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Thomas

Chapitre 4

Inceste
Chapitre IV
En suivant l’avis de sa mère, Vanessa se changea totalement et remis ses talons hauts sur lesquels elle n’était toujours pas très à l’aise.
— Toute les femmes débutent un jour dans ce sport périlleux qui consiste à marcher avec des talons aiguilles. Tu n’auras qu’à me donner le bras et à suivre mes conseils. Je suis certaine que tu t’en sortiras très bien.— Je n’aurais pas trop l’air ridicule ? Tu es sûre ?— Mon Bébé, tout à l’heure, au lit, tu m’as prouvé à quel point tu pouvais être femme. Tu sais ce n’est pas le premier trio que nous expérimentons, ton père et moi. Deux femmes et un homme ou deux hommes et une femme, ça nous connaît, mais c’est la première fois que c’est aussi semblable.— J’aimerai bien t’expliquer des trucs, Maman, mais je préfèrerais n’en parler qu’avec toi. Chuchota Thomas pour ne pas être entendu par son père.— Entendue, ma Chérie, lui répondit Odile au creux de l’oreille, mais je crois que j’ai déjà compris.— Vous faites des messes basses, maintenant ? Dit Daniel frustré de n’avoir pas entendu.— On parle entre filles ! Le contra Vanessa en finissant de s’habiller. Tu ferais mieux de finir de nouer ton nœud papillon ; on t’attend !
Daniel ne moufta pas ; Vanessa et Odile représentaient tout ce qu’il n’aurait jamais pu espérer et il était bien décidé à tout faire pour ne jamais les contrarier. Il décida de ne pas prendre ni sa voiture ni le métro et commanda un taxi qui arriva dans le quart d’heure.
Lorsqu’il les vit très chics, Daniel dans un smoking et les deux femmes dans des tailleurs élégants, le chauffeur n’eut pas l’audace de les tasser sur la banquette arrière de son véhicule. Daniel monta donc devant et Odile et Vanessa derrière. Thomas avait trouvé dans son travestissement une seconde nature qui lui convenait parfaitement et ses parents l’avaient instinctivement accepté. Daniel parce qu’il y trouvait plus que son compte sexuellement et Odile parce qu’elle retrouvait une fille avec laquelle discuter de choses intimes. La connivence avec Vanessa avait été quasi instantanée alors qu’elle avait souvent eu du mal à communiquer avec Thomas.Odile comprit que son enfant avait une double personnalité et elle se demandait si son esprit androgyne ne voulait pas être simplement féminin. Libérées de la présence de Daniel assis à l’avant à côté du chauffeur, elles se mirent à en parler activement dans un chuchotement de plus en plus imperceptible. Peu à peu, plus aucun son ne sortait ; seules leurs lèvres bougeaient et elles déchiffraient dessus ce que l’autre disait à une vitesse surréaliste. Daniel, occupé à échanger des banalités avec le chauffeur ne remarqua rien et ne s’étonna pas de ne pas les entendre. Par contre, il fut très étonné en leur ouvrant la portière. Odile et Vanessa étaient blotties l’une contre l’autre, en larmes et souriantes malgré tout.
— Quelque chose ne va pas ? S’inquiéta-t-il conscient d’avoir loupé un épisode.— Non, tout va très bien, lui répondit Vanessa évasive.— Ce sont des histoires de filles, ajouta Odile en s’essuyant les yeux.— C’est de ma faute ? Insista Daniel perplexe.— Mais bien sûr, Papa, tu devrais même te taper la tête par terre ou contre un mur.— Mais non, Chéri, elle te charrie ; tu n’y es pour rien. On avait des choses à nous dire qui nous ont émues et maintenant, on est affreuse. Hi hi ! Ton maquillage a coulé et j’imagine que le mien c’est pas mieux.— On va aller directement aux toilettes, Maman, pour laver tout ça.— Et nous refaire une beauté ; j’ai tout ce qu’il faut dans mon sac.

Le diner fut somptueux et les vins excellents. Odile et Vanessa étaient complices et joyeuses, Daniel se rassura et mit définitivement l’épisode du taxi aux oubliettes.
À leur retour, ils refirent l’amour tous les trois en laissant s’exprimer, comme un peu plus tôt, la personnalité de Vanessa et Daniel réussit encore à les honorer l’une et l’autre pour leur plus grand plaisir.Durant tout le week-end, Thomas resta Vanessa et sa féminité était tellement évidente que Daniel et Odile ne se forçaient plus pour employer son nouveau prénom. Odile la trouvait même bien plus dynamique et enthousiaste que Thomas et appréhendait la semaine à venir où Thomas n’aurait d’autre choix que de refaire surface.
