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Thérapie et dérapage

Chapitre 1

Trash
« David Hume écrivit un livre au XVIIIème siècle. Il y prétendait que la pensée humaine était toujours logique. Sa démonstration reposait sur le fait que l’homme entretenait toujours un lien entre ses pensées présentes et ses pensées suivantes. Cela pouvait être lié à la causalité, à la ressemblance ou à la contigüité entre les pensées. Des évolutions ont été faites sur les réflexions de David Hume, mais elles restent mineures, et l’on peut dire que la base de ses idées sur « l’entendement humain » est toujours la référence première sur la pensée humaine.
Vous vous dites sans doute, que le mécanisme de la pensée est anodin, peu important pour le commun des mortels. Il est en effet généralement admis que c’est le contenu des pensées, et non le cheminement qui y abouti qui détermine la personnalité d’un Homme. Pourtant il me semble important de démontrer que les deux ont une importance essentielle, et je vous invite à écouter l’histoire suivante. Non pour succomber au voyeurisme mais à titre de prévention, ou comme l’aurait dit David Hume, comme un ‘’cautionary tale’’.
Ce que nous allons entendre provient des cassettes utilisées par Madame Sophie Flanchon. Elle avait pris l’habitude d’enregistrer chaque session avec ses patients dans le cadre de leurs thérapies. Nous n’entrerons donc pas dans les pensées des protagonistes. Nous assisterons juste aux actes et paroles bruts qui vont être échangés, l’auditeur devra lui-même imaginer les pensées qui soutiendront les actions des personnages.
-----  Précisons, pour la clarté de votre esprit, que ce qui va suivre se déroule dans un cabinet de psychologie, d’un décor assez sobre la pièce est parsemée de bibliothèques. Elles sont remplit de manuels portant que la psyché humaine, ainsi que de quelques livres de fiction portant sur des névroses ou ayant un lien avec des maladies psychiques on y trouve les frères Karamazov, Lolita, Alice au pays des merveilles, le journal d’un fou et quelques textes de Bataille. Au centre de la pièce est installé un divan moelleux. Un fauteuil non moins confortable est placé en face ; le bureau est plus loin, proche d’une fenêtre surplombant un parc. Le drame qui va suivre commence alors que Frédéric, le patient, après avoir attendu une demi-heure dans une salle d’attente reçoit l’autorisation par le réceptionniste –Jérémie- d’entrer dans le cabinet, ou la psychologue l’attend…

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-Bonjour. Vous devez être Frédéric, allongez-vous sur le divin.-Merci Docteur.-Appelez-moi Sophie, je vous en prie. Alors qu’elle est votre problème ?-Pour dire les choses simplement, je suis impuissant. J’ai consulté deux docteurs, et ils m’ont fait le même diagnostique… C’est un problème psychologique.-C’est en effet bien plus que probable pour quelqu’un d’aussi jeune que vous. Mais avant de s’avancer sur ce terrain peut-être avez-vous du mal à identifier votre sexualité, peut-être aimez-vous les hommes ou vous avez des attirances fétichistes que vous refoulez. …-Oh non Docteur, pardon, Sophie. Non, j’aime les femmes je les trouve belles, j’aime leur… pardonnez-moi, je n’ose pas trop…-Arrêtez de vous excusez… et exposez votre problème de la façon qui vous est le plus confortable. Je suis là pour résoudre vos difficultés pas pour en causer.-Très bien, alors j’aime les gros nichons, je trouve les culs terriblement attirants. Enfin…-Enfin ?-Je les trouve attirant mais ils me terrifient.-Les nichons et les culs vous terrifient ?-Pas les culs en eux même, mais cette façon dont les femmes s’habillent, leurs pantalons, leurs pulls, leurs chemises boutonnées j’ai souvent l’impression d’être face à des hommes et ça me perturbe terriblement.
