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Thomas

Chapitre 3

Inceste
Chapitre III
Thomas dormait tellement bien qu’il n’entendit pas son père se lever pour aller travailler et ce sont les baisers de sa mère rentrée de sa nuit avec son client qui le réveillèrent.
— Mmm, Maman, tu es rentrée ? Il est quelle heure ?— Dix heures et demie et je suis rentrée il y a quelque temps ; j’ai croisé ton père qui m’a raconté votre soirée et je me suis douchée. Ooh mais qu’est-ce que je sens là ? Un petit garçon en pleine forme.— Toujours quand j’ai le nez dans tes seins… Et moi j’ai l’impression que c’est tout chaud et humide par là.— Toujours quand on me tète comme ça. Mmm, Thomas, tu m’excites… Maman va s’occuper de ton gros zizi, mon Bébé. Laisse toi faire.— Ooh, oh oui, Maman, c’est trop bon.— Occupe toi de ma zézette pendant que je m’occupe de ton zizi. Dit Odile en prenant position au dessus de son fils. Fait minette à Maman, Aaah… Oh oui, mon gourmand, mmm…
Odile avait regardé Thomas dormir pendant près d’une heure avant de se décider à le réveiller ; son besoin de lui était trop grand et leur soixante-neuf, bien que très agréable, ne lui suffisait pas. Elle voulait le sentir en elle, sentir son sexe la pénétrer ; elle voulait qu’il l’aime comme aucun enfant n’a normalement le droit d’aimer sa mère. Elle choisit de prendre l’initiative et comme elle se trouvait au dessus, elle le chevaucha. Thomas maintenait sa bite bien verticale et il regarda la chatte de sa mère s’écarter pour l’envelopper. Pour lui, le sexe de sa génitrice était la plus belle chose au monde. Dépourvu de toute pilosité, la vulve charnue, un peu brune, laissait apercevoir un clitoris dépassant très légèrement du capuchon et, en dessous, des petites lèvres saillantes d’un joli rose nacré.  Thomas aimait y plonger sa langue et se régaler de sa saveur. Il aimait aussi la voir s’ouvrir d’elle-même quand sa mère lui parlait en lui dévoilant ainsi le contenu de ses replis secrets. Le sexe de Thomas était maintenant totalement absorbé et Odile montait et descendait dessus. Son fils avait posé ses mains sur ses hanches et elle se caressait les seins et se pinçait doucement les tétons en même temps qu’elle bougeait sur le membre tendu. Le plaisir montait peu à peu comme une onde interne entre ses reins. Elle se pencha sur lui pour l’embrasser et ce fut lui qui se mit alors à bouger. Il soulevait son bassin, s’enfonçait en elle. Thomas la serrait contre lui et elle même avait glissé ses bras dans son dos. Après quelques minutes dans cette position, Thomas roula avec elle pour se retrouver au dessus. Elle se cramponna à lui en enlaçant sa nuque avec ses bras et ses hanches avec ses jambes. Thomas lui susurrait des mots d’amour au creux de l’oreille et ses mouvements subtils excitaient les zones les plus sensibles de son vagin. Odile le serrait de plus en plus fort, il allait et venait de plus en plus vite, elle cria de plaisir, il se tendit en elle et une deuxième onde de plaisir la submergea lorsqu’elle le sentit répandre sa semence au fond de sa matrice.Son orgasme avait été tel qu’elle en tremblait, en pleurait et en riait à la fois. Thomas lui même avait des étoiles plein les yeux, sa mère ne le lâchait plus, il s’inquiéta de la voir comme ça et elle le rassura.
— Non, ça va, il y avait longtemps que je n’avais pas joui aussi fort, c’est tout. Oh, mon Chéri, je t’aime ! Si tu savais comme je t’aime…— Moi aussi, Maman, je t’aime.— Oh, mon Trésor, mon Bébé, mon Tout Petit…— Un tout petit bébé de 18 ans quand même… La reprit Thomas en souriant.— Je m’en fiche, pour moi tu resteras toujours mon Bébé. Ça t’ennuie que je t’appelle comme ça ?— Non, pas quand on fait l’amour ou quand on est entre nous. En publique, ça ne serait sans doute pas pareil.— Pff, Hi hi, je ne me vois pas t’appeler « Bébé » en pleine rue ou devant des inconnus, on me prendrait pour une givrée. C’est uniquement à la maison.— Dis, Maman, tu m’épiles quand du coup ?— Oh, d’abord, tu vas prendre ton petit déjeuner et après on s’installera dans le salon.— Ça fait très mal ?
