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Thomas

Chapitre 1

Inceste
Chapitre I
Odile a rencontré Daniel lors de vacances passée Montalivet avec ses parents. Tout deux étaient issus de familles où le naturisme était un véritable art de vivre. Elle avait tout juste 18 ans et lui en avait 25 mais la différence d’âge n’empêcha pas leur rapprochement et neuf mois plus tard, elle mettait au monde Charline, leur premier enfant.Daniel avait une grande ascendance sur sa jeune épouse et, pour que son expérience ne se borne pas à sa seule personne, il l’initia avec succès à l’échangisme et à une certaine forme d’amour libre sans que cela ne porte atteinte à leur amour.La naissance de Charline, même s’ils l’accueillirent avec joie, avait légèrement compliqué leurs vies et Odile avait eu un peu de mal à poursuivre ses études. Ils avaient donc attendu cinq ans pour en avoir un deuxième enfant et Thomas naquit dans un contexte moins stressant pour les parents.Au début, Thomas était le chouchou de sa grande sœur qui jouait un peu à la poupée avec son petit frère mais vers quinze ou seize ans, à l’âge où les adolescents découvrent la vie, elle s’en éloigna un peu. Le jeune garçon connut sans doute sa première peine de cœur à ce moment là et tout son amour se reporta sur sa mère qu’il trouvait magnifique.
Comme toute la famille pratiquait le naturisme, les anatomies masculines et féminines n’avaient aucun secret pour le jeune adolescent que Thomas devint ensuite. De même, il savait que ses parents étaient très libérés et les avait déjà vu embrasser d’autres personnes sur la bouche. Il n’en avait jamais été choqué car il avait compris que ses parents savaient séparer l’amour du sexe. En grandissant, il se montra très à l’aise avec les filles et les garçons de son âge et s’initia à tous types d’expériences. Sans le savoir vraiment, il était aussi obsédé que son père et aucune de ses petites amies ne restait plus de deux mois avec lui. Il enchainait les conquêtes mais aucune femme ne le faisait plus fantasmer que sa mère.
Alors que sa sœur avait rapidement trouvé un garçon avec qui faire sa vie, Thomas était volage et se sentait bien chez lui. Charline avait quitté le foyer de ses parents à 19 ans et vivait en couple avec Vincent depuis trois ans quand Thomas fêta ses 18 ans. Leur union était solide et ils étaient bien assortis mais comme ils vivaient assez loin, ils ne venaient pas les voir très souvent. Charline et son compagnon passaient une semaine chez eux entre noël et le jour de l’an et les rejoignaient durant quinze jours dans le camping naturiste de la région de Montpellier où Odile et Daniel avaient leurs habitudes.
Thomas ne se lassait pas d’admirer le corps de sa mère ; à 41 ans, elle conservait une silhouette parfaite et terriblement excitante. Elle avait des cheveux blonds coupés court et un corps bien entretenu, intégralement épilé, des seins bien ronds, fermes et généreux et des fesses charnues qui attiraient le regard. Il n’était pas rare qu’il se mette à bander devant elle et son père mais ses parents ne s’en offusquaient pas. Daniel lui même avait déjà eu de solides érections devant ses enfants et il arrivait souvent, en vacances, qu’ils abandonnent leurs enfants pour calmer leurs ardeurs dans une sieste crapuleuse. Thomas en profitait alors pour se masturber dans sa chambre en les écoutant jouir. Quand ils étaient là, Charline et Vincent n’étaient pas plus frigides, et, à l’instar de Daniel et Odile, ils se réfugiaient souvent dans leur chambre pour soulager leurs tensions sexuelles. Quand il ne se branlait pas en pensant à sa mère, Thomas draguait et ramenait ses conquêtes au bungalow où il leur faisait l’amour dans sa chambre, que ses parents soient là ou non.
Les parents de Thomas n’avaient donc aucune inquiétude quand à l’équilibre sexuel de leur fils et Odile n’était pas pressée de le voir quitter le giron familial. Son esprit volage lui convenait et elle n’était pas insensible non plus à sa beauté. Thomas ressemblait à son père, il avait une carrure athlétique, des cheveux bruns, de magnifiques yeux bleus, un joli petit cul et belle bite longue et épaisse qu’elle trouvait très esthétique.  Sans l’avouer ouvertement, elle ne se lassait pas de voir sa queue bander devant elle. Daniel n’était pas dupe et s’en amusait en secret jusqu’au jour où il brisa le silence dans l’intimité.
