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La tentation d'Adèle

Chapitre 8

Lesbienne
Si seulement je savais qui je suis. Je suis complètement paumée. Jamais maman ne n’avait laissée seule aussi longtemps. C’est grave quand même d’avoir attendu mes dix huit ans pour découvrir son corps.La conversation dévia mais sa main reprit son parcours scabreux.Cécile éplucha mon adolescence. Elle s’épancha aussi sur son parcours et la découverte compliquée de son homosexualité. Je buvais ses paroles en me noyant dans ses yeux. Nos atomes crochus s’imbriquaient à la perfection.
Subitement, elle retira sa main pour toucher le cuir détrempé.
—Une petite question, Adèle. Nous sommes bientôt arrivées. Comment allons-nous expliquer à Rachel que tu as noyé le siège de sa Maserati uniquement parce que je te touchais la cuisse?
Nous étions garées dans l’entrée du parc quand l’étendue des dégâts m’apparut dans toute sa splendeur.
—Mince ! Donne-moi ton foulard ! Je vais éponger.
—Flûte ! Et puis quoi encore ? Donne-moi plutôt ta jupe, je la passerai sous le robinet à la maison !Elle est dans le même état. Je n’utiliserai que le devant qui est un rien plus sec.
—Laisse-moi faire et occupe Rachel ! Elle ne va pas tarder à arriver.
—Frotte fort, mon bijou! Rachel m’appelle.
—Je vois que tu as déjà fait connaissance avec la « sans-culotte ». Je t’avais prévenue qu’il ne fallait la toucher qu’avec d’infinies précautions.
—Tu me connais. Je ne me serais jamais permis de lui mettre la main. L’inondation, ce sont les vibrations de ton V8. Il tourne carré ton moteur.
—Répète! Si cette limace pose encore une seule fois ses fesses dans mon cabrio, je lui mets d’office une couche-culotte spéciale nuit.
—Elle est drôlement belle ta locataire. C’est une habitude chez elle d’arpenter ta propriété à moitié nue. Note que le spectacle n’est pas désagréable!
J’étais certaine qu’elle allait te plaire. Regarde comme elle frétille du croupion!
—Elle le fait exprès ou sa naïveté est congénitale ?
—C’est de moi que vous parlez? Pourquoi me fixez-vous comme ça!
—Cécile et moi nous demandions pourquoi tu avais choisi de te faire violer à Bruxelles plutôt qu’à Namur.
—Même pas drôle. J’essaye de réparer mes bêtises et vous vous moquez.
—Laisse-tomber mon siège, prend ta valise et rentre!Ma jupe à la main, je tentai de pénétrer dans le couloir que les deux femmes obstruaient sciemment.
Rachel m’attrapa par les épaules tandis que Cécile peignait mes cheveux avec ses doigts.
—Donne-moi ta jupe que je la mette à la lessive! Mon Dieu! Quelle horreur!
—Quoi, quoi? Ne me dites pas qu’elle est foutue!
—Ne bouge pas! Une grosse araignée s’est accrochée à ton pubis. Cécile va t’en débarrasser.
—Je connaissais la ceinture de chasteté et voilà que je découvre la culotte d’impureté. Quand c’est aussi bien porté, j’appelle ça un appel au viol.
—C’est mignon, non? Je porte aussi le soutien assorti. Ma cousine m’a offert tout l’assortiment de coloris.
—Le soutien qui soutient rien du tout, oui. Enlève ta blouse aussi, elle est dans le même état que ta jupe!
Cécile me malaxaient les fesses en les écartant jusqu’à me soulever du sol.
—Mes doutes sont dissipés. Tu es bien le modèle obscène du site de ta prétendue cousine. Débarrasse-toi de ces accessoires d’une vulgarité sans nom! Que les choses soient claires! Tu mets ces sous-vêtements de carnaval dans un colis. Je le poste demain et tu téléphones immédiatement à ta cousine pour qu’elle retire tes photos de son site. Il faut savoir ce que tu veux faire de ta vie : la médecine ou la pornographie.Le téléphone fixe est au bout du couloir. J’attends. Je compte jusqu’à dix, ensuite je contacte ta mère pour lui expliquer la situation.
L’humiliation était rude mais je m’exécutai, persuadée que la cravache de Rachel allait bientôt sortir toute seule du tiroir pour me tanner les fesses.
—Cécile et moi avons des principes. Pas question de mélanger études et plaisirs. Tu comprends cela !
—Mais je suis encore en vacances.
—Jusque demain matin, oui.
—Maintenant, j’aimerais que tu m’expliques pourquoi tu exposes aussi facilement ta nudité devant deux personnes que tu ne connais qu’à peine. Est-ce la routine des shootings photos ou une énième manifestation de ta naïveté? Ah non! Tu ne vas pas nous verser une larme.
Cécile m’entoura de ses bras en me cajolant la poitrine. Elle paralysa le cerveau pour ne laisser parler que mon corps.