-Mais les femmes qui sont en jupe, ou ont des décolletés elles ne vous terrifient pas ?-Moins ! Je suis plus à l’aise, je sais à qui j’ai affaire.-Pourtant je suis en pantalon, et en chemise, je vous terrifie ?-Pour être honnête… Oui, je crois que j’aurais dû voir un thérapeute homme en fait.-Vous êtes libre de choisir, mais je pense que vous avez fait le bon choix. Avec une femme comme thérapeute vous pourrez mesurer les progrès que vous aurez fait pendant les sessions, ce sera sans doute bénéfique pour vous.-Mais, j’ai la gorge nouée. Je suis pas sûr de pouvoir continuer une session entière face à vous.-Bon, nous allons abréger cet entretien. Je verrai comment arranger les choses aux prochaines séances. En attendant j’aimerais que vous téléphoniez à ce numéro.-Qu’est-ce que c’est ?-Un téléphone rose. Je voudrais que vous conversiez avec une femme, une conversation sexuelle. Et que vous reteniez ce qui vous excite et ce qui vous repousse.-Très bien.
---------------------------1 semaine plus tard.---------------------------
-Bonjour Sophie.-Bonjour Fred-J’aime votre tailleur, je trouve ça plus féminin, je me sens mieux-Merci Fred-Et votre bustier, on voit des bouts de nichons… Je me sens bien plus détendu-Hum… Allongez-vous sur le divin.-Surtout que vous avez de gros nichons vous faites du C ?-Ça suffit ; Alors vous avez téléphonez ?-Oui, j’ai téléphoné mais ce ne m’a pas fait grand-chose.-Rien du tout ? Rien ne vous a excité, ou fait fantasmer ?-A vrai dire, je l’ai traité de pute, de salope... et j’ai aimé ça. Vous croyez que je suis pervers ? Ou dérangé ?-Non, c’est un phénomène courant. Vous avez un probablement un complexe d’infériorité vis-à-vis des femmes. Lorsque vous les insultez, vous devenez temporairement supérieur. Ou du moins vous pensez l’être, cela vous met en valeur. Vous les dominez verbalement et cela se ressent sur votre émoi sexuel.-Pourtant j’étais terriblement mal à l’aise. Traiter une femme comme ça… Ça ne me semble pas correct. Elles sont tellement belles et, je sais pas, inaccessibles.-Un complexe d’infériorité comme le vôtre induit un énorme respect pour les femmes. Beaucoup plus que la norme… Et cela vous paralyse. Vous devriez penser aux femmes comme à des, ‘’putes et des salopes,’ ’comme vous dites, cela peut vous libérer au moment de les aborder.-Mais je n’oserais jamais. C’était au téléphone et je l’ai dit que pour tester ce que je pouvais aimer ou pas, comme vous m’aviez dit de faire.-Faites un effort, juste pour le penser. Elles ne peuvent pas savoir ce que vous avez en tête.-Non, c’est trop ordurier.-Bon, nous allons faire un jeu, vous allez me traiter de pute ou de salope.-Quoi ?-Oui vous utiliserez ces termes en vous adressant à moi. Vous allez voir que cela peut débloquer vos inhibitions.-Je peux… Salope ?-Oui très bien. L’idée n’est pas de vous faire mépriser les femmes, mais de vous faire entrer dans un jeu de séduction.-Vous voulez que je séduise… petite pute ? -Ne me vouvoyez pas en même temps que vous insultez, c’est contreproductif. Tutoyez-moi plutôt. Et oui la séduction, la conquête d’une partenaire est une étape pour qui permettra de vous valorisiez et d’être apte à un acte sexuel.-Mais sale trainée… Ça ne vous dérange vraiment pas que je vous traite comme une pute ?-Non, non, continuez ça vous aidera, il faut que vous libériez votre esprit du carcan normalisateur. Que vous voyez une femme en tant qu’ « Homo Sexualis »-D’accord trainée, mais comment je pourrais séduire une femme, alors que je ne serais pas capable de la pénétrer ? Ce serait embarrassant… Rien que la honte que j’aurais, je peux pas faire ça, connasse.-Alors pour la semaine prochaine vous irez dans un sex-shop. Vous y achèterez une poupée gonflable, que vous utiliserez avec des magazines pornographique à votre goût. Et gardez en tête que vous êtes supérieur.-D’accord pétasse, à la semaine prochaine.