Odile avait raison, Thomas était de plus en plus maussade le matin en s’habillant pour aller à la fac. Pour se soutenir le moral, il conservait des dessous féminins mais ça ne le satisfaisait pas. Se sentant devenu différent, il faisait tout pour éviter ses copains et copines de peur qu’ils ne comprennent pas son évolution. Il ne pouvait pas non plus leur parler de l’amour qu’il partageait avec ses parents et il s’enfonçait peu à peu dans le secret. Beaucoup pensaient qu’il les snobait et plutôt que d’essayer de se rapprocher de lui pour en discuter, prirent, eux aussi, de la distance. Paradoxalement, il en fut soulagé car il avait moins d’efforts à faire pour les éviter. Il était isolé et n’avait plus de goût pour ses études. Il continuait pourtant d’aller à la fac par habitude et pour ne pas inquiéter encore plus ses parents.
Après quelques semaines, cette situation d’isolement semblait convenir à tous ses camarades et pourtant une personne se tourmentait en silence.Karine était une amie d’enfance de Thomas, elle le connaissait depuis l’école primaire et ils avaient toujours été très proches. Comme elle n’était pas dans la même filière, elle n’avait pas l’occasion de le voir tous les jours mais ils mangeaient régulièrement ensemble au restaurant universitaire. Depuis qu’il s’était isolé, elle ne l’avait plus revu et il ne répondait même plus à ses messages ou ses appels. Karine n’était pas du genre à laisser quelqu’un dans la détresse surtout s’il s’agissait de son ami le plus cher. Elle décida de prendre le taureau par les cornes et sécha des cours pour essayer de le coincer. Elle lui fila le train à la sortie d’un amphi et le suivit jusqu’à un petit kebab très éloigné de la fac. Elle attendit qu’il s’installe avec son plateau pour s’asseoir devant lui avec une canette de soda.
— Salut le fantôme ! T’en as pas marre de faire le mort !— Karine ?! Qu’est ce que tu fais là ?— Je t’ai suivi, qu’est-ce que tu crois ! Ça fait un mois que tu es sur répondeur et que tu ne réponds à aucun message. J’aurai pu croire que c’était par rapport à moi mais Jasmine et Hugo m’ont confirmé que t’évitais tout le monde.  Alors j’en conclus que : Un ! Tu n’vas pas bien. Deux ! Tu n’vas pas bien et trois…— Je n’vais pas bien. Ça va, j’ai compris.— Et donc ? Tu m’expliques ? On a toujours été là l’un pour l’autre ; tu n’es pas juste un copain pour moi. Tu le sais, non ?— Oui, je sais et toi aussi t’es ma meilleure amie, mais là c’est compliqué…— Eh ! Thomas ! Regarde moi, s’il te plait. La vie, c’est toujours compliqué sinon ce serait pas marrant et c’est pour ça qu’on a des amis. Tu sais que tu peux tout me dire. Ce ne sera pas la première fois.— Je ne suis pas sûr que t’ai envie d’entendre ce qui m’arrive…— Écoute, Thomas, tu comptes plus que tout pour moi et j’ai toujours encaissé tes histoires, même tes envies bizarres avec ta mère. Je ne t’ai pas jugé, tu le sais !— C’est vrai et bien si tu veux tout savoir, ça c’est fait.— Quoi ? Ça c’est fait.— Et bien mes envies bizarres. Ce ne sont plus des envies.— Non ?! Déconne !... C’est génial ! Tu couches avec ta mère alors ? Ajouta-t-elle en chuchotant.— T’es bien la seule personne à qui je peux dire ça et me dire que c’est génial. C’est sympa, merci. Mais en vrai, je fais ça avec mon père aussi.— Mais c’est sans doute pas ça qui te déprime… Alors qu’est-ce qui t’arrive ?— On peu en parler ailleurs ?— OK ! On va chez toi ou on va chez moi ; j’ai tout ce qui faut pour te remonter le moral…— Pff, t’es conne… On va chez moi ; ce sera plus facile mais tu garderas ça pour toi, d’accord ?— Je ne t’ai jamais trahi, Thomas.
Thomas et Karine séchèrent leurs cours de l’après-midi pour se rendre chez lui. Il se demandait comment lui présenter Vanessa mais il savait que c’était finalement son seul espoir pour aller mieux. Il savait que ses parents ne seraient pas rentrés avant plusieurs heures et qu’il aurait le temps de s’expliquer. Arrivé chez lui, ils se rendirent dans sa chambre qui ne lui servait plus que de bureau et il décida qu’une démonstration valait mieux qu’une longue explication.
— Tu veux bien m’attendre là, s’il te plait ? Je vais te montrer un truc. J’en ai pour deux minutes.— Euh, si tu veux, répondit Karine sans trop comprendre.
Thomas la laissa assise sur son lit et se précipita dans la chambre de ses parents pour se changer. Il choisit une jupe légère, un chemisier assorti et passa par la salle de bain pour se maquiller et mettre ses bijoux. En se regardant dans le miroir, Vanessa fut soulagée par son image. Elle arrangea ses cheveux et après s’être chaussée de ses bottes, elle se rendit dans la chambre de Thomas.