— C’est d’avoir vu Thomas bander tout au long du diner qui te met dans cet état ? Lui dit-il un soir en la pénétrant.— Qu’est-ce que tu vas chercher là, idiot ! C’est notre enfant, voyons.— Ce n’est pas ce que je dis ; lui, il bande pour toi. C’est évident. Même Charline et Vincent s’en sont aperçus cet été.— Tu es un gros pervers… Mmm. Je trouve que Thomas est un beau mec mais, aaaah, de là à fantasmer…— Mmm, tu mens très mal, ma Chérie, tu n’as jamais été douée pour ça. Ooh, rien que de parler de lui tu mouilles comme une fontaine.— Aaaaah… Prends moi fort, mon Amour, je… j’ai des pensées affreuses.— Oh oui ! Je vais te faire crier, mère indigne. Tu penses à notre fils alors qu’on fait l’amour.— Non, Aaaah ! C’est pas vrai ! Aaaah !— Menteuse.— Ah oui !! Ouii !

Odile, ce soir là eut un orgasme très rapide et en eut encore d’autres avant que Daniel la rejoigne. Elle rougit en retrouvant ses esprits et lui explosa de rire.
— Contente de voir que ça t’amuse ; quelle honte !— Tu préfèrerais que je pleure ou que je me mette dans je ne sais quelle colère ? Avoue que ce n’est pas si grave et puis j’avoue que ça m’excite un peu. Tu crois qu’il se branle en pensant à toi ? Moi j’en suis certain. Il te dévore des yeux et depuis cet été, il ne parvient même plus à s’en cacher.— Si tu savais ce qu’il fait… Thomas pique mes culottes dans le panier à linge depuis au moins six mois.— Non, tu es sérieuse ?— Je ne sais pas exactement ce qu’il fait avec mais je peux te dire qu’il les garnit bien. Je rêve ou ça te fait bander ?— C’est quelque chose que je ne peux pas cacher. Et toi ? Ça te fait mouiller ? Pourquoi tu n’as rien dit ou fait pour arrêter ça ?— Je… j’avoue que ça m’excite. Depuis qu’on est rentré je fais même un truc un peu limite. Tu vas me prendre pour une folle mais il faut que je te le dise. Tous les jours, avant de rentrer à la maison, je me masturbe au travers de ma culotte pour bien la mouiller parce que je sais que Thomas ira la chercher dans le panier à linge dès que je serais nue. Je n’ai donc rien fait pour calmer le jeu.— Tu me traites d’obsédé mais tu n’es pas mieux finalement.— Sauf que je sais que maintenant t’es au courant tu ne vas plus rêver que d’une chose.— Ah oui ? Et c’est à quoi ?— À me faire coucher avec lui. Tu n’as aucun tabou et que ce soit notre fils ne te choque même pas !— J’aime le sexe et toute expérience librement souhaitée et consommée est acceptable. Tu mouilles pour Thomas qui bande pour toi alors, plutôt que de le laisser se branler dans tes culottes pendant que tu penses à lui quand on fait l’amour et bien le mieux c’est que vous le fassiez vraiment.— Une mère ne peut pas faire ça avec ses enfants ; c’est… C’est mal !— Oublie les barrières morales, s’il te plait. Répondit Daniel en la pénétrant de nouveau. Avoue que tu en as envie, que tu veux sentir sa belle bite en toi.— Aaah, Daniel, tu… Oui, c’est vrai… Ooh, oui.— Tu vas aller le trouver dans sa chambre, ajouta Daniel en se retirant, et faire l’amour avec lui.— Non, Daniel, ne me demande pas ça, s’il te plait.— Écoute-moi bien, Odile, je t’aime et ça fait 24 ans qu’on vit ensemble. Je t’aime et je n’ai pas envie de te faire l’amour si n’es pas avec moi.— Mais je suis avec toi, je t’aime depuis le premier jour.— Je sais ma chérie, c’est pour ça que tu vas aller faire l’amour avec Thomas. Vous allez vous libérer de vos désirs incestueux et comme ça ton esprit sera disponible pour le faire avec moi après.— Tu ne m’en voudras pas ? C’est un acte immoral…— Vas y, je t’attends pour te refaire l’amour après.
