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Thomas

Chapitre 2

Inceste
Chapitre II
Odile rentra alors que Daniel et Thomas sortaient de la douche et elle s’y précipita aussi avant de les rejoindre pour diner.
— Quelle soirée ! Je suis contente de vous retrouver, dit-elle en les embrassant tous deux sur la bouche. Je ne vous ai pas trop manqué ?— Si, terriblement, répondit Daniel évasif, mais on a trouvé le moyen de s’occuper tous les deux. Mais pour toi ça a duré plus longtemps que je l’imaginais ; c’était bien ?— Affreux ! Pas qu’il soit mal monté, mais Jacques Legras baise très mal et, comble de tout, il est long à venir. C’est le genre de mec qui te pilonne sans savoir ce qu’il fait. J’ai passé deux heures à simuler ! Et vous, du coup ? Vous avez fait quoi ?— Papa m’a fait l’amour pendant deux heures et je n’ai rien simulé, répondit Thomas en souriant.— Tiens donc, parce que t’es aussi attiré par les hommes ou c’était la première fois ? Demanda Odile surprise.— C’n’était pas la première fois, loin de là ! Mais c’était sans doute la meilleure.— Donc, si je comprends bien, mon Chéri, tu t’es déjà vidé les couilles. Dit-elle à son mari. Et tu n’as pas honte d’avoir fait ça avec ton fils ?— Pourquoi ? Tu as honte pour hier soir ?— Un peu, même si je sais que, dès ce soir, je recommence. J’ai terriblement besoin de jouir.— Tu peux compter sur moi, Maman, j’ai encore les couilles bien pleines et la bite déjà opé. Regarde !— Oh, mais ce n’est pas parce que j’ai enculé Thomas que je ne pourrai pas te satisfaire aussi. Déclara Daniel en se masturbant doucement.— Hi hi, vous n’allez pas me faire un combat de coqs, tous les deux. Je ne veux me passer ni de l’un ni de l’autre et j’ai de la place pour vous deux dans mon cœur et ailleurs aussi. Mais si vous m’en disiez un peu plus sur vos galipettes de ce soir ? Je sens que ça va m’exciter.— Et bien, commença Daniel, lorsque je suis rentré, Thomas était sur son ordi et il s’instruisait sur la stabilité des trios deux hommes une femme.— Oh, parce que tu nous vois déjà en trio, mon Bébé ?— Euh, oui, Maman… Comme on a dit hier qu’on ne pourrait pas s’empêcher de continuer et que je ne veux pas prendre la place de Papa, le mieux c’est que tu sois notre femme à tous les deux et qu’on soit tes maris. Toute la journée, je me suis demandé si c’était un truc qui pouvait fonctionner dans la durée parce que c’est vrai que c’n’est pas un truc ordinaire alors j’ai cherché sur internet des témoignages de trios qui durent et j’en ai trouvé. Il n’y en a pas beaucoup et leurs expériences sont souvent un peu différentes mais tous ont en commun que les personnes de même sexe sont bi.— Quand suis rentré, on en a discuté, continua Daniel dont le sexe se redressait franchement, et on a fini par parler de nos expériences homos pendant qu’on préparait le repas. Je peux te dire que le petit cul de Thomas et tout ce que l’on évoquait me faisait sacrément bander.— Comme maintenant, à ce que je vois, constata Odile amusée, et donc ?— Et bien, Papa et moi, on est complémentaires, si je peux dire. Parce que lui il aime bien prendre le cul et moi j’aime qu’on me la mette. En vrai, j’ai même jamais enculé personne… Avoua Thomas en rougissant. Alors quand Papa, m’a pris dans ses bras quand je rinçais l’essoreuse à salade et que j’ai senti sa bite contre mes fesses, j’ai eu envie qu’il me prenne. Je me sentais tout bizarre et j’étais pas capable de le demander mais il a compris alors on est allé dans votre chambre.— Mmm, j’aurais aimé voir ça… pour que ça dure deux heures, vous avez dû avoir quelques préliminaires ; vous vous êtes embrassés ?— Comme deux amants transits d’amour, confirma Daniel. Et on s’est caressés aussi mais Thomas avait très envie de découvrir la saveur de ma bite.— Oh, et elle t’a plu, mon cœur, la bite de Papa ?