— Je te présente Vanessa…— Oh non ?? Thomas ? T’es… Hi hi hi ! T’es magnifique. Tu… tu fais ça depuis longtemps ? Ah ah !— Ça te fait rire ! C’est pour ça que je ne veux pas en parler et que je fuis tout le monde.— Non, pardon ! Je ne me moque pas ; c’est nerveux, ouf ! Ça m’a rappelé l’anniversaire de mes dix ans où tu étais le seul garçon. Tu te souviens ? Sonia faisait la tête parce que tu étais là et toi, t’avais dit que t’étais une fille aussi.— Tu parles si je m’en souviens. Tu m’avais prêté tes habits…— Et moi, j’avais mis les tiens… Mais je réalise qu’en fait, de nous deux, j’étais la seule à me déguiser. C’était drôle, t’avais féminisé ton prénom en Tomate.— C’est vrai et ça reste un de mes plus beau souvenir d’enfant mais Maman était furieuse quand elle est venue me chercher. J’ai été sacrément puni et ma sœur s’est copieusement moquée de moi pendant des jours. C’est sans doute pour ça que j’ai passé des années pour comprendre qui je suis vraiment ou, plus exactement, pour être capable de le formuler. Paradoxalement, c’est Papa qui m’a suggéré de me travestir et ça a fait aussitôt un déclic.— En tout cas, je n’m’attendais vraiment pas à ça. Comment t’as dit que tu t’appelais ?— Vanessa. C’est le prénom que j’aurais eu si je n’étais pas né garçon.— Ça te va bien…  et c’est beaucoup plus sexy que Tomate, ha ha ! Tu sais que t’es vraiment canon ; je n’en reviens pas !— Tu veux que je t’explique ? Dit Vanessa en s’asseyant près de Karine.— J’y compte bien, répondit la jeune fille en lui prenant les mains. Je vois bien que c’est important pour toi. C’est parce que t’es Thomas à la fac que t’es malheureux ? C’est ça ?— C’est exactement ça, parce que je suis vraiment Vanessa et je voudrais pouvoir l’être tout le temps et partout.— Mais du coup, sexuellement, ça se passe comment ?— T’es curieuse, hein ? Et bien, c’est toujours pareil ; je n’ai pas coupé ma bite, tu sais. — T’es toujours autant attiré par les filles que par les mecs ou ça a changé ?— Non, ça n’a pas changé ; ça n’a rien à voir. Par contre, les mecs me regardent un peu plus, maintenant. Ah ah !— Tu sais, je connais plein de filles qui te regarderaient avec envie aussi et moi la première d’ailleurs.— Mais toi, c’est facile ; tu m’as toujours regardé.— Évidemment, parce que je t’aime et si je devais un jour me mettre en couple avec quelqu’un ce serait toi. Tu es vraiment très belle ; c’en est presque indécent. Je connais des filles qui payeraient cher pour être aussi bien foutues.— Ça ne peut pas être ton cas ; toi aussi t’es canon et tu le sais ! T’en abuses même un peu. Quand à moi, tu n’es pas objective, il y a vraiment beaucoup de choses à améliorer. Dit Vanessa en approchant ses lèvres de la bouche de Karine. À commencer par ma silhouette.— Je peux te déshabiller ? Demanda timidement la jeune fille après leur baiser.— Avec plaisir.
Karine commença par lui retirer ses bottes avant de se redresser pour défaire un à un et avec beaucoup de précaution les boutons de son chemisier. Elle l’embrassa en en écartant les pans pour le faire glisser de ses épaules. Vanessa était adepte du body string qui permettait à sa verge de prendre de l’ampleur sans sortir du sous-vêtement. Karine caressa sa poitrine plate comme s’il s’agissait de seins plus opulents. Elle descendit ses mains le long de son corps vers ses hanches et défit la fermeture de la jupe qu’elle attrapa par les côtés pour la descendre à ses pieds. Ses gestes étaient doux et sensuels et Vanessa en bandait terriblement. Son sexe bien raide pointait vers son nombril en déformant le body qui le laissait percevoir par transparence. Accroupie à ses pieds, Karine lui retira ses bas et apprécia la douceur de ses jambes parfaitement épilées par une longue caresse remontant des chevilles aux hanches. Elle se redressa et se dénuda rapidement en retirant d’un coup son jean et sa culotte et en faisant passer son t-shirt par dessus sa tête. Sa poitrine ferme supportait l’absence de soutien gorge et Vanessa pensa qu’elle aimerait bien en avoir une semblable un jour. Elle se coucha sur elle et elles échangèrent un nouveau baiser profond.Vanessa se laissait faire et laissait son amie la découvrir en détail. Karine lui retira son body et glissa entre ses jambes en excitant sa verge au passage avec la pointe de sa langue. Elle souleva ses cuisses qu’elle écarta largement et sa bouche alla tester la douceur des couilles du bout des lèvres en poursuivant son chemin plus bas. Elle arriva à son anus aux abords bien lisses et se délecta d’une caresse buccale du petit trou.