C’est dans une sorte d’état second qu’Odile quitta le lit conjugal pour se diriger vers la chambre de leur fils. De la lumière filtrait sous la porte à laquelle elle frappa doucement.
— Thomas ? Tu ne dors pas ? Je peux rentrer ?— Bien sûr, Maman, répondit le garçon en rangeant rapidement la culotte qu’il avait polluée de son sperme sous son oreiller. Qu’est-ce qui se passe ? T’as l’air bizarre.— Non, non, ça va. C’est juste que je profite que ton père dorme pour te parler de quelque chose. Mentit-elle— C’est pas grave, j’espère ?— Non, enfin, pas trop. C’est à propos de nous, avoua-t-elle en rougissant. Je sais que tu as des pensées peu communes pour moi et je sais aussi que mes culottes te servent d’exutoire.— Mais, pas du tout ! De quoi tu parles ? S’étonna Thomas un peu mal à l’aise.— Écoute, Chéri, ça ne trompe personne, il ne se passe pas un jour sans que tu bandes en ma présence et je fais les lessives en triant mes culottes pour ne pas les abimer avec le reste du linge. Expliqua-t-elle en s’asseyant près de lui sur le lit. Je vois bien que je te plait un peu plus que de raison mais ce n’est pas ça le plus grave.— Je ne peux pas contrôler mes sentiments, Maman. Je te demande pardon mais je n’ai rien fait d’autre ! Qu’est-ce que j’aurais fait de pire ?— Oh, toi, tu n’as rien fait, mon amour ; ce qui est plus grave c’est que moi aussi j’ai de vilaines pensées à ton égard. Je me masturbe tous les jours dans mes culottes pour être sûre qu’elles seront bien imprégnées de  mouille pour toi. Je partage la même envie que toi, dit-elle en posant une main sur le sexe de son fils, et je suis là pour ça si tu en as envie.— Tu veux dire que tu es venue dans ma chambre pour faire l’amour ? Demanda Thomas incrédule.— Oui, mon Chéri, je suis venue pour ça et je constate que ta jolie bite ne dit pas non. Tu permets ? Demanda Odile en se penchant pour la prendre en bouche.— Oooh, Maman… Dit simplement Thomas en posant ses mains sur son dos.
Odile se régalait de la jolie verge de son fils et le goût laissé par sa masturbation précédente ne la gêna pas, bien au contraire. Elle l’avalait, la suçait et la masturbait avec l’envie grandissante de la sentir pénétrer dans sa chatte. Thomas se laissa faire simplement quelques minutes avant de placer sa mère tête-bêche au dessus de lui et de lui rendre la politesse dans un long soixante-neuf. Odile en fut gênée au début du fait qu’elle venait de faire l’amour avec son mari.
— Non, Chéri, ça doit être plein de sperme…— Et alors ? Ce ne sera pas la première fois de ma vie que je bouffe du sperme et puis c’est celui de Papa, de toute manière.— Mmm, cochon… Et en plus tu t’y prends bien.
Odile ne lutta pas et se laissa manger la chatte tandis qu’elle reprenait sa verge en bouche. Bien que leur excitation fût grande, l’un et l’autre voulaient faire durer le plaisir. Ils se léchèrent et se sucèrent avec beaucoup d’attention en prenant garde à ne pas aller trop loin.Ils changèrent de nouveau de position, s’étreignirent et s’embrassèrent à pleine bouche. Leurs langues se mêlèrent dans un baiser passionné durant lequel Thomas passa au dessus de sa mère. Il lui écarta les cuisses en les attrapant sous les genoux et pointa sa verge tendue à l’entrée de son coquillage humide de désir. Ses grandes lèvres roses et brillantes s’ouvrirent au passage du gland qui disparut aussitôt dans les replis secrets de sa vulve. Odile n’aurait su dire qui de son mari ou de son fils avait la plus grosse mais elle se sentit aussitôt bien remplie.