— Beaucoup ! Mais tout son corps me plait. Ça fait quand même un certain temps que j’ai passé l’âge des câlins alors j’avais oublié comme son corps lisse était doux et puis sa bite, je ne l’avais jamais touchée alors t’imagine ! Je crois que j’aimerai bien me raser comme lui.— Ne fais pas ça ; je ne suis pas rasé. Je suis épilé et c’est très différent. Si tu veux un corps lisse, il n’y a que l’épilation. Autrement tu risques de te couper, les poils repoussent trop vite et ça gratte affreusement. Ce n’est pas agréable non plus pour tes partenaires et, en plus, il arrive que des poils s’incarnent et te provoquent d’horribles boutons.— Ton père à raison, Bébé, mais je connais une personne qui saura te faire ça très bien ; tu verras. Vous me montrez comment vous vous embrassez tous les deux ?
Thomas et Daniel se levèrent de table et s’approchèrent l’un de l’autre. Ils se prirent dans les bras et rapprochèrent leurs visages. Les bouchent entrèrent rapidement en contact dans un baiser passionné et langoureux qui contenait toute l’affection et la tendresse qu’ils éprouvaient l’un pour l’autre. Leurs mains se firent caressantes ; celles de Thomas parcouraient le dos et les reins de son géniteur tandis que Daniel s’occupait de ses fesses. Odile en était troublée, heureuse, attendrie et excitée. Elle écarta les cuisses pour se masturber en les regardant. « Ils croisent le fer, pensa-t-elle » en voyant leurs sexes tendus, dressés entre eux se frotter l’un à l’autre. Mis à part le fait que celle de Thomas dépassait d’une toison brune, elles étaient très semblables et Odile eut envie de les comparer plus en détail. Elle se leva à son tour pour se rapprocher d’eux et s’agenouilla à leurs pieds. Elle commença par caresser leurs cuisses de ses mains et de son visage en remontant des genoux vers leurs bassins. Sa main droite posée sur l’arrière de la cuisse gauche de Thomas et sa main gauche sur l’arrière de la cuisse droite de son mari, elle remontait sa bouche vers leurs sexes. Daniel et son fils se décolèrent un peu pour lui donner un accès plus facile et elle commença par les évaluer en en prenant une dans chaque main. Elles avaient vraiment la même allure si ce n’est que Thomas avait un prépuce un peu plus court que celui de son père et que son gland était plus dégagé. Elle le prit en bouche et chercha à l’avaler le plus loin possible pour bien en apprécier les dimensions. Elle fit la même chose à Daniel et revint à Thomas dont elle conclut que le sexe était très légèrement moins épais que celui de son mari. Par contre, sa bite allait un peu plus loin dans sa gorge. Tout deux avaient des couilles bien lourdes et la gauche, un peu plus grosse que la droite, pendait aussi un peu plus bas. Ces distinctions étaient subtiles et c’étaient des bites presque jumelles qu’elle suçait en alternance. Alors qu’elle avait la verge de son père en bouche, Thomas s’agenouilla près de sa mère et lui arracha un baiser autour du gland qu’elle léchait. Odile posa une main derrière sa nuque et le poussa à avaler le chibre de son mari. Elle était amusée de voir son fils aussi gourmand et elle le complimentait en s’exprimant avec lui comme quand il était tout petit. Ça lui était venu la veille au soir quand elle l’avait rappelé « mon Bébé » et maintenant elle allait un peu plus loin dans le vocabulaire enfantin.
— Mm, c’est bien mon Bébé. Tu aimes le gros zizi de Papa ; tu lui fais du bien, tu sais.— Oui, Maman, j’aime beaucoup le gros zizi de Papa et j’aime bien lui faire des sucettes. Répondit Thomas en rentrant dans son jeu. Mais j’aime aussi ta zézette, Maman.— Viens dans le lit avec Papa et Maman, Bébé, dit Daniel en caressant les cheveux de son fils. On va tous se faire du bien au zizi, à la zézette et au cucul.
Pour la première fois de leur vie, Odile, Daniel et Thomas se couchèrent dans un même lit pour faire l’amour à trois. Après s’être tous embrassés, ils s’installèrent en triangle. Thomas reprit la fellation qu’il faisait à son père. Daniel plongea sa bouche entre les cuisses de sa femme et Odile décida de lécher l’anus de son fils en lui branlant doucement la bite. De toute évidence Thomas aimait vraiment qu’on lui travaille les fesses et Odile trouva ça très excitant.
— Tu aimes quand Maman te lèche le cucul, Bébé ?— Oh oui, Maman, j’aime beaucoup quand on me lèche et me touche le cucul, ça me donne envie de sentir un gros zizi dedans.— Peut-être que Papa voudra bien mettre le sien dedans quand tu mettra le tien dans ma zézette.