— Ooooh, fit Vanessa en fermant les yeux.— En tout cas, t’aimes toujours autant que je te lèche le cul… Constata Karine avant de replonger sa langue dans le petit œillet.— Mmm, et tu le fais toujours aussi bien, répondit Vanessa en attrapant sa verge.— Eh ! Pas touche à ta queue, vilaine ! Je m’en occuperai après.
Vanessa, obéissante, abandonna sa bite pour remonter ses mains vers ses tétons qu’elle pinça avec force pendant que Karine lui bouffait le cul. L’anulingus ne s’éternisa pas trop longtemps car Karine avait de plus en plus envie de la queue de Vanessa. Elle se redressa, l’enfourcha pour l’embrasser et d’une main, elle plongea sa bite dans sa chatte humide. Elle se baisait elle-même en montant et descendant sur la verge sublime de son amie qui lui caressait les seins. Elle avait posée ses mains sur la poitrine encore masculine de Vanessa et constata que ses tétons étaient bien gros et durs. Elles se les pinçaient mutuellement, leurs plaisirs montaient crescendo en parfaite communion. Elles s’étreignirent, Vanessa se mit à remuer du bassin, Karine cria de plaisir, la bite se gonfla subitement, se tendit et elles jouirent à l’unisson en se serrant très fort.
— Mmm, tu sais Vanessa, je crois que je sortirais bien avec une fille comme toi…— Tu ne serais pas jalouse de mes parents ?— Non ! Je sais bien que je devrais faire avec toute ma vie… Et puis j’aime bien tes parents ; ils ont toujours été très sympas avec moi.— T’es parents aussi sont cools ! Ton père m’a toujours fait rire mais je ne sais pas ce qu’ils en penseraient.— Mon père t’aime bien et ma mère t’adore. Pour être franche, je crois qu’ils nous ont toujours imaginés ensemble.— Mais ça ne répond pas à la question de ce qu’ils penseront de moi.— Si toi, tu es heureuse et que je suis heureuse avec toi, que veux tu qu’ils disent ? Ça fait au moins dix ans qu’ils te connaissent. Alors même s’ils seront peut-être un peu surpris au départ, ça m’étonnerait qu’ils te rejettent par ce que tu affirmes ta féminité. Ça te dirait, Vanessa, d’aller prendre un café quelque part ?— Si tu veux, on peut aller près du square, il y a une boutique sympa qui a ouvert à côté où j’ai vu un petit foulard sympa. Tu me donneras ton avis comme ça, tu veux bien ?— Cool ! Une boutique que je ne connais pas ! Rhabille-toi, on y va !— Tu peux laisser ton sac de cours ; de toute façon faut que tu repasses par ici pour aller chez toi.
Karine et Vanessa partirent à pied jusqu’au métro pour rejoindre la boutique d’accessoires et le café du square. Elles bavardaient comme deux copines mais ne résistaient pas à l’envie de s’embrasser de temps en temps. Le foulard qu’avait vu Vanessa plut à Karine qui trouvait qu’il lui allait bien et la jeune transgenre en offrit un à son amie.Quand elles entrèrent dans le café, une dizaine de regards masculins se tournèrent vers elles et elles évitèrent de relever les propos salaces de quelques piliers de comptoir. Elles s’installèrent dans un coin reculé de la salle pour ne pas se montrer en spectacle et pouvoir discuter loin d’oreilles indiscrètes.