—Sois plus douce avec Adèle, Rachel! Je ressens en elle une énorme fragilité.
—Contrairement à toi, Cécile, je pratique les filles depuis des dizaines d’années. Sous cette apparente fragilité, Adèle est atteinte d’une perversité maladive qu’elle dissimule bien mal. Cette petite chatte est trop humide pour être honnête. Ton sexe est plus doux de jour en jour, ma poupée. Il t’en a fallu des efforts pour offrir à ta Tata une minette aussi soignée.
Elle posa sa main sur mon pubis et posa son index sur ma vulve.
—Pourquoi me touchez-vous là! Vous savez très bien que je ne saurai pas vous résister.
—Quelle hypocrite! Avoue que tu es venue chez moi pour que je te mette la chatte à l’envers!
De sa poigne de fer, elle me tordit ma vulve comme pour me l’arracher. La complainte qui sortit de ma gorge n’avait rien d’un cri de douleur.
—J’ai la réponse à ma question. Tu viens de nous faire le lâcher de phéromones de l’année. Ne t’étonnes pas du fait que nous ayons une envie folle d’abuser de toi!
Le regard d’oiseau de proie dont elles m’enveloppèrent tout à coup me donna la mesure de leur motivation. Cécile me pressait les seins comme des citrons. Rachel étreignait de toutes ses forces mon abricot. Cette violence contenue m’embraquait les sens dans un désordre que je ne parvenais plus à circonscrire. Grisée par l’oppressante sensation qui m’affole lorsque je tutoie l’abîme, mon seul vœu, à cet instant était de devenir leur grande poupée mécanique entièrement vouée à l’aberrant bonheur d’un esclavage sexuel que j’imaginais autant contraignant qu’ avilissant.Les deux complices resserraient leur prise pour me faire de plus en plus mal.Progressivement, je joignis mes mains dans le dos pour que mon offrande leur paraisse évidente.
—Rachel! La petite vicieuse n’esquisse pas le moindre geste de défense. Penses-tu à la même chose que moi?
—Je pense que notre jeune beauté a le diable au corps mais qu’elle est trop fière pour admettre que nous lui faisons du bien.
—Regarde-la! Elle est dans un état second et ne saurait nous répondre. Il vaudrait mieux vaut la laisser.
—Non! Vous ne pouvez pas m’abandonner. Pas maintenant!
Rachel me pétrissait la motte comme une boule de pâte en laissant vagabonder son index dans ma fente. J’avais depuis longtemps quitté mon petit nuage pour rejoindre la stratosphère.
—D’accord! Nous allons montrer comment fonctionne ta petite fontaine à Cécile mais pas aujourd’hui.
Quand Rachel relâcha son étreinte sur ma motte, je me suis sentie aussitôt orpheline. D’un réflexe méprisable, j’attrapai son bras pour retrouver la brûlure de sa main sur mon sexe.Le sourire énigmatique de Rachel laissa apparaître l’intense bonheur de celle qui vient d’obtenir la chose qu’elle convoitait.—Veux-tu bien lâcher mon bras? Tu ne vois pas que je risque de te faire très mal si tu insistes.
Cécile me prit le visage entre ses mains.
—Viens! Nous avons toutes les trois besoin de nous calmer.
—Vous me ferez encore plus de mal si vous m’abandonnez en plein délire. Vous me déshabillez, vous me caressez et puis, vous mettez à deux pour me tourmenter. Vous ai-je demandé d’arrêter? Non! Je t’avais dit, Rachel, que j’aimerais que tu me cravaches les cuisses. C’est pour toi que je me suis préparée toute la journée. Est-ce que vous vous rendez compte du compte du courage qu’il m’a fallu pour te confesser ce désir sordide? Tout ça pour rien.
Cécile me serra très fort contre sa poitrine. Pour me consoler, ses doigts me faisaient des papouilles bien agréables sur ma chute de reins.
—Te fatigues pas, je ne sens plus rien! L’envie m’est passée.
— C’est qu’elle deviendrait méchante quand elle est contrariée, surtout quand elle est frustrée. Si tu ne sens plus rien, je peux te faire tout ce qui me passe par la tête.
—Ne te gênes surtout pas! Je ne sens plus rien, je te dis. Parlons sérieusement! Quand est-ce qu’on mange?
Cécile avait choisi mes tétons pour repas. Elle a vite compris que je ne tiendrai pas longtemps. Rachel fouillait ma valise à la recherche d’une tenue correcte. Je riais en mon for intérieur car j’avais dévalisé la garde-robe de maman en ne retenant que ses tenues les plus sensuelles.
—Y a rien de décent là-dedans! J’aurais du m’en douter de la part d’une nana qui affiche ses formes en page d’accueil de sites cochons. Puisque tu aimes tant que cela de t’exhiber, tu pourras utiliser selon tes envies l’arme fatale de ta nudité à condition que tu suives les règles de la maison. Chatte toute nue, panpan cucul! Seins à l’air, panpan sur le derrière!
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