Les vacances Le soir, réunissant la famille, Nicole s’adresse à son mari : – Paul mon chéri, je pense à organiser nos futures vacances, que dirais-tu de la Corse ou de la Sardaigne ? – C’est que j’ai mon travail qui m’accapare beaucoup. – Je sais, je suis au courant qu’elle a vingt ans de moins que moi, mais pourquoi pas l’inviter aussi, je compte prendre également Nicolas, le fils de Luce, elle me l’a demandé, car elle va avec son patron au Japon. – Je ne te savais pas si large d’esprit ! Mais c’est une bonne idée. – Merci, mais ne te fais pas trop d’illusion, je prends aussi mon ami. En effet, j’ai aussi abaissé l’age de mon amant, c’est Nicolas, le fils de Luce. – Quoi, je suis cocu et je n’ai rien vu ! – Tu sais en principe, le cocu ou la cocue est toujours un ou une, des derniers informés. Mais je ne l’ai fait qu’une fois que j’ai été mise au courant que les dimanches où tu sacrifiais ta famille à ton travail, tu le faisais sur le ventre d’une jeunette. Mais je ne t’en veux pas, je te comprends, l’enthousiasme de la jeunesse compense largement l’expérience d’un âge mûr défaillant. J’ai largement gagné au change. – Mais tu n’as pas de preuves tangibles et si tu veux le divorce tu vas perdre. – Qui te parle de divorce ? Cette situation me convient parfaitement, je t’aime toujours, mais pas la même chose, ma proposition ne te convient pas ? – Je suis encore un peu sous le choc, mais c’est OK, mais si nous, nous avons pris de quoi satisfaire nos envies sexuelles, qu’en est-il de Louis ? Il a une compagne ? – Ne t’en fais pas pour moi papa, je me débrouillerai sur place.
– C’est vrai qu’avec ton sexe à piles (à nouveau un jeu débile de mots), c’est plus facile que moi avec ma bedaine et mes muscles du ventre relâchés. Une longue discussion suit sur la péréquation financière, elle ferait rougir de honte le chancelier de l’échiquier. Mais pour autant qu’on connaisse un peu le jeu, la finale pion dame contre roi voit le roi se faire mater propre et en ordre et Nicole ne lui laissa pas le choix du pat. Il prendra tout à sa charge, moins une participation symbolique pour Nicolas. – Mais je ne peux rester décemment plus qu’une semaine de suite, mes vraies affaires me l’empêchent, néanmoins, je vous ferrai quelques visites. – Tu ferras comme bon te semble. Après quelques recherches, rapidement Nicole trouva un magnifique mas dans les côtes du Lavandou, bon le prix, c’est la côte d’Azur et avec tous les Russes qui font gonfler les prix, il n’y a pas de miracle. Le premier soir se posera le dilemme qui couche où et avec qui. Nicolas ne sachant pas que Louis et sa mère couchent parfois ensemble et Louis ne devant pas savoir que Nicolas se fait sa mère. Nicole s’en ouvre à son fils du comment faire, elle ne se sent pas le courage d’avouer à Nicolas sa liaison incestueuse. – T’inquiète Maman, je vais m’en charger à lui faire avaler la pilule, je vais lui demander ce qu’il pense de sa mère, je sais qu’avant il se branlait dans les culottes de sa mère, donc il ne doit pas être trop horrifié par l’idée. Se retrouvant au bahut, pendant la pause, Louis discute avec Nicolas en lui demandant comment c’est avec sa mère et s’il lui pique toujours ses culottes utilisées. – Non, plus maintenant. – Ah ! Bon, tu n’es plus intéressé par ta mère ? – Non, il faut bien que je t’avoue que pendant que tu révisais le traité de Rome avec la mienne, je ne faisais pas que réviser les math avec la tienne. On est amant. – Ça, je m’en doutais bien, même que je le savais pas, mais ce que tu ne sais pas, c’est que tu m’as succédé. – Comment cela ! – Si toi, il n’y a pas longtemps, tu fantasmais sur ta mère, moi, j’avais dépassé le stade du fantasme. J’ai aussi connu ma mère au sens biblique du terme. – Au fait, tu viens avec nous les prochaines vacances, mère a négocié avec mon père pour te prendre. Je crois qu’elle adore faire des math avec toi. Lol. – Et il sait que moi et ta mère… – Oui, elle lui a d’abord mis sous le nez ses propres infidélités pour lui faire comprendre qu’il n’est pas le seul, du reste elle lui a demandé de prendre sa souris avec, cela va être d’un drôle. – Mais ton père est au courant pour toi et ta mère ? – Non, pas vraiment et je ne tiens pas qu’il attrape un coup de sang. – C’est super, car si mère m’a dit qu’elle voulait aller en voyage au Japon avec son patron. Tu n’es pas jaloux par hasard ? Car je pense bien que le traité de Rome, c’était comme les math pour moi. – Non, c’est pas mon épouse, je n’ai pas de droit d’exclusivité sur sa libido. Je suis assez carpe diem. La première semaine, seuls Nicole, Nicolas et Louis prennent possession du mas, avec une magnifique piscine et la mer à proximité. Le soir venu, devant une petite anisette, Nicole annonce la couleur. – Nicolas, tu connais nos relations avec Louis et je vais t’avouer que