— Alors tu veux aller jusqu’où ? Demanda Karine en sucrant son capuccino. Tu veux juste rester travesti ou tu veux te transformer.— Je veux avoir un corps plus féminin mais je veux conserver mon sexe intact, si c’est ça qui t’inquiète. Par contre, si j’avais une poitrine, je me sentirais sans doute plus femme tout le temps. On en a parlé avec Maman et elle est d’accord pour m’aider. Il faut un traitement hormonal avec un suivi médical ; c’est très cher et on ne sait pas si ça peut être pris en charge par la sécu. Et je ne te parle même pas de la chirurgie esthétique…— Qu’est-ce que tu veux faire en chirurgie esthétique ? T’es très bien.— Je suis affreuse, tu veux dire. C’est du détail, mais j’aimerai me faire refaire le nez et surtout me faire raboter un peu ma pomme d’Adam.— C’est pour ça le foulard ? C’est sur que ce serait mieux ; je comprends.— Oui, et je veux aussi me faire épiler la barbe de façon définitive mais ma mère ne veut pas me le faire. Elle dit que c’est mieux de faire ça en clinique, mais c’est possible que ça alourdisse encore la facture…— Et ton père, il en dit quoi ?— Pour l’instant, il n’est pas au courant ; Ça reste un secret de femmes. Pour être franche, il m’appelle encore Thomas beaucoup trop souvent. Je crois qu’il pense que je me travesti pour le fun. En plus, il est un peu radin et il pourrait considérer que ce sont des dépenses inutiles.— Mais, n’importe quoi ! C’est pour toi et puis c’n’est pas comme si c’était une bagnole ou un bijou.— Oh, pour les bijoux, il pensait m’offrir juste une bague mais avec Maman on l’a emmené à la bijouterie ; il en a eu pour son argent, crois moi ! Hi hi ! On a réussi à le mener par le bout de la queue. Regarde : une bague, une alliance, mes boucles enfin tous les bijoux que j’ai sûr moi, quoi.— Je me disais bien que c’n’était pas du toc ! T’es une vraie petite bourgeoise en fait !— Non, pas tant que ça, mais si on m’offre de jolis habits comme l’a fait Maman ou de jolis bijoux, comme Papa, je ne vais pas cracher dans la soupe.— OK, et ça te va bien.— Pourtant, ça t’a bien fait rire tout à l’heure.— Avoue que ça fait un choc, quand même ! C’était nerveux, tu sais très bien pourquoi et puis ça ne m’a pas fait que rire.— Je suis très heureuse que tu l’ais pris comme ça, en fait. J’avais tellement peur que tu ne l’acceptes pas et que tu me rejettes.— Eh, Vanessa, on est amies depuis qu’on se connaît et je t’aime plus que n’importe qui sur Terre. Et puis, on est au vingt-et-unième siècle.— Justement, il y a un retour à l’intolérance bien flippant quand même !— C’est vrai, mais ça ne touche pas tout le monde.
Elles restèrent encore une heure à parler d’elles et de leurs envies ; elles s’embrassèrent discrètement à plusieurs reprises. Vanessa était vraiment heureuse et détendue et elles décidèrent de rentrer tranquillement à pied en se donnant la main.
— Tu sais, Karine, j’envisage d’abandonner la fac…— C’est idiot, pourquoi ?— Parce que je ne pourrais jamais y aller autrement qu’en tant que Thomas et ça me déprime. En plus, à part faire prof, quel avenir j’ai après ? Et ça m’étonnerait que l’on prenne une transgenre pour enseigner.— Tu pourrais juste changer de filière en expliquant ton cas aux responsables des enseignements.— Ça ne changera rien. À chaque exam, je serais Thomas ; Vanessa n’aura aucun droit de vivre. Parce que si c’est compliqué de changer de corps, changer d’identité officielle, c’est une autre paire de manches.— Mmm, et tu comptes faire quoi ?— J’en sais rien encore mais il y a plein de petites écoles d’esthéticienne ; je pourrais repasser un bac pro et poursuivre avec un BTS quelconque, ou pas d’ailleurs, avant de me mettre à mon compte. Maman pourra m’aider…— À mon avis, tu as tort. Je comprends que ça peut être difficile mais si tes profs sont prévenus, ils pourront t’appeler Vanessa en cours. Qu’est que t’en as à péter qu’il y ait écrit Thomas sur tes convocations ? De toute façon c’est aussi ce qu’il y a d’écrit sur ta carte d’identité et ce sera la même chose ailleurs. En plus, tu ne sais pas encore si tu vas enseigner ; tu peux aussi te retrouver à bosser dans un labo et si les gens te trouvent compétente, ils n’iront pas voir si tu as une bite entre les jambes. Je serais toi, j’irais voir tes responsables d’enseignement et j’en parlerais avec eux pour que, l’an prochain au moins, ils inscrivent Vanessa plutôt que Thomas sur les listes des profs. Si t’as peur du regard des étudiants, tu changes de filière ou de fac ; c’est pas très compliqué.— Ça, c’est ce que tu dis…— Tu veux que je t’accompagne ? Je peux le faire, tu sais. Mais ne fait pas la connerie d’abandonner la fac ; tu voulais faire de l’histoire alors poursuit jusqu’au bout, putain ! Fait de la recherche, pas de l’enseignement !— Faut pouvoir ; le chemin est long jusqu’au doctorat mais t’as peut-être raison…— Bien sûr que j’ai raison ! Et puis, tu sais, il y a plein de manières d’être féminine sans s’habiller dans des tailleurs Chenal ou je ne sais quelle jupe de grande marque. Samedi, je t’emmène faire du shoping et tu verras qu’on te trouvera des fringues que tu pourras porter sans que ça ne choque personne. Ça peut aussi être une affaire de subtilité.— Si je comprends bien toi aussi tu veux me prendre en main, alors.— Si tu crois que je vais laisser ta mère faire ton éducation toute seule… Elle, elle se charge très bien du côté classique et bourgeois mais moi je vais faire de toi une urbaine libérée de dix-huit ans ! Je n’ai pas envie de sortir avec une vieille. Je veux qu’on aille en boite, au ciné ou n’importe où et, surtout, qu’on s’éclate !— Oh et bien, c’est un programme qui me va… Tu me promets de m’accompagner pour voir mes profs ?— Je ne te lâcherai pas ! Fais moi confiance.— Je t’aime, Karine, tu es vraiment super.— Moi aussi, Andouille ! Je t’aime et depuis longtemps…
En rentrant chez Vanessa, Odile était déjà rentrée et elle fut heureuse de voir Karine mais très étonnée de constater qu’elle était, non pas avec Thomas, mais avec Vanessa.