---------------------------1 semaine plus tard.---------------------------
-Entrez Fred.-D’accord cochonne.-Pardon ?!-Heu, vous m’aviez dit que…-Ah oui, c’est vrai pardonnez-moi, euh continuez…-Merci sac-à-foutre, déjà que je trouve votre jupe un peu longue, ça me fait bizarre. Comme si je n’avais pas le droit de voir une femme, alors si en plus je ne pouvais pas utiliser ces mots… vous comprenez ? -Euh, je verrais pour ma jupe. Alors vous avez essayé la poupée gonflable ?-Oui, c’est un échec total.-Vraiment ? Vous avez bien pensé que vous dominiez la situation, que la poupée était votre chose ?-Oui, mais c’est une poupée. Je ne sentais rien, c’était juste un objet froid...-Je vois, je vois, alors vous avez achetez des magazines qui vous plaisaient ? -Oui je les ai même rapportés.-Voyons, hum « Tournante pour Magalie la soumise » « Jessica la bourgeoise, pute par amour » « Princesse Rose, bukkake royal »… à celui-là « Élection locale, vide-couille municipale». Oui, ça confirme mon diagnostique vous chercher la soumission chez les femmes, tandis que votre Surmoi est esclave de préjugés sur leur supériorité.-D’accord salope. Mais en quoi ça m’aide ?-Et bien, quand vous vous branlez.-Je me branle pas, je suis impuissant, pouffiasse.-Pourtant vous avez choisis ces magazines parce qu’ils vous plaisaient.-Oui, mais intellectuellement. Physiquement ils ne me procurent rien, c’est juste des photos glacées, tu comprends le vide-couille ?-Je crois que vous devriez vous masturbez ici.-Hum ? Pourquoi ?-Et bien… Je suis sûr que ces magazines, par exemple celui-là : ‘’ Spéléologue et gouffre à foutre’’, cette nana qu’est-ce qu’elle peut avaler… Hum, oui… Ce magasine est lié à un de vos fantasmes et donc en insistant vous pourriez avoir une réaction sexuelle. Pensez à ces femmes comme à moi… Euh je veux dire pensez à ces femmes comme à des putes, et masturbez-vous.(bruit de braguette)-Flap fap flap… Ça me fait rien salope, tu vois bien.-Oui, c’est pas terrible. Mais passez-moi euh ‘’la vide-couille municipale’’. Merci, et si moi, voilà en lisant ce magasine je me caresse les seins ?-Ouais, quand tu te touches je sens quelque chose, t’es super chaudasse.-Alors je vais me masturber en même temps que vous, nous allons voir si cela a un effet positif… Passer moi aussi la bourgeoise qui se fait prendre par les dix noirs avec leur bite de chev…. Hum…-…-Oui ! Hum, je suis humide ça vous plait ?-Continue salope.-…OH OH OH ! Oh putain !-Et bien tu as carrément jouie sur ton fauteuil petite pute.-Euh…-Putain, t’es une salope.-Euh…-Et bien quoi ? Tu vas laisser ta mouille sur ton fauteuil ? -Euh, c’est-à-dire…-Prend ce mouchoir petite conne, et essuie.-Merci.-Mais qu’est que tu attends ? Nettoies salope, c’est pas pour te moucher.-…-Voilà, c’est mieux. Qu’est-ce que penseront les clients s’ils remarquent que tu te masturbes dans les sessions ? -Hum… tenez votre mouchoir.-Mais non ! Garde le mouchoir, qu’est-ce que tu veux que je fasse de ta mouille ? Et puis remets ta culotte espèce de truie tu vas en remettre partout.-Hum… Jouir avec des magazines pornographiques est une réaction normale, vous savez… Quant est-il de vous ? Avez-vous éprouvé du plaisir ?-Un peu, je bandais mollement pendant que tu te défonçais ta chatte de chienne. -Très bien ! C’est un progrès, je suis sûr que votre impuissance sera bientôt vaincue. Ce que je propose c’est que vous retourniez au sexshop et prenez ce qui vous fait plaisir. Essayez de laisser tomber vos inhibitions, cela permettra d’éclairer vos penchants et de retrouver de la vigueur.-Très bien à la semaine prochaine la baiseuse.-Oh, Laissez ça ! Je veux dire, heu, les magazines je vais les garder, ils peuvent m’orienté sur votre psyché.