— Ooh, mon Bébé… Que c’est bon.— Mmm, Maman, je n’arrive pas à y croire, je te pénètre !!— Oh si, Chéri, c’est bien ce que tu fais. Ooooh… Oh oui, comme ça. Baise moi, mon Bébé, baise Maman.— Aaah ! Ah oui, c’est trop bon, Maman ! Je… je veux te faire jouir, Maman.
 Malgré son jeune âge, Thomas n’était plus un puceau depuis longtemps et les expériences accumulées durant l’été avaient renforcé son assurance. Il était attentif au plaisir de sa mère et savait contrôler le sien. Il la prit longuement en missionnaire puis ils changèrent de position. Il la prit en chien de fusil, en levrette puis il s’allongea pour qu’elle le chevauche mais, même quand se fut elle qui se trouva au dessus, c’était Thomas qui menait la danse. Elle eut deux orgasmes avant qu’il la remette sur le dos pour revenir dans la position du missionnaire et jouir à l’unisson avec elle en envoyant sa semence au fond de sa matrice.
— Mmm, mon Cœur, c’était divin même si je crois qu’on a fait une bêtise…— Pourquoi ? Tu crois qu’on a réveillé Papa ?— Ton père ne dormait pas en vrai ; il m’attend pour me faire l’amour.— Tu veux dire que Papa est au courant ?!— Je suis même venue là avec sa bénédiction et son insistance.— Comment ça ?— Ton père en avait un peu assez que je pense à toi quand il me fait l’amour alors il a souhaité que j’aille assouvir mes désirs incestueux pour être entièrement avec lui après.— Et donc la bêtise c’est de l’avoir fait, c’est ça ?— Oui, je ne regrette rien, tu sais, mais je crois bien que je ne pourrai plus m’en passer.— Moi non plus, Maman, je ne pourrai plus me passer de toi et si Papa est d’accord alors je ne vois pas où est le problème. Je ne veux pas prendre sa place, tu sais mais je t’aime tellement… Si tu étais célibataire, je t’épouserais !— Mon Petit Trésor, c’est mignon mais c’est bien la seule chose qui nous est impossible. On peut entretenir une relation incestueuse sans que personne ne le sache mais le mariage est impossible entre une mère et son fils.— Tu devrais aller le rejoindre, tu as dit qu’il t’attendait.— Pas tout de suite ; je suis bien contre toi et je vais en profiter encore un peu.
Le sommeil les prit sans qu’ils ne s’en rendent compte, enlacés dans un lit défait. Odile se réveilla en pleine nuit et se sentit aussitôt un peu coupable. La lumière de la chambre était encore allumée et ce fut sans doute ce qui l’avait tiré du sommeil. Elle se leva sans bruit, éteignit le plafonnier et se dirigea vers sa chambre où Daniel dormait depuis longtemps. Le réveil affichait trois heures du matin, elle se glissa sous les draps et se serra contre son mari avant de se rendormir presque aussitôt.
Lorsque le réveil sonna, Daniel et Odile s’embrassèrent amoureusement et se levèrent ensemble. Il voyait bien qu’elle était ennuyée mais ne douta pas que son expérience incestueuse lui avait plu compte tenu de ce qui lui avait été donné d’entendre. Odile avait toujours eu le plaisir expressif mais, dans les bras de leur fils, elle s’était lâchée.