— Toutes les femmes le supportent assez bien mais c’est vrai que vous, les hommes, vous êtes un peu des chochottes.
Bien qu’elle possédât un appareil capable de faire des épilations durables, et même quasi permanentes à la longue, Odile avait décidé d’employer les bonnes vieilles méthodes. Elle avait, pour cela, acheté la veille tout ce qu’il fallait en terme de cire et bandes et lotion hydratantes. Elle n’était pas professionnelle mais elle avait envisagé de le devenir quand elle était jeune avant de se réorienter vers la comptabilité après la naissance de Charline. Par contre, elle avait continué à pratiquer pour elle et pour ses amies ou sa famille, entretenant, entre autre, les épilations intimes de sa mère et de sa belle-mère. Elle était douce, attentive et avait un geste sûr qui faisait que la torture de l’épilation du maillot était très atténuée. Elle installa un grand drap de plage sur le canapé et invita Thomas à s’y installer confortablement.
— Le confort, c’est la clé de tout, Bébé. Si tu n’es pas bien installé, la douleur te paraitra encore plus insupportable.— Ça va, Maman, je suis très bien.— Bon alors je vais commencer par les pieds et les jambes. Si tu te mets à porter des jupes, c’est important.— Ça ne t’a pas choqué, c’est vrai ?— Mais non, Chéri… Répondit Odile en commençant son travail. Bien sûr, j’ai été doublement surprise puisque, en plus, tu étais dans les toilettes pour dames mais dans ta tenue tu ne pouvais pas être ailleurs et puis, découvrir son fils en travesti c’est forcément un peu étrange.— C’est Papa qui me l’a proposé et j’avoue que je ne savais pas trop au début. Expliqua Thomas en serrant les dents. Quand on a pris le métro, j’étais carrément mal, même. Mais après, j’ai remarqué que pratiquement personne ne faisait attention à moi.— Je t’ai dit que tu étais très convaincante. Le seul détail qui clochait c’était tes chaussures.— Aïe !— Je t’ai fait mal, pardon. Tu es un peu tendu ; il faut que tu souffles comme ça : fhuuu…
Thomas souffla comme sa mère lui avait montré et quand ses poumons furent bien vides elle retira vivement une nouvelle bande de cire. La douleur était effectivement beaucoup plus supportable ; il se sentit rassuré et afficha même un large sourire.
— Tu vois, c’est mieux comme ça. J’aurais dû te le dire avant, pardon.— Fhuuu… C’n’est pas grave, Maman, maintenant ça va. Tu dis que c’est les chaussures qui n’allaient pas mais j’n’avais pas trop le choix. Fhuuu… J’ai pourtant des petits pieds pour un homme.— C’est vrai, tu dois tenir ça de moi. Tu supportes vraiment très bien, et ta peau est vraiment très douce là ou elle est épilée.— Tant mieux, fhuuu… C’est ce que je veux. Tu crois que je pourrais trouver des chaussures plus adaptées ?— Il te faudrait plus que des chaussures, les trucs que ta sœur a laissé ici sont bons pour être bazardés ; c’est franchement démodé, à mon avis. Et puis, si tu me piques mes culottes, tu vas les déformées. Souffle bien, voilà, hop ! Parce que tu voudrais recommencer ? C’est ça qui t’excite ?— Fhuuu… Oui, c’est ça. Papa m’a fait découvrir un truc hier. J’aimerai bien redevenir Vanessa de temps en temps.— Et bien on verra ce que l’on peut faire… Surtout ne touche pas à ta bite ; pour l’épiler, c’est mieux si tu bandes.
Odile continua d’épiler les jambes de son fils tout en discutant de son travestissement. Ils parlèrent dessous féminins, faux seins, manucure et maquillage. Elle était très étonnée par ce désir secret de Thomas qui s’était révélé avec son amour pour Daniel mais elle n’en était pas choquée plus que ça. Au contraire, ça l’amusait et ça l’excitait si bien qu’elle décida de mettre à profit ses compétences d’esthéticiennes au service de sa transformation. Elle avait fini les jambes et passait aux bras et au torse. Par expérience elle savait qu’il fallait finir par le maillot car c’était la zone la plus sensible et que, généralement, la personne épilée criait grâce après cette petite torture. Thomas se montra très résistant quand elle retira les touffes qu’il avait sous les bras. Elle l’en félicita et lui laissa quelques instants de répits avant de passer aux parties les plus délicates.