--------------------------1 semaine plus tard, du bruit vient de la salle d’attente.---------------------------
(Le volume des paroles est très faible)-Rendez-vous …pute... 15 heure. -Ça… insulter de… façon ?! Je crois que… (bruit d’ouverture de la porte)-Ah voilà la cochonne.-Je vais vous demandez de partir, Madame Flanchon ne vous recevra plus à partir de maintenant, si vous insistez je vais…-Laissez Jérémie. C’est pour la thérapie... Entrez Fred, je vous en prie.-Ok, la pouf, ton tailleur est vraiment ras-la-moule au fait.-Ça vous plait ? Allongez-vous pendant que je ferme la porte.-Ouais, je me sens plus à l’aise avec une trainé de ta sorte. Et puis on voit presque tous tes nichons.-Bien, bien. Alors comment ça s’est passé ? Avez-vous trouvez ce qui vous convenait ? Avez-vous dépassé vos inhibitions ?-Pas qu’un peu, pute.-Très bien, montrez-moi d’abord ces magazines : « La vide-ordure de noël… » c’est carrément scato, elle boit vraiment la pisse de.. et elle mange même leur… oulala. Et ça « la baigneuse de foutre »… elle plonge vraiment dedans…-Ça te fait mouiller hein salope, je vois ta culotte humide.-Oui, c’est une réaction saine vous savez…-Et bien branle toi salope, qu’est-ce que tu attends.-Je sais pas si… Bon d’accord… Une femme qui se masturbe sur votre commande est clairement un pas en avant, et…-T’as vraiment que t’as chatte en tête hein ?— Oooohh, vous n’avez pris que ces magaziiiines ?-Je sais pas trop conasse, faudrait voir.-Qu’est-ce que vous vouleeeez dire.-Et bien tenez j’ai pris ce collier et cette laisse, j’aimerais bien mettre ça une gonzesse. La mettre autour du cou d’une chienne en chaleur, ça me rassurerait sur ma virilité petite conne.-Ohhhhh !-Arrête de de masturber et vient ici-Très bien, mettez-moi donc ça. C’est pour la thérapie hein ?-Mais ouais pute, approche toi ! A quatre pattes c’est un collier pour chienne faut que je sente que t’es qu’une salope. (Clic)-Oh, mais la clef ?-Je la garde pouffiasse. -Vous avez autre chose?-Une cravache.-Oh !-Met toi face contre le bureau, salope, ton cul vas la sentir.-Oui, de la cravache c’est important psychologi…-Putain, ta culotte est une vraie éponge, c’est pas possible d’être une trainée pareille.-C’est naturel…-Ferme là !-Oui, vous devez avoir la parole c’est… Aie !-Voilà un coup. Maintenant, fait monter ma virilité. Montre-moi que tu es une chienne-Euh, vous devez frapper les salopes, elles le mérite comme moi, Aie ! Je suis votre pute Aie ! Je dégouline vraiment, je sui Aie ! Aie ! Oh c’est tellement bon Aie !-Voilà un vrai cul rouge de salope. -Je peux encore prendre des coups, mon cul…-Non ça suffit pour aujourd’hui… Donne-moi cent euros pour la séance.-Oui oui, voilà…-Fait moi une pipe aussi.(Bruit de braguette)-Slurp, lap lap, slurp, slurp, aahhh, sluuuurp sluurp-Enfonce la tête pétasse, attends je t‘aide-Aiii… Sluuuurp, ohh, sluuuurp, slurrrp, slooorrp, aaahhh..-Pas mal, je sens que je bande un peu plus que d’habitude… Je reviens demain.