Ils s’excitèrent ainsi tous les trois pendant de longues minutes puis Odile eut envie d’être prise enfin par son fils. Daniel se fit spectateur pendant un petit moment puis il se mit dans le dos de Thomas qui arrêta tout mouvement. Il était tellement excité qu’il ne débanda pas pendant la pénétration. Daniel s’enfonça jusqu’à la garde, se retira légèrement et se renfonça plus rapidement, propulsant ainsi Thomas vers sa mère.
— Aaah ! Maman, le zizi de Papa est tout entier dans mes fesses !— Ah oui, je le sens ! Garde bien le tien dans ma zézette pendant que Papa bouge son zizi dans ton cucul. Aaah ! Ah oui. Oh c’est bon, Bébé ! Vas y Chéri, encule le ! Aaah ! Encule ton fils ! Aaah !
Pendant un long moment, le jeune homme se retrouva pris entre ses parents et n’était plus qu’un intermédiaire dans leur accouplement. Daniel était de plus en plus excité, ses mouvements étaient plus rapides et Odile jouit subitement. Il eut peur d’aller trop vite alors il se retira du cul de Thomas qui reprit l’initiative avec sa mère. Ils changèrent de position et le fils prit sa génitrice au dessus de lui ; c’était à son tour d’être prise en sandwich. Daniel n’enculait pas souvent sa femme mais la situation s’y prêtait.
— Oooh oui, Chéri, dit Odile en sentant le sexe de son mari la pénétrer, baise moi avec mon Bébé.— Aaah, Papa, je sens ta… ton gros zizi dans le cucul de Maman, constata Thomas qui vivait son premier trio.— Mm, vas y Bébé, bouge ton gros zizi dans ma zézette pendant que Papa bouge dans mon cucul. Aaaah… Aaah oui ! Aaaah ! Baisez moi, tous les deux ! Aaah ! Ah oui ! Oui !
Odile eut encore un orgasme violent et Daniel qui se sentait proche de partir décida de se calmer un peu. Il ressortit du cul de sa femme que Thomas retourna encore une fois. Le garçon ressentait le besoin de jouir aussi il s’activa avec fougue entre les cuisses de sa mère et lui remplit le vagin dans un orgasme commun. Daniel se tenait près d’eux et allait porter sa main à son sexe pour se finir seul quand Thomas se jeta sur sa verge pour la sucer. Elle était souillée de deux sodomies mais il n’en avait cure ; tout ce qu’il souhaitait c’était de se repaitre encore de son jus crémeux. Odile en fut surprise et légèrement dégoûtée, mais la gourmandise de Thomas témoignait du plaisir qu’il prenait. Il lécha, suça et effaça toute trace de pénétration contre nature avec une grande avidité avant de masturber vigoureusement Daniel pour le faire cracher dans sa bouche.
— Tu es un vilain petit cochon, mon Bébé, lui dit-elle en lui caressant le visage, le zizi de Papa sortait de nos cuculs ; c’est un peu beurk.— Moi j’aime bien, Maman, répondit Thomas en abandonnant les vocables enfantins. De toute façon, je n’irais jamais faire ça avec quelqu’un d’autre que Papa. En plus, j’aime le goût du sperme et ça ne laisse pas tellement de choix : soit je lèche mes doigts quand le me branle, soit je suce Papa quand il va jouir.— Dans ce cas, Daniel, tu devrais peut-être mettre une capote quand tu nous encules, tu ne crois pas ?— Surtout pas ! Objecta instantanément Thomas. On est entre nous et on peut baiser sans capote, alors profitons-en. C’est quand même bien plus agréable de se faire enculer par une bite découverte, tu ne trouves pas, Maman ? Le latex, ça irrite à la longue.— C’est vrai, Bébé, et moi aussi je préfère sans mais…— Je n’ai absolument pas envie que Papa m’encule avec une capote ! Pour ça je peux trouver plein d’hommes n’importe où. Et puis, c’n’est pas pire que de lécher un trou du cul.— Mm, mais le tien était propre ; tu sortais de la douche. Mais je dois reconnaître que si ça n’avait pas été le cas je l’aurais sans doute léché quand même. Par contre, le jour où tu seras décidé à faire tomber tes poils, il ne faudra pas l’oublier ; je préfère quand c’est lisse.— Et moi aussi, reconnu Daniel en le caressant.— Je sens, Chéri, que tu ne vas plus t’en passer…— Moi non plus, ajouta Thomas en souriant, mais c’est plutôt cool. Toi tu as deux maris et Papa deux femmes, enfin presque… parce que j’en suis pas une mais bon comme j’aime ta bite c’est presque pareil.— Et toi ? Tu as deux quoi ? Lui demanda Odile en caressant sa poitrine.— Comme vous, j’ai deux amours et un mari et une femme. Vous savez quand je pourrais être épilé ? Je peux peut-être aller voir l’esthéticienne demain.— Demain, ce sera compliqué, Bébé, car je travaille mais samedi je m’occuperai de ta pilosité. C’est moi qui épile ton père.— Tu pourras vraiment tout enlever ? Même sur les bras et les jambes.— Sous les bras aussi ?— Ben oui, tout. J’aimerai bien ; pour voir comment c’est. Papa, il a encore des poils sous les aisselles, sur les bras et les mollets mais moi j’aimerai bien être vraiment tout nu… comme un bébé. Ajouta-t-il pour être sûr de la convaincre.— Ou comme une femme, peut-être ? Ajouta-t-elle amusée en lui caressant la bite. C’est entendu, Bébé, ce week-end, je m’occupe de tous tes poils mais tu vas souffrir.— Si c’est pour être aussi « douce » que toi, répondit Thomas en embrassant sa mère.