— Je vais d’abord m’occuper de tes fesses et de ton petit trou, ensuite, je retirerai les poils que tu as sur le périnée, autour de ton sexe et sur le pubis et je terminerai par ta bite et tes couilles. En comparaison, ce que tu viens d’endurer, c’est de la rigolade mais on va prendre notre temps et je travaillerai sur des surfaces plus petites. Il faudra continuer à bien souffler pour te détendre, d’accord ?— Je suis prêt et puis, il faut souffrir pour être belle, ce n’est pas ce qu’on dit ?— Si, c’est exactement ça mais si ça te convient, quand ce sera à refaire et si tu le souhaites, je pourrais t’épiler de façon un peu plus définitive et un peu moins barbare.— Pourquoi tu n’as pas choisi cette option tout de suite ?— Parce que ce n’est pas immédiat ; les poils sont brûlés et mettent quelques jours avant de tomber et puis, pour une première fois, c’est toujours mieux de choisir une méthode réversible. Tu découvriras vite que la nudité totale du corps n’est pas toujours bien acceptée par les gens.— Je verrais bien, mais je sais déjà que ça va me plaire. Comment je dois me mettre pour les fesses ?— Il faudrait que tu ramènes bien tes jambes vers toi en les écartant pour je vois ton cul. Là c’est parfait.
Thomas se trouvait dans une position vraiment indécente qui lui rappela son expérience au sex-shop. Sa mère lui avait parlé d’une douleur plus intense mais il la trouva très supportable et il apprécia les doigts qui caressèrent le pourtour de son anus pour en apprécier la douceur.
— Ton père va adorer, Bébé. Ton petit trou est vraiment tout doux.— Je le sens sous tes doigts. C’est vraiment super.
La suite fut moins facile à supporter et Thomas serra les dents plusieurs fois mais ce fut l’épilation des couilles qui lui firent le plus mal. La peau plus fine était aussi plus sensible et difficile à tendre convenablement. Par contre, quand tout fut fini, Odile lui passa une crème hydratante qui l’apaisa et réveilla son érection. Tout en lui massant les couilles, elle prit sa verge lisse en bouche et le suça avec l’envie de le faire jouir ainsi. Thomas se laissa faire en passant ses mains sur chaque parcelle de son corps lisse. Alors qu’il relevait une jambe pour découvrir sa douceur nouvelle, un doigt se glissa sur son anus qu’il pénétra en douceur. Thomas gémit, se cabra et jouit abondamment dans la bouche de sa mère. Odile n’avala pas ; elle se redressa pour l’embrasser et partager avec lui sa semence.
— Je te propose d’aller faire les boutiques cet après-midi ; on va habiller Vanessa de la tête aux pieds.— Tu… tu es sérieuse, Maman ? Je…— Je suis très sérieuse. Tu te rhabilleras comme hier, sauf que tu mettras un de tes caleçons, pas de soutien gorge évidemment, et on commencera par t’acheter des chaussures avant d’aller te trouver des dessous et des habits plus chics et plus actuels.
Thomas, ne sachant que dire, étreignit sa mère en rougissant. Odile sentait le plaisir qu’elle procurait à son fils et se posait de plus en plus de question à ce sujet. Ils déjeunèrent rapidement avant de se préparer. Odile aida « Vanessa » à se maquiller et à ajuster ses habits de façon plus féminine et elle lui prêta quelques bijoux pour compléter son travestissement. Ainsi maquillée et parée, Vanessa effaçait complètement Thomas et elles se rendirent en ville.
— Ce qui serait bien, c’est que l’on te trouve, au moins deux paires de chaussures. Une que tu pourrais mettre tous les jours et une pour les occasions plus chiques.— Tu crois ? Mais ça coûte cher ; une seule paire pourrait suffire dans un premier temps.— Ne t’inquiète pas de ça ; tu as envie de te travestir et de devenir femme, au moins pour ton père, alors je vais t’aider. Je suis bien décidée à tout faire pour que tu sois parfaite ! D’ailleurs, je n’ai pas fini. Je pense qu’il te faudrait aussi des bottes avant l’hiver et si tu en vois qui te plaisent, tu les essaieras aussi.
