, avec des cheveux brun bouclés qui lui tombe sur le cou. Je lui montre sa chambre qui est d’autre qu’ une pièce secondaire ou j’ai installé mon pc, je me sens vite mal à l’aise, je n’ai vraiment pas l’habitude de parler aux jeunes filles et nos discutions sont très vite sur des sujets de grande banalité, temps, course, bouffe.Elle jette sa valise sur le lit et se penche pour sortir ses habits. Je remarque son jean trop court qui laisse ressortir une culotte de dentelle rose sur le creux de ses reins. Je sens une montée de sang à mes joues, elle est adorable ainsi. Je me sens jaloux de sa beauté. Et voila qu’elle sort ses petites affaires, culottes , bas , encore de la dentelle. Je me dis qu’elle est bien émancipée pour son jeune âge.Mon regard reste rivé un moment sur ses fesses fermes et dodues, sur le creux de ses reins délicieux. Sortant de mes rêverie , je tends un doigt lui indiquant l’armoire et les tiroirs, je rajoute qu’elle peut se mettre à l’aise ici et faire comme chez elle. Ce à quoi elle répond en riant « - même me promener nue ? -héhé, si tu as envie mais attention, je suis peut être un pervers qui a truffé la maison de vidéo-hihi» Je sors en souriant de sa chambre, et lève les yeux au ciel... quel stupide réponse j’ai dit là.. déjà que je suis pas habile, voila que je m’ enfonce tout seul. Le reste de la journée se passe bien, on se regarde un dvd, elle tchat sur son portable avec ses copines, on dine ensemble, et heureusement pour moi, elle ne se promène pas nue... ou dommage. Ma nuit est agitée, mes rêves sont érotiques, je me réveille plusieurs fois avec une petite gaule, je caresse ma petite queue. J’imagine le corps de ma nièce nue sur son lit, je l’immagine nue devant sa webcam pour son petit copain. Je tente de me branler mais sans succès, je suis pathétique, je me tourne et me rendortUne gène sur mes cuisses me réveille de nouveau, j’ouvre les yeux encore ensuqué et la j’ai une accélération cardiaque, assise sur mes cuisses, ma nièce nue me fixant de ses yeux noisette, ses jambes serrées me tiennent la hanche et elle contemple ma petite verge et son érection du réveil.Je lui découvre un autre aspect de sa personne, ses mamelons sont percés, et de petites barres argentés les traversent, ainsi qu’un bijou au nombril.-Et bien tonton ce qu’on dit sur les gros se confirme avec toi, ils ont de petite queueSon audace me foudroie sur place , je ne sais que dire et répondre, mon cœur bat vite, le sang me monte à la tête. La voila qui pose sa main et ses doigts fin dessus. Ne dis rien qui gâcherait ce moment et écoute moi. Ce à quoi elle commence par essayer de décalotter mon gland , et glisse un doigt sur mon urètre.