La machine du jeune homme était relancée et il bandait dur à nouveau si bien qu’Odile eut envie, à nouveau, de jouir avec son fils. Ils firent l’amour devant Daniel qui se délecta du spectacle en se masturbant doucement et qui reprit Thomas quand celui ci eut jouit avec sa mère. Ce fut donc au tour d’Odile de les regarder en s’assoupissant. Le spectacle était plaisant et elle admira la façon dont son fils jouissait du cul. Leur accouplement ne dura pas aussi longtemps que les précédents et Thomas, enlacé avec sa mère, laissa son père jouir entre ses reins alors que la jouissance et la fatigue le tiraient vers le sommeil.
Le réveil fut assez difficile pour le trio incestueux, non pas parce qu’ils auraient bien dormi plus longtemps, mais parce que le temps leur manquait pour s’aimer. Thomas hésita à trainer au lit pendant que ses parents se douchaient et se préparaient mais il choisit de se lever comme eux et de préparer leur petit déjeuner. Quand Odile et Daniel entrèrent dans la cuisine, ils étaient habillés et lui était encore nu. Ils l’embrassèrent tous deux pour la délicate attention qu’il avait eu et l’embrassèrent l’un et l’autre à pleine bouche. Thomas était heureux et terriblement amoureux. Il avait pensé, au départ, que les sentiments qu’il éprouvait pour son père étaient bien différents de ceux qu’il éprouvait pour sa mère mais les rapports qu’ils avaient eus lui prouvaient le contraire. Il était éperdument amoureux d’eux deux.
Odile n’avait pas fini son expertise comptable et elle passa une deuxième soirée avec Jacques Legras, son client important, qui profita encore de ses appâts. Il était gros, pas très beau et passablement vulgaire mais pour maintenir son chiffre d’affaire, elle était prête à y passer au point de lui accorder une nuit entière. Il en avait fait une condition pour renouveler leur contrat et elle dût prévenir ses hommes au dernier moment. Daniel accusa le coup mais Thomas en fût un peu contrarié ; il aurait aimé reproduire la soirée de la veille et refaire l’amour à sa mère.