— Alors ça y est, elle t’a dit qu’elle se sentait plus fille que garçon d’une certaine manière. Dit Odile en faisant la bise à Karine. Ça me fait plaisir parce qu’elle paraissait de plus en plus déprimée en partant le matin et j’ai eu peur qu’elle se retrouve un peu seule.— C’était bien le cas, mais j’ai décidé de m’occuper d’elle activement parce que c’est sûr qu’avec ces fringues… Elle est très bien mais ce n’est pas adapté pour aller à la fac.— Oh, très bien. Tu seras sans doute beaucoup plus douée que moi pour ça… Ils sont jolis ces foulards, c’est nouveau, ça sort d’où ?— Oui, je les avais repérés dans la petite boutique d’accessoires qui a ouvert près du square alors j’ai demandé son avis à Karine. Je m’en suis pris un et je lui ai offert l’autre.— C’est surprenant, l’autre jour, je n’ai vue que des babioles très quelconques. Tu dines avec nous, Karine ?— C’est gentil, merci, mais je ne voudrais pas m’imposer et il faudrait que je prévienne Maman. — Tu ne te gênes pas avec moi, quand même ? Tu veux que je l’appelle comme quand vous aviez dix ans ?— Hi hi, non, je ne me gêne pas avec toi et je serais très heureuse de diner avec vous, répondit Karine en serrant la main de Vanessa. Et je veux bien que tu appelles Maman.— Bien je le fais tout de suite.— On va se mettre à l’aise dans ma chambre, Maman ! Cria Vanessa en emmenant Karine avec elle.
Depuis le temps qu’elle connaissait Odile et Daniel, Karine n’était plus gênée par leur nudité permanente et elle n’avait jamais eu de difficulté pour se plier à la tradition familiale quand elle venait voir Thomas avant.Une fois dans la chambre de Vanesse, elles se déshabillèrent mutuellement et s’embrassèrent tendrement.
— Je crois qu’il faut que je dise à Maman qu’on est ensemble, déclara Vanessa.— À mon avis elle s’en doute…— Peut-être mais c’est mieux de le confirmer.— Elle ne va pas être jalouse ?— Non, ce n’est pas son genre et puis l’idée que je reste célibataire toute ma vie la perturbe un peu alors si en plus c’est toi ; elle sera ravie.
Odile venait de raccrocher son téléphone quand Karine et Vanessa rentrèrent dans le salon en se tenant toujours par la main.
— Maman, on voulait te dire un truc, Karine et moi, on s’est mises ensemble.— C’est la première chose que m’a demandée Josy, répondit Odile en les serrant dans ses bras. Je lui ai répondu que, sans en être sûre, j’en avais l’impression et j’ai eu un peu de mal à ne pas parler de tes changements, Vanessa. Je ne sais pas comment vous comptez faire avec ça…— Je pense qu’ils comprendront son désir d’être femme. Papa et Maman sont quand même assez large d’esprit — Ça c’est vrai et, Daniel et moi, on les a toujours beaucoup appréciés.— C’est un doux euphémisme ! S’esclaffa Karine. Vous vous êtes quand même fréquentés plus qu’assidument et de façon très intimes.— Oui, c’est vrai, reconnu Odile en rougissant, les vacances que nous avons passées ensembles quand vous aviez quatorze ans ont bien failli détruire nos couples.— Comment ça ? S’étonnèrent les deux jeunes.— Et bien, Josy et Daniel ne voulaient plus se quitter. C’est parti sur une simple soirée échangiste comme on avait l’habitude d’en faire très souvent mais là, l’échange a duré quinze jours. Durant toutes les vacances, ils ont couché ensemble et niqué comme des cochons et se sont comportés comme de vrais ados amoureux. Jacques et moi nous n’existions plus et, au retour, ils ont continué pendant plus de six mois à se voir tous les jours, à passer des nuits entières à l’hôtel, et j’en passe. Heureusement qu’avec Jacques, on n’a pas lâché le morceau, expliqua-t-elle à Karine, mais il a fallu batailler ferme pour les récupérer et, depuis, on a mis de la distance. Alors, on s’apprécie, on se revoit mais il n’est plus question d’échangisme. C’est dommage mais c’est comme ça.— Zut ! Fit Karine en rigolant. T’imagines, Vanessa ? On aurait eu chacune nos darons pour beau-père !— Ben là, maintenant, ils n’ont plus besoin de se séparer pour ça, répondit Vanessa en l’embrassant sur la bouche.