Thomas chaussait un petit 42 et tous les modèles qui lui plaisaient n’offraient pas forcément cette taille. Odile lui acheta quand même deux paires d’escarpins assez classiques dont une avait des talons hauts. « Vanessa » marcha avec d’un pas mal assuré dans le magasin et « elle » comprit qu’elle devrait s’entraîner avant de sortir en ville avec.
— Les talons hauts te vont bien, lui dit sa mère, ils te font bien ressortir les fesses.— Par contre ce n’est pas très pratique pour marcher… Va falloir que je m’entraîne.— Tu vas apprendre, ne t’en fait pas. Tu veux essayer des bottes ? J’en ai vu une paire très belle ; je pense que je vais même en acheter une pour moi.— Si tu veux mais j’ai peut-être le mollet un peu fort.— On verra bien ; viens voir.
Finalement, Vanessa sortit chaussée de nouveaux escarpins aux talons raisonnables avec, dans un grand sac une paire de botte et des escarpins aux talons plus hauts et plus fins. Elle était prête maintenant pour trouver des habits et des dessous adaptés à son âge et à ses goûts. Odile, progressivement, en oubliait Thomas et avait vraiment l’impression de faire des courses avec une fille. Vers seize heures elles firent une pause dans un salon de thé.
— Tu vois, Vanessa, c’est exactement ce que j’aurais aimé faire un peu plus avec ta sœur ; du shopping entre filles.— Ça vous arrive quand même au moins une fois par an quand ils viennent à la maison.— C’est dommage qu’elle soit partie si tôt et si loin.— C’est à cause du travail de Vincent, je crois.— Absolument pas ! Mais c’est bien à cause de lui. S’ils viennent nous voir deux semaines par an, c’est uniquement parce que Charline insiste. Vincent se force et désapprouve totalement notre mode de vie.— Comment ça ? Il n’avait pas l’air de se forcer l’été dernier et semblait plutôt bien avec nous.— Oui, je crois qu’ils ont battu tous leurs records de rapports sexuels hebdomadaires et ton beau-frère, malgré ça, ne souhaite plus revenir. Charline m’a dit qu’il en avait mare de nous voir à poil.— Tu parles ! Il a passé la moitié du temps à mater nos bites et ta chatte. Vu comme ça le faisait bander, il n’avait pas l’air si gêné.— Je crois qu’au contraire, c’est justement ça le problème. Charline m’a dit qu’il complexait un peu en vous voyant et il me reprocherait aussi de trop montrer ma chatte. En fait, je crois qu’il nous prend pour des malades.— C’est lui qui a un problème…— C’est aussi ce que pense ta sœur mais je crois qu’elle l’aime trop pour le contrarier.— Ça veut dire quoi, ça ?— Ça veut dire qu’on va les voir encore moins souvent.— Moins que deux fois par an ? Ça fait quoi ? Une ? Zéro ?— Je n’en sais rien… Alors tu comprends pourquoi je suis contente de faire du shopping avec toi, Vanessa.— Maman… Dit Vanessa en posant une main compatissante sur celle de sa mère. Pourquoi tu n’as rien dit avant ? Il y a longtemps que tu le sais ?— Un peu plus d’un mois… Je n’ai même encore rien dit à ton père.— Elle se sacrifie pour lui faire plaisir, mais ça ne durera pas, je ne peux pas y croire.— J’espère que tu as raison…— J’en suis certaine ! Intuition féminine !— Idiot ! Chuchota Odile en retrouvant le sourire. Je vais rester optimiste, comme toi et j’ai un truc à te proposer pour nous changer les idées. Ça te dirait ?— Tout ce que tu voudras, ma petite Maman chérie.— Ça m’étonnerait beaucoup que ton père soit débordé de clients, alors je pensais qu’on pourrait le débaucher un peu…— Si Bastien est là, il va me reconnaître !— Ce n’est pas si sûr et ce serait intéressant de faire l’expérience. Tu es franchement méconnaissable, je t’assure.— Remarque, Papa m’a promis une bague alors autant en profiter avant la fermeture des bijoutiers. Hi hi !— Tiens donc ! Et bien, il en achètera deux. Viens, Chérie, on va faire chauffer sa carte bancaire.