— Ta mère doit être aussi déçue que toi et elle a mis le doigt dans un engrenage qui ne me plait pas beaucoup. Expliqua Daniel à son fils. Ce Jacques Legras est son plus gros client et ça fait plus de cinq ans qu’elle supervise sa comptabilité et, tous les ans, elle passe trois jours dans sa boite pour y mettre de l’ordre avant la fin de l’exercice. Comme c’est une très grosse boite, ça représente environ 30% de son chiffre d’affaire et…— Laisse tomber, Papa, je m’en fous. Maman est en train de faire la pute et c’est tout !— C’est vrai mais ce n’est pas très grave. Ce n’est pas la première fois qu’elle couche ailleurs, ce ne sera sans doute pas la dernière et ça nous arrive à nous aussi. Je suis sûr et certain que demain elle aura besoin de se rattraper et comme je travaille le samedi tu l’auras pour toi tout seul toute la journée.— C’est vrai mais j’aurais aimé refaire comme hier soir, c’est tout.— Il y a quand même des choses que l’on peut faire, dit Daniel en lui caressant les fesses.— Et on n’va pas se gêner, répondit Thomas avant d’embrasser son père.— Tu veux que je te suce ? Moi aussi, j’aime bien de temps en temps, tu sais.— C’est gentil, Papa, mais tu le ferais pour essayer de me consoler et pas par envie vraie. Et puis, franchement, je préfère qu’on fasse comme si j’n’avais pas de bite. Je veux être « ta femme ».— Comme tu veux, « ma Chérie », tu vas être « ma femme » ce soir et je vais m’occuper de « ta chatte ». Par contre, Thomas ce n’est pas un prénom de fille, ça. Comment veux-tu t’appeler.— Je n’y ai pas pensé mais je crois que si j’avais été une fille vous pensiez à Vanessa avec Maman, c’est ça.— Oui, Vanessa, c’est ça. Ça te dirait de te travestir, je t’emmène diner au restaurant.— Me travestir ? Je… Tu veux que je me déguise ? Mais avec quoi ? Et ça va se voir.— Écoute, il ne s’agit pas de te déguiser mais de t’habiller et si tu es ma femme, tu ne va pas sortir en jean et t-shirt. J’aimerai que tu sois aussi élégante que ta mère. Pour les cheveux, elle a une perruque rousse qu’elle met parfois et qui t’ira très bien. Allons voir dans sa garde robe ce que tu peux porter.— Mais, Papa, je n’aurai rien à mettre aux pieds…— Mm, je n’avais pas pensé à ça. C’est bête.— Par contre, je crois que Charline a laissé quelques vielles fringues que je pourrais peut-être porter avec des baskets à moi sans que ça choque trop.— Allons voir ça, Vany ! J’ai hâte de sortir ma femme.
Dans les affaires abandonnées par sa sœur, Thomas trouva une robe estivale légère, des bas autofixants fantaisie et un petit chemisier blanc suffisamment ample pour contenir le corps masculin de l’adolescent. Pour les dessous, ils se replièrent sur ce que possédait Odile. Thomas enfila un tanga dans lequel il ne put rentrer sa bite qu’après s’être branler comme il faut et un soutien gorge qui le serrait un peu trop et qu’il bourra avec des chaussettes. Daniel lui mit la perruque d’Odile et l’invita à se maquiller légèrement. Thomas n’avait jamais fait ça mais il réussit à mettre du mascara et du rouge à lèvres sans que ça fasse trop « pouffe ».
— J’ai quand même franchement l’air d’un travelo.— C’est vrai, mais c’est quand même très réussi et tu es très belle, Vanessa.— Tu crois que ça va se voir que je ne suis pas vraiment une femme ?— C’est évident, mais tu verras que tout le monde s’en moque ; des travelos, il y en a plein les rues. Je m’habille et on y va.
Thomas se sentit un peu mal à l’aise en sortant dans la rue et ce fut pire quand ils descendirent dans le métro mais, rapidement, il se rendit compte que les seules personnes qui semblaient s’intéresser à lui le faisaient avec des regards chargés d’envie. Son travestissement était effectivement très réussi et seules quelques femmes semblèrent remarquer la supercherie en affichant des airs moqueurs.
— Tu vois que tout le monde s’en moque, dit Daniel en quittant le métro.— Pas tout à fait, répondit Thomas. Tu n’as pas vu le mec qui me matait en se massant la bite et en se léchant les lèvres d’un air salace ?— Si, je l’ai vue et j’ai remarqué que d’autres aussi semblaient excité par ton cul mais personne n’a vraiment été choqué.— Sauf les femmes…— Quoi les femmes ? S’il y en a trois qui ont remarqué quelque chose, c’est un maximum et elles étaient plus moqueuses que choquées. Tu es absolument parfaite, Vanessa.— Oui, enfin, faudrait pas que j’enlève mon soutif en publique, répondit Thomas en rigolant. Et faut que je travaille un peu ma voix.
Daniel et Thomas marchaient bras dessus, bras dessous, le jeune travesti s’entrainait à parler « comme une fille » et ils entrèrent ainsi dans un restaurant très chic de la ville.