depuis longtemps, j’ai un fantasme que j’aimerais assouvir, avoir deux jeunes chevaliers servants en même temps dans mon lit. Aussi n’utiliserons-nous que le grand lit et ce n’est que quand le père sera là qu’il faudra un peu de retenue. – Alors je pourrai te… – Oui, je ne vais rien refuser à mes amours. Car vous êtes mes amours, surtout toi Nicolas qui est sorti premier des examens finals, ce que cela m’a fait plaisir et flatté mon égo. Le soir venu, après avoir fait quelques longueurs dans la piscine, le trio se retrouve sur un très grand plumard, probablement chargé de souvenirs, mais il allait en acquérir de nouveaux. Les trois enlèvent leur tenue de bain et se retrouvent comme Adam et Ève, si ce n’est qu’il y a encore Abel qui n’était pas encore né du temps du paradis. Nicole constate que ces deux éphèbes sont au sommet de leur forme et bandent bien fort. Elle les prend les deux en main en même temps et leur secoue un peu le prunier humain, arbre bizarre, sans branches dont les fruits poussent au niveau des racines. Finalement après quelques aller et retour, première classe, ils s’allongent sur le lit, elle trônant au milieu et eux accrochés chacun à un sein et avec une main se disputant l’entrée du sanctuaire. Rapidement Nicole sent que sa température monte et elle se sent le besoin de prendre la température et a besoin d’un bon thermomètre. – Mes trésors, j’ai besoin de vos thermomètres, comme Nicolas n’a pas encore visité les catacombes, il pourrait s’occuper du côté pile et Louis du côté face. D’autant plus que ce sera plus facile pour moi à l’ouverture, ni de la bourse, ni des marchés, mais de mon cul, vu qu’il présente un trépan tout à fait adapté à ce genre de situation. Mais il faudra bien le préparer, mon cul et pas le trépan. – Mère, j’ai appris en botanique que les œillets sont des plantes toxiques, mais pas tous, j’aimerais bien contrôler de ma langue comment c’est avec le tien, pendant que Nicolas s’occupe de tes seins. Après, je lui laisserai la place pour un complément de graissage. – Mes chéris, faites comme vous voulez, j’accepte tout, à part le SM, il y a de la vaseline dans mon sac. – Mam mets-toi à quatre pattes que je déguste ton troufion. Là Louis lentement caresse les jambes, l’intérieur des genoux, puis des cuisses pour arriver finalement en face du cul de sa mère, il tire une langue et lentement la passe sur le cul, puis plus rapidement et encore plus fort, il voit que cet œillet palpite de plaisir, il redouble d’efforts, il sent son appel de la bite. Finalement, il demande à Nicolas de le remplacer, mais avant de se planter dans le porte des délices, il faut un peu graisser les gongs pour ne pas arracher le cadre. Une fois que Nicolas ait bien préparé l’entrée de service et est fin prêt pour cette première, Nicole dit à Louis : – Mets-toi sur le dos, ma crapette est suffisamment chauffée, je vais m’enfiler sur toi et Nicolas viendra compléter en m’enculant, maintenant que c’est bien préparé. C’est ainsi que Nicole se trouva comblée de tous les trous du bas par deux jeunes éphèbes vigoureux qui en voulaient. Elle sentait les queues qui se frottaient, sans se toucher directement, séparées par une fine paroi, le ressenti est simplement fabuleux d’un côté son boyau qui se faisait masser vigoureusement et de l’autre sa vulve n’était pas au repos avec le mandrin impressionnant de son fils qui lui raclait les parois et parfois frappait le célèbre point G Rapidement elle monta au ciel et dans son petit paradis de jouissance y resta longtemps, passant d’un orgasme à l’autre quand d’un coup, les deux compères ne tenant plus leurs troupes, dévastèrent le champ de bataille en déversant leur liqueur amoureuse. Repus et reposant sur le dos, les acteurs de cette couillonnade monstrueuse reprenaient leur souffle. – Mes chéris, c’était merveilleux, je suis une femme comblée, que dis-je doublement comblée. Je sais à quoi ressemble le paradis, la mort ne me fait plus peur, du reste ne dit-on pas la petite mort ? … Demain est une dure journée avec visite de la plage, bronzage, baignade, etc. ne pensez-vous pas qu’on pourrait prendre un petit peu de repos ? Après le voyage, je fatigue un peu. – Mais bien sûr. Bonne nuit Mam. – Viens Nicolas, j’ai envie de t’avoir dans mes bras pour m’endormir, ta tête reposant sur ma poitrine. – Tu es sûr que c’est la meilleure façon pour s’endormir, quand je vais mettre ma tête sur tes seins, ton odeur va m’inciter à ne pas rester tranquille et je vais vouloir à nouveau te les lécher et de fils en aiguilles on va se retrouver en train de faire l’amour. – C’est pas grave, on ne va pas en mourir, on le fera alors tout tranquillement, mais va te laver ton matériel de forage, des fois que j’aurai une petite soif, la visite de l’intérieur de l’intestin n’ajoute pas un goût inoubliable.