Daniel discutait de tout et de rien avec Bastien, son employé, histoire de tuer le temps. Ça faisait plus de deux heures que personne n’avait poussé la porte de son agence immobilière et il doutait qu’aucun client potentiel ne le fasse dans les deux à venir. Malgré tout, il ne pouvait pas se résoudre à fermer la boutique avant dix-huit heures. Il allait libérer Bastien quand Vanessa poussa la porte de l’agence. Odile était restée dehors pour observer les réactions des deux hommes au travers de la vitrine.
— Bonjour, dit Thomas en prenant une voix un peu plus féminine.— Bonjour Mademoiselle, répondit Bastien en la détaillant de la tête aux pieds. Je peux faire quelque chose pour vous ?— Tho… Vanessa ?! Se reprit in extremis Daniel sans en croire ses yeux.— Merci monsieur, dit Thomas très heureux de ne pas être reconnu. Je venais juste voir Daniel en passant.— Vanessa, mais qu’est-ce que tu fais là ? Demanda Daniel en lui faisant une bise presque sage juste au coin de la lèvre.— Je suis avec Odile. On a passé l’après-midi à faire du shopping et on a eu envie de te débaucher.— Tout un programme mais je ne ferme jamais avant 18 heures et je venais de libérer Bastien.— Bonjour messieurs, dit Odile en entrant enfin. Comment allez-vous Bastien ?— Très bien, Madame, je vous remercie… Je… je peux partir, Daniel ? Sinon, je peux garder la boutique, tu sais.— C’est gentil mais, à mon avis ce n’est pas le bon jour ; j’ai connu des samedis plus productifs. Rentre chez toi et je crois que je vais me laisser débaucher. Ajouta Daniel en embrassant Odile sans lâcher Vanessa qu’il tenait par la taille.— Bon et bien… Bon week-end. Enfin, ça a l’air plutôt bien parti, pour toi. En revoir Madame, en revoir Mademoiselle… Oh ! Si un jour vous vous ennuyez, n’hésitez pas à venir me voir. Je serais ravi de vous être utile en quoi que ce soit.— Merci, c’est très gentil à vous… Un jour, qui sait, mais je ne veux pas vous donner de faux espoirs.— Trop tard, c’est fait ! Dit Bastien en mettant sa veste. Bon week-end !— Tu lui as tapé dans l’œil ! Dit Odile en rigolant.— Voilà ton premier soupirant, Vanessa, ajouta Daniel hilare. Tu es vraiment splendide ! C’est incroyable.— Oh, il n’est pas mal foutu non plus mais ça m’étonne qu’il ne m’ait pas reconnu. Ce n’est pourtant pas la première fois qu’il me voit.— J’ai bien l’impression qu’il n’a rien vu d’autre qu’une beauté divine en tailleur Chenal ; tu es vraiment bandante, ma Chérie.— C’est vrai ?! Je te plais ? Demanda Vanessa en tournant sur elle-même. Et bien calme tes ardeurs car avec Maman, on a un petit programme pour toi.— Oh, ça sent l’arnaque, ça.— Il me semble, Chéri, que tu as fait une promesse à Vanessa et que le moment est bien choisi pour la tenir.— Une promesse ? Comment ça ?— Oh, il s’agit d’une petite chose que l’on passe au doigt… Et je suis certaine que Maman apprécierait la même attention.— Ça tombe bien, on a encore près de deux heures avant que tout ne ferme ; on pourrait passer par une bijouterie…— J’étais sûr que ça allait faire mal, dit Daniel en grimaçant.— Et puis on a besoin d’un peu d’aide pour porter nos sacs, ça deviens un peu lourd pour nous, frêles femmes, ajouta Vanessa en se collant à son père. Mais après on sera très gentilles avec toi, tu sais…
Daniel ferma son agence immobilière et ils partirent tous les trois vers les bijouteries du quartier. Vanessa voulait une alliance que Thomas pourrait garder au doigt sans attirer trop l’attention et Daniel tenait à lui offrir aussi une bague digne d’une fiancée. Il avisa en vitrine deux bagues presque identiques dont la principale différence tenait dans la nature de la pierre principale. L’une était composée d’une émeraude sertie de diamants et l’autre un saphir. Vanessa et Odile les trouvèrent très belles et, très naturellement, elles décrétèrent que la verte serait pour Odile et la bleue pour Vanessa.