— Évite de m’appeler « Papa » et si tu dois aller aux toilettes, ne te trompe pas de porte, chuchota Daniel à son fils en entrant.— Bien sûr, Chéri, je ne suis pas idiote, et je vais effectivement devoir y aller parce que ma bite est en train de sortir de ma culotte…— Bonsoir Monsieur, dit le garçon de salle qui les accueillit. Votre table habituelle est disponible, si vous voulez. Elle a été réservée mais les clients ne sont pas encore arrivé et je peux les placer ailleurs.— Merci, Henry, c’est très aimable mais les clients qui ont réservé pourraient être déçu.— Oh non, Monsieur, je ne crois pas ; ils voulaient juste une table pour deux dans un endroit calme. Je les placerai ailleurs.— Merci, Henry, c’est très gentil de votre part.— Tu as l’air d’être connu ici.— Bien entendu, j’y amène tous mes partenaires importants comme le maire ou ses adjoints de l’urbanisme, les gens susceptibles de mettre à la vente un gros patrimoine, mes amants, mes maitresses et, bien entendu, ta mère.— Mais c’est un restau hors de prix !— Rien n’est trop beau pour toi, Vanessa. Disons que je profite de l’occasion pour te déclarer ma flamme… Je n’ai pas acheté de bague mais je me rattraperai la semaine prochaine si tu veux.— Pa… Tu vas me faire rougir, Daniel. Je… je suis bien en femme avec toi. Répondit Thomas en posant sa main sur celle de son père. Si tu veux bien m’excuser, je dois régler un petit souci…
Thomas se dirigea vers les toilettes pour dames et s’enferma dans un cabinet pour calmer son excitation. Assis sur le WC, il se masturba rapidement en enfermant son gland dans du papier toilette et se mordit les lèvres pour ne pas geindre en éjaculant. Il en était à essuyer sa verge quand il entendit quelqu’un rentrer dans le cabinet voisin. Il souffla doucement et remonta son tanga dans lequel il pouvait de nouveau ranger sa queue. Il se lavait les mains au lavabo quand la femme qui était entrée après lui sortit de son cabinet.
— Maman ?! S’exclama Thomas surpris. Qu’est-ce que tu fais là ?— Mon Dieu ! Thomas mais ?! Et toi ? En plus tu portes les habits de ta sœur ?!— Comme t’étais pas là, je voulais être la femme de Papa et lui voulait m’inviter au restaurant.— Que je suis bête ! J’aurais dû penser que ton père allait t’inviter au restaurant et ici on est un peu dans son quartier général.— Tu es avec ton client ?— Oui, et c’est moi qui lui ai conseillé de venir ici. Tu permets que je te fasse quelques corrections de maquillage ? Dit Odile en ouvrant son sac. Tu es très convaincante, comme ça, je n’aurais jamais cru que ce soit possible. Tu t’es choisi un prénom ou c’est juste « Chérie » ?— Vanessa.— C’est le prénom qu’on t’aurait donné si tu avais été une fille.— Je sais, c’est pour ça que je l’ai choisi. J’espère que nos tables ne sont pas trop proches, dit Thomas tandis que sa mère soulignait ses yeux d’un léger trait de crayon.— Moi aussi… je n’ai pas trop envie que ton père me voit avec ce type. Quand on est entré, je suis allée directement aux toilettes et je n’ai pas trop fait attention aux tables d’à côté.
Odile et Thomas sortirent ensemble des toilettes en faisant mine de ne pas se connaître  et se dirigèrent dans des directions opposées pour s’asseoir chacune devant leur amant.
— Ça va mieux, ma Chérie ? Demanda Daniel à son fils. Tu as retouché ton maquillage.— Tu es très observateur, Chéri ; j’ai croisé Maman aux toilettes et c’est elle qui a arrangé mon maquillage. Répondit Thomas en désignant sa mère du regard.— Mon Dieu, Odile est là ?! Comment ça se fait ?— Elle a suggéré ce restaurant à son client ; sans doute pour le faire raquer un max, hi hi !— Et elle a dit quoi quand elle t’a vu ? Elle n’a pas été trop choquée ?— Je crois qu’elle a été plutôt surprise mais elle a dit que j’étais très convaincante, répondit Thomas avec fierté.— Je propose que nous mangions assez vite ; je n’ai pas envie de voir son amant et je pense qu’elle ne veut pas non plus se montrer en spectacle.— Je suis aussi de ton avis et puis j’ai vraiment très envie de toi.— De moi ou de ma bite ?— T’es bête ; les deux évidemment. Mais c’est vrai que j’ai surtout envie de m’en prendre plein le cul.— Si tu veux t’en prendre plein le cul, ca te dirait de tenter une expérience un peu chaude ?— Comme quoi ?— Un petit tour dans un sauna gay ou dans ciné porno ? Je connais un sex-shop qui a un espace de projection permanent fréquenté par des hommes équipé de cabines, d’un labyrinthe, d’un glory hole et d’un sling.— C’est quoi un sling ?— C’est une sorte de couchette en cuir suspendue par des chaines au plafond. Ça soutient juste le buste et tu accroches tes pieds et tes mains dans les chaines pour te faire prendre par qui veut.— Mm, intéressant… Mais toi, ça ne va pas te gêner ?— J’en bande déjà et le vendredi soir c’est toujours bondé. Un petit travelo dans ton genre devrait avoir beaucoup de succès…— Je crois que je vais me contenter d’un plat et d’un dessert.
