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thérapie

Chapitre 3

Avec plusieurs femmes
– Et alors ?
– Bien tu es venue et je vous ai vu avec mère vous embrasser comme deux amantes.
– Hé ! Oui avec ta mère, nous avons partagé beaucoup de moments d’intimité. Maintenant qu’on est nus les deux, que penses-tu de mon intérieur, il t’attire ?
– Je t’ai dit que je fantasmais sur les femmes de type hindoue. Juste que je trouve dommage que tu aies rasé ce qui est intéressant,
– C’est mon mari qui me l’a demandé, il n’aime pas quand les poils se coincent entre les dents ou les gencives. Essaye et tu verras si c’est à ton goût !
– Mais dis-moi ton mari, cela lui gêne pas les cornes ?
– C’est un peu comme ton père, il rêve de viande crue et fraîche. Alors je ferme les yeux sur ses galipettes et je fais de même sur les miennes.
– Je commencerais bien un petit apéritif à l’étage plus haut, tu as des seins qui appellent la bouche pour les honorer, j’adore cette forme en poire.
– Je t’en prie ne te gêne pas, ils sont là pour s’en servir, mais n’oublie pas la grotte d’Ali Baba, il y a plein de trésors. Me laisseras-tu essayer de goûter ton pain d’épice ? Il m’a l’air bien appétissant.
– Comme pour toi, il n’est là que pour pisser, mais surtout pour qu’on s’en occupe.
Ayant bien goûté les seins, il est temps de s’intéresser à la grotte d’Ali Baba
Approchant son long nez de l’entre-jambe convoité, il savoure les flaveurs qui s’en exhalent, tirant sa langue, il la pose sur le sommet de la petite bite qui sort de son écrin et il commence à la sucer, continuant son exploration, il arrive sur le champ de bataille qui s’agite comme une mer par temps d’orage, mais dès qu’il se place dans l’œil du cyclone, la tempête se calme et des vaguelettes commencent à rejaillir sur son visage.
– Tu es sûr que c’est la première fois que tu mets ton nez dans une minette ?