— T’en fait une tête pour quelqu’un qui a pris son pied, lui dit-il étonné en servant leurs cafés. Qu’est-ce qui t’ennuie comme ça.— Je te demande pardon, répondit Odile, j’avais prévu de venir te rejoindre tout de suite après mais je me suis endormie en prolongeant le câlin avec Thomas.— Tu n’as pas besoin de t’excuser ; c’est naturel et je m’en suis douté. En plus, tu as fini par revenir dans notre lit alors tout va bien.— Mais tu m’attendais.— Oh, tu sais je n’aurais plus été bon à rien de toute façon. C’était tellement excitant de vous entendre jouir que je me suis masturbé. Le plus difficile a été de ne pas venir vous espionner.— Gros pervers, va ! Mais c’n’est pas malin de m’avoir poussé à le rejoindre, tu sais.— Oh, je n’ai pas eu besoin d’insister beaucoup. Et pourquoi ça ?— À ton avis ? Parce que maintenant, Thomas et moi on ne va plus avoir qu’une envie, c’est de recommencer.— La belle affaire ! Tu auras deux hommes amoureux pour toi toute seule et tu vas t’en plaindre en plus ?— Non, t’es bête mais avoue que c’n’est pas banal et il y aura sans doute des fois où ma liaison avec Thomas sera un peu compliquée à gérer.— Oh, parce que c’est déjà une « liaison » ?— Que veux-tu que ce soit ? Thomas est un amant magnifique, c’est mon fils, je l’aime de tout mon être et lui n’est pas moins amoureux de moi que toi.— D’ici à ce qu’on fasse chambre commune… Ah ah !— Oh, c’est malin ! Et pourquoi pas ? Je suis certaine que ça te plairait beaucoup mais à trois dans notre lit on serrait un peu serrés.— Depuis le temps que tu rêves d’un king-size…— Bon, faut que je me dépêche, j’ai une grosse journée qui m’attend ; je risque même de rentrer un peu tard.— Je sais, tu me l’as déjà dit il y a trois jours. T’es décidée à écarter les cuisses pour garder ce client, alors ?— Vérifier la comptabilité de sa boite assure 30% de mon chiffre d’affaire et ça fait cinq ans qu’il me fait du gringue sans arriver à ses fins. Le problème c’est qu’il parle de ne pas renouveler notre contrat, alors si je dois écarter les cuisses trois jours par an pour garantir un tiers de mes ressources, je ne vais pas me gêner.— Oh, mais je n’ai rien dit et tu fais ce que tu veux de ton cul…— Mais tu n’approuves pas !— Je ne connais pas ce type mais je pense que c’est un gros porc équipé d’un petit zizi. Il ne te fait pas envie, c’est évident et c’est ce qui m’ennuie vraiment.— Ne t’inquiète pas, ce ne sera pas la première fois que je me ferai tringler par un type gros et mauvais au plumard. Et puis, plus il est nul et plus vite je serai rentrée. L’essentiel c’est qu’il soit satisfait, content de lui et qu’il renouvelle notre contrat, voilà !— Bon, et bien j’espère qu’il sera très nul !
Quand Daniel rentra chez lui après avoir fermé son agence immobilière, Odile n’était pas rentrée et il n’y avait que Thomas dans la maison. Son fils était dans sa chambre où il regardait des vidéos sur son ordinateur. Daniel se déshabilla et alla embrasser son fils.
— Salut Thomas. T’as passé une bonne journée ?— Salut Papa. Oui, super ! Répondit Thomas en supprimant la page sur laquelle il était. Maman n’est pas encore rentrée ; je ne sais pas où elle est.— Et tu t’inquiètes ? Ta mère a une grosse journée, aujourd’hui et elle ne sait pas exactement à quelle heure elle va rentrer ; on va devoir attendre… Tu regardais quoi ? Demanda Daniel en admirant la fantastique érection de son fils.— Bof, trop rien ; juste quelques vidéo pornos. Papa ? C’est vrai que c’est toi qui a dit à Maman de venir me trouver hier soir ?— Bien sûr, ça te choque ? Ça ne t’a pas déplu en tous cas.— Non, ça ne me choque pas mais c’est surprenant et puis aujourd’hui, je me suis demandé comment on allait faire à trois.— Mon garçon, nous sommes deux hommes intelligents et amoureux d’une même femme qui nous aime en retours alors on va bien trouver des arrangements qui nous conviennent.— Papa, c’t aprèm’, j’avais pas cours alors j’ai passé tout mon temps à chercher des infos sur les trios qui marchent bien et tous les témoignages positifs que j’ai trouvé disait que la clé était la bissexualité des personnes de même sexe. Tu crois que c’est vrai ?— Je n’en sais rien et, pour être très honnête, j’ai déjà eu des rapports avec des hommes mais, entre nous, je n’irais pas nécessairement te proposer ce genre de choses.— Moi aussi, Papa, j’ai déjà fait l’amour avec des copains et même l’été dernier avec un vieux quand on est allé à l’Espiguette après avoir visité Aigues-Mortes.— Oh, et moi je suis vieux ?— Ben non, pas vraiment… Pas pour moi, en tous cas. En vrai, t’es même plutôt bien foutu… Tu sais, Papa, quand t’es arrivé je regardais des vidéo de trio bi avec deux hommes et une femme mais c’est toujours un peu pareil et ça ne ressemble pas à la réalité, je crois.— Bien sûr, ce n’est pas l’objet de ces films. Ils sont fait pour nous exciter en montrant de la baise débridée. Même si c’est très déshumanisé, tout le monde en regarde et si tu veux, je vais te laisser à tes vidéos. Je dois nous préparer à diner, de toute façon.— Je viens t’aider ! J’aime mieux être avec toi que de rester devant l’écran.