Daniel et son fils mangèrent très vite et quittèrent le restaurant pour se diriger vers le fameux sex-shop. Plus ils approchaient et plus Daniel bandait. Thomas lui même était très excité et ressentait l’envie de se soulager par une troisième branlette. Comme il en fit part à son père, Daniel avisa une petite impasse mal éclairée et embarqua son fils entre deux conteneurs à ordures.
— Viens par ici, suce-moi pendant que tu te branles ; moi aussi, j’ai besoin de me vider les couilles.— Avec plaisir, Papa.— Mmm, petite salope, tu suces vraiment bien. Ooooh… Oui, c’est trop bon… en posant ses mains derrière sa nuque.
Thomas, la jupe relevée et le tanga sur les chevilles, astiquait son manche d’une main en caressant les couilles de son père de l’autre. Il n’agissait autrement qu’avec sa bouche et sa langue qui jouait avec le gland, s’enfonçait dans le méat ou repoussait le prépuce. Par moment il faisait l’effort de tout avaler et l’épaisse bite de son père rentrait au fond de sa gorge. Il la branlait ainsi en faisant aller et venir sa bouche sur la colonne de chair et Daniel décida de l’aider. Il maintint entre ses mains la tête de son fils et lui baisa la bouche rapidement. Thomas n’avait jamais vécu ça mais il s’adapta assez vite et quand son père envoya sa sauce au fond de son gosier, il éjacula à ses pieds.
— T’es vraiment incroyable, tu sais que les gens qui fond de vraies gorges profondes comme toi, ça ne court pas les rues.— Oui, mais là j’ai quand même failli vomir deux fois quand tu me baisais la bouche.— Je ne t’ai fait mal, quand même ? Si j’ai fais ça c’est parce que t’avais l’air d’apprécier.— T’inquiète, Papa, j’ai adoré ; ça m’a donné l’impression d’être ton vide couilles.— Eh, tu feras attention ; tu ne m’appelles pas Papa dans le sex-shop.— Pas de souci. C’est encore loin ?— Non, on y est presque.
Thomas n’était jamais rentré dans une boutique de ce genre. Celle ci se présentait sous la forme d’un long couloir avec à l’entrée le gérant qui tenait la caisse et le long de chaque murs, il y avait des rayonnages avec de multiples dvd classés par thèmes, des revues et surtout des sextoys. Daniel paya deux entrées pour la salle de projection permanente et emprunta un cadenas. Ils traversèrent toute la boutique et une porte au fond s’ouvrit automatiquement, déclenchée par le gérant depuis sa caisse. Thomas trouva tout cela assez bizarre et presque ésotérique. Après la porte, ils entrèrent dans un univers assez sombre dont le seul éclairage semblait fourni par les téléviseurs qui retransmettaient tous la même vidéo gay.
— Viens par ici, dit Daniel en poussant Thomas vers les toilette. Ici tu pourras te déshabiller et ranger tes affaires dans un casier cadenassé dont je garderais la clé.— Et toi ?— Moi je reste habillé ; si tu veux t’en prendre plein le cul, autant montrer tout de suite la couleur.
Thomas ne savait pas trop s’il devait s’inquiéter ou pas mais la présence de son père le rassurait. Un type rentra dans les toilettes pour pisser et tandis qu’il urinait il détaillait des yeux Thomas qui se mettait à poil. Instinctivement, le garçon regarda sa bite ce qui n’échappa pas à son père.
— Je suis certain qu’il te la mettrait bien, lui chuchota-t-il à l’oreille. Mais il y en a des dizaines qui t’attendent dans les dédales de ce baisodrôme.— Tu vérifieras qu’ils mettent tous des capotes.— N’ais crainte, je ne te lâcherai pas d’une semelle. Allez viens. Dit il en lui prenant la main. Je vais te faire visiter les lieux.