— Ce sera assorti à nos yeux, comme ça, expliqua Vanessa joyeuse.— Tu as vu ces boucles, Chérie, elles t’iraient bien aussi et en plus elles seront assorties à ta bague.— C’est vrai qu’elles sont belles, Maman, mais je n’ai pas les oreilles percées.— Ils peuvent te le faire ici, tu sais. Qu’en penses tu, Chéri, ta deuxième femme ne peut pas rester sans quelques bijoux à elle.— C’est vrai qu’elles sont belles… répondit simplement Daniel qui ne voyait que leur prix.— Mmm, Merci, mon Amour, Dit Vanessa en l’embrassant sur la bouche. Je savais que tu dirais oui !— Entrons car je sens que si on reste cinq minutes de plus devant cette vitrine je suis ruiné.— N’exagère pas, Chéri, tu ne fais pas souvent de folies en bijoux…— Là, je vais en avoir pour au moins cinq ans ! Ah ah ah !
Finalement, Daniel se laissa « plumer » par ses femmes qui sortirent avec, en plus, une gourmette et un collier chacune. Il avait claqué en cinq minutes une somme rondelette qui allait justifier de contacter son banquier en début de semaine. Sans être vraiment radin, Daniel n’aimait pas dépenser d’argent dans ce genre de choses futiles ; Odile le savait et ne lui en voulait pas mais elle était contente d’avoir pu, grâce à la présence de Vanessa, lui forcer la main.
Arrivés chez eux, Daniel se déshabilla comme à son habitude mais Thomas, voulant rester encore Vanessa quelques temps, garda sur lui un body string très sexy, en dentelle noire, des bas auto-fixants et se chaussa de ses escarpins à talons hauts pour s’y habituer. Odile l’imita en gardant ses bas, son porte-jarretelles, son soutien gorge quart de sein et en se chaussant d’escarpins à talons hauts comme Vanessa.
— La soirée va être chaude… Déclara Daniel en les voyant comme ça.— Oh oui, Chéri, lui dit Odile en se collant à lui avec sa « fille ». On va te faire ta fête.— Mmm, Papa, te voilà avec deux femmes, c’est officiel. Dit Vanessa en regardant son alliance et sa bague.— Par contre, je crois que ce soir on va être très feignantes sur les tâches ménagères, avoua Odile en lui embrassant la joue. Pas vrai, Chérie ?— Oh oui, Maman, ce n’est pas un jour à mettre un tablier ou à faire la vaisselle.— Je vous vois venir, coquines… Il fallait le dire si je devais conserver mes habits.— Oh, mais on a le temps ; il est six heures et demie. Tu dois bien connaître un endroit où réserver pour neuf heures…— Allez Papa, ne fais pas cette tête ; tu vas sortir avec tes femmes.— Vous êtes terribles…
Daniel réserva donc une table pour trois dans un grand restaurant plus chic encore que celui où il avait emmené Vanessa la veille et il emmena ses deux femmes au lit. Tout de suite Odile et Vanessa s’enlacèrent et s’embrassèrent pour achever de l’exciter. Elles avaient conservé leurs dessous et leurs chaussures à talons et leur étreinte était terriblement érotique. Daniel hésita un moment mais il choisit finalement de pénétrer sa femme qui lui avait manqué la veille.Odile était allongée sur Vanessa et elles s’embrassaient et se caressaient la poitrine pendant que Daniel la prenait en levrette.
— Oh, Maman, tu es belle quand tu jouis, Oh oui, tu me plais.— Aaah… mon Bébé, Aaah… Fit-elle avant de l’embrasser de nouveau à pleine bouche.
Après quelques minutes, Vanessa se dégagea pour se retourner et placer sa bouche avide au niveau de la chatte de sa mère. Odile défit fébrilement les pressions qui fermaient son body string et elle écarta ses fesses pour y plonger sa bouche. Thomas se faisait lécher le cul tandis que sa langue s’activait sur le clitoris de sa mère et les couilles de son père. De temps à autres, Daniel ressortait son sexe de la chatte de sa femme et la plongeait dans celle de son fils travesti. Il se faisait sucer le gland quelques secondes et repartait à l’assaut. Odile jouissait sous ses coups de reins et il sentait monter son plaisir ; inexorablement, il se rapprochait de la délivrance. Ses couilles se contractèrent, sa verge se gonfla au passage du foutre et il balança sa première salve dans la matrice d’Odile et le reste dans la bouche de Vanessa qui continua de le sucer avec tellement de conviction qu’il n’en débanda pas.