Tout en coupant des tomates ou en lavant de la salade, Thomas et son père discutèrent de leurs sentiments pour Odile et de ce qui s’était passé la veille au soir. Ils parlaient librement et, ni l’un ni l’autre, ne remettaient en cause le fait qu’elle était désormais leur femme à tous les deux. Daniel expliqua à son fils avec un peu plus de détail ce que sa mère et lui entendaient par amour libre. Il lui dévoila l’étendue de leurs relations échangistes et ils en revinrent à parler de bissexualité et de leurs expériences homosexuelles personnelles.Thomas n’osait pas l’avouer ouvertement mais il n’était pas opposé à nouer des relations sexuelles avec son père aussi. Elles ne seraient pas, dans son esprit, à mettre au même niveau que celles qu’il voyait naitre avec sa mère. Bien sûr, il l’aimait énormément et de tout son cœur mais ce n’était pas exactement la même chose. Il expliqua que, quand il sortait avec un garçon de son âge ou un homme plus mûr, c’était toujours la bite de son partenaire qui l’excitait. Il reconnut sans problème que, de fait, il était plus facilement passif qu’actif.
— Je sais que c’est curieux, mais j’aime bien me faire enculer par un mec. Avoua Thomas sans aucun complexe. Ça me fait jouir.— Tu vas souvent avec des hommes ? Demanda Daniel curieux.— Je m’tape beaucoup plus de meufs que de mecs mais, une ou deux fois par mois j’ai envie de me faire prendre le cul. Et toi, ça se passe comment quand t’es avec un mec ?— Oh, et bien, ce n’est généralement pas très différent que lorsque je fais l’amour à une femme à ceci près qu’un homme n’a pas de chatte. Mais j’aime bien, en fait, et j’ai deux bons copains qui ne se lassent pas de ma bite. Je les vois à peu près deux fois par semaine au moins au sauna gay. Oh, bien sûr, je me suis déjà fait enculer quelques fois, dont une fois par ta mère équipée d’un gode ceinture, mais je n’y prends pas de plaisir et, pour être franc, ça se compte sur les doigts d’une main.
Les expériences homosexuelles de son père rassuraient Thomas car il y voyait une certaine complémentarité en cas de trio assumé avec ses parents.
— En fait, si je comprends bien, Papa, tu n’es pas autant bi que moi.— S’il faut se faire enculer pour être bi alors tu as raison, mais je n’ai aucun problème pour sucer ou branler et j’aime bien caresser et embrasser un homme. Surtout quand il est jeune et bien foutu, répondit Daniel en caressant délicatement les fesses de Thomas tourné devant l’évier.— Et… tu me trouves bien foutu ?— Je ne suis sans doute pas impartial, puisque je suis ton père et que je te regarde avec les yeux de l’amour, mais oui ; tu es même craquant. Ajouta-t-il en se plaquant dans son dos.— Mmm, Papa, tu bandes comme un cochon…— Toi aussi, mon Chéri, répliqua Daniel en passant une main sur le bas-ventre de Thomas. T’es sacrément dur… on serait peut être mieux dans une chambre, tu ne crois pas ?— On n’a plus rien à préparer pour le diner ?— On a une entrée, une salade et il y a des restes à finir qu’on réchauffera au four micro-ondes. T’as envie ? Insista Daniel en frottant sa bite entre les fesses de son fils.— Tu crois qu’on a le temps ? Et si Maman arrive ?— Alors elle nous trouvera en pleine action, mais je pense qu’elle est trop occupée pour rentrer maintenant.