Ils s’engagèrent dans un couloir où se tenaient plusieurs hommes, certains exhibaient leur bite ou leur cul tandis que d’autres se déplaçaient avec l’air de faire leurs courses.  Thomas ne lâchait pas la main de son père mais d’autres mains le touchaient et le caressaient au passage. On lui tripotait la bite où on lui fouillait la raie des fesses et il se rapprocha de Daniel pour lui dire. Ils s’aventurèrent dans le labyrinthe, c’était totalement noir et il fallait avancer à tâtons alors Thomas se cramponna encore plus à son géniteur.
— Daniel, je sens une bite qui me force le cul…— Viens dans mes bras, répondit son père, je vais m’assurer qu’elle soit bien encapuchonnée.
D’un geste, il passa une main derrière le cul de son fils et sentant la verge bien dure entourée de latex, il la guida vers l’anus de Thomas.
— Oooh, putain, il… Aaah, il m‘encule, Chuchota Thomas à l’oreille de son père.— C’est bon ? Tu aimes te faire enculer comme ça, par un inconnu, dans le noir.— Oooh… Oh oui, c’est trop bon.— Ah, Putain, j’ai l’impression que t’as joli p’tit cul d’salope toi, déclara le baiseur. Oh oui ! il est vraiment bon.
Thomas se pencha un peu pour faciliter la pénétration ; les couilles du gars claquaient sur son périnée. D’autres hommes guidés par le bruit s’étaient approchés et le tripotaient de partout. Un gland nu et baveux vint se frotter sur son visage à la recherche de sa bouche mais Thomas refusa de le sucer. Le gars qui l’enculait allait de plus en plus vite et au bout de quelques instants il remplit sa capote dans le cul de Thomas.
— Emmène moi au sling, j’aime pas trop quand on voit rien.— OK, ne me lâche pas.
Daniel les guida vers la sortie et Thomas se rendit compte qu’ils étaient suivis par une horde de mecs de tous âges et toute corpulence. Son père le fit rentrer dans une pièce assez grande au milieu de laquelle se trouvait le fameux sling. Il s’y installa, cala ses jambes dans les chaines de la base et attrapa les autres avec ses mains tandis que déjà il était entouré de toutes parts. Des bouches venaient à la rencontre de la sienne ou se perdaient sur sa poitrine et dans son pubis. Des mains lui trituraient les tétons, la bite, les couilles et le cul et enfin des bites encapuchonnées se présentaient à sa bouche ou à son cul. Le premier à l’enculer sur cet instrument de torture fut un type à l’allure méditerranéenne. Il le baisa longuement, le sling bougeait sous ses coups de reins et Thomas jouissait. Au moment d’éjaculer, le gars se retira, jeta la capote et lui arrosa le ventre de son foutre tiède. La place ne fut pas libre longtemps car déjà un deuxième type lui enfonçait sa bite dans le cul. Daniel restait près de sa tête, il tenait le compte du nombre des hommes qu’il regardait se succéder plus ou moins rapidement dans son cul. À l’instar du premier des partouzeurs, beaucoup prenaient plaisir à éjaculer sur le corps ou le visage de Thomas qui devint rapidement couvert de leur foutre et de celui des voyeurs qui se branlaient autours. Au bout de deux heures, il n’y avait plus trop de monde autour d’eux et Thomas désira arrêter mais il accepta quand même que les derniers qui n’avaient pas eu « leur part » lui éjaculent au visage.Une fois de retours aux toilettes, Thomas s’essuya sommairement, se rhabilla et ils rentrèrent chez eux en taxi.
— T’auras encore un peu de place pour moi ? Demanda Daniel en prenant place à côté de son fils.— Bien sûr, et j’y compte bien mais après une petite douche ; j’en ai vraiment pris partout.— Il faut dire qu’au plus fort, j’ai compté 25 personnes dans la pièce mais il y avait des allées et venues…— Parce que t’as compté ?— Bien sûr, Chérie, tu crois quoi ? T’en as pris 29 dans le cul et 30 avec le gars du labyrinthe. Mais à mon avis ils sont au moins 40 à t’avoir éjaculé dessus.— Putain, j’ai vraiment fait ma grosse salope… 30 queues, c’est dingue.— Ça, si t’as mal au cul demain, faudra pas s’étonner.— Ouai, mais en tout cas, c’était chouette ; merci, Papa, c’était exactement ce dont j’avais besoin.
En rentrant chez eux, Daniel et Thomas allèrent ensemble sous la douche et se savonnèrent mutuellement. Une fois propre et secs, ils se mirent au lit et firent l’amour avec beaucoup de passion et de tendresse jusque tard dans la nuit.
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