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Thomas, Thibaud & Mélanie

Chapitre 2

Avec plusieurs hommes
Vous vous souvenez certainement de mon camarade de cours Thibaud, dont je vous ai raconté le dépucelage dans une de mes précédentes confessions.Cette histoire le concerne aussi, car elle relate une savoureuse aventure à laquelle il a pris part...Entre autre...Je dis entre autres car nous n’étions pas seuls ce jour là, à vrai dire son meilleur copain Thomas était là.
Tout avait commencé quand Thibaud m’avait demandé de l’aider en math. J’avais accepté, bien entendu, et je n’ avais pas changé d’avis quand il avait été décidé que Thomas se joindrait à nous. Le jour de notre première leçon je suis arrivée avec mon sac de livres, une petite jupe plissée et un twin set. Le costume de la petite lycéenne sainte nitouche par excellence.C’est la mère de Thibaud qui est venue m’ouvrir, elle me connaissait et ma réputation de déléguée de la classe très sérieuse m’attirait généralement la sympathie de tous les parents. Très cordialement elle m’a faite entrer puis m’a dit de monter à la chambre de Thibaud, où les deux garçons m’attendaient déjà.
C’était une chambre d’ado typique, avec ses posters de Nirvana au mur (oui, n’oublions pas l’époque :) ! )et son petit bazar. Mes deux potes sont venus me faire la bise pour me dire bonjour. Depuis des semaines je repoussais les petites tentatives d’approches de Thibaud, mais lui accordais de temps à autre une petite gâterie, si je n’avais rien d’autre à faire et si mon humeur le suggérait.Cette fois, il a tenté de me faire un bisou assez langoureux dans le cou, que j’ai court-circuité avec un sourire:
’Doucement, mon garçon, on va déjà commencer par réviser un peu...’
Je les ai regardés avec un air salace:
’et si vous ne vous en tirez pas trop mal vous serez peut être récompensés.’
Thibaud avait l’air assez ambiancé par la proposition. Thomas était plus réservé,et regardait ses pieds. Je me suis assise entre eux deux surle lit, et nous avons étalé sur nos genoux livres et classeurs. L’approche du bac ne les rendait pas très studieux, mais la perspective de se voir accorder quelques privautés en échange de leurs résultats les motivaient grandement, puisque bientôt ils avaient chacun une main sur une de mes cuisses.
Je décidais de changer de technique.
’A poil!’ ai-je dit.
Estomaqués, ils n’ont pas bougé.J’ai commencé à déboutonner le pantalon de Thibaud, qui s’est laissé faire.
L’autre ne faisait rien.J’ai passé une main sous mon vêtement et j’ai attrapé un sein à pleine main, puis je me suis cambrée en plissant les yeux.
’Je vais vous donner des équations et le premier qui a fini aura droit à une bonne pipe...’Les yeux comme des boules de billard, Thomas est resté immobile. Thibaud, lui, savait que je ne mentais pas, car il avait reconnu dans mon oeil la petite lueur annonciatrice de mes pires débordements.
Une minute plus tard Thibaud était complêtement nu. Thomas n’a pas tardé à l’imiter, et je me suis donc retrouvée en compagnie de deux garçons nus, chacun bandant moyennement.L’excitation devait être sérieusement contrebalancée par la gène qu’ils éprouvaient à se tenir ainsi nus l’un devant l’autre ailleurs que dans les douches des vestiaires.J’ai saisi chacune de leur bites dans mes mains, et après quelques mouvements de va-et-vient, ils avaient retrouvé une raideur acceptable.
Guillerette comme Mary Poppins, j’ai noté des équations sur deux feuilles de papiers que je leur ai distribuées. puis je me suis installée sur le siège du bureau, écartant largement les cuisses. Je ne portais pas de petite culotte dessous. De mes doigts j’ai écarté mes grandes lèvres et j’ai exhibé à mes petits mathématiciens ma chatte rose et luisante de mouille.Ils louchaient plus sur moi que sur leurs exercices, ce que je pouvais comprendre. Renversant la tête en arrière, j’ai entrouvert la bouche et exhalé un gémissement de plaisir.les deux garçons ne faisaient plus rien. Oubliées, les équations, oubliée même, la récompense! Leurs yeux étaient rivés à mon entrejambe.
J’ai enfoncé l’index et le majeur en moi, puis j’ai commencé à aller et venir tandis que de l’autre main je me caressais. J’ai écarté les cuisses au maximum, les calant sur les accoudoirs de la chaise.
’Vos équations!’ ai-je rappelé à l’ordre d’une voix bien chienne.
J’avais l’impression d’être une héroïne de roman. Mon excitation était décuplée par l’idée que j’étais présentement matée par ces deux paires d’yeux ébahis.
Soudain, Thomas s’est précipité vers moi et il est tombé à genoux devant mon siège, agrippant mes cuisses dans ses mains fébriles. Sans même me laisser le temps de réagir, il s’est mis à me lécher comme j’avais été rarement léchée.De toute évidence il avait pas mal d’expérience, malgré ses airs plus timides encore que ceux de son pote. Sa langue bien dardée titillait mon clito comme un doigt doux et expert, avant d’aller explorer plus avant mon vagin en feu. Puis sa bouche se collait à moi et j’avais la sensation qu’il était en train de dévorer une pêche bien juteuse . Une de ses mains s’est approchée du théatre des opérations et il a enfoncé plusieurs doigts dans ma chatte pendant qu’il me léchait encore le clitoris.