Daniel emmena son fils jusque sur le lit conjugal où ils commencèrent par s’embrasser et se caresser. Thomas était terriblement excité et surtout impressionné par le corps lisse de son père. Sa bite et ses couilles bien lisses étaient toutes douces et encore plus attirantes. Après de longues caresses, il se pencha vers l’objet de ses désirs qu’il prit en bouche avec sensualité. Daniel apprécia la fellation pendant quelques minutes avant d’inviter son fils à se mettre au dessus de lui en soixante-neuf. Thomas suçait la belle bite épilée de son père et Daniel lui rendit le même plaisir avant de pousser sa langue et ses doigts entre ses fesses. Il réagit aussitôt très favorablement à la préparation de son trou du cul et son père en fut agréablement surpris. Sa rondelle était souple et s’ouvrait facilement sous la pression de ses caresses.Thomas se faisait de plus en plus lascif au fur et à mesure que son père lui léchait et lui préparait l’anus. Il en abandonna sa fellation, en gardant quand même la queue de Daniel en main, et se redressa pour bien coller son trou du cul à la bouche avide qui le léchait. Il était prêt pour le recevoir et n’attendait plus que ça.Daniel voulait voir le visage de son fils pendant la pénétration alors il l’allongea sur le dos et releva ses jambes. Thomas s’écarta les fesses en sentant le gland s’appuyer sur son anus et gémit de plaisir en sentant l’épaisse bite s’enfoncer dans son cul. C’était rentré tout seul, sans contrainte et Daniel en fut ravi. Il se mit lentement en mouvement dans le trou bien serré, sa verge coulissait avec aisance et le visage de Thomas rayonnait de plaisir. Il avait fermé les yeux et souriait béatement en gémissant d’aise. Il se laissait prendre en se triturant les tétons et sentait son plaisir monter inexorablement. Plus son père s’activait et plus il jouissait.
— Oh putain ! Tu prends ton pied, ma parole. Remarqua Daniel impressionné.— Aaah… Ah oui ! Papa ! Baise moi fort ! Baise ton fils, Papa. Aaah ! Ah oui.— Mmm, putain, Thomas, t’as un cul super ! Ooh, c’est trop bon. Ajouta Daniel en accélérant son rythme.
Daniel était très endurant et Thomas en prenait plein le cul pour son plus grand plaisir. Aucun homme ne l’avait encore fait autant jouir du cul et rien ne semblait annoncer la fin de ce plaisir. Son père était infatigable et il l’encourageait à le baiser encore et encore. Après un long moment de baise ventrale, Daniel voulu prendre son fils en levrette et durant le changement de position Thomas ne résista pas à l’envie de le reprendre un peu en bouche. Daniel ne put rien faire pour l’en empêcher puis il choisit de faire fi de ses préjugés en le laissant faire.
— Papa ? Demanda Thomas en se mettant à quatre pattes. Tu pourras jouir dans ma bouche, s’il te plait ?— Si tu veux, Chaton, ce sera avec plaisir. Mais j’n’ai pas encore fini.
Dans cette position, leur baise se fit plus intense ; Daniel s’accrochait aux hanches de son fils et ses couilles claquaient avec force sur son périnée. Thomas jouissait de plus en plus fort et criait son plaisir tandis que de sa verge molle s’écoulait un fil continu de liquide séminal. Par moment, Daniel se retirait totalement pour admirer le trou bien ouvert dans lequel il replongeait rapidement avec délice. L’intensité de son plaisir le mena enfin aux portes de l’éjaculation et il se retira en prévenant Thomas qui se jeta sur sa queue. Le garçon ne semblait pas dégoûter de prendre ainsi la verge qui sortait de son cul. Il la pompa et la branla quelques secondes avant de recevoir le sperme de son père en bouche. L’éjaculation était abondante, il avait la bouche pleine et se régala en avalant. Pour bien l’essorer, il suça encore un peu la verge amollissante de Daniel qui cria grâce.
— Ouf, j’en reviens pas ! T’es une vraie bombe, tu sais ? Déclara Daniel encore porté par son extase.— On me l’a déjà dit, mais j’n’ai pas vraiment d’élément de comparaison.— Et tu suces souvent les bites qui sortent de ton cul ?— Oui, j’aime bien mais comme je ne baise jamais sans capote, je le retire et puis je n’avale pas non-plus le sperme d’inconnus mais toi t’es mon père alors c’est pas pareil.— C’n’est pas très clean, quand même.— C’n’est pas si crade et le goût passe vite. En plus, ça sort de mon cul alors c’est pas gênant.
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