Karine instinctivement proposa à Odile d’aider pour le repas et elles se retrouvèrent toutes les trois dans la cuisine. Malgré l’ambiance détendue, Vanessa sentait sa mère un peu distante d’elle et ça l’attristait. Elle lui avait fait la bise mais ne l’avait pas embrassée vraiment alors elle décida de lui faire comprendre que Karine savait tout.
— Tu sais, Maman, Karine n’est pas jalouse ; tu n’es pas obligée de partir à l’autre bout de la cuisine quand je me rapproche de toi.— Mais je ne pars pas à l’autre bout de… Comment ça, pas jalouse ?!— Je suis au courant, Odile, pour Vanessa, Daniel et toi. Ça ne me gêne pas… Thomas m’avais déjà dit qu’il était amoureux de toi et que, de toutes les femmes au monde, tu étais celle dont il avait le plus envie. C’est à ce moment que ça m’a fait mal. Mais maintenant que c’est consommé, je suis plutôt contente. Et si, pour vivre avec Vanessa, je dois faire une concession en la partageant un peu avec vous ; ça me va.— Tu… tu lui as dit ?!— On s’est toujours tout dit, avec Karine ; je connais ses secrets et elle connaît les miens. C’est mieux ainsi, je te promets. Répondit Vanessa en embrassant vraiment sa mère.— On pourra faire de l’échangisme si tu veux, déclara Karine en épluchant une carotte. Ça ne me gênerait pas. J’aime beaucoup les femmes et je suis sûre que Daniel est un bon coup.— Eh ! Mais t’es aussi obsédée que moi, ma parole ! Dit Vanessa en lui en rigolant.— Et bien quoi ? Comme si tu n’le savais pas. Et puis avoue que pour moi ce serait mieux de participer que de tenir la chandelle. Après, quand je n’suis pas là, vous faites ce que vous voulez…— Très aimable à toi, dit Odile qui se remettait du choc. Après tout, pourquoi pas, je suis certaine que Daniel serait d’accord tout de suite et moi aussi j’aime bien les femmes.— Pourquoi est-ce que je serais d’accord ? Demanda l’intéressé en apparaissant subitement encore habillé. J’entends que ça piaille ici… Oh, Karine, quelle bonne surprise ! Que nous vaut ce plaisir ?— Karine et moi, on s’est mises ensemble, expliqua Vanessa en allant d’elle-même embrasser son père sur la bouche. Et elle est au courant.— Comment ça ? Au courant…— Viens avec moi, je vais t’expliquer pendant que tu te déshabilles, lui dit Odile en l’attrapant par son col de veste. Vous finirez de rapper les carottes les filles ?— C’est comme si c’était fait, Maman. Répondit Vanessa avec enthousiasme.— T’es sûre qu’il faut les râper ? Demanda Karine à son amie. Celle-là, j’en aurais bien fait autre chose.— Cochonne, pas avec des légumes, quand même. En plus c’est froid et ça n’glisse pas bien…— Ah bon, parce que t’as déjà essayé.— Une fois, avec une courgette… Alors comme ça tu veux partouzer avec mes parents. Remarque, c’est assez excitant comme idée.  J’aimerai bien te voir baiser avec mon père.— Moi, c’est pareil ; j’aimerai le voir te prendre. Vu comment tu réagi quand je te lèche ou que je te mets un doigt, ça doit être quelque chose quand tu prends une bite… Si tu savais le nombre de fois où j’ai regretté de ne pas en avoir une bien grosse pour te la mettre bien profond.— Arrête ! Tu n’m’as jamais dit ça.— Non, mais c’est vrai. T’en connais beaucoup des meufs qui te lèchent le cul ?— Ben non, il y a toi et ma mère. C’est tout. Mais Jasmine et toutes les autres, je les vois mal me lécher la rondelle ou me mettre un doigt.— Bon, et ma carotte elle te plait pas alors…— Parce que c’était pour moi ?! Donne ! Je la râpe tout de suite. Si tu veux m’enculer on trouvera autre chose de plus fun.— Alors les filles ces carottes ? Demanda Odile en revenant.— Toutes faites ! Même si la dernière, Karine voulait en faire un autre usage.— Ah bon, elle était si grosse ? Vous savez j’ai quelques jouets que je pourrais vous prêter, si vous voulez ; c’est quand même beaucoup mieux que les légumes.— Bon, avec tout ça je n’ai pas pris le temps d’embrasser Karine, Dit Daniel en entrant à son tour. Comment ça va, ma belle ? Ça faisait un petit moment qu’on ne t’avait pas vue.— Parce que Mademoiselle m’a fuit. Expliqua Karine en désignant Vanessa.— Mets toi à sa place, ce n’est peut-être pas si facile d’expliquer à sa meilleure amie qu’on veut passer pour une fille.— Je crois Daniel que c’est un peu plus profond que ça, répondit la jeune fille avant d’ajouter à l’adresse d’Odile et Vanessa. Vous n’croyez pas que ce serait mieux de lui expliquer clairement plutôt que de faire la tête.— J’ai dit un truc qui ne fallait pas ?— Chéri, lui dit Odile alors que Vanessa se mettait à pleurer et que Karine la prenait dans ses bras. Tu n’as encore pas compris !!— Quoi ? Bien sûr que j’ai compris, Thomas veut se faire passer pour une fille et appelé Vanessa.— Thomas est mort ! Lui dit Odile calmement. Oublie Thomas. Vanessa a besoin d’être en harmonie avec son être.— Parce que tu te sens fille ? Vraiment ? Ne me dis pas que tu veux changer de sexe ?!— Et qu’est-ce que ça ferait, Papa ? Mais je ne me sens pas fille, comme tu dis. Répondit Vanessa en tremblant. Je me sens femme, je suis une femme ! Et c’est aussi plus compliqué parce que je n’ai pas besoin de changer de sexe, le mien me va bien, merci ! Mais j’ai besoin de changer de corps ! Tu comprends ?— Pourquoi ne m’as-tu pas expliqué ça plus tôt ? Pardon, ma Chérie. Dit Daniel en prenant Vanessa dans ses bras. Pardon.