Il s’en tirait vraiment bien, et quelques minutes après j’ai été envahie par une violente envie de jouir. J’ai mordu mon poing et j’ai crispé l’autre main sur mion sein gauche, étouffant mes gémissements de plaisir tant bien que mal.
Thibaud n’en avait pas perdu une miette, et lorsqu’il a fait mine de s’approcher, je lui ai dit, prise d’une cruauté subite:
’Elles sont finies tes équations?’
Il a baissé la tête.
’Non?’ ai-e dit.’Alors termine les!’
Il est resté sans bouger, et j’en ai profité pour relever Thomas. Une fois debout, sa queue était à la bonne hauteur pour que je la suce. Il était moins bien membré que Thibaud, vu de près, mais semblait de ce fait plus maniable.tout en surveillant l’autre du coin de l’oeil, qui n’avait toujours pas repris sa feuille, j’ai commencé à lécher le bout du gland de Thomas. je tenais sa queue comme une glace, une bonne glace qu’on a envie de caresser à petits coups de langue énergiques avant de se l’enfoncer dans le bec...
Je caressais ses couilles qu’il avait assez petites et compactes, puis lâchant un instant sa queue je les ai prises dans ma bouche, tout en le branlant en même temps.Il me tenait la tête très doucement, sans imposer de rythme ni de mouvement. Il me suivait, simplement. J’étais si excitée que je mouillais abondamment, et je commençais à ne plus trop avoir envie de penser à cette histoire de maths et de récompenses. De la main j’ai fait signe a Thibaud de s’approcher, et il ne s’est pas fait prier.
j’ai attrappé sa queue également, etje me suis mise à les sucer tous les deux, alternativement. j’avais vu ça dans un film porno un jour, en cachette de mes parents sur canal+, et j’avais trouvé ça très excitant. La fille avait l’air de ne plus savoir ou donner de la tête. Et je me rendais compte que je ressentais la même chose.J’avais la sensation d’être complêtement dépassée par les évènements, et manifestement mes deux camarades aussi. pendant que j’en suçais un, je branlais l’autre et vice-versa. Rapidement, j’ai eu la sensation qu’ils allaient jouir tous les deux. J’ai alors cessé de les lécher et je me suis contenter de les branler en frottant leurs glands contre mes seins.L’effêt excompté ne s’est pas fait attendre: trente secondes après Thibaud a commencé à jouir, lâchant de long jets de sperme translucide sur mes têtons.Affolé par cette vision, Thomas n’a pas tardé à faire de même, et je me suis cambrée en arriére, caressant ma poitrine et mélangeant sur ma peau leurs foutres.
Je suis restée un moment sans bouger sur la chaise, les regardant. Tous deux étaient sur le lit, et m’observaient avec un air de reconnaissan,ce melé à un appétit de recommencer assez visible.C’était la première aventure de ce genre pour chacun de nous.
Quelques minutes après, Thomas a recommencé à bander, et je me suis précipitée à nouveau sur sa queue, tandis que Thibaud me caressait maladroitement. J’avais la chatte en feu, et je commençais à avoir très envie d’etre baisée.
Thomas n’a pas déçu les espoirs que j’avais mis en lui, car bientôt il est venu se placer derrière moi tandis que je me mettais à quattre pattes. Thibaud ne semblait pas vouloir faire autre chose que nous regarder.Son copain s’est mis à me caresser, n’épargant ni mon clito ni ma chatte ni mon cul, et bientôt il s’est mis à enfoncer doucement un doigt dans ce dernier endroit, qui avait à peine besoin d’une lubrification supplémentaire tellement je mouillais.Je n’étais pas encore initiée, et cet attouchement m’a semblé étrange, mais en même temps excitant.Thomas me caressait d’une façon lancinante et implacable à la fois, tout en me caressant le clitoris d’une main décidément bien experte, et au bout de quelques minutes j’étais aussi excitée que si je connaissais ça depuis toujours.
Peu à peu il enfonçait son doigt, de plus en plus loin, en un va et viens de plus en plus rapide, et moi je gémissais de plaisir. Soudain il s’est penché vers moi et m’a murmuré:
’tu t’es déjà faite sodomiser?’
’non’, ai-je soufflé en guise de réponse, ’jamais, mais j’ai très envie de découvrir...’
J’ai enfoncé mes propres doigts dans ma fente chaude et humide, et de temps en temps je les resortais, pour toucher les siens et sentir par moi même toute l’étrangeté de cette nouvelle situation.Je pensais au même moment, confusément, combien j’avais envie qu’il m’enfonce ses doigts plus loin, et combien j’avais envie de sentir sa (pas si) grosse queue lentement me pénétrer.Thibaud, lui, se branlait d’un geste lent, comme hypniotisé par le spectacle.
A ce moment, un coup frappé à la porte s’est distinctement fait entendre. Le coeur battant, nous nous sommes interrompus net dans nos mouvements.
’oui?’ a fait Thibaud d’un ton hésitant.
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