--------------------------24 heures plus tard, un son très faible provient de la salle d’attente.---------------------------
-… je connais… salope… porte(bruit d’ouverture de porte)-Tu vois bien Jérémie la patronne m’attend en se branlant.-vous devriez, attendre qu’elle euh ait fin….-Bon vient me sucer salope.-tout de suite !-Euuuh, je vous laisse.(bruit de fermeture de la porte suivit de bruit de succions, pendant un quart d’heure. )-Vous avez une belle érection aujourd’hui.-Ouais. Bon retire ta culotte.-Euuhh.-Oh putain, t’en as même pas ! Saloperie de garce. Bon à quatre pattes chienne, on va dans la salle d’attente.-Mais il y a le réceptionniste, et le prochain patient...-Et alors ? Je vais leur montrer comme je domine ma pute, quelque-chose te déplait ?-Non non c’est parfait ! C’est tout à fait thérapeutique pour votre Surmoi et.. .-Ta gueule !(bruit de porte)-…-Madame Flanchon ! Qu’est-ce-que ?-Ta patronne est ma pute. Tu vois pas ? Explique-lui, salope.-Euh, c’est pour la thérapie, je suis une pute et…-Mais il…-OOOOUUUUUUHHHHHHH !-Voilà, j’encule ta boss, enfin ta boss, la trainée qui se fait passer pour une boss. Dis pute, ton autre patient à l’air outré… Il savait pas que t’étais une vide-couille ?-Monsieur oh ! Monsieur Houiller, jeee ! Oh mon cul ! Je suis en séance de thérapiiiiiiieeeee ! Ouuuh ! Je mouille tant ! Euh, non ne partez pas, je suis une pute vous compreneeez !! Une psyyyy !hiiii ! Je veux dire une psy.-Madame, au-revoir vous entendrez parler de moi.-Ooouuuuhhhh !-Han ! Han ! Putain t’as le cul étroit, je croyais que les psys adoraient se faire enculer ! Han !-Mon cuuuuullll ! ouuui !-Voilà, ah ça fait du bien décharger dans ton cul.-Oooooohhh !-Bon je reviens demain à la même heure. J’ai laissé quelques magazines et DVD pornos sur ton bureau, pour que tu te branles… Et aussi des habits… Tu as intérêts à les porter quand je reviendrais.
---------------------------24 heures plus tard, dans la salle d’attente.---------------------------
(son très faible)-Salut …rémie, passe… culer.-Heu… attendez….-Pas la peine… prévenir, connais… porte…(bruit d’ouverture de porte)-Tu te branles bien salope ?-Oui Fred.(bruit de claque)-Tu m’appelles Monsieur, pouffiasse. Bon je vois que tu as mis les habits que je t’ai choisis.-Oui mais c’est..-Des habits de putes oui. Cuissardes de cuire et haut léopard. Tu as eu ‘’des clients’’ avant moi ?-Euh, non ils ont annulé, je crois que Monsieur Houiller a dû parler à certains et…-Alors tu as profité du temps libre pour te masturber avec le porno-Oui…-Et tu es déjà mouillé je suis sûr.-Oui…-Bon bouge ton cul de là,-Voilà.-Qu’est-ce que tu attends debout ? Mets-toi à quatre pattes…. Et puis reste pas ici sale chienne, va dans la salle d’attente et suce Jérémie j’ai des trucs à faire pendant ce temps.(Bruit de porte)Ziiiiiiiiffff-Madame Flanchon qu’est-ce que vous faites.-Tu vois bien Jérémie, je te débraguette pour te sucer. Sluuuurp, sluuurrrp-Mais c’est quoi votre problème !-Je suis une salope Jérémie, je suce ; quoi de plus naturel ? Sluuurrrp-oh puttttaaaiinnnn. Vas-yyy !-slllluuurrrppp(Les bruits de succions continu une demi-heure)-AHHHHHH !-Voilà j’espère que je t’ai bien sucé.-ohh(bruit de porte)-A te revoilà. Putain avale le foutre, il t’en reste plein sur le menton.-Gloups-Voilà, une bonne avaleuse. Comme tu es bien parti pour sucer viens t’agenouiller ici et utilise ta bouche pour quelque d’utile.-… Slurp, slurp… -Bon, j’ai deux trois trucs à de dire. Tu peux te branler quand tu me suces si tu veux. Une salope comme toi, soit sa main tient une bite, soit elle fourre sa chatte.-Sluuurrrrrrp, merci-Mmmm, bien, alors j’ai appelé tes clients, hOOoo, la moitié sont d’accord pour revenir.-Slurrrp, merci Fr… Monsieur Frédéric.-Je leur ai proposé qu’ils te baisent en compensation du préjudice de s’être fait tripoté le cerveau par une pute cela dit. -Sluuurp-Aaaah ! Oui, c’est leur bite que tu devais leur tripoter pas leur cerveau… Donc c’est moi qui reprends leur thérapie… -Quoi ?-Continue à sucer salope !-Pardon, sluuuurp, slurrrrrp.-Oui, je suis psy aussi. Enfin je vais l’être dans quelques heures je dois remettre ma thèse. Elle s’intitule : « Syndrome de Stockholm et thérapie : le danger de la soumission. » Tu sers d’exemple évidement. Tu viendras dans la salle où aura lieu l’oral, avec ta tenue de pute ça sera parlant. Et tu reconnaitras peut-être même certains de tes profs AAAAAAHHHHH.