Karine se mit en retrait tandis que Daniel séchait les larmes de Vanessa en la couvrant de bisous. Vanessa se laissa consoler et répondit aux baisers de son père avec tendresse et passion. Elle sentait le sexe de son père se dresser et instinctivement, elle y porta la main pour le caresser. Les mains de son père glissèrent sur son dos pour rejoindre ses fesses et un doigt s’insinua jusqu’à son anus.
— On ne va pas se donner en spectacle dans la cuisine, Papa. Emmène moi au salon.— Tout ce que tu veux, ma Chérie.
Karine et Odile suivirent discrètement le couple incestueux et prirent place dans un même fauteuil tandis que Vanessa s’allongeait sur le canapé. Daniel lui avait relevé les jambes et plongeait sa bouche entre ses fesses. Karine trouvait que ce qu’elle voyait était beau et excitant. Sans un mot, elle écarta les cuisses pour se caresser mais la main d’Odile devança la  sienne.
— Profite du spectacle, Dit Odile à Karine avant d’embrasser la jeune fille sur la bouche. Je vais m’occuper de ta chatte.— Et toi, Odile, laisse moi m’occuper de toi aussi.— Ne t’en fait pas ; t’en auras sans doute l’occasion très bientôt.
Odile glissa sur le sol et approcha sa bouche de la petite chatte bien ouverte de Karine. Elle avait une petite toison blonde taillée court et réduite à un petit triangle sur le pubis. Son clitoris restait caché sous son capuchon et ses petites lèvres nacrées et écartées  brillaient de désir. Odile darda sa langue pour découvrir les replis secrets de cet écrin et s’abreuver de son nectar.La langue et les doigts de Daniel transportaient Vanessa et amplifiait son besoin d’être prise. N’y tenant plus, elle attira son père vers lui qui lui donna ses doigts à lécher tandis que sa verge s’insinuait dans le trou qu’ils avaient quitté.
— Aaaaah… Ah oui, Papa, fais moi l’amour. Mmm… Fit Vanessa qui se pinçait les tétons. Ooooh…— Mm, oui, ma Chérie, je vais te faire jouir. Aah, je vais te faire jouir ma fille.
Leur accouplement commença doucement, chargé de tendresse et d’émotion et Karine en jouit une première fois, aidée par la bouche et les doigts d’Odile qui se délectait de son jus. Vanessa couinait de plaisir, accompagnait les mouvements de son père en bougeant son bassin. Leur amour se faisait plus intense et sensuel. Les mouvements étaient plus forts et plus rapides. Elle était pliée en deux sous son père qui l’embrassait, elle jouissait et l’encourageait à la prendre plus fort. Il voulut la retourner et sortit sa bite pour lui permettre de se mettre à quatre pattes. Vanessa avant de se mettre en position le pris en bouche avec gourmandise, Karine jouit une nouvelle fois en la voyant faire. Daniel interrompit la fellation de peur que ça aille trop vite. Vanessa se mit en position pour le recevoir encore. La pénétration était plus profonde et plus bestiale, elle gémissait et criait de plaisir et jouit très intensément en croisant le regard de Karine. Daniel allait de plus en plus vite, il était proche de la délivrance et l’annonça. Vanessa se retourna pour le prendre en bouche et recueillir sa semence. Elle avait encore la bouche pleine quand elle se rapprocha de son amie qu’elle embrassa sur la bouche. Odile était encore assise entre les cuisses de Karine et bien placée pour sucer la verge de Vanessa qui se redressa instantanément. Elle attendit de la sentir bien raide pour la diriger vers la jeune chatte qu’elle venait de lécher. Vanessa se laissa guider et fit l’amour à Karine devant ses parents.
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