– C’est pas mon nez, mais ma langue, j’aime bien ton goût. Est-ce que tu aimes mon léchage.
– Très bon, mais j’aimerais sentir ton épieu au plus profond de moi, effectivement avec ce que je tiens dans la main, je me sens déjà toute chaude et toute chose.
Dirigeant son artillerie vers le champ de bataille, il enfonce sa grosse Berta dans la tirelire de Luce et il commence à pomper et à faire des pompes.
– C’est bon, gémit-elle, que j’aime cela quand on la sent en entier et qu’il ne reste pas de place. Je suis comblée.
Au milieu du coït, la porte d’entrée s’ouvre et voila que Nicole faisant semblant d’être fâchée, surgit devant les amants, bien embrochés l’un dans l’autre.
– Vous faites quoi là ? s’écrie-t-elle.
– Mais ma chérie, tu le vois par toi-même, on baise. Déshabille-toi et viens vite nous rejoindre. Savais-tu que ton fils est magnifiquement outillé.
– Mais tout de même, c’est mon fils !
– Raison de plus, Tu m’as bien dit que ton mari ne faisait pas le poids. Là, tu vas te régaler.
La Sainte Trinité
Sans autre commentaire Nicole enlève ses vêtements :
– Mon fils te sens-tu d’attaque pour affronter deux tigresses affamées en manque de mâles.
– Mère, laisse-moi finir Luce et tu vas voir de quel bois je me chauffe. Comme fantasme, j’ai toujours rêvé de voir deux femmes s’amuser, tends donc ton bijou à Luce qu’elle te le prépare, j’ai vu tout à l’heure que vous étiez très intimes, cela devrait lui faire plaisir. Au point où on en est, cela ne devrait pas poser de problème.
– Viens Nicole, cela fait déjà un bout de temps que tu ne m’as pas donné ta fleur à butiner, mais ce polisson prétend s’est vendu comme vierge. J’ai l’impression qu’il a pris un petit acompte.
– Allons plutôt dans ma chambre, le lit est mieux adapté à la trinité. Au nom de la mère, du fils et de la copine amen.
En arrivant dans la chambre, Nicole se met sur le dos, écarte ses cuisses bien largement, laissant sa fleur prête à être butinée par la reine des abeilles qui elle est en train de s’en prendre plein l’arrière-train. Louis, s’étant planté bien profond dans l’hortensia de Luce, qui avait besoin d’être arrosé de l’intérieur, laissant l’œillet rectal pour plus tard,
Rapidement, sous l’influence des doigts magiques de Nicole qui lui manipule les tétons et sous le labourage copieux de son con par Louis, Luce décolle, s’envole, plane dans les hautes stratosphères du plaisir pour finalement atterrir sans instrument sur l’aérodrome de la phase post coïtal (c’est marrant, le correcteur d’orthographe me propose postcoloniale, postpalatale ou postale…)
Louis qui avait bien dosé ses forces, se retire sans avoir arrosé le jardin d’Éden de Luce, c’était pas nécessaire, car elle avait explosé avant lui.
Luce, épuisée par ce round, provisoirement reprend son souffle et laisse la place à Louis pour terminer ce qu’elle a commencé. Après deux ou trois coups de râpeuses sur les parties intimes de sa mère, pour faire baisser la pression qui l’a bite. Malgré cela on dit que Satan l’habite.
Presque rageusement il se plante en territoire conquis voire exquis et commence une course de fonds, afin de calmer la deuxième tigresse.
Le spectacle de l’inceste consommé entre Louis et Nicole n’est pas sans effet sur la libido de Luce, à nouveau, se noue au fond de son ventre l’envie irrépressible de jouir à nouveau de ce bel instrument, Mais, ayant le con encore palpitant après le ramonage conquérant de Louis, elle se met à cheval, devant Louis, offrant à Nicole sa tirelire pour y glisser son obole linguale.
Voyant cette croupe palpitante devant lui, Louis ne peut se retenir de penser qu’un échange de trous serait bien envisageable.
– Mère, tu as devant les yeux, l’objet de ma concupiscence, cette belle croupe agitée d’un mouvement chaloupé m’invite à la visite, cet œillet bistré est horriblement attirant mais avant prépare-moi un peu le terrain, mets un petit coup de langue sur l’entrée de service pour huiler les gongs et élargir un peu le passage avec les doigts, pour que mon camion de livraison puisse passer sans esquinter les huisseries.
Une fois le pont des soupirs bien lustré, prêt à l’emploi, mère me dit :
– Va-s-y, c’est fin prêt pour l’intubation rectale, amène ton remède contre la constipation.
– Ahouuu ! Crie Luce, le cul défoncé
– Ouah lui répondit non pas l’écho, mais Louis qui s’était bien fiché dans la pastille, pas à la menthe, mais de Luce. C’est super de sentir ton boyau faisant la fête à ma zigounette. On sent que tu n’as pas eu beaucoup de livreurs à l’entrée de service.
– Tu peux parler, tu t’aventures dans des terres qui étaient encore vierges !
– C’est pas vrai, je t’offre mon saucisson de Payerne première cuisson et toi tu m’offres ton ticket de garantie rectale Ikéa. C’est la journée du dépucelage en gros.
– Avec ton gros machin, tu frottes drôlement sur les huisseries de la porte de service, j’espère que tu ne vas pas faire sauter les plâtres. Voilà, cela va mieux, l’ouverture se dilate automatiquement (on n’arrête pas le progrès).
… Nicole, si tu me mets la main, tu peux sentir à travers cet énorme os, je dirai même ce colle os qui me la bourre, la pastille.(peut aussi s’écrire : Ce colosse qui me laboure la pastille. )– C’est vrai, je le sens bien ce piston qui me chatouille les doigts, tu supportes ?
– C’était dur pour moi au début, mais maintenant, c’est la récompense, heureusement que pour lui, c’est toujours bien dur, c’est délicieux de sentir cette masse élargissant mon déjà gros intestin.
… il n’y a pas à dire, mais la pureté de son dollar vaut bien la dureté de son polar.
Louis ayant mis ses mains en avant, s’est approprié les nichons de Luce et il prend un plaisir à les torturer un peu, du coup, devant, cela devient les grandes eaux. Nicole a son avant-bras qui est complètement trempe du plaisir de Luce.
– Dis donc, tu m’inondes le bras. Je vais le retirer et mettre la tête sous le robinet et la tête oh oui oui oui et la tête oh non non non et la tête sous le robinet.
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