-Sluuurp. Glouups gloups.— Avales bien. Ah oui… je n’ai jamais été impuissant au fait, j’ai juste pris des calmants avant de venir pour ne pas bander trop fort.-Mais…-Retrousse tes cuissardes que je te baise… Voilà, mets-toi contre le bureau.-Haann ! En ce qui te concerne, tu viendras deux fois par semaine pour ta thérapie. Il te faudra bien ça pour assimiler que tu dois être pute et pas psy. Tu rembourseras tes clients, se faire analyser par une pute c’était malhonnête, t’étais une vrai salope sans éthique hein ? Quant à moi tu me donneras une prime de cinq mille euros je pense les mériter pour le travail que j’ai fait sur toi. Haaannnn-Ooohhh, oui défffooonnnce-moooi !-Tu me donneras les clefs de ta maison. C’est vrai quoi, tu te l’ais payé en pratiquant un métier que connaissais pas. C’est à moi qu’elle devrait revenir… on s’occupera des papiers quand je t’enculerais à la prochaine session.-Mais où je vais dormir ? oooohhhh ! Ma chatttte ouuui !-En attendant, han ! J’ai discuté avec un psychotique, hier, dans le cadre de ma thèse. Il m’a dit qu’il organisait des tournantes dans un immeuble. Dans la cave du 17 rue Karl Marx pour être précis. La porte ferme pas. Elle est utilisée par les jeunes du quartier, tu pourras y rester en payant nature. Par contre mes séances c’est cent euros, alors faudra que tu travailles aussi pour des clients dehors.-Je vais faire la pute ?-Tu es une pute ! Je pourrais te mettre en contact avec des producteurs de porno aussi, t’aime tellement ça te branler sur ces trucs… hhhaaaaaaannnnn !-OOOOHHhhh ouiiiii !
(l’enregistrement s’arrête ici.)

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  Vous pouvez être sous l’impression que le patient se révèle être un manipulateur. Mais rappelez-vous que le seul but de Frédéric était de fournir une démonstration pour sa thèse, pas d’humilier Sophie. Cependant en cherchant à rabaisser constamment la psychologue il a orienté la conversation dans une direction sans jamais en dévier, là où deux individus lambda serait passé d’un sujet à l’autre.
Et qu’avons-nous appris ? Sophie aurait-elle accepté de se soumettre à Frédéric sans le rappel constant à un statut de ‘’salope’’ ? De la même façon Frédéric qui considérait Sophie comme un sujet d’étude et d’expérience a fini par ne plus voir en elle qu’un bout de viande, ce qui n’était absolument pas son intention initial. La dégradation du statut de Sophie a été préconisée par elle-même, rappelons-le. Le comportement de Frédéric que d’aucun qualifierait de monstrueux à l’égard de Sophie n’aurait sans doute pas eu lieu si elle n’avait pas réagi positivement aux humiliations qu’elle recevait, ce qu’en tant que psychologue elle se sentait obligé de faire. Il serait injuste de jeter la pierre à Frédéric en le considérant comme responsable.
Gardons donc à l’esprit que les qualificatifs usés dans la conversation sont aussi important que la teneur de la conversation. Et que tout cela n’est qu’un malheureux concours de circonstance. Je conjure les jurés à ne pas chercher un coupable où il n’y en a pas…, le seul responsable est la mécanique de l’esprit humain. »

  Extrait de la plaidoirie de l’avocat de la défense de Frédéric Leteuil, détenteur de la société de société de production pornographique « Sophie Flanchon la plus grosse salope du monde ». Les charges comportent la pratique sur Sophie Flanchon de zoophilie entrainant des souffrances animales, notamment sur des serpents et hamsters. L’utilisation non autorisé des réserves de la banque de sperme de Bourg-en-Bray, des activités sexuelles et scatophiles sur la voie publique, l’outrage aux bonnes mœurs par organisation de tournantes en diverses caves (voir liste en annexe 1), la responsabilité de six mois de tapage nocturne chaque nuit de 11 heures du soir à 5 heures du matin par des cris de jouissances dans l’immeuble sis au 17 rue Karl Marx. Et finalement le remboursement entrainé par les coûts de résidence illégal de Madame Flanchon, une société de nettoyage devant venir chaque jour retirer des dizaines de capotes usagé aux alentours.
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