« - Ça ne me gène pas en fait, mon petit ami a une queue trop grosse j’ai pas de plaisir avec, il me fait mal, la tienne est mimi on dirait celle de mon petit frèreMalgré l’excitation de la scène, je commence à débander, la honte me tiraille — Hoo je t’excite pas assez ? — Heu..si.... tu es magnifique tu ... tu devrais pas— Ta gueule gros porc je t’ai dit de pas gâcher ce moment, Cette nuit je m’ennuyais alors j’ai allumé ton ordinateur, et whaaa, t’es vraiment un gros obsédé, toutes ces photos SM et ces vidéos de dominantes.Je me fige, son franc parler est soudain comme un coup de dague dans mon ventre.— Tu sembles bien mal en point pour être le dominant de la maison, mon clito est plus dur que ta nouille, aussi tant que tu ne sauras pas tenir une érection, c’est moi qui déciderais de toutA cette phrase elle me prend les tétons et les tourne entre ses petits doigts — Compris ?— Heu haaa....hmmmm.. oui — Oui maîtresse !— Hum haaa oui mai...maîtresse. me voila impuissant , soumis à l’ordre de ce petit bout de femme, mes sens s’affolent, je serais fou de refuser la, sur mon lit, elle me fait une proposition tel que je l’ai fantasmé plusieurs fois avec d’autres femmes imaginaires.— Tu vas être mon cochon domestique, mon chien, mon valet , tu feras mes quatre volontés et en échange je t’exciterais et tu m’en seras redevable. »La voila qui commence à caresser ma verge, roulant la peau de ma calotte sur mon frein caressant le gland de son pouce. Je frémis sous la douceur et la sensation d’une main autre que la mienne, mon sexe maintient une semi-érection, je vois que cela l’excite au lieu de la décevoir. Une gifle, une autre ! ma queue se prend deux claques et bascule de gauche a droite, ses doigts l’empoignent, elle tire dessus, la tord.Je grimace de plaisir, je me complais a être le maso de cette jeune déesseJe laisse échapper un encore !Elle continue de jouer avec, sur mes jambes, je sens une humidité naissance, elle se frotte la chatte sur mes cuisses poilus tout en tortillant mon sexe , pinçant mon gland pour en agrandir l’urètre et caresser de l’ongle fin de son petit doigt.Avant la fin de la semaine, je te doigterais l’urètre esclave, et mon poing sera logé au fond de ton culQuel langage, quel humiliation, je frémis de plus, belle, je me sens basculer dans la folie. Oui, oui je veux, je veux tout subir tout lui accorder. Je me sens terriblement excité malgré que je débande encore et puis je réalise.. sous ces émotions ma sensation d’uriné c’etait faite discrète, mais à présent plus virulente, je comprends ma débandade .— Je dois aller pisser— Et bien pisse, tu changeras les draps, c’est pas mon soucis, allez gros porc, commence à te souiller le ventreTirant ma queue, elle l’aplatit sur mon gros ventre posant sa main dessus pour presser le gland.Je me laisse aller en forçant un peu, et je me sens aller.. mais aussi bloquée, la voila qui pince l’urètre et me retient mon urine.Dorénavant esclave, tu ponctueras toute tes demandes en ajoutant maîtresse, tu ne feras rien sans mon accord, je veux tout contrôler de ta grosse personneHummpff haaa oui maîtresse , laisse moi pisser !!Hummm c’est douloureux ?Hummmm oui ....oui maîtresseTu aimes ca hein ?Je....haa oui maîtresse Huhu, alors arrose toi bien » relâchant , la pression me fait sortir mon urine en un jet violant qui remonte jusqu’a mon visage avant de couler en arc de cercle sur ma poitrine, mon nombril et couler sur mes couilles.Humm tu sens fort, tu sens le mal tu sais, c’est pas désagréable » et voila qu’elle me caresse le corps de mon urine, me caresse le ventre de ses seins et s’allonge sur moi, glissant sur mes poils trempé et encore chaud.J’hésite, mais finis par poser mes mains sur ses fesses blanches, elle ne me gronde pas.Elle reste là et semble vouloir y passer un moment, une sieste peut être. Ca ne me gène pas, je bande.La regardant si belle, ma divine nièce, je me dis que la semaine risque d’etre la plus belle de ma vie.Elle empoigne alors ma queue, visiblement satisfaite d’être arrivée à me faire bander. Me masturbant en serrant la queue elle me dit :— Des cet après midi nous irons en course, tu me payeras tous ce que je veux, tu m’ entretiendras comme une princesse et en échange, humm... tu sais déjà quoi en échange mon gros cochon de tonton.— Haa quoi ? demandais je par jeux— Tu pourras lécher ma minette et boire mon pipiA cette déclaration j’eu une violente éjaculation , me laissant tremblant sur mon lit sous les rires aiguës de ma nièce qui semblait apprécier mon petit geyser lui coulant sur ses doigts fin.