— À ton tour, ma Chérie, finit-il par lui dire. Mets-toi à quatre pattes ici.— Mm, oui, Papa, j’ai terriblement envie de toi.— Laisse moi d’abord t’admirer ; j’ai bien compris que tu étais toute épilée mais je n’en ai pas encore profité… Oh mon Dieu, Dit-il en découvrant son cul bien lisse et son sexe glabre. Retire ton body ; je veux pouvoir te toucher partout.
Daniel caressa le corps lisse de son fils et sa verge y trouva l’énergie pour rester bien dure. Ils se tenaient à genoux l’un derrière l’autre, Daniel promenait ses mains sur tout le corps de Thomas et Odile en profita pour glisser sa tête entre leurs cuisses écartées. Le jeune travesti se pencha pour embrasser sa vulve encore chaude de l’étreinte précédente et Daniel en profita pour lui lécher le cul avant de se mettre en position pour le prendre. Il le pénétra d’un coup, sans aucune peine, et le garçon émit un râle d’encouragement. La sodomie se fit rapidement très puissante et Daniel pesait de tout son corps sur Vanessa qui s’en trouvait presque collée à sa mère. Odile se mût comme un serpent pour placer la verge tendue de son fils au niveau de sa poitrine et l’enfermer entre ses seins. À chaque aller et retour de Daniel, la bite de son fils coulissait dans son 90 D. Odile n’était pas aux premières loges pour assister à l’enculade car dans cette position c’était plutôt le cul de son mari qu’elle avait sous les yeux tandis que ses couilles glissaient contre sa gorge. Elle voulut, néanmoins faire quelque chose pour exciter Daniel et elle redressa sa tête pour lui lécher la rondelle quand il ramenait ses fesses vers son visage. Daniel n’aimait pas se faire enculer mais il adorait se faire lécher le trou du cul. Aussi, il profita de moments de retraits pour faciliter l’ouvrage à sa femme tout en admirant le trou bien ouvert dans lequel il replongeait avant qu’il ne se referme. C’était une baise sans nom à laquelle ils se livraient et Daniel se sentit bientôt venir. Il l’annonça et Vanessa éjacula sur le ventre de sa mère en même temps que son père jouissait. Comme il l’avait fait avec Odile, Daniel envoya la première giclée au fond du cul de Vanessa et, après être sorti prestement, il envoya tout le reste dans la bouche de sa femme qui l’accepta sans se poser de question.
— Aaaah… Ah putain, vous m’avez vraiment vidé les couilles toutes les deux…— C’est pour ça qu’il va falloir que tu reprennes des forces, Papa. Avec Maman on a décidé que ce serait ton week-end…— Vous voulez ma mort ?— Mais non, Chéri, on ne te veut que du bien au contraire mais Vany a raison ; il faut veiller sur tes forces. Bébé, ça va être un peu juste pour te poser tes faux ongles ce soir.— Ce n’est pas grave, Maman, on fera ça demain.— Tu vas à la fac lundi, tu n’crois pas que c’est un peu bête de faire un truc qui devra être défait tout de suite ? Surtout que les solvants, ce n’est pas super.— Alors je les garderai ; il suffira de ne pas les colorer de manière trop voyante ; c’est tout. De toute façon, je vais aussi garder mon alliance et j’ai mes deux prothèses d’oreilles que je dois garder un mois, alors…— Et si on allait se doucher, déclara Daniel que ces considérations laissaient de marbre, il ne nous reste pas trop de temps pour rejoindre le restaurant.
Après avoir enlevé ses bas et ses escarpins, Thomas eut l’impression de perdre une partie de son identité. Sans aucun attribut féminin, il n’était qu’un garçon maquillé et "bijouté". Ce constat le chagrina profondément mais il le garda pour lui. Ils se lavèrent mutuellement et de façon très sensuelle mais Daniel avait suffisamment joui pour ne pas rebander. Ce n’était pas le cas de Thomas qui eut la surprise de voir son père s’agenouiller à ses pieds pour lui sucer le gland tandis que sa mère le branlait.
Il ne fut pas long à venir et, en quelques instants, il déchargea dans la bouche de son paternel qui avala aussitôt tout son jus.
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